nombre (maximum ou optimum selon les définitions) d’animaux qu’un territoire donné peut tolérer sans que la ressource végétale ou le sol ne subisse de dégradation. La mesure de l’empreinte écologique de la classe globale indique que l’humanité, si elle généralisait ce modèle de niveau de vie, s’approprierait de la nourriture, des fibres, de l’énergie… bien au-delà des capacités de charge de la planète. D’ailleurs la biodiversité diminue en proportion de l’expansion humaine.
Les humains doivent décroître en nombre et en utilisation de la Biosphère,
sauf à vouloir anéantir l’avenir des générations futures
et mettre en danger même les non-humains.