Mesure de la pression des activités humaines sur l’écosystème exprimée en « unités de surface ». Chaque unité correspond au nombre d’hectares de terre biologiquement productive nécessaire pour entretenir un certain niveau de vie des humains et en absorber les déchets. Selon cet indicateur, un critère de forte durabilité serait que chaque génération hérite d’un stock de capital naturel par individu qui ne serait pas plus petit que celui de la génération d’avant. Mais si l’ensemble de la population mondiale accédait au niveau de vie actuel des Français, la satisfaction des besoins humains nécessiterait au moins trois planètes et le capital naturel diminuerait. L’empreinte écologique de la classe globale est trop forte.
Tu n’as qu’une solution, la décroissance humaine
et particulièrement celle des pays riches.