Janvier 1995, auditorium municipal de New York, 1 500 personnes. Un homme se lève, la cinquantaine avancée, habillé avec le raffinement d’un universitaire. Il prononce un discours très court, une minute à peine, puis se dirige vers un petit ordinateur IBM. D’un coup de marteau, il en brise l’écran ; d’un autre, il en détruit le clavier. Kirkpatrick Sale sourit, s’incline …
Kirkpatrick Sale, un luddite contemporain Lire la suite »