La vie sauvage n’a plus sa place en France

Texte d’un correspondant de notre blog biosphere

Vous pouvez envoyer vos analyses à biosphere@ouvaton.org

Dans l’article suivant, Les bobos des villes aiment la vie sauvage mais pas dans leur vie : « Avec le recul du pastoralisme, les modifications du biotope, etc., la broussaille arrive au bord des villes, expliquait le 11 mars à 20 Minutes Max Alliès, président de la Fédération des chasseurs de l’Hérault. Une cinquantaine de chasseurs ont donc participé à une battue urbaine, lors de laquelle les sangliers ont été repoussés vers des zones inhabitées, avant qu’ils ne soient abattus. »

Le Bobo, ce bourgeois qui vit en ville et qui va au spectacle, ne comprend rien à la vie sauvage mais veut imposer ses fantasmes à ceux qui vivent dans et avec la nature domestiquée. Les sangliers en surpopulation pénétrant dans la ville ne sont plus l’emblème de la vie sauvage mais des nuisibles.

Ce qui est vrai c’est que les sangliers sont des animaux ne pouvant vivre que dans leur environnement, les bois. Donnez leur des zones sauvages sans intervention humaine et ils ne seront plus des nuisibles.

Je suis toujours obligé de répéter que les animaux et les végétaux ne peuvent vivre aux côtés de l’homme qui passe son temps à détruire la vie ou à la domestiquer, la torturer.

La vie sauvage est incompatible avec l’homme. La France n’a plus de zones sans intervention humaine et ceci depuis longtemps. Les moines bûcherons sont passés par là.

Les loups et les ours n’ont plus leurs place en France, leur environnement n’existe plus, que ce soit dans les montagnes inhospitalières ou les bois plantés pour la production de bois. Et Les bobos veulent transformer la France en un zoo à ciel ouvert ? Pourquoi ? Pour satisfaire des élucubrations intellectuelles ?

Les sangliers , les ours et les loups et autres sont comme des fous dans un labyrinthe où des camions aveuglant et des hommes assassins les éliminent au gré de leurs humeurs.

Enlèvements et déportations des ours slovènes, bergers tueurs. Loups capturés et lâchés dans le Jura ou ailleurs et puis louvetiers autorisés à les prélever, les assassiner.

Sangliers croisés avec des cochons et hors de contrôle démographique. Pourchassés et détruits en masse ou assassinés par des citadins apeurés par quelques sangliers.

L’humain est un nuisible et un fou par rapport à la vie sauvage.

Nos articles antérieurs sur notre blog biosphere… en guise de commentaire

de la vie sauvage (novembre 2007)

Extraits :  Chateaubriand écrivait : « les forêts précèdent les hommes ; les déserts les suivent. » Triste réalité ! Notre égoïsme fait que nous sommes devenus tout à fait inaptes à prévoir. « Après nous le déluge ! » entend-on souvent d’homme ayant procréé. Ils n’auraient donc fait des enfants que pour eux-mêmes ? (Pensées d’Alain Saury, le manuel de la vie sauvage – revivre par la nature)

Trop d’humains, pas assez d’éléphants et de vie sauvage (mars 2015)

Extraits : La pression démographique humaine, qui limite les habitats naturels nécessaires à la vie sauvage, doit être mise sur le banc des accusés. Il faut donc limiter la fécondité humaine, vaste programme. Mais restreindre la propension des humains à s’étaler dans l’espace avec tout leur appareillage de routes et de LGV, de magasins et de parkings, de villes tentaculaires et d’habitats dispersés semble encore plus difficile que de prôner le planning familial…

Des éléphants ou des hommes, qui choisir ? (mai 2022)

Extraits : Il est plus que probable que si les effectifs de la population humaine ne sont pas réduits dans des proportions importantes, la vie sauvage disparaîtra complètement de la surface de la Terre et les humains s’entre-tuerons dans leurs territoires faits de béton et de goudrons…

6 réflexions sur “La vie sauvage n’a plus sa place en France”

  1. – « Il est plus que probable que si les effectifs de la population humaine ne sont pas réduits dans des proportions importantes, la vie sauvage disparaîtra complètement de la surface de la Terre et les humains s’entre-tuerons dans leurs territoires faits de béton et de goudrons…»

    C’est là le genre de conneries que se plaisent à ressasser les malthusiens et autres grands «philanthropes». Tant qu’à les sortir bien grosses il devraient dire «toute trace de vie sur Terre !»
    Et tant qu’à faire, qu’ils nous précisent aussi si les moustiques, les rats et les limaces font partie, ou pas, de la vie sauvage. N’importe quoi !

    – « Je crois que le ressort caché d’un certain écologisme, qui ne cesse d’invoquer la biodiversité mais ne sait pas distinguer un hêtre d’un frêne, c’est la pulsion de mort.» (Fabrice Hadjadj – La Décroissance de ce mois-ci)

    1. – « Les sangliers , les ours et les loups et autres sont comme des fous dans un labyrinthe où des camions aveuglant et des hommes assassins les éliminent au gré de leurs humeurs. Sangliers croisés avec des cochons et hors de contrôle démographique. Pourchassés et détruits en masse ou assassinés par des citadins apeurés par quelques sangliers.»

      Mon dieu ! Comme s’il n’y avait que les sangliers, les ours et les loups qui étaient fous. Oublions donc les rats, les moustiques, les pucerons, les limaces et j’en passe. Qui sont eux aussi allègrement «assassinés», les pauvres. Ben non, à la limite ON dira alors qu’ils sont juste «régulés», nuance ! Quoique, je me souviens d’un de ces écolos rigolos qui ne supportait pas le mot «réguler». Pour lui réguler ou assassiner c’était kif-kif bourricot.
      ( à suivre )

    2. Afin justement de contrôler la population de sangliers… ce rigolo préconisait d’administrer la pilule aux dames sangliers. Je vous jure que c’est vrai ! Hi haaan !!!
      Les ronces, aux orties, au chiendent, ce genre de vie sauvage est comme on sait un régal pour les braves citadins possédant un jardin. Détruites en masse, éradiquées elles aussi ! Les pauvres. Il ne reste plus que nos bobos écolos pour se régaler d’une soupe d’orties ou d’une tisane de pissenlits. Je vous jure il y a de quoi se pisser dessus !
      Le plus grave dans ce grand n’importe quo, c’est la perte du sens des mots.
      J’ai déjà fait de la pub pour un certain bouquin : Psychologie de la connerie.
      ( Sous la direction de Jean-François Marmion – Sciences Humaines, 2018 )
      Patrick Moreau (professeur de littérature) est l’auteur du chapitre Le langage de la connerie. Justement il examine ce cas (P. 215 : Inconsistance du signifié : un assassin est-il toujours un assassin ?)

  2. Si si la vie sauvage a encore sa place dans les banlieues et les quartiers, avec la faune que l’UmPs affectionne tant !

  3. marcel facho

    On peut deviner la réponse des acéphales gauchistes (socialopes, macronocompatibles, nupestilentiels) ancrés dans leurs délires et leur folie furieuse :
    pour sauver la vie sauvage , ne réduisez surtout pas la population humaine encore très raisonnable en raie publique frankistanaise mais installez – vous en très grand nombre dans des immeubles de 1000 étages égalitaires encore à construire : le grand gauchiste y pourvoira par le biais d’ une augmentation faramineuse de vos impôts et vous pourrez y vivre harmonieusement avec des voisins de toutes origines aux cultures « enrichissantes » en adoptant des comportements onctueux .
    De la sorte vous libérerez de l’ espace pour la vie sauvage
    Le président Robert Silverberg vous assure de sa bienveillance humaniste et universaliste

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