la Démographie Responsable en chiffres

Pourquoi adhérer à l’association Démographie Responsable ? Plusieurs adhérents de DR nous donnent quelques pistes de réflexion. En résumé :

Claude D. : Ce qui m’a aiguillé vers DR, La Peau de Chagrin

– en 2011 : 2,2 hectares / habitant.= 0,29 x 3,14 x (4 x 10⁴ /3,14)² / 7 x 10⁹ = 0,022 km²

Avec circonférence Terre = 40.000 km soit (4 x 10⁴) ; surface d’une sphère : S = 3,14 x D² ; population au 31/11/2011 = 7 milliards soit (7 x 10⁹) ; seulement 29 % de terres non immergées.

–  en 2020, on était 7,8 milliards, donc 1,89 hectares par habitant. Alors même qu’il faut 1 hectare d’herbage pour nourrir un âne ! ! !

Le 6 septembre 2048, nous aurons tous notre brevet d’âne bâté avec une surface de terrain de 1 hectare par humain ! Ne cherchons donc plus la cause de nos problèmes d’environnement !

Bernard V. : Tous partis confondus prétendent que c’est l’accroissement du nombre d’enfants qui réglera le problème du déficit de la caisse de retraite…. alors je me suis intéressé à un autre chiffre : Chaque jour sur la planète, on compte environ 400 000 naissances, il meurt chaque jour dans le monde en moyenne 168 000 êtres humains. Le solde est donc 400-162 = 232 000 êtres humains supplémentaires chaque jour sur notre planète. Qui peut imaginer que faire des milliards de milliers d’enfants réglera les problèmes du réchauffement climatique, même en se privant de voiture, de voyages, de chauffage, de climatisation ou de manger des fraises en hiver, qui peut croire que ça suffira à éviter la guerre de l’eau puis de l’air ?

Marc G. : Ma grand-mère, qui était née en 1880 à Bordeaux et avait connu des marins et des explorateurs, me parlait souvent de régions encore vierges, en Amazonie et en Afrique. On pensait encore que le Yéti ou le grand serpent de mer pouvaient bien exister. Maintenant nous sommes fixés. Tout est cartographié, habité, exploité, et parfaitement connu, les humains sont partout. Nous sommes l’espèce la plus industrieuse, et la seule capable d’aller dans l’espace, mais nous dépendons de millions d’autres formes de vie avec lesquelles nous fonctionnons en symbiose, et qu’il faut protéger dans notre propre intérêt. Si nous voulons à terme que nos descendants vivent à l’aise sur ce petit globe avant d’explorer les étoiles, il faudra qu’ils soient beaucoup moins nombreux.

Jean-Paul G. : Depuis la publication, en 1972, du livre The Limits to Growth, la croissance de la population est l’un des problèmes majeurs de l’humanité par rapport aux limites de notre planète. Pourquoi ne pas en tenir compte ?

Pour avoir ces témoignages dans leur intégralité, et bien d’autres :

https://www.demographie-responsable.org/411-temoignages.html