le climatoscepticisme prépare la guerre

Le raisonnable se heurte dans notre société aux intérêts privés. A Washington, il y a 2340 lobbyistes opposés à toute action sur le changement climatique, financés par 770 entreprises. Le président du GIEC a été même obligé de poursuivre le Sunday Telegraph en justice pour diffamation sur son train de vie. Le climato-scepticisme se croit tout permis. Mais Rajendra Pachauri, dans son interview au MONDE*, ne voit pas l’essentiel. Le GIEC élabore un résumé à l’intention des décideurs, Rajendra supplie les dirigeants d’étudier la science climatique, pour lui l’action contre le réchauffement climatique passerait par la volonté des gouvernants. Or les échecs des négociations internationales sont patentes depuis Kyoto en passant par Copenhague et on croit qu’il y a progrès parce qu’on a déplacé une virgule d’un chouia.

En fait, les gouvernants n’ont pas le sens des priorités et ils ne savent pas convaincre les populations. C’est pourquoi nous aurons la guerre. Il est significatif que le climat fasse maintenant son entrée au Conseil de sécurité de l’ONU** qui « exprime son inquiétude sur les conséquences que pourrait avoir le changement climatique dans l’aggravation de certaines menaces qui pèsent sur la paix et la sécurité ». Il était déjà symptomatique que le prix Nobel de la paix ait été décerné le 12 octobre 2007 au groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le comité cherchait ainsi à « attirer l’attention sur les processus et les  décisions qui paraissent nécessaires pour protéger le futur climat du monde, et ainsi réduire la menace qui pèse sur la sécurité de l’humanité ». En vain ! Il était significatif qu’Harald Welzer ait pu écrire en 2009 tout un livre sur les guerres du climat. Or un livre reste un livre, combien d’entre nous essayent de diminuer leur empreinte carbone ? Et comme tout est lié, des rapports militaires, ceux de la Bundeswehr ou du Pentagone, se préoccupent vraiment de l’insécurité qui suivra le pic pétrolier (voir le blog De Matthieu Auzanneau).

Comme conclut à juste titre la journaliste Laurence Caramel, « faute de s’attaquer au mal, il faut se préparer  au pire »**. Nous ajoutons que les climato-sceptiques, nombreux parmi les commentateurs sur lemonde.fr, devront un jour être jugés au tribunal de l’histoire pour crime contre la biosphère. Malheureusement il sera trop tard pour les générations futures.

* LeMonde du 21 juillet 2011, Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, déplore que la pression des lobbies freine l’action des gouvernements.

** LeMonde du 23 juillet 2011, La déclaration adoptée par le Conseil de sécurité reconnaît les menaces que fait peser le réchauffement sur la paix.

31 réflexions sur “le climatoscepticisme prépare la guerre”

  1. les climatos sceptiques dont je fais partie se demandent pourquoi nos dirigeants non rien compris,hulot sarko hollande borlo scecuzot morizet etc.. .. pour la présidentielle je voterai pour le candidat qui arrêtera la connerie ….. du réchauffement climatique ( qui change depuis des millénaires) et provient de la nature.et du soleil … et je demande au président Sarkozy ( dont je suis un inconditionnel ) de bien vouloir y réfléchir……… car je ne serai pas le seul.. dans ce cas la ….. dommage .. et sincères regrets………………….

  2. C’est vrai que je suis climato-sceptique, mais plutôt pessimiste sur l’évolution du climat social du siècle à venir, non pas à cause d’un éventuel réchauffement climatique, mais à cause du renchérissement de l’énergie qui va de paire avec l’épuisement inéluctable du fossile ; je ne comprends pas les écolos qui soutiennent cette mascarade climatologique , alors qu’il des problèmes bien plus urgents qui touchent autant le domaine de l’écologie tel que la pollution, l’approvisionnement de l’eau et la faim dans le monde

  3. C’est vrai que je suis climato-sceptique, mais plutôt pessimiste sur l’évolution du climat social du siècle à venir, non pas à cause d’un éventuel réchauffement climatique, mais à cause du renchérissement de l’énergie qui va de paire avec l’épuisement inéluctable du fossile ; je ne comprends pas les écolos qui soutiennent cette mascarade climatologique , alors qu’il des problèmes bien plus urgents qui touchent autant le domaine de l’écologie tel que la pollution, l’approvisionnement de l’eau et la faim dans le monde

  4. désolé, fallait lirent
    les réchauffistes préparent la guerre
    enfin, vous avez compris, je suis autant fâché avec le GIEC qu’avec l’ortographe

  5. désolé, fallait lirent
    les réchauffistes préparent la guerre
    enfin, vous avez compris, je suis autant fâché avec le GIEC qu’avec l’ortographe

    1. @ Fritz
      Tandis que les uns fondent leur optimisme sur les acquis du demi-siècle écoulé, les autres craignent, avec raison, celui qui vient. Les effets négatifs du système technique commencent à en concurrencer les effets bénéfiques car ses dimensions sont désormais telles qu’elles se heurtent aux limites physiques de la terre. Arrivé au sommet des courbes, on peut voir le déclin se profiler.

      Les climato-sceptiques contemplent l’évolution passée des courbes, les réalistes l’évolution prévisible.

  6. le climato-scepticisme prépare la guerre

    Titre bizarre; on aurait mieux compris si cela avait été
    les réchauffistes prépare la guerre ….des tranchées

    En effet , d’abord pour faire la guerre il faut une armée; or on répète journellement que les climato-sceptiques sont une poignées; ensuite , pour faire la guerre il faut des moyens; or ceux-ci sont dans les mains des réchauffistes: GIEC financé par nos impôts, média ( en partie de même) , publications scientifiques et congrès où l’on baillonne les non conformistes à la thèse du RCA, crédits aux chercheurs réservés à ceux qui ont les deux doigts sur le pantalon, subvention au green business et matraquage par des organismes comme l’ADEME , etc ……
    y en a marre de la réunionite et des vacances des réchauffistes autour du monde.

  7. voici ce que je peux dire en tant que climato-sceptique :
    Cette histoire de réchauffement climatique lié à nos émissions de CO2 est une vaste farce promue par un organisme (le giec) qui sous une apparence scientifique impartiale délivre en fait une vision subjective et partielle des connaissances scientifiques sur le climat et les facteur de son changement, parce que l’effet réchauffant du CO2 sur la t° atmosphérique a été établi de manière dogmatique comme un fait certain dans ses statuts. Et qu’il ne va pas se saborder en admettant que de plus en plus d’études scientifiques montrent que beaucoup d’autres facteurs que le CO2 influent de manière significative sur le climat alors que l’influence du CO2 apparait de plus en plus comme étant peu voire pas significative.
    Mais la nature n’a que faire des dogmes et elle est en train de nous le montrer. Encore quelques années de stagnation voire de baisse des t° mondiales (en France c’est même une tendance baissière qui semble s’être amorcée depuis dix ans) et le « climato-scepticisme » comme vous dites (mais ce n’est simplement qu’une vision objective et non partisane du climat, sans arrière-pensée politico-idéologique) gagnera de manière pacifique « la guerre » de l’opinion publique (ça a déjà commencé d’ailleurs depuis qu’on se remet à avoir des hivers froids et neigeux).

    1. @ Alpiniste
      Votre « argumentation » se borne à critiquer les autres : « vaste farce », « apparence scientifique », « vision subjective et partielle », « dogmatique ». Le climato-scepticisme n’en ressort pas grandi.
      En tant qu’alpiniste, n’avez-vous pas remarqué la fonte des glaciers et les hivers moins rigoureux ?

  8. Jean-Pierre Bardinet

    @biosphère
    Vous avez raison sur un point : notre problème principal est l’énergie. Mais votre analyse est erronée.
    1) Nos réserves de charbon dureront au moins 200 ans. Il reste à améliorer le filtrage pour limiter les particules fines.
    2) Le pétrole, si le prix du baril est élevé, durera plus que prévu de nos jours, car le coût d’investissement des recherches permettra de trouver de nouvelles réserves.
    3) Le gaz durera au moins 100 ans
    4) Le gaz de schiste, si les conditions d’exploitation sont correctes, et si les contrôles sont fréquents et sérieux, durera plus de 100 ans.
    5) Le nucléaire, actuellement fort décrié, est une source de production sur plusieurs dizaines d’années, voire davantage. Mais il faut améliorer la sécurité, les contrôles et la transparence.
    6) Le Renouvelable peut apporter des compléments, mais il est limité par sa production discontinue (éoliennes) et par le coût du kWh. Le photovoltaïque ne peut être qu’un petit appoint ponctuel. Le solaire peut être intéressant, mais reste le problème du stockage de l’énergie électrique.
    7) En plusieurs dizaines d’années, le progrès technologique peut apporter des solutions intéressantes.
    8) Le projet ITER permettrait une source d’énergie inépuisable, mais aucune production n’est envisageable avant la fin du siècle. Il n’est pas sûr que ce projet puisse aboutir, mais cela vaut la peine d’essayer.
    9) Depuis 12 ans, la température moyenne globale est stable, alors que le CO2 continue à augmenter (la part anthropique étant faible). Le passé a connu des périodes froides avec un taux de CO2 de plusieurs milliers de ppm, ce qui signifie que le CO2 a une action négligeable. Pourquoi diantre se baser sur la seule période de covariation avérée (1980-1998) pour en déduire une relation de causalité CO2-T ? C’est scientifiquement absurde…
    10) J’espère que vous avez regardé hier soir sur ARTE l’émission « le secret des nuages », qui présente la théorie de Svensmark et Shaviv. Notez qu’il a fallu 16 mois pour que la première publication de Svensmark soit publiée, car elle était rejetée sans aucun motif, ce qui montre bien qu’il existe des forces qui ne supportent pas que le dogme du RCA soit remis en cause. Contrairement aux hypothèses du GIEC, cette théorie a été testée en laboratoire avec succès (projet SKY – une année de tests, avec la plus grande méticulosité), et elle est en tests complémentaires au CERN (projet CLOUD – résultats intermédiaires positifs -). Si l’on a à choisir entre un modèle hypothétique et un modèle validé par l’expérimentation, le choix est évident. Mais peut-être pas pour vous, cher ami ?

    Je pense que vous croyez au dogme du RCA pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la science, et que votre position n’est pas défendable. Comme le dites si élégamment, la postérité jugera. Car si, en pleine crise financière mondiale, nous dépensons des sommes folles pour une chimère, au risque de déstabiliser nos économies et de régresser, voire de provoquer le chaos, alors oui la postérité jugera les acteurs du dogme du RCA, vous jugera, avec la plus grande sévérité.
    Kenavo

    1. @ JP Bardinet
      Vos propos sortent du débat sur le réchauffement climatique. Recentrons les débats après avoir remarqué que notre démonstration précédente (selon laquelle les climato-sceptiques ont toujours tort si on considère les génération futures) n’a pas été commentée par vous.
      1) L’émission de gaz à effet de serre par le charbon, sans compter les autres pollutions, devrait d’ores et déjà interdire les centrales thermiques au charbon. Peu importe que les réserves soient estimées par vous à 200 ans.
      2) La prospection de pétrole non conventionnel ne fait que reculer de quelques dizaines d’années l’épuisement des réserves et amplifiera de toute façon les émissions de gaz à effet de serre ; brûler le pétrole reste donc une grave atteinte aux générations futures.
      3-4) Le gaz entraîne moins de gaz à effet de serre que le pétrole, mais les émission de GES restent non négligeables.
      5) Le nucléaire, qui repose sur des ressources non renouvelables et limitées, constitue au niveau mondial une part infime de nos ressources en énergie. La problématique des déchets n’est pas résolue… encore une fois tant pis pour les générations futures disent les nucléocrates.
      6) Une fois épuisée les ressources non renouvelables, il faudra bien un jour se contenter de l’éolien et de l’hydroélectrique. Le plus tôt sera le mieux pour combattre les émissions de GES et change de mode de vie.
      7-8) Le progrès technologique comme ITER reste, comme vous le faites remarquer, un vœu pieux. Autant mettre nos finances dans le remboursement de nos dettes et l’énergie durable.
      9) Le réchauffement climatique n’est pas simplement une analyse sur douze ans. Voir notre dernier post.
      10) Le GIEC fonctionne selon une expertise contradictoire contrairement à vos dires.

  9. Jean-Pierre Bardinet

    @biosphère
    Vous avez raison sur un point : notre problème principal est l’énergie. Mais votre analyse est erronée.
    1) Nos réserves de charbon dureront au moins 200 ans. Il reste à améliorer le filtrage pour limiter les particules fines.
    2) Le pétrole, si le prix du baril est élevé, durera plus que prévu de nos jours, car le coût d’investissement des recherches permettra de trouver de nouvelles réserves.
    3) Le gaz durera au moins 100 ans
    4) Le gaz de schiste, si les conditions d’exploitation sont correctes, et si les contrôles sont fréquents et sérieux, durera plus de 100 ans.
    5) Le nucléaire, actuellement fort décrié, est une source de production sur plusieurs dizaines d’années, voire davantage. Mais il faut améliorer la sécurité, les contrôles et la transparence.
    6) Le Renouvelable peut apporter des compléments, mais il est limité par sa production discontinue (éoliennes) et par le coût du kWh. Le photovoltaïque ne peut être qu’un petit appoint ponctuel. Le solaire peut être intéressant, mais reste le problème du stockage de l’énergie électrique.
    7) En plusieurs dizaines d’années, le progrès technologique peut apporter des solutions intéressantes.
    8) Le projet ITER permettrait une source d’énergie inépuisable, mais aucune production n’est envisageable avant la fin du siècle. Il n’est pas sûr que ce projet puisse aboutir, mais cela vaut la peine d’essayer.
    9) Depuis 12 ans, la température moyenne globale est stable, alors que le CO2 continue à augmenter (la part anthropique étant faible). Le passé a connu des périodes froides avec un taux de CO2 de plusieurs milliers de ppm, ce qui signifie que le CO2 a une action négligeable. Pourquoi diantre se baser sur la seule période de covariation avérée (1980-1998) pour en déduire une relation de causalité CO2-T ? C’est scientifiquement absurde…
    10) J’espère que vous avez regardé hier soir sur ARTE l’émission « le secret des nuages », qui présente la théorie de Svensmark et Shaviv. Notez qu’il a fallu 16 mois pour que la première publication de Svensmark soit publiée, car elle était rejetée sans aucun motif, ce qui montre bien qu’il existe des forces qui ne supportent pas que le dogme du RCA soit remis en cause. Contrairement aux hypothèses du GIEC, cette théorie a été testée en laboratoire avec succès (projet SKY – une année de tests, avec la plus grande méticulosité), et elle est en tests complémentaires au CERN (projet CLOUD – résultats intermédiaires positifs -). Si l’on a à choisir entre un modèle hypothétique et un modèle validé par l’expérimentation, le choix est évident. Mais peut-être pas pour vous, cher ami ?

    Je pense que vous croyez au dogme du RCA pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la science, et que votre position n’est pas défendable. Comme le dites si élégamment, la postérité jugera. Car si, en pleine crise financière mondiale, nous dépensons des sommes folles pour une chimère, au risque de déstabiliser nos économies et de régresser, voire de provoquer le chaos, alors oui la postérité jugera les acteurs du dogme du RCA, vous jugera, avec la plus grande sévérité.
    Kenavo

    1. @ JP Bardinet
      Vos propos sortent du débat sur le réchauffement climatique. Recentrons les débats après avoir remarqué que notre démonstration précédente (selon laquelle les climato-sceptiques ont toujours tort si on considère les génération futures) n’a pas été commentée par vous.
      1) L’émission de gaz à effet de serre par le charbon, sans compter les autres pollutions, devrait d’ores et déjà interdire les centrales thermiques au charbon. Peu importe que les réserves soient estimées par vous à 200 ans.
      2) La prospection de pétrole non conventionnel ne fait que reculer de quelques dizaines d’années l’épuisement des réserves et amplifiera de toute façon les émissions de gaz à effet de serre ; brûler le pétrole reste donc une grave atteinte aux générations futures.
      3-4) Le gaz entraîne moins de gaz à effet de serre que le pétrole, mais les émission de GES restent non négligeables.
      5) Le nucléaire, qui repose sur des ressources non renouvelables et limitées, constitue au niveau mondial une part infime de nos ressources en énergie. La problématique des déchets n’est pas résolue… encore une fois tant pis pour les générations futures disent les nucléocrates.
      6) Une fois épuisée les ressources non renouvelables, il faudra bien un jour se contenter de l’éolien et de l’hydroélectrique. Le plus tôt sera le mieux pour combattre les émissions de GES et change de mode de vie.
      7-8) Le progrès technologique comme ITER reste, comme vous le faites remarquer, un vœu pieux. Autant mettre nos finances dans le remboursement de nos dettes et l’énergie durable.
      9) Le réchauffement climatique n’est pas simplement une analyse sur douze ans. Voir notre dernier post.
      10) Le GIEC fonctionne selon une expertise contradictoire contrairement à vos dires.

  10. Jean-Pierre Bardinet

    On peut, comme je le suis, être soucieux de la protection de l’environnement, on peut être d’accord pour lutter contre les vraies pollutions (CO, N2O, O3 troposphérique, SO2, CL2, H2S, microparticules, métaux lourds, nitrates, ….), mais cela n’empêche pas de considérer que le dogme du RCA est le plus grand scandale planétaire de notre époque, et que les acteurs principaux de ce dogme, et ceux qui en font la propagande, seront jugés très sévèrement par la postérité.
    Kenavo

    1. @ JP Bardinet
      La postérité jugera. Si on « croit » au réchauffement climatique et qu’on agit en conséquence par la limitation de nos émissions de gaz à effet de serre, les générations futures reconnaîtront notre action. S’il n’y a pas réchauffement climatique, de toute façon cela voudra dire que nous laisserons bien plus de permis d’émission à la postérité, elle nous en sera aussi reconnaissante.

      Par contre si nous nions comme vous la perturbation climatique, ce qui nous empêche d’agir, les conditions de vie sur Terre se détérioreront pour les humains et la postérité vous jugera durement, vous monsieur Bardinet et tous vos confrères climato-sceptiques.S’il n’y a pas perturbation climatique, la génération actuelle sur sa lancée aura brûlé la plupart de nos richesses fossiles, il ne restera presque rien pour les générations futures qui nous maudiront.

      Vous êtes donc toujours perdant « devant la postérité », monsieur Bardinet.
      Ciao

  11. Jean-Pierre Bardinet

    @biosphère
    Il est curieux que, selon vous, les publications « GIECquement correctes » seraient toutes parfaites et que toutes les publications « GIECquement incorrectes » seraient toutes lamentablement nulles. Les lois de la statistique seraient-elles bafouées? Gauss doit s’en retourner dans sa tombe….
    Concernant Leroux, il a réalisé différentes publications. J’en ai répertorié 35, qu’il serait trop long de citer ici. Il a publié un ouvrage de synthèse : « Dynamic Analysis Of Weather And Climate », chez Praxis. Mais il est clair que vous ne l’avez pas lu, et que vos sources d’information à ce sujet sont donc peu crédibles…. Bien sûr, comme son modèle AMP bouscule les habitudes et les idées reçues, les affidés du GIEC tirent sur lui à boulets rouges. Car, comment accepter qu’un seul climatologue-géographe, sans TéraFlops, sans super-calculateurs, ait pu élaborer un modèle dynamique des échanges d’air et d’énergie ? Impensable. Il faut donc le marginaliser et le ridiculiser, ce que vous faites, comme d’autres, car son modèle, valable à toutes les échelles de temps et d’espace, permet d’expliquer nombre d’observations et de mesures, sur plusieurs millénaires

    Projet FASTEX et modèle AMP (anticyclones mobiles polaires)
    Il y a quelques années (1997), Météo France a réalisé une campagne de mesures (FASTEX) pour identifier la source des perturbations dans l’Atlantique Nord. D’importants moyens humains et matériels ont été mobilisés, avec la participation des canadiens et des américains. L’objectif était de vérifier que la source se trouvait en altitude (jet stream). Voici la conclusion, tirée du résumé introductif du rapport final : « L’application d’une nouvelle approche diagnostic, permettant une démonstration directe au lieu d’une spéculation, appliquée à la «Période d’Observation Intensive » POP 17 de FASTEX, permet de mettre en évidence le rôle très inattendu d’un précurseur confiné dans les basses couches, dans un cas où une plus classique introduction par une perturbation d’altitude semblait à priori net ». Donc FASTEX a mis en évidence le rôle des AMPs. Toutefois, Météo France, tout comme l’establishment des météorologues et des climatologues, refuse toujours de prendre en compte l’existence des AMPs, alors même que FASTEX a prouvé leur existence. Voici la conclusion du rapport FASTEX : « Dans le cas particulier étudié ici, la cyclogenèse se produit au voisinage d’une zone de confluence du jet-stream. Une première anomalie critique circule en altitude qui alimente cette confluence. Toutefois cette anomalie ne déclenche pas directement, comme on pourrait le croire, la nouvelle dépression. Elle permet à un ancien système dépressionnaire de survivre, et c’est l’action à distance de ce système de basses couches qui, modifiant la base de la zone de confluence, est le vrai déclencheur ». Il est inadmissible que des données mesurées sur le terrain, validant le rôle primordial des AMPs, ne soient toujours pas prises en compte et ne soient pas intégrées dans les modèles météorologiques/climatologiques. Si Météo France avait intégré les AMPs, les deux tempêtes de 1999 auraient pu être prévues plusieurs jours à l’avance et les populations averties à temps. Est-il besoin de nombreuses publications, alors que l’observation permet de comprendre les chaînes de causalité ?

    Conclusion : vos remarques concernant Leroux, qui ont pour objectif de le marginaliser (technique hélas classique chez les carbocentristes…), ne valent pas tripette.

  12. Jean-Pierre Bardinet

    @biosphère
    Il est curieux que, selon vous, les publications « GIECquement correctes » seraient toutes parfaites et que toutes les publications « GIECquement incorrectes » seraient toutes lamentablement nulles. Les lois de la statistique seraient-elles bafouées? Gauss doit s’en retourner dans sa tombe….
    Concernant Leroux, il a réalisé différentes publications. J’en ai répertorié 35, qu’il serait trop long de citer ici. Il a publié un ouvrage de synthèse : « Dynamic Analysis Of Weather And Climate », chez Praxis. Mais il est clair que vous ne l’avez pas lu, et que vos sources d’information à ce sujet sont donc peu crédibles…. Bien sûr, comme son modèle AMP bouscule les habitudes et les idées reçues, les affidés du GIEC tirent sur lui à boulets rouges. Car, comment accepter qu’un seul climatologue-géographe, sans TéraFlops, sans super-calculateurs, ait pu élaborer un modèle dynamique des échanges d’air et d’énergie ? Impensable. Il faut donc le marginaliser et le ridiculiser, ce que vous faites, comme d’autres, car son modèle, valable à toutes les échelles de temps et d’espace, permet d’expliquer nombre d’observations et de mesures, sur plusieurs millénaires

    Projet FASTEX et modèle AMP (anticyclones mobiles polaires)
    Il y a quelques années (1997), Météo France a réalisé une campagne de mesures (FASTEX) pour identifier la source des perturbations dans l’Atlantique Nord. D’importants moyens humains et matériels ont été mobilisés, avec la participation des canadiens et des américains. L’objectif était de vérifier que la source se trouvait en altitude (jet stream). Voici la conclusion, tirée du résumé introductif du rapport final : « L’application d’une nouvelle approche diagnostic, permettant une démonstration directe au lieu d’une spéculation, appliquée à la «Période d’Observation Intensive » POP 17 de FASTEX, permet de mettre en évidence le rôle très inattendu d’un précurseur confiné dans les basses couches, dans un cas où une plus classique introduction par une perturbation d’altitude semblait à priori net ». Donc FASTEX a mis en évidence le rôle des AMPs. Toutefois, Météo France, tout comme l’establishment des météorologues et des climatologues, refuse toujours de prendre en compte l’existence des AMPs, alors même que FASTEX a prouvé leur existence. Voici la conclusion du rapport FASTEX : « Dans le cas particulier étudié ici, la cyclogenèse se produit au voisinage d’une zone de confluence du jet-stream. Une première anomalie critique circule en altitude qui alimente cette confluence. Toutefois cette anomalie ne déclenche pas directement, comme on pourrait le croire, la nouvelle dépression. Elle permet à un ancien système dépressionnaire de survivre, et c’est l’action à distance de ce système de basses couches qui, modifiant la base de la zone de confluence, est le vrai déclencheur ». Il est inadmissible que des données mesurées sur le terrain, validant le rôle primordial des AMPs, ne soient toujours pas prises en compte et ne soient pas intégrées dans les modèles météorologiques/climatologiques. Si Météo France avait intégré les AMPs, les deux tempêtes de 1999 auraient pu être prévues plusieurs jours à l’avance et les populations averties à temps. Est-il besoin de nombreuses publications, alors que l’observation permet de comprendre les chaînes de causalité ?

    Conclusion : vos remarques concernant Leroux, qui ont pour objectif de le marginaliser (technique hélas classique chez les carbocentristes…), ne valent pas tripette.

  13. aux climato-sceptiques
    L’Académie des sciences a eu un comportement indigne d’une instance scientifique en matière de réchauffement climatique comme dans d’autres domaines. Un « scientifique » n’est pas à l’abri des préjugés. Il n’est pas non plus exempt d’un intéressement pécuniaire…
    Quant à Marcel Leroux, il était (il est mort) plutôt géographe que climatologue, plus connu par wikilibéral ou l’institut économique Molinari que par ses études sur le climat.
    Nous pensons enfin qu’entre gens de bonne foi, il ne peut pas exister de divergence totale entre les points de vue, surtout quand ils résultent d’une analyse de tout un groupe de différents scientifiques du climat comme celui formé par le GIEC.

  14. Jean-Pierre Bardinet

    C’est bien de mettre en lumière quelques-uns de mes arguments, mais vous en avez quand même oublié pas mal….Les lecteurs sauront lire l’ensemble de ma prose et se faire leur opinion, notamment avec le lien vers le document de l’Académie des Sciences, rédigé par le géographe-climatologue Marcel Leroux.

    Cordialement, même si, à l’évidence, nos avis divergent à 180°….

    Jean-Pierre

  15. @ Jean-Pierre Bardinet, à nos lecteurs
    Je mets en lumière vos arguments, il n’est pas besoin d’en faire davantage commentaire,
    nous pensons que nos lecteurs savent réfléchir par eux-mêmes :
    « Les travaux du GIEC sert… à mettre en place une « dictature verte » ;
    « Les pays en développement espèrent tirer du RCA des financements confortables » ;
    « L’engloutissementqui aurait dû se produire depuis plusieurs années… » ;
    « Les écolos intégristes veulent nous culpabiliser pour nos méfaits » ;
    « Fukushima leur a donné l’occasion de se déchaîner sur le nucléaire. » ;
    « Les médias : leur quotidien, c’est le catastrophisme… C’est de la propagande éhontée. » ;
    « Nos journalistes ont perdu toute éthique professionnelle (Foucart au Monde, Huet chez Libé…) » ;
    « On ne sait pas modéliser les divers types de nuages en 3D » ;
    « Alors, comment croire que les modèles numériques actuels soient crédibles ? ;
    « Nombreux sont les citoyens qui ont étudié la climatologie…
    Tous, nous avons conclu que le dogme du RCA, est une aberration. »

  16. Jean-Pierre Bardinet

    Je me demande bien comment nos descendants jugeront cette période de délire collectif sur le climat, comment ils jugeront ceux qui l’on initiée, ceux qui l’ont utilisée pour leur seul profit, et ceux qui en on fait la propagande. Car le dogme du RCA, au fil du temps, continue et continuera à être réfuté par Mère Nature et par les travaux « GIECquement incorrects ». Il est déjà à l’automne de sa vie…..et l’hiver approche….

  17. Jean-Pierre Bardinet

    Cet article est vraiment ahurissant et truffé de contre-vérités …
    Nombreux sont les citoyens qui, ayant une culture scientifique, ont étudié pendant plusieurs centaines d’heures la climatologie et se sont informés sur les publications, les expérimentations, et les données d’observation récentes et anciennes – et SANS AUCUN FINANCEMENT des méchants pétroliers. Tous, nous avons conclu que le dogme du RCA, qui fait l’objet d’une propagande éhontée, est une aberration, car nos connaissances sont encore trop limitées, et que tout ce bazar repose sur une simple hypothèse, jamais validée, à savoir le rôle pivot du CO2 sur T, et sur d’autres hypothèses, comme les rétroactions positives. La seule période de nette covariation CO2-T a été 1980-1998, et l’on ne peut pas en conclure une relation de causalité CO2—>T (à moins que des motifs non scientifiques ne soient à l’origine d’un tel choix).

  18. Jean-Pierre Bardinet

    On ne sait pas modéliser les divers types de nuages en 3D, ni les turbulences non linéaires associées, ni la vapeur d’eau et le cycle de l’eau, ni les grands courants océaniques, ni les échanges dynamiques d’air et d’énergie, ni les divers types d’aérosols (certains ont une action refroidissante, d’autres une action réchauffante), ni la pluviométrie, ni le relief, ni la cryosphère, ….
    Alors, comment croire que les modèles numériques actuels soient crédibles ? D’autant qu’ils ne savent pas expliquer le climat du passé, ni le palier de température globale depuis 12 ans. Alors, ces fantasmes sur d’hypothétiques cataclysmes climatiques, imaginés à partir de bases limitées et contestables, voire fausses, cela ne présente aucun intérêt dans notre monde du Réel.
    Je vous recommande de lire le document suivant :
    http://www.biokurs.de/treibhaus/180CO2/Echanges-meridiens-Chang-clim.pdf

  19. Jean-Pierre Bardinet

    Des modèles informatiques
    Concernant l’outil informatique, qui peut être fort utile si on l’utilise à bon escient, mais qui n’est qu’un outil, et non une fin en soi, voici ce que disait Guy Dady, Ingénieur Général de la Météo, le 24.02.95, tout comme le géographe-climatologue Marcel Leroux : « … vers le début de la décennie 60, les numériciens ont fait subir à la météorologie un véritable kidnapping… En fait, il s’agit de la dérive réductionniste, induite par le développement du calcul électronique… Cette dérive est non seulement dangereuse parce qu’elle interprète mal la réalité, mais, en plus, elle est totalitaire…. Il y a une révolution culturelle à faire en météorologie, et même au-delà chez les disciples de l’informatique. » Or, de nos jours, l’outil est devenu oracle et ses projections sont considérées comme bien plus crédibles que les prédictions de la Pythie….Pire, les projections numériques ne peuvent être remises en question… sous peine d’être brûlé en place de Grève….(enfin, de manière moins radicale…).

  20. Jean-Pierre Bardinet

    Le dogme du RCA est devenu une machine infernale, qui continue aveuglément sur sa lancée. Pourquoi? Parce que les travaux du GIEC servent d’alibi aux institutions qui l’ont lancé (ONU et UNEP), et qui veulent mettre en place une sorte de « dictature verte » mondiale, coercitive pour toutes les nations. Par ailleurs, le dogme du RCA est supporté par une convergence d’intérêts divers :

    1) les politiques : « sauver la Planète, c’est grand, c’est beau, et c’est réélectif – et, compte tenu des constantes de temps, aucun risque politique.

    2) Les pays en développement qui espèrent en tirer des financements confortables (dont leurs citoyens, en général, ne profiteront pas…) – Voir Tuvalu et le syndrome de l’engloutissement (qui aurait dû se produire depuis plusieurs années…)

    3) Les écolos intégristes, qui soutiennent le projet de dictature verte, veulent nous culpabiliser pour nos méfaits, et engager un processus de décroissance. Ils supportent bien sûr les prd’accord pour ojets de Renouvelable et se contrefichent du projet ITER. Ils veulent casser tout le nucléaire. Mais, jusqu’à ces derniers mois, ils étaient squeezés car le nucléaire ne dégage pas de ce terrifiant CO2, source de tous nos maux passés, présents et à venir….Fukushima leur a donné l’occasion de se déchaîner, enfin, sur le nucléaire. Que n’avons-nous pas entendu à ce sujet? Un vrai déferlement de délires…Bien sûr, je suis d’accord pour renforcer les contrôles et améliorer notablement la transparence des opérateurs.

    4) Les industriels du Renouvelable : nouveaux marchés fort intéressants

    4 bis) Les banques et les marchés financiers, pour financer les investissements en Renouvelable.

    5) Les gestionnaires de bourses carbone et les industriels qui les utilisent frauduleusement (pas tous, heureusement….)

    6) Les gouvernements et l’UE, pour mettre en place de nouvelles taxes, normes et règlements contraignants (qui imposeront d’importantes dépenses supplémentaires aux propriétaires de biens immobiliers et aux citoyens)

    7) Les médias : leur quotidien, c’est le catastrophisme. Les projections cataclysmiques des modèles numériques, c’est pain béni pour eux. Alors, ils en rajoutent et publient, à grands renforts de trompettes, les pires âneries des carbocentristes et/ou d’ONG intégristes vertes (ex : un article prévoyant +2,4°C en 2020, issu d’une étude d’une obscure ONG argentine, repris en cœur par Le Monde, le Figaro, Libé et quelques autres – les internautes les ont cloués au pilori, mais peu leur importe…). Les documentaires et les films sur les catastrophes qui nous attendent fleurissent comme pâquerettes au printemps. C’est de la propagande éhontée.
    Et nos journalistes ont perdu toute éthique professionnelle (Foucart au Monde, Huet chez Libé, M. Court au Figaro), en soutenant mordicus le dogme du RCA et en clouant au pilori tout misérable qui oserait soulever quelque critique, quelque interrogation …

    Bref, dans tout ce bazar, la science « GIECquement correcte » n’est qu’un alibi, et j’ignore si nous sortirons, quand et comment, de ce marasme dogmatique. Peut-être en 2030, quand T n’aura toujours pas augmenté, comme depuis 1999, ou aura diminué ?….

    PS : je suis OK avec Champignac

  21. Je partage tout à fait cet article et recommande aussi la lecture de Guerres du climat de Welzer. Le pot pourri des commentaires climatos sceptiques du Monde est absolument atterrant. Un certain nombre de ces personnes (JP Bardinet par exemple) sont des professionnels de la desinformation. Laissons les de coté et reservons notre énergie pour convaincre et mobiliser le grand public.
    Notre asociation taca essaie de mobiliser le grand public à l’urgence d’agir. Toutes vos idées ou suggestions sont les bienvenues. Notre prochaine mobilisation est le samedi 24 septembre journée mondiale du climat, Moving Planet, où nous organisons à Bordeaux une Velorution Climat.

  22. Quelques climato-sceptiques sur lemonde.fr :
    CHAMPIGNAC : « Deux articles coup sur coup pour faire la promotion de M. Pachauri, ingénieur ferroviaire de formation, reconverti en « économiste » by Le Monde, de fait LE « climatologue » en chef du Giec Onusien, organisme spécialisé dans la publication de prophéties catastrophiques à très long terme et l’organisation de congrès pour ses évêques. Le Monde, organe militant du Réchauffisme ? »
    Un_avis : « Que le Monde soit un des canaux ‘alarmiste’ du RC n’est pas une nouveauté. Il n’y a pas eu grand chose sur le climategate, et encore moins sur le « 2050 : 80% d’énergie renouvelable », nouvelle bourde du Giec-GreenPeace, sur laquelle les médias anglo saxons tirent à boulet rouge actuellement. Il me plait à penser, en voyant notamment dans nos pays exsangues, les M€ engagés pour la prévention du RC, qu’il s’agirait presque d’une farce équivalente, mais en plus tragique, de nos ‘avions renifleurs’. »
    Jean-Pierre Bardinet : « Compte tenu du conflit d’intérêt entre sa fonction de Pdt du GIEC et sa fonction de Pdt de l’Institut indien TERI, Pachauri aurait dû être démis de sa fonction au GIEC. Il soutient des publications « grises » comme celle de l’activiste de GreenPeace, Andy Revkin, qui s’est auto-peer reviewé sur les perspectives du Renouvelable, son étude ayant été financée par l’EREC, lobby des industriels de ce secteur. »
    Jean-Pierre Bardinet : « Pachauri ne fait que promouvoir le dogme du RCA, comme l’a demandé l’UNEP (cf les statuts du GIEC). Le scandale de la prise en compte par le GIEC de la publication grise d’Andy Revkin ne fait que nous confirmer que le Pdt du GIEC n’est pas crédible. Ce scandale a été « oublié » par nos médias, qui ont repris en chœur la simulation la plus forte, (79% de renouvelable en 2050). S. Foucard, tout comme pour l’article relatif à l’ONG FEU, a suivi le mouvement sans aucun sens critique! Lamentable! »
    Candidus giec-giec : « Ce brave homme (Pachauri) a oublié que le CO2 est l’élément nourricier de la biosphère et que sans lui, pas de photosynthèse ; je suis heureux que les activités humaines recyclent le carbone qui s’est déposé au cours des âges sous forme d’hydrocarbures stériles ; vive le CO2 ! vive la biosphère ! dénonçons les sophismes des réchauffistes qui veulent transformer la planète en désert. »
    Candidus anticlimaticus : « La photosynthèse a besoin du CO2 ; c’est le biologiste qui le dit, évidemment pas les bobos climatologues qui s’intéressent surtout au temps qu’il fera à Saint-Trop’ »
    Candidus climaticus : « La rhétorique des giec-giec est imparable : s’il fait froid, c’est à cause du réchauffement climatique ; et s’il fait chaud ? s’il fait chaud, aussi. »
    CHAMPIGNAC : « Passer de trois grains de riz dans un sac de dix mille, à trois grains de riz et demi, voilà une augmentation proprement terrifiante ! C’est en gros la part du CO2, l’esprit malin du Giec et de ses adeptes, dans notre atmosphère. Aucun effet de serre. Merci de ne pas me ressortir la comparaison puérile avec l’arsenic dans le corps humain, seul misérable argument des réchauffistes au CO2. »
    Flyv : « Quant aux glaciers, la disparition des forets et l’urbanisation galopante sont fortement responsables de leur diminution. Il n’y a pas une cause unique à 50 phénomènes distincts..Mare du catastrophisme et de la pensée unique http://www.pensee-unique.fr/ »
    François JOURDIER : « Quelques degrés de plus ne feraient pas de mal, malheureusement je ne crois pas à ces billevesées »
    Nicotine : « D’après un journal sérieux -Le Monde- les scientifiques pensent que le souffre rejeté par les centrales à charbon chinoises permet de compenser facilement les effets du C02. Donc il semble que le problème ne soit pas si grave que ça, il suffit que les chinois continuent le charbon. D’ailleurs on devrait peut-être si mettre nous aussi au charbon plutôt que de gaspiller dans les panneaux solaires. »
    Armand Dancer : « De toute façon c’est un combat perdu d’avance, il vaudrait mieux penser à autre chose ! »

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