L’accord international de Montréal, signé en 1987 et renforcé en 1992 à Copenhague, impose l’interdiction de production des CFC destructeurs de couche d’ozone à partir de l’an 2000. C’est un mécanisme qui fonctionne assez bien car l’industrie chimique était à même de fabriquer des produits de substitution aux CFC. Le protocole de Tokyo, négocié en 1998 et fixant des objectifs de réduction des gaz à effet de serre par pays (- 6 % pour les pays industrialisé en 2010 par rapport au niveau de 1990), n’est toujours pas applicable en 2004. Il faut une ratification par des pays représentant au moins 55 % des émission mondiales. Mais il n’y a pas de substituts aux GES et les Etats-Unis essayent de bloquer le processus. Les protocoles sont discutés en ne pensant qu’aux intérêts humains.
Un protocole de doit pas découler de l’égoïsme d’entreprises ou de nations,
Mais résulter d’un accord entre les humains et l’équilibre de la Biosphère.