Donald Trump est allergique aux mécanismes économiques, illettré en histoire, analphabète en géopolitique, ignorant en terme de stratégie militaire et complètement ignare en termes de respect des personnes et des pays. Cela ne lui suffit pas, il provoque le chaos interne au niveau environnemental, et il envoie au reste du monde un message d’irresponsabilité.
Dès fin janvier, une première série de décrets a été adoptée visant à « faire face à l’urgence énergétique nationale » en encourageant et en facilitant toujours davantage la production de gaz et de pétrole, et en multipliant au contraire les obstacles à la production renouvelable.
Lundi 10 mars. Devant les grands patrons du gaz et du pétrole réunis à Houston (Texas), le ministre américain de l’énergie, Chris Wright, a annoncé la « fin des politiques climatiques irrationnelles, quasi religieuses, du gouvernement Biden ». Fondateur d’une entreprise de fracturation hydraulique, il a expliqué que l’exploitation d’hydrocarbures avait « une justification morale » car elle permettait de « réduire la pauvreté », et que l’ambition affichée par un grand nombre d’Etats d’atteindre la neutralité carbone en 2050 était un « objectif sinistre ».
mercredi 12 mars. « L’arnaque du Green New Deal prend fin. » Lee Zeldin, l’administrateur de l’Agence de la protection de l’environnement (EPA), a expliqué lancer « 31 actions » visant à « libérer l’énergie américaine », à « revitaliser l’industrie automobile » ou encore à « supprimer des règles suffocantes restreignant tous les secteurs de l’économie ». Les normes visées portent sur l’encadrement des émissions de gaz à effet de serre des centrales à gaz et au charbon, les rejets de polluants toxiques dans les eaux usées, l’obligation pour les entreprises de déclarer leurs émissions, la pollution des véhicules lourds ou encore la qualité de l’air.
Le ministre de l’intérieur, Doug Burgum, a, de son côté, affirmé que toutes les centrales à charbon du pays continueraient à tourner, et que celles ayant été mises à l’arrêt pourraient rouvrir.
Au-delà du climat, c’est la protection de l’environnement qui est visée dans son ensemble….
Le point de vue des écologistes
– Quand s’installe un régime totalitaire, il semble important de relayer ce qui s’y oppose… plutôt que de relayer la stratégie de saturation voulue par le régime totalitaire !
– Destruction des biens communs que sont l’environnement et le vivant, est beau le rêve américain du Trumpisme.
– Les lobbyistes des énergies fossiles ne pouvaient sans doute imaginer que des Américains éliraient une bande de frappadingues climato-sceptiques.
– L’histoire jugera tous ces gens. Au mieux ils seront vus comme des anomalies, des dirigeants hors sol. Au pire comme des criminels.
– Les lois de la thermodynamiques sont incontournables et ce sont elles qui vont les faire « suffoquer » bien plus tôt qu’ils ne l’imaginent.
– Le pire, c’est que ce trumpisme, nous le mettons en place de manière discrète et feutrée en France avec tous les renoncements actuel du gouvernement…
– Avec Bolloré, Le Pen et Zemmour, nous aurions la même catastrophe en France.
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L’écologie à l’épreuve de l’ignorance trumpiste
Trump sabote les conférences sur le climat
Donald Trump et la guerre des ressources
La trouvaille canadienne de Néron/Trump
Les médias comme Voice of America ou Radio Free Asia sont depuis longtemps considérés comme des « voix de l’Amérique » dans des pays où l’accès à une information indépendante est jugée plus difficile, comme en Europe orientale, au Moyen-Orient ou en Asie. Donald Trump, qui range l’agence gouvernementale chapeautant ces médias (USAGM) parmi les « éléments inutiles de la bureaucratie fédérale ». Des centaines de journalistes et d’employés de VOA, la « voix de l’Amérique », Radio Free Asia, Radio Free Europe et d’autres organismes ont reçu le 15 mars un e-mail les informant qu’ils seraient interdits d’accès à leurs bureaux. Ils sont sommés de rendre leurs cartes de presse, leurs téléphones professionnels et leurs équipements.
Il s’agit d’un « cadeau massif aux ennemis de l’Amérique », a regretté le président de Radio Free Europe/Radio Liberty (à suivre)
(suite et fin ) Le président américain exprime ouvertement et régulièrement son hostilité aux médias d’information, qu’il qualifie, pour certains, d’« ennemis du peuple ». Les MAGA et la GAFAM militent pour une déréglementation censée porter la liberté à son paroxysme tout en voulant faire croire que ça passe d’abord par un nombre incalculable d’interdictions, de suppressions, de limitations etc… Musk à donné le ton: détruire les médias traditionnels (« legacy media ») pour qu’il ne reste que son propre X. Trump signe les décrets nécessaires.
Mais ce démantèlement des médias publics opérant à l’étranger pourrait se heurter à des obstacles, car c’est le Congrès qui détient le pouvoir final et certains organismes, comme Radio Free Asia, ont, par le passé, bénéficié d’un soutien des démocrates comme des républicains.
– « Bigre, DT serait un Satan climatique en personne SE FOUTANT des extraordinaires conclusions du GIEC (IPCC) itself dont on sait l’infaillibilité absolue. La science peut se tromper et dans le cas de la machinerie climatique d’une complexité inouie , cela peut être le cas.
Un certain nombre de scientifiques climatosceptiques doutent des conclusions dramatiques du GIEC sans pour autant être liés d’une façon ou d’ une autre à des lobbies énergétiques. [etc.] »
(Bernardo Gui 10 mars 2025 à 19:34 – “L’écologie à l’épreuve de l’ignorance trumpiste”)
Bernardo Gui (alias qui nous savons) n’a toujours pas répondu aux questions qui lui ont été posées en suivant. Nul doute que cet «intellectuel» est bien plus à l’aise pour cracher son fiel que pour argumenter.
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De plus , le GIEC (IPCC) est une émanation de l’ ONU alors méfiance !
On peut supposer que l’ ami Donald va nous pondre une sortie des USA de l’ ONU , cette institution gangrenée par le socialomondialisme (cfr UNRWA
au service des palos et grande dépensière)
MDR ! DT a foutu, comme je le prévoyais, un bordel mémorable aux USA : la gauchiasse est secouée comme un prunier et il fait suer le burnous de ces dégénérés : ceci est hautement jubilatoire .
Ils meuglent car l’ ami Donald a viré moyennant finances un tas de scientifiques et ponctionnaires de la sainte farce probablement nommés par l’ entité maléfique Bidenobama .
Que DT maintienne le cap et nettoie les écuries malodorantes de la gauche
américaine aussi pourrie et tarée que la française.
Bien que comme le GIEC il s‘agisse d’une émanation de l’ONU (sic)… que vient faire l’UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) dans ce «débat» ?
Quels sont les éléments (arguments) qui vous permettent d’affirmer que l’ONU est «gangrenée par le socialomondialisme» ?
Qu’entendez-vous par «socialomondialisme», «gauchiasse» et j’en passe ?
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– « Le pire, c’est que ce trumpisme, nous le mettons en place de manière discrète et feutrée en France avec tous les renoncements actuels du gouvernement… […] Avec Bolloré, Le Pen et Zemmour, nous aurions la même catastrophe en France. » (des écologistes …)
Oh que oui ! Et pas seulement de manière discrète et feutrée, ni seulement à cause des renoncements actuels du gouvernement.
Pour voir ça il suffit d’allumer CNews et d’écouter Praud seulement 5 minutes. Et/ou au bistrot, sur les réseaux, d’écouter ce que raconte la volaille qui fait l’Opinion. Et qui vote !
Ne serait-ce qu’ici sur ce blog, si ON faisait un sondage, mieux un référendum… « Approuvez-vous ou désapprouvez-vous la façon dont [nom du président actuel] gère son travail de président ? »* … eh ben je parie que les Ricains n’auraient pas à rougir.
* Wikipédia : Cote de popularité du président des États-Unis
(à suivre)
(suite) Ne serait-ce qu’ici sur ce blog, ce misérable Donald peut compter sur le soutien inconditionnel de deux fans. Tout autant que le sinistre Vlad. Soit 50 %. Misère misère !
La politique de Trump (le trumpisme) se résume à faire la chasse aux gauchos, aux fonctionnaires, aux wokistes et aux autres.
Pour libérer le pays… afin que l’Amérique retrouve sa grandeur d’antan. Le bon vieux temps des colonies, et du Far West (Extrême Ouest).
Seulement depuis qu’ON est complètement à l’Ouest… que Biden est à gauche, comme le sont Macron et Jean Passe, comme TOUS les fonctionnaires, TOUS les scientifiques [«Et les dealers et les chômeurs, les communistes, psychanalystes, TOUS des pédés dégénérés ! Au temps pour moi.» (Didier Bénureau : Chanson Pour Moralès)], TOUS des feignasses… depuis que les Wokes sont devenus encore plus nombreux que les Autres, et qu’ON en voit partout… (à suivre)
(et fin) depuis que la vérité c’est le mensonge, que la guerre c’est la paix, et la vulgarité la grande classe, etc. etc. bref depuis qu’ON a complètement perdu la Boussole…
eh ben la Grandeur n’est plus que la Misère.
La nomination par Trump de fidèles aux postes les plus stratégique de l’institution judiciaire constituait une forme de privatisation. Il s’en est pris le 14 mars à tous ceux qui avaient été impliqués dans les poursuites le visant et multiplie les pressions sur les magistrats fédéraux, « corrompus » et « diaboliques », qui s’opposent aux décrets qu’il a signés depuis sa prise de fonction. Sa porte-parole, Karoline Leavitt, avait dénoncé le nombre élevé de décisions défavorables émanant de juges fédéraux. Elle avait stigmatisé « des activistes partisans qui tentent d’usurper la volonté de ce président … Nous ne le tolérerons pas ». Pam Bondi, nommée procureure générale des Etats-Unis, s’est aussi fixé comme mission de « défendre vigoureusement les politiques et les actions présidentielles contre les contestations juridiques ». (à suivre)
(suite) Le vice-président, J. D. Vance, pourtant diplômé de l’école de droit de Yale, avait assuré sur un réseau social, le 9 février, après les premiers blocages de décrets présidentiels, que « si un juge essayait de dire à un général comment mener une opération militaire, ce serait illégal », et que donc, selon lui, « les juges ne sont pas autorisés à contrôler le pouvoir légitime de l’exécutif ». Elon Musk, placé à la tête du département de l’efficacité gouvernementale et responsable à ce titre des licenciements de fonctionnaires, a réagi à la décision des deux juges fédéraux en assurant sur son réseau social X que « sans réforme judiciaire, ce qui signifie qu’au moins les pires juges sont mis en accusation, il n’y aura pas de véritable démocratie en Amérique ».(à suivre)
(suite et fin) l’association qui regroupe le plus grand nombre de juges fédéraux a déploré dans un communiqué « une rhétorique irresponsable enveloppée de désinformation » qui « sape la confiance du public dans la capacité de notre système judiciaire à remplir ses devoirs constitutionnels ». Le président de la Cour suprême, John Roberts : « Des responsables publics fonctionnaires ont certainement le droit de critiquer le travail de la magistrature, mais ils doivent être conscients que l’intempérance dans leurs déclarations concernant les juges peut susciter des réactions dangereuses de la part d’autres personnes. » Une mise en accusation [impeachment] de juges fédéraux pour des raisons politiques reste très improbable ; elle exige de rassembler une majorité des deux tiers au Sénat.
Le truand rend la justice. Bienvenue au Trumpland. Un pays allié du Poutinistan.