Le meilleur rapport qualité/prix

simplicité pour tous !!!

Les tests comparatifs effectués par les associations de consommateurs ressemblent à une tâche de Sisyphe. La décision de procéder à une expérimentation et la publication des tests dans un magazine de consommateur comme Que choisir ? ou 60 millions de consommateurs sont espacés de huit mois à un an.  Elément aggravant, la durée de vie des produits est de plus en plus courte, notamment dans le secteur électronique ; lors de la publication des résultats du test, le meilleur rapport qualité/prix peut déjà ne plus être mis en vente. De toute façon les marques n’aiment pas ce contrôle sur leur production et délistent le modèle choisi même s’il est jugé le meilleur ; il leur suffit en effet de peu de choses pour habiller différemment un produit et changer sa référence. Que faire ? En 1976, les grandes surfaces de marque « Carrefour » lancent cinquante « produits libres » dans un emballage non signé : c’est de la simplicité, mais pour mieux gagner des parts de marché. De toute façon, au milieu des années 1980, les autres enseignes commerciales imitent le procédé en signant leurs produits de leur propre enseigne, ce qui instaure une nouvelle concurrence qui ne change rien au fond quant aux possibilités de choix rationnel des consommateurs. Cette concurrence toujours renouvelée pourrait cesser avec des produits véritablement génériques, vecteur d’une disparition du libéralisme de marché. Que ce soit pour les médicaments ou pour tout autre produit, un objet qui correspond au meilleur rapport qualité-prix devrait être généralisé et non modifié pendant longtemps. Alors il n’y aurait plus de concurrence, il faudrait se contenter de l’essentiel, de l’efficace accessible à tous et toujours.Le pain n’est pas normalement redevable d’une marque ou de la concurrence, il en est de même pour le reste : simplifier vos besoins et réclamez des produits véritablement génériques, la Biosphère ne pourra que s’en trouver mieux. 

Conclusion : Les sociétés humaines sont plus ou moins bien adaptées au milieu environnant, la société thermo-industrielle est la moins durable car elle détruit les écosystèmes. Les amoureux de la Nature et les objecteurs de croissance ont donc un objectif commun, prendre la défense des intérêts de la Biosphère et dénoncer avec force cette société de prédation.

Pour en savoir plus, tu peux consulter le site :

http://www.biosphere.ouvaton.org/