Covid-19, évitons la guerre bactériologique

Comme si la contamination virale naturelle ne suffisait pas, James Howard Kunstler envisageait en 2005 que des régimes submergés par les pressions démographiques utilisent des virus « fabriqués »  contre les populations (après avoir bien sûr vacciné une élite présélectionnée !)… C’est plus qu’une hypothèse, l’audition en 1998, devant le Sénat américain, de Ken Alibek, Russe exfiltré qui fut pendant plusieurs années le directeur adjoint de Biopreparat (le programme de l’Union soviétique destiné à la guerre biologique), « a glacé de peur tous ceux qui l’ont entendue ». En 1972, Moscou ratifie le traité d’interdiction des armes biologiques, en 1973, l’URSS crée le laboratoire Biopreparat. Sa mission principale était de concevoir et de produire des armes à partir des virus, des toxines et des bactéries les plus dangereux que nous connaissions. Au plus fort de leur programme stratégique d’armement bactériologique, les chercheurs américains s’interdirent de développer des armes qui ne pouvaient être contrées par des antibiotiques ou des vaccins, le gouvernement soviétique décida au contraire que les meilleurs agents pathogènes étaient ceux auxquels on ne connaissait aucun remède. Ken Alibek raconte :

« A la mi-avril 1988, je reçus un coup de fil. Ustinov qui était à la tête d’une équipe de recherche sur le virus hémorragique de Marburg, s’est injecté le virus Marburg dans le pouce… Le quinzième jour, les petites ecchymoses qui étaient apparues assez rapidement sur tout son corps avaient viré au bleu foncé, et la peau d’Ustinov était aussi fine que du papier parcheminé. Le sang qui s’accumulait sous la peau commençait à suinter. Il lui coulait par le nez, la bouche, les organes génitaux ; le virus empêche le sang de coaguler, en tuant les plaquettes responsables de ce processus. Tandis qu’il se répand dans le corps de sa victime, les organes internes se mettent littéralement à fondre. Les filovirus étaient en train de se multiplier par milliards, suçant les substances nutritives dont ils avaient besoin pour se reproduire. Chaque particule virale, ou virion, forme une sorte de brique qui force les parois de la cellule pour la faire éclater. Puis la cellule se dote d’antennes tremblotantes semblables à des poils, qui se dirigent vers la prochaine cible, où le processus de forage et de destruction se répète aveuglément… Ustinov est mort. Comme un virus qui est né en laboratoire a toutes les chances de devenir plus virulent quand il transite par l’incubateur naturel que constitue le corps d’un animal ou d’un être humain, personne ne fut surpris quand des échantillons de Marburg, prélevés dans les organes d’Ustinov,montrèrent que la nouvelle variété était beaucoup plus puissante et beaucoup plus stable. Immédiatement, on reçut l’ordre de remplacer l’ancienne souche par la nouvelle. On lui donna un nom qu’Ustinov, avec son sens de l’humour, aurait apprécié : la « variante U »… »*

La menace d’une attaque bactériologique s’est accrue quand la technologie développée dans nos laboratoires est passée entre les mains de régimes dévoyés et de groupes terroristes. Les armes bactériologiques ne coûtent pas cher, elles sont faciles à fabriquer et à utiliser. Dans les années qui viennent, elles joueront un rôle de plus en plus important dans notre existence. Voici deux aricle aténrierus de notre blog biospehre sur cette problématique hallucinante :

24 octobre 2014, Le moment où la technoscience devient insupportable !

Des expérimentations actuelles consistent à modifier le génome de certains virus pour leur faire acquérir des « fonctions » nouvelles, mais délétères – par exemple les rendre transmissibles, virulents, résistants à certains médicaments ou encore capables d’échapper au système immunitaire humain. Autrement dit fabriquer des « Frankenvirus ». Nous avons déjà traité sur ce blog le fait de rendre contagieux entre mammifères un virus grippal exceptionnellement meurtrier pour l’homme, le H5N1. Depuis lors, une demi-douzaine de nouvelles expériences de GOF (Gain of Function) ont été publiées dans les principales revues scientifiques mondiales, impliquant d’autres virus tout aussi meurtriers. Pour les défenseurs de l’« acquisition de fonction », il est essentiel d’étudier comment des virus dangereux mutent et deviennent pandémiques. Pourquoi ne se sont-ils pas contentés d’étudier l’expansion du virus Ebola ?

13 mars 2014, Le virus qui éradiquera le surplus de population humaine

Le sens des limites n’existent pas parmi les scientifiques impliqués dans l’atome ou dans la biotechnologie. C’est pourtant deux domaines où il ne faudrait pas faire ce que nous savons faire. L’exemple des virus mutants pourrait faire cas d’école. Voici en résumé ce qu’en dit LE MONDE : Une série d’expériences visent à rendre contagieux des virus grippaux mortels. Les deux pathogènes soumis à expérience, le H5N1 et le H7N9, sont des virus extraordinairement meurtriers. Les malades, après une brutale poussée de fièvre, développent généralement une pneumonie, puis une grave détresse respiratoire à l’issue souvent fatale…

* https://www.lemonde.fr/archives/article/2001/10/28/les-terribles-secrets-du-docteur-alibekov_4215872_1819218.html

9 réflexions sur “Covid-19, évitons la guerre bactériologique”

  1. Sans accuser les mondialistes d’avoir fait le virus ou de le propager, oui, cette idéologie de la mondialisation bienheureuse est une catastrophe.

  2. Pour éviter les guerres bactériologiques, que les mondialistes arrêtent de faire chier leur monde ! Charles Gave a très bien compris, c’est une lutte sans merci entre ceux qui aiment vivre chez eux (dans leur pays) et ceux qui se sentent bien partout ! Hormis que pour être bien partout t’as intérêt à avoir le porte-feuille bien garni pour pouvoir te payer plusieurs billets d’avions dans l’année, plusieurs résidences secondaires, et des hôtels quand même ! Donc c’est 1% de la population qui fait chier le reste de l’humanité ! Ces mondialistes saccagent et détruisent tout uniquement pour leur bien-être personnel et n’en ont rien à foutre des locaux qui vivent dans leur propre pays et de la faune et de la flore ! Oui même des animaux ils en ont rien à foutre hormis pour les voir comme des bêtes de foire dans des zoos ou des cirques et les manger et éventuellement des dauphins du haut de leur yacht… Ces mondialistes cosmopolites qui bassinent tout le monde avec des mouvements anti-racistes juste pour faire avancer leur idéologie et exploiter 99% de l’humanité et 100 % des animaux sont les mêmes qui se payent une piscine dans leur villa face à la mer même lorsqu’elle est d’un bleu azur sous le soleil, alors pourquoi une piscine ? Ah oui pour ne pas se mélanger avec des ploucs lors d’une baignade, les fameux ploucs locaux avec qui les anti-racistes mondialistes ne veulent pas se mélanger ! (quelle hypocrisie !) Brefs, ils détruisent les littoraux pour leurs petits caprices que ça en devient grotesque !

    1. Exact !
      Les plus « célèbres  » parmi ces misérables sont Attali , BHL , Soros, Kouchner , Macron, Merkel, Trudeau, Con Bandit , … en bref la lie des crevures et on ose espérer que notre bon corona s’ occupe de leur santé et les emporte en enfer qui est leur vraie place ===> pardon , biosphère mais cela fait du bien de l’ écrire !
      Les vrais responsables du gâchis mondial sont le fait de ces gens qui sous couvert d’ humanisme, antiracisme, bienpensance , ouverture au monde entier , immigrationnisme délirant , veulent notre destruction .

      Lu quelque part , que des biologistes sud africains avaient fait des recherches sur un virus / bactérie qui ne s’ attaquerait qu’ aux populations noires !

      1. Lu quelque part également, que des biologistes bisounours avaient fait des recherches sur un virus / bactérie qui ne s’ attaquerait qu’ aux affreux fachos ! 🙂

        1. Regarde sur le Figaro, l’article d’aujourd’hui intitulé «  »Îles désertes, bunkers, jets privés : comment les super riches réagissent-ils face au coronavirus ? » » »

          C’est vrai que vous êtes passé au stade supérieur en achetant directement des îles privées où les locaux n’ont plus accès…

        2. Il y a même des biologistes réac qui font des recherches pour éliminer les bisounours 🤣😁😎

        3. Vous avez raison MARCEL, il faut tout faire pour préserver l’humour. 🙂 🙂 🙂

    2. Sacré BGA, va ! Cette fois encore tu as fait très fort. Je te le redis, tu es vraiment le champion. Si je comprends bien, ce qui n’est pas garanti, ce coup-ci les méchants, les vilains, les affreux, ceux qui foutent la diarrhée au reste du monde… ce sont donc les «mondialistes ». Plus exactement, «ces mondialistes cosmopolites qui bassinent tout le monde [et patati et patata]».
      Selon ta théorie merdique, «c’est 1% de la population qui fait chier le reste de l’humanité ! [et qui] saccagent et détruisent tout [et même les zanimaux] uniquement pour leur bien-être personnel [et patati et patatras !]»

      Vois-tu… si ce n’est que ça, alors je dis, c’est FOR-MI-DA-BLE ! 1% … le Problème devrait donc être vite résolu. Il suffit (YACA) d’aller voir les affreux, un par un, et de leur parler gentiment. Nul besoin d’y aller tous ensemble, tous ensemble, ouai ouai, mais seulement à quelques-uns, bien gaillards tant qu’à bien faire, pour leur dire tout simplement, tout gentiment, tout connement : «Eh camarade ! Compte toi, et compte nous !»

      Si je comprends bien, ce qui n’est pas garanti… les 99% sont donc «les fameux ploucs locaux avec qui les anti-racistes mondialistes ne veulent pas se mélanger [et n’importe quoi]». Bref, ces 99%, nous les appellerons donc tout simplement «ploucs».
      Maintenant, zeu quouaitcheün ! Où sont-ils… et que font-ils, les ploucs ?
      Ben… et si j’ai bien compris… ce sont eux qui chient sur les plages, non ?

    3. Les guerres bactériologiques ont existé de tous temps. En 1346, les Mongols de la Horde d’or assiégèrent Caffa, comptoir et port génois des bords de la mer Noire, en Crimée. Les Mongols catapultaient les cadavres des leurs par-dessus les murs pour infecter les habitants de la ville. Le siège fut levé, faute de combattants valides en nombre suffisant : Génois et Mongols signèrent une trêve. Les bateaux génois, pouvant désormais quitter Caffa, disséminèrent la peste dans tous les ports où ils faisaient halte : Constantinople est la première ville touchée en 1347, et la maladie tua 50 % des Européens.
      Plus près de nous, l’Unité 731, créée entre 1932 et 1933 par mandat impérial japonais en Mandchourie occupée, était une unité militaire de recherche bactériologique de l’Armée impériale. Officiellement, cette unité, dirigée par Shirō Ishii, se consacrait à la prévention des épidémies et la purification de l’eau, mais, en réalité, elle effectuait des recherches sur diverses maladies comme la peste, le typhus et le choléra en vue de les utiliser comme armes bactériologiques. Elle procédait à des expériences sur des prisonniers, dont des femmes et des enfants, en majorité coréens, chinois et russes fournis la plupart par la Kenpeitai, la police militaire. Selon certaines sources, plus de 10 000 hommes, femmes et enfants seraient morts dans les laboratoires. Selon les travaux publiés en 2002 par le Symposium International sur les Crimes de la Guerre Bactériologique, le nombre de personnes décédées en Chine à la suite des expérimentations et de l’usage des armesbactériologiques par l’Armée impériale japonaise s’élève à plus de 580 000. Les expérimentations bactériologiques pratiquées au Mandchoukouo, notamment par largage aérien, ont fait entre 300 000 et 480 000 victimes.

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