De : Population Matters Updates : you’ll know that we’re literally counting down the days to World Population Day this Saturday, 11 July ! Cette Journée mondiale de la population a pour objet d’attirer l’attention sur l’urgence et l’importance des questions démographiques. Le Conseil d’administration du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a en effet recommandé, en 1989, de faire du 11 juillet cette Journée mondiale en référence à la Journée des cinq milliards, nombre d’humains atteint le 11 juillet 1987.
Les prévisions nous annoncent 10 milliards d’être humains en 2050 soit un doublement en 23 ans seulement et nous sommes déjà 7,8 milliards aujourd’hui. Une telle progression, vertigineuse, ne peut se faire qu’au détriment de toutes les autres espèces vivantes, au prix de la détérioration des sols, avec la fin programmée de toutes les ressources non renouvelables, la progression du stress hydrique, l’épuisement des ressources halieutiques, et le réchauffement climatique en prime. Le fait que l’humanité ne prête aucune attention à son nombre et laisse libre cours à l’évolution exponentielle de sa population nous amène donc nécessairement à des famines récurrentes, des guerres incessantes et même des épidémies facilitées par notre densité urbaine. Face à cette situation, il est urgent de devenir malthusien comme nous y incite l’association Population Matters au Royaume Uni et Démographie responsable en France. Pour connaître leurs objectifs :
– About Population Matters : « All our environmental problems become easier to solve with fewer people, and harder – and ultimately impossible – to solve with ever more people. » (Sir David Attenborough, Population Matters patron) Our vision is of a future with decent living standards for all, on a healthy, biodiverse planet. Through our campaigning, advocacy and education work we influence policymakers, communities and individuals to make positive changes for a sustainable human population.
– Le projet de Démographie Responsable : En incitant à l’autolimitation de la natalité, notre association a pour objet d’œuvrer pour la stabilisation de la population humaine et sa diminution sur le long terme. Excluant tout ce qui ne respecterait pas les droits humains ou qui remettrait en cause la liberté de procréer, notre démarche passe par l’information sur les conséquences de la pression démographique pour les générations futures, les autres espèces et l’environnement. En parallèle à cette information, nous nous donnons entre autre pour mission de soutenir toutes les initiatives en faveur de l’instruction, condition nécessaire à la compréhension par tout être humain des dangers écologiques liés à la surpopulation.
En ce qui concerne la retraction des surfaces natives (écosystèmes non anthropiques), il faut vérifier s’il est en raison de l’augmentation de la population ou en raison de l’extension des surfaces de cultures destinés à l’alimentation du bétail, ou d’une autre raison. Sur 104 M km 2 des terres habitables, la moitié est utilisé pour l’agriculture; 37% forêts; 11% arbustes et de prairies; 1% de l’eau douce; 1% zone urbaine bâtie (villes, villages,routes, infrastructures…). Or, 77% des terres agricoles sont destinés à l’alimentation animale (pâturage e cultures). Le bétail produit 18% des calories et 37% des protéines mondiales. Finalement, pour ceux qui montrent du doit les pauvres comme responsables, je maintien ma proposition de les vasectomiser, s’ils consomment plus de 2 Tep/an. En utilisant deux gros cailloux qu’on peut les taper violemment sur leurs bourses, évitant ainsi d’utiliser des instruments en métaux dont leur production émet du CO2.
Il me semble que la relation population/dommages écologiques doit être traité en fonction de la consommation de d’énergie et de matières et en fonction du type d’impact que les divers segments de la population produisent sur le milieu naturel vivant et inanimé.
Un mangeur d’hamburger nord américain du Mac Donald provoque un dommage beaucoup plus intense sur le milieu naturel qu’un touareg en mangeant la même quantité de nutriments. En plus, en termes de recuperation du milieu naturel, dans le premier cas, son impact sur le milieu est global (bovin alimenté par des grains produit CO2), tandis que dans le second cas, impact est local et reparable. Or, on dit que les 10% les plus riches émettent 50% des gas d’effet de serre, tandis que les 50% les plus pauvres émettent 10% de GES. Les plus riches sont peut nombreux. On se rend compte que l’application d’un planing familial pose des problèmes. Il faut réduire quelle population? c’est pas simples.
Je suis étonné qu’on ne vous ai pas dit que vous trompez de direction avec ces histoires de CO2 et d’empreinte écologique. Et pour répondre à votre question, qu’on ne vous ai pas dit qu’il faut «traiter» d’urgence ceux qui se reproduisent «comme des lapins», ceux qui prient en se tournant vers La Mecque. Misère.
Et aussi les gôôchistes, les zumanistes biounours, les mondialistes, les alpinistes, les bobos et Jean Passe. Bref, tous ceux qui copinent avec les précédents. Et plus si affinités. Et là, je vous dis pas les dégâts sur notre pauvre planète, et patati et patata. Misère misère !
Autre question, réduire oui, mais comment ? Mis à part l’apprentissage du port du préservatif dès la maternelle, je ne vois pas. Sauf bien sûr à renoncer à ce qu’il nous reste d’humanité. Comme vous dites, c’est pas simple.
Par contre , les gretacarboneries, les délires décadents de la gauche dégénérée (pléonasme) plus débiles les uns que les autres , on y a droit tous les jours non stop (LGBT , adoption par les pédés de mômes, écriture inclusive , immigrationnisme,droitdelhommisme, migrantophilie), délires de khmers verts (éoliennes à la con , …)
Dommage que l’ on ne puit pas solutionner finalement et mondialement toute la gauche et la fausse droite en une seul journée : j’ y apporterais mon concours à titre gratuit juste pour l’ amusement
Et citons aussi les associations italienne : « Rientrodolce », suisse : « Ecopop », néerlandaise : « Le club des 10 millions », belges : « Moins de gens » et « One Baby », et de nombreux mouvements aux Etats-Unis aussi qui parlent de la surpopulation et de ses dangers.
Le sujet est présent dans la population et de nombreux mouvements le représentent. Hélas, il est quasi absent des partis politiques français, surtout chez la majorité des écologistes français (pardon pour ceux qui font exception).
Si les gens pouvaient comprendre qu’en 1900 chaque humain disposait presque de 100 000 mètres carrés et qu’aujourd’hui il n’en dispose plus que de 20 000, peut-être mesureraient-ils mieux notre appauvrissement.
Quant à la nature et aux animaux, ils semble que leur disparition touche peu, ils étaient sur les 80 000 mètres carrés perdus, tant pis pour eux, comme le dit Y. Jadot, la surpopulation n’est plus un sujet de l’écologie politique !
Voyons, M. Barthes, les gauchistes (khmers verts inclus) vous diront , ces fourbes malades mentaux de surcroît , qu’ il y a assez de place sur terre et qu’ il suffirait de construire de grands immeubles partout sur la terre pour loger tout le monde (Silverberg l’ a très bien décrit dans les monades urbaines) : il suffit de se pousser un peu et de vivre dans 2 pièces exigües le tout en adoptant envers autrui un comportement onctueux .
Où va – t- on maintenant si chacun devrait disposer d’ un espace vital suffisant et de plus le rendant heureux ?
Pol Pot vert va réduire notre espace vital , notre nourriture , notre liberté pour le plus grand bénéfice de ses protégés lapinistes afromuzz , futurs consommateurs zombifiés issus du 1/3 monde et cela au service de l’ oligarchie mondialiste
Bonjour Marcel,
« il y a assez de place sur terre et qu’ il suffirait de construire de grands immeubles partout sur la terre pour loger tout le monde »
Oui, c’est en effet presque mot pour mot ce que vient de m’écrire quelqu’un sur Facebook, précisant même qu’en se comportant bien, on pourrait être 100 milliards sans aucun problème ! ! !
La caricature que l’on peut faire de ces gens là est hélas tout à fait conforme à leur réalité: une inconscience totale et une méconnaissance absolue des règles de l’écologie, quant à la tendresse pour le monde vivant, cela ne les effleure même pas.
Quand à Sylverberg oui on ferait bien de le recommander à l’école car il a décrit dans ses « Monades urbaines » quelques chose vers lequel nous nous dirigeons insensiblement avec l’aval… de beaucoup d’écologistes, monde impossible, effrayant, concentrationnaire !
Le territoire que nous occupons est pris sur celui de la faune sauvage, et on pourrait dire que chaque humain supplémentaire déloge la faune sauvage de son territoire et la pousse à l’extinction, surtout quand pour la compétitivité certains pays brûlent des milliers de km2 de forêts pour cultiver et exporter des OGM et gonfler son PIB.
Les gouvernements sont en mode compétition économique, et ne pensent qu’à court terme. La baisse démographique se fera dans la douleur de famines, de guerres et de catastrophes climatiques. Tant que les élus seront sponsorisés par les entreprises, rien ne changera, ils se contenteront d’éviter l’explosion des peuples.
Je ne la connaissais pas celle là. Faut dire qu’il y en a tellement. C’est super les journées mondiales, il y en a pour tout le monde. Pour tout et n’importe quoi, c’est l’ONU qui a inventé ça. Tous les jours on peut faire la fête, c’est formidable. Si on les compte toutes, il y a plus de Journées que de jours sur le calendrier. Du coup il y a des jours où on ne sait plus ce qu’on fête. Finalement c’est très bien comme ça.
2 juillet, journée mondiale des OVNI. Je n’en ai vu aucun, nada, rien du tout !
6 juillet, journée Internationale du baiser. J’ai rendu hommage à Carlos avec Big Bisou. Au diable le Coronamachin !
Hier 10 juillet, journée mondiale des «femmes sans voiles». Aucune, nada, elles portaient toutes un masque.
Le 31 juillet sera la journée internationale de la femme africaine. Là encore Big Bisou !
Le 21 décembre sera la journée mondiale de l’Orgasme, avec un grand O. Celle là faut surtout pas la louper 🙂
Ah non Michel C, là votre ironie est déplacée. Certes, il existe des journées pour tout et n’importe quoi, mais là c’est sur un vrai sujet, n’associez pas la journée mondiale de la population qui porte sur un phénomène essentiel, à une journée sur les Ovni. L’ironie c’est amusant, mais il ne faut pas que, pour un bref plaisir de l’esprit, elle contribue à effacer la force des réalités.
Allons allons mon cher Didier, faut bien rigoler dans ce monde brutes, non ?
– «mais là c’est sur un vrai sujet […] un phénomène essentiel […] la force des réalités».
Certes, et alors ? Et les femmes sans voiles, africaines ou autres, ça non ? Et le baiser, ça aussi c’est un vrai sujet, essentiel je dirais. Et l’Orgasme, le vrai bien sûr, pas le simulé, hein ? Par contre pour les OVNI je suis d’accord avec vous 🙂