Sandrine Delorme : « Je suis devenue végétarienne parce que j’ai compris ce qui se cachait de l’autre côté de mon assiette. Pour le veau, comme pour tout autre animal devenu viande. Je n’avais alors aucune idée des conséquences, ni de la longue évolution qui m’attendait, ni de brusquement devenir, simplement parce que je changeais mon alimentation, une sorte d’objecteur de conscience. » Elle a donc écrit « le cri de la carotte ».
Les mouvements pour le végétarisme, pour le véganisme et pour les droits des animaux ne cessent de préoccuper les consciences collectives et s’invitent de plus en plus souvent dans les médias. Sandrine Delorme, à travers un récit de vie, drôle, nourri par de nombreuses réflexions, répond avec brio à une foultitude de questions : qui sont les « VG » ? Pourquoi et comment devient-on végétarien, végétalien, végane, militant de la cause animale ? Quels liens avec le bio, l’écologie, la décroissance ? Pourquoi s’occuper d’animaux plutôt que des humains ? Et quid des végétaux ? Enfin, les animaux ne se mangent-ils pas entre eux ?... Le « Cri de la carotte » propose de s'orienter vers une réflexion commune pour la cause animale ; en effet, depuis quand un comportement ancré dans nos habitudes lui confère-t-il une légitimité ? Aux omnivores, aux apprentis végétariens ou aux activistes des droits des animaux, cet ouvrage suggère de nombreuses pistes et aide chacun d’entre nous à élargir le champ de son humanité.
À noter que la préface du « Cri de la carotte » est signée Jacques Boutaud, maire du 2e arrondissement de Paris (et à l'origine des repas végétariens servis aux enfants des écoles de cet arrondissement) et que les illustrations sont signées Insolente Veggie, pour notre plus grand bonheur ! (http://insolente0veggie.over-blog.com/)
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