Législation, féminisme et avortement

Pour valider une pensée, il faut savoir d’où on vient pour mieux déterminer où on veut aller. Né en 1947, ma mère venait juste d’obtenir le droit de vote ; lycéen, je n’avais pas le droit d’avoir des cheveux longs ; les femmes dans leur profession n’avaient pas droit au pantalon. Mon père était légalement le chef de famille, le texte de loi n’a changé qu’en 1972. Depuis cette époque, bien des changement ont eu lieu. Ma pensée éco-féministe a évolué. En 2020, l’état de la législation en France est tel que l’objectif du féminisme, l’égalité entre l’homme et la femme, a été atteint. S’il existe peut-être des lacunes de la loi en la matière, je voudrais qu’on m’en fasse part en commentaire sur ce blog. A mon sens certaines améliorations ponctuelles peuvent être proposées, mais la pratique montre qu’on peut tomber dans la démesure, par exemple au niveau de l’IVG.

René Dumont lors de la présidentielle 1974 réclamait la liberté d’avorter, ce fut légalisé le 17 janvier 1975. Dont acte. Aujourd’hui en 2020 une proposition de loi fait passer le délai légal de recours à l’IVG de douze à quatorze semaine de grossesse. Les femmes ne demandent pas de pouvoir avorter plus tard, elles demandent à être prises en charge tout de suite, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. On sait très bien que les délais n’ont pas été allongés pour le bien des femmes, il s’agissait seulement de pallier les défaillances du système de santé. Il semble que l’agitation politique actuelle nous fait oublier la complexité du monde dans lequel nous vivons et les risques que des techniques mises en œuvre nous font prendre ; avorter à 14 semaines, ce n’est pas anodin, ni pour la femme, ni pour le praticien. Ce qu’il faudrait, c’est un droit opposable à l’avortement, qui obligerait l’État à garantir une IVG

Rappelons quelques idées sur le féminisme. C’est par définition un ensemble de mouvements et d’idées qui partagent un but commun : promouvoir et atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines ( Wikipédia). Quant à approfondir la question, on peux se référer à mon livre de 2017, « On ne naît pas écolo, on le devient » (éditions Sang de la Terre), rubrique Féminisme : « Je suis né garçon et pourtant je suis féministe. Aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours été féministe, en faveur de l’égalité pleine et entière des hommes et des femmes. Pourquoi ? Difficile à dire. Ma mère ne pouvait rien faire sans l’aval de mon père. Peut-être est-ce là une explication de mon féminisme, un soutien indirect à ma mère ! C’est avec Jean Rostand à 22 ans que je découvre en 1970 la diversité sociologique du statut de la femme. Chez les Arapesh, il existe un seul type sexuel de comportement social qui correspond au type féminin des nations occidentales. Chez les Mundugumor, c’est la référence masculine qui est privilégié par les deux sexes. Quant aux Tchambuli, nous retrouvons les deux catégories, mais inversées par rapport aux société machistes….

A partir de 1975-76, ma vie professionnelle de professeur de SES va me permettre de rationaliser mes convictions et de faire des cours sur le féminisme. La nature physique de la femme ne dit rien de son statut social par rapport à l’homme : le comportement humain est déterminé par un conditionnement culturel. Il n’y a pas d’éternel féminin, il y a des cultures diverses qui produisent telle ou telle image de la femme. Avec les élèves de seconde, nous nous interrogeons sur la notion d’actif/inactif. La notion officielle de l’activité fait que la femme au foyer n’est pas comptée dans le PIB. Je fais chercher la réponse à cette question existentielle : que fait le PIB quand un médecin épouse sa femme de ménage ? J’organise des débats genre « les femmes doivent-elles rester à la maison ? ». J’interroge les élèves : « Que connaissez-vous comme métier spécifiquement masculin… ou féminin. » On m’a sorti un jour « ouvrir les huîtres, masculin ». Les parents sont les premiers responsables d’une différenciation des rôles injustement fondée sur une différence biologique. J’ai étudié avec mes élèves un texte de Simone de Beauvoir (Le deuxième sexe – 1949) dans lequel se trouve ma phrase fétiche « On ne naît pas femme, on le devient ». Notre comportement n’est pas fixé par nos gènes, « naturel », pré-établi à la naissance. Tout est culturel, issu d’une socialisation, que ce soit les (in)égalités sexuées ou notre attitude vis-à-vis de la nature. Un bébé a un comportement androgyne. C’est à travers la bouche, les mains et les yeux que les nourrissons des deux sexes appréhendent l’univers. Jusqu’à douze ans environ, la fillette est aussi robuste qu’un garçon du même âge, et les capacités intellectuelles sont similaires tout au cours de la vie. Ce n’est pas la nature qui, pendant des siècles, avait empêché les femmes d’aller à l’université, mais des élites masculines qui ne voulaient pas partager le pouvoir, aidées par des femmes qui avaient intériorisé une impuissance factice. L’égalité des sexes progresse dans les jeunes esprits de mes élèves… un peu ! Nous sommes tous androgynes, mais nous ne le savons pas vraiment. (…) »

Michel SOURROUILLE

pour en savoir plus grâce à ce blog biosphere :

8 mars 2020, Écoféminisme et question démographique

1er novembre 2017, Biosphere-info, féminisme et écologie (synthèse)

23 réflexions sur “Législation, féminisme et avortement”

  1. Allons allons arrêtons de raconter des conneries ! Certes on peut dire que ce n’est pas fatiguant, de faire le ménage, ou le repassage, ou la lessive etc. mais j’avoue que je préfère faire la sieste. Pas toi ? 🙂

    1. Ben si, c’est ce que je te dis depuis le début, l’égalité chiche, mais pas l’égalité à sens unique, mettons 50 % de femmes à l’armée sur le champ de bataille et sur les chantiers du BTP, pendant que nous les hommes on se maquillera derrière un bureau à distribuer des allocs, puis dormir sur le canapé après avoir passé l’aspirateur. Enfin, ne pas oublier 50 % de femmes CRS pour qu’elles puissent gérer les assistés qui réclament des augmentations d’allocs.

      1. Allons allons, faut arrêter avec les clichés ! Les femmes ne font pas que se maquiller derrière un bureau. J’en ai connu qui en plus, s’épilaient et lisaient des magasines.
        Mais c’est quoi qui te gène, que les femmes se maquillent ou alors qu’elles le fassent au boulot ? Moi aussi il m’est arrivé de me raser au boulot, juste pour pouvoir rester 10 minutes de plus au lit. Et alors c’est grave ? Maintenant les mecs se laissent pousser la barbe, et en même temps ils se rasent et s’épilent de partout, même le cul, pour faire plus mâle parait-il.
        Bref, je n’y comprends plus rien, tout ça est trop compliqué pour moi 🙂 🙂 🙂

        1. Je ne crois en l’égalité qu’avec des preuves et de l’action ! Pas d’égalité à sens unique sinon ce n’est plus de l’égalité !

          D’ailleurs, je connais un autre métier où il faudra appliquer 50 % de femmes, puisqu’elles prétendent être capable de faire tous les métiers d’homme aussi bien, et même plus souvent mieux que les hommes, je demande à voir ! Oui il faudra aussi 50 % de femmes éboueurs, 50 % pour nettoyer les égouts des villes, patauger dans la crasse et les rats ! Elles qui n’arrêtent pas de chouiner que c’est éreintant et usant de faire des vaisselles avec un lave-vaisselle, mais de nombreuses bécasses oublient de rappeler que ce sont les hommes qui font le plus gros du ménage dans les villes. Et elles doivent y contribuer elles aussi, au nom de l’égalité, car après tout dans les égouts et les décharges ce sont aussi leurs déchets. Tant qu’il n’y aura pas 50 % femmes dans les égouts je ne croirai pas à l’égalité !

        2. Allons allons, arrête de critiquer les femmes, on va finir par penser que tu ne les aimes pas. Remarque ça ne me dérange pas, c’est ton droit, tous les goûts sont dans la nature à ce qu’on dit. En attendant (le sujet suivant) je suis d’accord avec toi. Tant qu’il n’y aura pas 50% de femmes à barbe et tant que les mecs ne pourront pas être enceints, et se faire avorter quand ils veulent, je ne croirais pas moi non plus à cette fameuse égalité.

        3. C’est juste pour te démontrer qu’on est bel et bien différent, et que ce mythe de l’androgyne n’est qu’un mythe ! On a juste formaté des individus par du matraquage médiatique pour faire croire que c’est vrai ! Pour reprendre mon dernier exemple, prend une lesbienne une bonne camionneuse qui se prend pour un mec, et mets la dans les égouts, et tu vas voir que sa nature féminine va revenir au, galop, va revenir en évidence !

        4. Et ce n’est pas une question de haine des femmes, c’est pour démontrer la vérité dans bien des situations ! Nous ne sommes pas égaux, il y a des activités où les femmes sont plus efficaces que les hommes et d’autres activités où les hommes sont plus performants que les femmes. Puis il existe aussi des activités mixtes, mais le fait que des activités mixtes existent, ne veut pas dire pour autant qu’on soit égaux, c’est juste qu’il y a des activités mixtes en parallèle aux activités exclusivement masculines ou activités exclusivement féminines. L’androgyne c’est bidon, c’est juste un masque pour donner un aspect plus féminin ou masculin de sa personnalité. Mais dans le fond, un mec reste un mec, une nana une nana c’est tout !

        5. efficacité et performance viennent par la pratique et la motivation indépendamment du sexe. Au niveau physique, les différences entre hommes et femmes sont intimes, au niveau intellectuel, il n’y a aucun différence de potentiel.
          De toue façon il ne faut pas confondre différence et inégalité…

  2. – «On ne nait pas femme, on le devient.»
    Bien sûr le comportement humain est déterminé par un conditionnement culturel. Et bien sûr il y a des cultures diverses qui produisent telle ou telle image de la femme. Maintenant je ne sais pas s’il y a ou pas un «éternel féminin», je ne sais d’ailleurs pas ce que c’est. En tous cas j’espère qu’il restera toujours des femmes. «Femmes du monde ou bien putains, qui bien souvent êtes les mêmes, femmes normales, stars ou boudins, femelles en tout genre, je vous aime. » 🙂
    Entendue comme un appel à l’émancipation des femmes, un droit à l’égalité, l’affirmation de Beauvoir est juste.

    1. Cependant on ne peut pas nier la différence biologique, notamment les chromosomes X et Y. Quant à la différence entre le cerveau de l’homme et celui de la femme, d’après ce que je sais… les études ne font pas consensus. Pour certains spécialistes il existerait quelques différences, qui expliqueraient, du moins en partie, certaines différences comportementales entre hommes et femmes.
      En attendant j’avoue n’avoir toujours pas tout compris des femmes. Et si quelqu’un pouvait m’éclairer je l’en remercie d’avance. 🙂

      1. DEMONSTRATION ULTRA LOGIQUE = Pour mieux connaître les autres, il faut d’abord apprendre à se connaître soi-même, car connaître soi-même c’est mieux connaître les autres.
        Donc, si l’hypothèse que l’homme est aussi une femme est juste, alors en toute logique en apprenant à mieux connaître soi-même, on devrait mieux connaître la femme. En l’occurrence, si tu ne parviens pas à comprendre les femmes, c’est peut-être bien parce que finalement les hommes n’ont rien de féminin !

        1. Mouai… Sur ce coup je ne sais pas trop ce que vaut ta logique. Parce que même si je reste un homme, je veux dire un mâle, je reconnais aussi que je n’ai pas non plus tout compris de l’homme.
          En tous cas, comme disais Desproges, «plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien. Plus je connais les femmes, moins j’aime ma chienne.»

  3. – « … comme métier spécifiquement masculin… ou féminin ? »
    Je peux déjà dire que ma femme, disons la femme qui vit avec moi, ouvre les huitres mieux que moi. Pour le repassage c’est pareil, c’est pour ça que c’est elle qui le fait. Par contre quand il s’agit de planter un clou, là c’est à moi de le faire. Pour le béton n’en parlons même pas. Et c’est comme ça, entre elle et moi.
    Aujourd’hui il y a des femmes qui conduisent des gros camions, des gros avions, des gros tanks etc. D’un autre côté il y a des hommes sages-femmes. Bref on appelle ça l’égalité homme-femme, moi je suis POUR. Toutefois et c’est là que je vois que j’ai encore du chemin à faire… une mitrailleuse dans les mains d’une femme dans un tank ça me choque. Bien plus qu’un homme en robe de mariée, mais bien moins qu’un homme enceint.
    Sauf sur ces calendriers pour hommes (aimant les femmes), je n’ai jamais vu de femme avec un gros marteau piqueur. Et vous ?

    1. Il y aussi des hommes de ménage, moi par exemple. J’estime le faire aussi bien que ma femme, disons celle qui vit avec moi, c’est pour ça que je le fais une fois sur deux. Seulement Madame estime que je ne le fais pas assez bien, autrement dit qu’elle le fait mieux que moi, le ménage. Bien sûr je lui reconnais le droit de le penser, comme je l’ai dit je suis POUR l’égalité homme-femme et pas du tout sexiste. C’est pour ça que je lui reconnais le droit de refaire le ménage après moi. 🙂

      1. Le ménage domestique à la maison n’a rien de compliqué, c’est plutôt une question de discipline pour que ce soit fait régulièrement, car il faut bien le dire ça n’a rien d’intéressant. Mais bon, les hommes font le ménage aussi depuis longtemps, mais forcément à la maison, comme à l’armée, il faut que ce soit fait régulièrement. Donc faire croire que le ménage c’est la corvée du martyre de la femme, c’est complétement idiot une fois de plus. Surtout qu’aujourd’hui, entre les aspirateurs, les ramasses miettes, les lave-vaisselle, les machines à laver, sans compter tous les produits et éponges adaptées à chaque situation, je ne vois pas ce qu’il y a d’éreintant là-dedans ? En revanche le ménage industriel, pour nettoyer les usines et entrepôts ou encore des hôpitaux, c’est une autre paire de manche qui implique des compétences spécifiques, et une fois encore ce ne sont pas les femmes qui y sont, alors à quand l’égalité et des quotas ?.

  4. « Rappelons quelques idées sur le féminisme. C’est par définition un ensemble de mouvements et d’idées qui partagent un but commun : promouvoir et atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines ( Wikipédia). Quant à approfondir la question, on peux se référer à mon livre de 2017 »
    Égalité dans tous les domaines ? Se référer à son livre ?
    Moi je dis pourquoi ne pas se référer à la réalité ?
    Pour quand 50 % de femmes qui travaillent dans le BTP ?
    Pour quand 50 % de femmes pour devenir légionnaire ?
    Si des hommes ont parfois des revenus plus élevés, c’est peut être aussi parce qu’il faille récompenser le risque, non ? Seront elles prendre le risque dans ces métiers pour le mériter ?

    1. Par ailleurs, pour quand 50% d’hommes pour devenir assistant social ? Pendant qu’il y aura 50 % de femmes pour travailler dans le BTP ? A partir de ce moment là, les assistants sociaux pourront attribuer des logements sociaux aux migrants pendant que des femmes iront poser des parpaings pour bâtir ces fameux logements sociaux. Quand l’égalité sera enfin établi, de nombreuses bécasses comprendront enfin pourquoi tant d’hommes en ont marre du socialisme ! Très facile pour les assistantes sociales d’attribuer des logements sociaux derrière un bureau pendant que les hommes bâtissent, mais il serait temps d’inverser les rôles et que les femmes prennent leur juste part dans les chantiers !

      1. Justement, il serait temps de te rendre compte qu’il y a longtemps que le métier d’assistance sociale n’est pas réservé qu’aux femmes. Et que les métiers du bâtiment, pas seulement réservés aux hommes. Et que les pires métiers de bourrins, pas seulement réservés aux «pur-sang».
        Par contre je n’ai toujours pas vu de femme avec un gros marteau piqueur. Et toi ?

        1. Ce sont les ordres de grandeur qui compte ! Il ne suffit pas de trouver 3/4 femmes dans des métiers dits d’homme pour dire que l’égalité soit établi, idem pour les assistants sociaux, vous pouvez toujours trouver des cas isolés. Mais la demande d’égalité par les quotas, ne sont réclamés que dans les métiers à fauteuil et canapé , comme député à l’assemblée nationale. En revanche, pour quand les femmes réclament les quotas de 50 % d’égalité à la légion, l’armée, la gendarmerie, la police et le Btp à tenir des marteaux piqueurs et poser des parpaings.

          Oui, oui, allons y chiche à l’égalité, mais pas que dans les métiers de planque à fauteuil, mais dans tous les métiers à risque, car à partir de ce moment là, je ne suis pas certain que les femmes vont toujours trouver marrant que de donner des logements gratos et gérer l’immigration.

    2. Ah oui, l’histoire de la prise de risque, et du mérite, ah qu’elle est bonne celle là aussi ! Regarde dans l’armée si les femmes ne prennent pas autant de risques que les hommes, et puis regarde combien il y a de colonelles, de générales, et enfin compare.

  5. Certes le monde n’a jamais été aussi complexe, seulement la complexité a bon dos. Elle est une aubaine pour certains, notamment pour ceux qui ont intérêt à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Combien de fois ai-je entendu «Tu ne comprends pas, c’est plus compliqué que ça.» Autrement dit «Ferme ta gueule, rentre dans le rang et marche !»

    En matière d’égalité homme-femme je ne vois pas moi non plus ce qu’on pourrait rajouter dans la loi. Seulement la loi est une chose, son respect en est une autre. Ceci vaut dans tous les domaines, les lois n’ont de sens que si elles sont applicables et appliquées.

    1. «La Loi c’est la Loi ! » qu’on nous chante. On nous parle de ces «racailles» qui «font la loi» dans des «zones de non droits», on nous présente des délits comme des crimes voire comme des actes de guerre, on nous fait voir des terroristes partout, on nous parle d’«ensauvagement» etc. etc.
      Nettoyons nos lunettes et essayons de voir qui sont les sauvages, les voyous etc. qui sont ceux qui s’arrangent comme ils veulent des lois. Déjà dans le monde du travail, 2000 inspecteurs du travail pour contrôler 4 millions d’entreprises et vérifier que 20 millions de salariés bénéficient réellement des protections que leur «garantit» la Loi. Regardons comment les grosses entreprises s’arrangent des lois en matière d’environnement etc. etc.

      1. Regardons aussi qui sont ceux (celles) qui bénéficient réellement du droit à l’IVG, qui sont celles qui souffrent le plus avec ça. Regardons et analysons les inégalités, là aussi.
        En quoi le droit opposable au logement a t-il amélioré le sort des mal logés, des SDF ? Regardons comment s’applique le droit de retrait des salariés, etc. etc.
        Cette réalité porte un nom, Pipo. Ou alors Hypocrisie.

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