La classe globale pensait que la seconde révolution industrielle, celle du pétrole et de l’électricité, allait permettre de sortir d’un environnement transformé en poubelle avec ses villes noircies par le charbon et ses rivières transformées en égouts. Mais la poubelle est devenue transparente : la pollution chimique de l’eau et des corps ne se voient plus, les radiations nucléaires ou l’effet de serre paraissent inexistants , mais agissent encore plus douloureusement.
Les poubelles de l’histoire sont pleines d’humains qui ont cru être quelque chose,
les poubelles de la classe globale enterrent l’avenir des générations futures.