Manifeste pour une recherche scientifique responsable
La Fondation Sciences Citoyennes s’engage et publie un Manifeste, appelé à interpeller et à encourager le débat concernant les finalités de la recherche, les moyens de les mettre en oeuvre et les responsabilités individuelles et collectives.
http://www.sciencescitoyennes.org/manifeste-pour-une-recherche-scientifique-responsable/
Retrouvez-nous lors de la manifestation nationale du 16 octobre (à 14h de Jussieu à Bercy) des organisations syndicales d’étudiants et de personnels de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et l'association Sciences en Marche, au cours de laquelle nous diffuserons ce manifeste.
http://paris.demosphere.eu/rv/41916
La géo-ingénierie ou la manipulation du climat à grande échelle : une fausse solution par nature
Dans le cadre des mobilisations citoyennes en marge de la COP21 (21e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques) organisée à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, la Fondation Sciences Citoyennes a décidé d’aborder la question de la manipulation du climat à grande échelle aussi appelée géo-ingénierie. Ses travaux constituent une contribution au projet global de la Coalition Climat 21.
Retrouvez les premières fiches didactiques sur la géo-ingénierie ainsi qu'un questionnaire d'autoévaluation sur le site de la FSC
http://www.sciencescitoyennes.org/geo-ingenierie/
Une formation du Collectif des Associations Citoyennes - 19 octobre 2015
La circulaire « Valls », qui remplace la circulaire « Fillon » sur « les relations entre les pouvoirs publics et les associations » a été publiée le 29 septembre 2015.
Quelle est la signification de cette circulaire ? Quelle est sa portée dans le contexte politique actuel ?
Quelles sont les principales dispositions de la circulaire et de ses annexes et comment les utiliser ?
http://www.associations-citoyennes.net/?p=6832
Salon du livre de lanceuses et lanceurs d'alerte - 14 et 15 novembre 2015
Ce salon est une rencontre autour « Des Livres et l’Alerte » pour encourager à l’écriture et la promouvoir, réfléchir sur le lancement d’alerte et le rôle de celles et ceux qui la déclenchent. Il s’agit de transmettre et donc de « Délivrer l’Alerte ». La formule prend tout son sens avec les risques encourus par celles et ceux qui lancent l’alerte en déclarant haut et fort « Délivrez l’Alerte ! ».
À l’heure de la COP21 et de l’indiscutable alerte environnementale, la première rencontre « Des Livres et l’Alerte », en présence de lanceuses et lanceurs d’alerte, de citoyens vigilants, de journalistes et de personnalités, sera l’occasion de présenter ce qui s’écrit et se publie, de permettre la rencontre d’auteurs avec le monde de l’édition, de réfléchir à ce qui entoure le lancement de l’alerte.
Qu’il s’agisse d’Alerte environnementale ou sanitaire, politique ou financière, les intérêts s’affrontent. Le monde des affaires souhaite protéger le secret, le monde politique y aspire tout en tenant un discours sur la transparence. Le débat législatif hésite avec des dispositions sur la protection de certains lanceurs d’alerte et des dispositions protégeant le secret des affaires ou autorisant les écoutes massives. De là où ils se trouvent, les lanceurs d’alerte et les citoyens vigilants révèlent, comme Bradley/Chelsea Manning ou Edward Snowden qui ont été médiatisés.
En France, les affaires Cahuzac, UBS, LuxLeaks, Médiator… ont mis en lumière des femmes et des hommes qui rendent publiques des analyses et des affaires qui remettent en cause des pouvoirs établis et des pratiques douteuses.
"Perdons pas le fil" pour le maintien des cabines téléphoniques
Nous relayons ici le message d'Annie Lobé, journaliste scientifique indépendante.
" Les cabines téléphoniques disparaissent partout, or elles sont les garantes de notre sécurité, car en cas de panne électrique les box téléphoniques ne fonctionnent plus, vous êtes donc privés de téléphone.
Et en cas d'urgence généralisée, les téléphones portables non plus ne fonctionneront plus, car toutes les communications privées seront interrompues pour laisser fonctionner uniquement les services d'urgence (par exemple le 11 septembre 2001 à New York, après les attentats sur les tours jumelles, personne n'a pu utiliser les téléphones portables).
C'est pourquoi j'accorde mon plein et entier soutien à l'action lancée par l'association Perdons pas le fil, et je vous prie de bien vouloir prendre quelques minutes pour la soutenir également, en votant "D'accord" pour sa contribution à l'article 30 dans le cadre de la consultation en cours sur le projet de loi pour une "République numérique" (encore un terme de novlangue, pour la com' y a pas à dire, ils sont bons au gouvernement).