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L’origine de notre plat de viande

Le travail commence. Le bovin entre dans le couloir de la mort où un ouvrier le guide avec une tige électrique en cas d’indocilité. L’animal se retrouve coincé de toutes parts. Le tueur place un matador entre les deux yeux. Il s’agit d’un pistolet d’abattage qui propulse un piston qui perfore le crâne jusqu’au cerveau. La bête s’écroule et roule sur un sol incliné. Mort cérébralement, il bouge encore. Attrapé par une chaîne par la patte arrière gauche, il est hissé par un treuil sur un rail qui conduit jusqu’au seigneur. Celui-ci lui tranche la jugulaire avec un couteau. Le sang jaillit tel un geyser, le bovin se vide de 30 à 40 litres de sang. Parfois la bête donne des coups de patte, ses yeux révulsés ; l’odeur de la peur. Tu entends les meuglements désespérés des animaux qui attendent encore dans le couloir de la mort. Un ouvrier ouvre le sternum pendant qu’un autre lui tranche la tête ; tout ça part à la triperie par une autre chaîne. L’animal passe ensuite à la vidange où lui sont retirés ses intestins et sa panse. Tout son appareil digestif tombe sur une large tapis roulant qui va emporter ses viscères à la boyauderie. La carcasse, vidée de ses abats, est coupée en deux dans le sens de la hauteur à l’aide d’une scie géante. Un couteau pneumatique rotatif à lame circulaire sert à retirer les parties graisseuse, dont une part sert à la fabrication de produits de beauté…

Un jour Mauricio Garcia Pereira travaille seul à la boyauderie avec son grand couteau quand une énorme poche vide sur lui son liquide amniotique chaud et gluant. Mauricio en sort un veau entièrement formé… Il prévient le chef : « C’est pas un problème, tu fais le tri comme d’habitude et le fœtus, tu le jettes dans ce bac-là ». Joignant le geste à la parole, le chef pousse le veau encore vivant jusqu’au bac à déchets destinées à l’incinération.

Mauricio consulte la Toile et trouve un numéro de téléphone pour L214. Brigitte Gothière, la cofondatrice de l’association, est sidérée d’apprendre ce cas de vaches gestantes. Mais l’abattage de vaches gestantes n’est interdit ni en UE, ni en France. Une vache pleine de plusieurs mois est en effet plus grasse, sa carcasse pèse 20 à 30 kg de plus, sa viande est plus juteuse….

Mauricio a écrit un livre sur son expérience, « Ma vie toute crue, un employé d’abattoir dit tout ! »

Source : Alternatives non-violentes n° 215 de juin 2025 (extraits)

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présentation et objectifs du blog biosphere

Biosphere est une association loi 1901 (JO du 2 octobre 2004) ayant pour raison d’être de défendre les intérêts de la biosphère, un espace-temps dans lequel chacun de nous n’est qu’une maille dans la trame du vivant. Son président et fondateur, Michel SOURROUILLE.

Présentation du blog biosphere

Ce blog existe depuis le 13 janvier 2005, il propose une analyse quotidienne du « point de vue des écologistes ». L’écologie est multiple, chaque article est soumis à vos commentaires. Vous pouvez aussi proposer un texte, il suffit de l’envoyer à biosphere@ouvaton.org. L’intelligence collective se constitue par la complémentarité des approches.

Il faudrait que se diffuse dans la population un langage commun dont on pourrait poser les termes de façon suivante :

Acteurs absents (démocratie), agriculture biologique (production), communautés résilientes (relocalisation), conférences de consensus (décisionnel), décroissance maîtrisée (économie), Descente énergétique (énergie), écologie profonde (éthique), écocentrisme (valeur), fécondité raisonnée (démographie), Migration limitée (déplacements), Monnaie locale (échange), Non-violence (relationnel), Revenu maximum (revenu), Sobriété partagée (consommation), Techniques douces (organisation), etc.

Ce blog biosphere a été diffusé par LE MONDE numérique entre le 13 janvier 2005 et le 13 mai 2019 avec la référence « biosphere.blog.lemonde.fr ». Ce service (les blogs abonnés) a pris fin le 5 juin 2019. Nous avons œuvré pour que le contenu de notre blog soit sauvegardé et durablement accessible à tous. Nous avons migré vers la Coopérative d’hébergement numérique « ouvaton.org » que nous utilisions déjà pour notre site de documentation des écologistes www.biosphere.ouvaton.org.

Un lien permanent a été mis en place entre le blog, centré sur l’actualité, et le site de documentation, des références de fond.

Le réseau de documentation des écologistes (le site)

La page ACCUEIL donne en colonne de droite quelques indications sur ce qui apparaît comme le mouvement le plus prometteur pour l’écologie, les communautés de résilience. La colonne de droite récapitule tout ce qui est publié de façon quotidienne sur notre blog biosphere. En bandeau, un certain nombre de références.

La BIBLIOTHEQUE contient des résumés de plus de 340 livres consacrés à l’écologie.

Une rubrique complémentaire, SPIRITUALITES, se consacre aux livres ayant trait au changement de perception dans le rapport nature/culture, mais aussi à l’idéologie de la non-violence.

Un LEXIQUE assez complet permet de naviguer entre « acteurs-absents » et « vitesse généralisée ».

Cinq REPERES font une synthèse possible de la pensée écolo, allant de la plate-forme de l’écologie profonde (une philosophie) à la Charte française de l’environnement (un texte constitutionnel).

D’autres fonctions sont disponibles, à vous de les découvrir en allant sur le site.

On peut nous écrire 

biosphere@ouvaton.org

On peut s’abonner à notre mensuel (ici dans la colonne de gauche)

On peut poster des commentaires

On peut faire connaître autour de soi notre existence ….

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BIOSPHERE-INFO, mai 2025

Ce blog, c’est un article chaque jour… depuis 2005.

Voici notre récapitulatif de mai 2025,

cliquez à votre convenance

Questions structurelles

La tragédie des horizons, ce qui nous pend au nez

L’écologie, référence de plus en plus partagée

Questions d’actualité

Robert Francis Prevost devient Léon XIV

Un président de la république tel que je l’aime

Le militantisme écolo

Le découragement des militants écolos

Jeux d’hiver 2030 en mode contestation

La fin programmée de la publicité intrusive

Dégradations écologiques

Quand la France sera entièrement bétonnée…

Après nous les insectes, ils nous résistent

Héritiers, héritage et générations futures

Dysfonctionnements politiques

Pouvoir public contre Intérêt public

Macron, moins de 3 % pour l’écologie

Zones à faibles émissions (ZFE), clapped- out !

Loi Duplomb, l’agriculture écolo plombée

Sortie du nucléaire autrefois, retour aujourd’hui

Nucléaire civil, l’enfouissement des déchets ?

Trump/Mélenchon, un profil de dictateurs

Recherche de l’intelligence collective

Construisons ensemble un nouvel imaginaire

La guerre cognitive contre l’intelligence collective

Aliénation et habitudes cérébrales, notre boulet

Liberté d’expression et désinformation

Le vote n’est rien sans délibération préalable

« Pas d’écrans avant 13 ans », c’est un minimum

Questions économiques

Un baril à moins de 60 dollars, enfer et damnation

Chute du brut, l’inverse de ce qu’il faudrait

Bergeaud, meilleur jeune économiste, foutaise

Questions démographiques

Surpopulation : le grand impensé écologique ?

Surpopulation, tout dépend du contexte

Pour être libre de décider de vivre ou de mourir

Pacifisme

Un service militaro-civil pour les jeunes ?

La non-puissance sauvera le monde…

Questions sociétales

L’interaction affective avec les machines

Fin de vie, le débat en Charente

Fin de vie, démographie et écologie

Fin de vie, les médecins n’ont rien à en dire

En Belgique, dire par écrit qu’on veut mourir

Fin de vie et libre choix à l’Assemblée nationale

Hors compétition : le Trumpisme

Les dernières trouvailles de Donald Trump

N’hésitez pas à mettre un ou plusieurs commentaires sur nos articles,

la formation de l’intelligence collective est l’affaire de tous.

Pour échanger ou abonner une connaissance

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Merci de votre attention…

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En Belgique, dire par écrit qu’on veut mourir

La Belgique, à l’avant garde de la démocratie du libre choix

Olivier Bury : En France pour le projet de loi sur la fin de vie, il y a l’absence d’obligation de demande écrite de la part du patient dès lors qu’il se sait à court terme voué à mourir. C’est à distinguer d’une directive anticipée rédigée alors qu’on est encore en bonne santé. En Belgique, où j’accompagne depuis plus de vingt ans des patients en fin de vie, cet écrit est au cœur du processus. C’est une balise, une manière de dire : cette décision est mienne, réfléchie, et elle engage ma conscience. La parole seule ne suffit pas, l’écrit transforme la conscience. L’écrit protège également les soignants en cas de contestation. On dira : « Mais certains ne peuvent plus écrire. » La loi belge a prévu cela : la demande peut être dictée en présence de témoins.

Je n’écris pas ici pour défendre une position idéologique. J’accompagne des gens qui meurent, l’écrit quand il est là les apaise.

Le point de vue des écologistes du libre-arbitre

Olivier Bury parle de son expérience en Belgique, pays démocratique où la parole des citoyens est écoutée. En France sur le sujet la réalité est toute autre, le travail d’une convention citoyenne et la demande clairement exprimée d’une large majorité de nos concitoyens ne pèsent rien face au lobby religieux et au pouvoir réactionnaire d’une faction du corps médical bien décidés à tuer toute évolution positive sur le sujet dans l’œuf.

La Belgique en avant-garde progressiste

Etre objecteur de conscience en Belgique

extraits : Le statut d’objecteur de conscience est accessible aux soldats, ce qui n’est pas le cas en France…

La Belgique décriminalise la prostitution

extraits : Les prostitués (femmes dans une proportion de 95 %) ont les mêmes droits que les autres travailleurs indépendants, dont celui de bénéficier de la sécurité sociale, du chômage, de l’accès aux soins, d’un congé maternité, etc. …

L’euthanasie en Belgique, facile ?

extraits : L’ordre des médecins prône le maintien du droit des personnes à « l’autodétermination ». La loi sur la fin de vie adoptée par la Belgique en 2002 prévoit qu’une souffrance psychologique jugée incurable et irréversible peut être admise comme une raison valable pour une euthanasie. 2 357 demandes officielles d’euthanasie – dont 2,4 % pour troubles mentaux ou du comportement – ont été introduites en 2018. ….

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La guerre cognitive contre l’intelligence collective

Les réseaux sociaux ont permis d’amplifier l’efficacité de techniques de guerre cognitive issues du monde militaire et appliquées au champ politique, à l’image de la campagne présidentielle roumaine : Crédité de 1 % des votes quatre semaines avant le scrutin, M. Georgescu a obtenu 23 % des suffrages après une campagne menée essentiellement sur TikTok, où a été employée la technique de l’« astroturfing », qui consiste à donner une fausse image de soutien populaire massif. Il y a eu une manipulation coordonnée des algorithmes de recommandation de la plateforme chinoise. La guerre cognitive est possible aujourd’hui parce qu’un nombre considérable d’esprits sont devenus accessibles ; chaque génération a sa plateforme numérique.

Les possibilités d’éviter la désinformation deviennent de plus en plus rares, la lecture de ce blog est un moyen que certains de nos commentateurs s’acharnent pourtant à contourner.

David Colon : Steve Bannon est le premier à avoir identifié la possibilité offerte par les médias sociaux de canaliser la colère des citoyens par le recours à la guerre psychologique, ce que les militaires appellent les « psychological operations ». Il s’est appuyé sur les travaux de l’ingénieur en sciences sociales Aleksandr Kogan, qui a conçu des outils d’analyse prédictive de la « triade sombre » de la personnalité. Il s’agit d’individus qui cumulent trois traits de personnalité – psychopathie, narcissisme et machiavélisme – prédictifs à la fois de l’adhésion à des théories du complot et de l’engagement dans des actions violentes. Ils étaient ciblés par des publicités, incités à rejoindre des groupes Facebook où ils étaient exposés à des contenus à forte charge émotionnelle, et encouragés à passer à l’acte en ligne ou dans le monde réel. Des groupes d’internautes se retrouvent dans des chambres d’écho propices à l’exploitation de biais cognitifs, tels que l’effet de « vérité illusoire » découlant de la répétition de choses fausses, ou le biais de confirmation, voyant les individus privilégier les faits allant dans le sens de leurs idées préconçues. Aujourd’hui, l’administration Trump mène une guerre cognitive contre les journalistes, qui sont saturés d’un tir continu de décisions plus surréalistes les unes que les autres, de façon à réduire leur capacité à appréhender ce qui est à l’œuvre.

Il faut rétablir un marché de l’information numérique libre et non faussé, en créant, par exemple, un média social européen à but non lucratif qui ne repose pas sur les dispositifs permettant d’exposer nos esprits à la guerre cognitive.

Le point de vue des écologistes informés

Gustave Le Bon : « Les foules n’ont jamais eu soif de vérités. Devant les évidences qui leur déplaisent, elles se détournent, préférant déifier l’erreur, si l’erreur les séduit. Qui sait les illusionner est aisément leur maître ; qui tente de les désillusionner est toujours leur victime. »

Goebbels : « À force de répétitions et à l’aide d’une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible de prouver qu’un carré est en fait un cercle. Car après tout, que sont  » cercle  » et  » carré  » ? De simples mots. Et les mots peuvent être façonnés jusqu’à rendre méconnaissables les idées qu’ils véhiculent. »

pm42 : On peut aussi penser à l’incroyable influence qu’a exercé l’URSS dans les démocraties occidentales avec presse, partis et syndicats relais de ce qui était clairement une dictature historiquement alliée des nazis mais ayant réussi à convaincre les communistes français de l’inverse.

Lucy : Pas d’inquiétude, le changement climatique et la destruction massive de la biodiversité vont mettre tous les humains sur un pied d’égalité à propos de la réalité…

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Musk, Zuckerberg… les ingénieurs du chaos

extraits : Giuliano da Empoli est un repenti de la tech : au début des années 2000, il croit que le numérique va changer la vie démocratique et balayer le vieux monde hiérarchique. En 2012, il prend la mesure de la puissance des big data qui se niche derrière le populisme autoritaire de Donald Trump, de Jair Bolsanaro ou de Matteo Salvini. La clé du pouvoir, ce n’est pas l’organisation politique, mais l’organisation technique et ses infrastructures : les chemins de fer, le téléphone, la télévision, aujourd’hui Internet. Aujourd’hui, dans la sphère numérique, une campagne de désinformation ne coûte rien, alors que s’en défendre est quasiment impossible. Alors la réalité peut devenir fictive, et donc absurde….

Le «marché des idées», une poubelle numérique

extraits : On pensait la bataille contre le déni imperdable sur le long terme, il suffisait d’attendre que le réchauffement commence à produire ses effets au-delà du doute raisonnable pour que la controverse tombe d’elle-même. Et de fait, depuis le fameux débat entre Masson-Delmotte et Allègre en 2010, la température moyenne de la basse atmosphère s’est élevée d’un demi-degré ; chacun peut observer de visu le recul des glaciers et du trait des côtes, éprouver la fréquence accrue des épisodes caniculaires, des sécheresses, des incendies ou des inondations catastrophiques. Pourtant le négationnisme climatique perdure. Pourquoi ?….

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Présentation et objectifs du blog biosphere

Biosphere est une association loi 1901 (JO du 2 octobre 2004) ayant pour raison d’être de défendre les intérêts de la biosphère, un espace-temps dans lequel chacun de nous n’est qu’une maille dans la trame du vivant. Son président et fondateur, Michel SOURROUILLE.

Présentation du blog biosphere

Ce blog existe depuis le 13 janvier 2005, il propose une analyse quotidienne du « point de vue des écologistes ». L’écologie est multiple, chaque article est soumis à vos commentaires. Vous pouvez aussi proposer un texte, il suffit de l’envoyer à biosphere@ouvaton.org. L’intelligence collective se constitue par la complémentarité des approches.

Il faudrait que se diffuse dans la population un langage commun dont on pourrait poser les termes de façon suivante :

Acteurs absents (démocratie), agriculture biologique (production), communautés résilientes (relocalisation), conférences de consensus (décisionnel), décroissance maîtrisée (économie), Descente énergétique (énergie), écologie profonde (éthique), écocentrisme (valeur), fécondité raisonnée (démographie), Migration limitée (déplacements), Monnaie locale (échange), Non-violence (relationnel), Revenu maximum (revenu), Sobriété partagée (consommation), Techniques douces (organisation), etc.

Ce blog biosphere a été diffusé par LE MONDE numérique entre le 13 janvier 2005 et le 13 mai 2019 avec la référence « biosphere.blog.lemonde.fr ». Ce service (les blogs abonnés) a pris fin le 5 juin 2019. Nous avons œuvré pour que le contenu de notre blog soit sauvegardé et durablement accessible à tous. Nous avons migré vers la Coopérative d’hébergement numérique « ouvaton.org » que nous utilisions déjà pour notre site de documentation des écologistes www.biosphere.ouvaton.org.

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Le réseau de documentation des écologistes (le site)

La page ACCUEIL donne en colonne de droite quelques indications sur ce qui apparaît comme le mouvement le plus prometteur pour l’écologie, les communautés de résilience. La colonne de droite récapitule tout ce qui est publié de façon quotidienne sur notre blog biosphere. En bandeau, un certain nombre de références.

La BIBLIOTHEQUE contient des résumés de plus de 200 livres consacrés à l’écologie.

Une rubrique complémentaire, SPIRITUALITES, se consacre aux livres ayant trait au changement de perception dans le rapport nature/culture, mais aussi à l’idéologie de la non-violence.

Un LEXIQUE assez complet permet de naviguer entre « acteurs-absents » et « vitesse généralisée ».

Cinq REPERES font une synthèse possible de la pensée écolo, allant de la plate-forme de l’écologie profonde (une philosophie) à la Charte française de l’environnement (un texte constitutionnel).

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Le point de vue des écologistes

Notre blog biosphere a pour objectif de présenter « le point de vue des écologistes ». Tâche de Sisyphe ! Tout ce que nous écrivons est susceptible d’être rectifié ou compléter par des commentaires directs, soumis seulement à modération a posteriori. De notre côté nous essayons sincèrement dans nos analyses de correspondre à toutes les conditions ci-dessous.

  • Prendre le temps de la réflexion

  • Posséder des connaissances de base en matière de philosophie, de sciences économiques, de sociologie, d’histoire…

  • Faire preuve d’une écoute de l’autre, être ouvert à une argumentation différente de la sienne

  • Avoir la capacité de se remettre en cause, ce qui nécessite une prise de distance avec soi-même

  • Accéder à une maîtrise de ses affects, de ses sentiments personnels, de ses préjugés et a priori

  • Ne pas être prisonnier de sa fonction sociale (son métier, ses responsabilités familiales ou politiques…)

  • Chercher à approfondir ses connaissances par le choix de ses lecture, de sa fréquentation des médias

  • Adopter une démarche scientifique : c’est vrai, mais uniquement tant qu’on ne m’a pas démontré le contraire

L’expérience montre qu’une telle approche, complexe si ce n’est compliquée, a beaucoup plus de difficulté à se généraliser qu’une dérive de type religieuse ou un comportement de type fasciste. Les simplismes attirent les foules alors que les raisonnements étayés font fuir les masses. Pourtant une démocratie ne peut délibérer à bon escient qu’avec des citoyens éclairés.

On peut nous écrire biosphere@ouvaton.org

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Merci de votre attention,

Michel

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BIOSPHERE-INFO, avril 2025

Ce blog, c’est un article chaque jour… depuis 2005.

Voici notre récapitulatif d’avril 2025,

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Questions structurelles

L’électricité, qui rend notre société super-fragile

Les racines chrétiennes de la crise écologique

Recherche de l’intelligence collective

Le «marché des idées», une poubelle numérique

Désinformation, ennemi de la conscience écologique

Le consentement, à mettre à toutes les sauces

Illibéralisme, un autre mot pour dictature

Le militantisme écolo

Résistances à l’agression publicitaire

RÉBELLION ! CONSTRUCTION !

La vie sauvage dans notre jardin, c’est possible

Il n’est pas interdit d’interdire… la publicité

L’Exposition universelle d’Osaka, beurk !

Dégradations écologiques

« extractivisme », synthèse de notre folie

Le tabac tue, c’est marqué sur les paquets

L’hydrogène et l’avion ne font pas bon ménage

« greenblaming », l’écologie c’est l’ennemie

Questions démographiques

Surpopulation, en marche vers la dictature

Émaciation, cachexie et surpopulation

Euthanasie, éternel débat sur le libre choix

Euthanasie, la législation aux Pays-Bas

Pacifisme

L’écologie entre pacifisme et remilitarisation

Les soldats, à munir de pelles plutôt que d’armes

Journée Défense Citoyenneté, à améliorer

Adoptons une défense civile non-violente

Devenir objecteur de conscience… en 1971

La guerre, une histoire ancienne au Royaume-Uni

Petite leçon sur la guerre, la paix avant tout

L’actualité, le pape François

Papauté, le conflit entre pouvoir spirituel et temporel

Le pape François est mort, ses paradoxes

L’héritage environnemental du pape François

Ordo Amoris, le pape François contre JD Vance

Laïcité, un écologiste ne peut être que pour

Questions sociétales

LVMH, le luxe à la peine, et que ça dure…

Hors compétition : le Trumpisme

Dans la tête de Trump, l’égotisme d’un individu

Donald Trump joue à l’apprenti sorcier (droits de douane)

Trump dans les abysses, il touche le fond

Trump ne peut gagner contre l’OMC

Musk, Zuckerberg… les ingénieurs du chaos

NOUS, élus, pouvons faire n’importe quoi

L’habituation aux délires des dirigeants, désolant

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la formation de l’intelligence collective est l’affaire de tous.

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Donald Trump joue à l’apprenti sorcier

Avec des droits de douane généralisés, les Américains viennent de porter un coup spectaculaire contre l’ordre économique mondial qu’ils ont contribué à ériger après la seconde guerre mondiale. Donald Trump a vanté un « jour de libération » pour les États-Unis. Cela annonce pourtant la stagflation, stagnation de l’activité économique et inflation conjuguées.

Arnaud Leparmentier : Donald Trump a annoncé, mercredi 2 avril, des taxes douanières sans précédent : « Notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis ». Le taux plancher de 10 % s’appliquera le 5 avril à minuit ; ceux plus élevés, pour une soixantaine de pays, entreront en vigueur le 9 avril. Donald Trump a évoqué le Cambodge, l’un des pays les plus pauvres du monde, à l’économie six cent fois plus faible que celle des Etats-Unis. « Oh, regardez le Cambodge, 97 % [de droits supposés]. On va le ramener à 49 %. Ils ont fait fortune avec les Etats-Unis d’Amérique », a-t-il osé

Pour expliquer sa démarche, Donald Trump a présenté un grand tableau comparatif. Non pas les droits effectifs moyens, qui sont très bas depuis la fin du XXe siècle, sous l’égide de l’Organisation mondiale du commerce. Ils s’élèvent à 3 % pour les Etats-Unis, 5 % pour l’Europe, 8 % pour la Chine et 17 % pour l’Inde. Le calcul de la Maison Blanche prétend prendre en compte des « manipulations de devises » ainsi que des barrières non tarifaires. Il peut s’agir de normes sanitaires – les Européens bannissent les importations de poulets lavés au chlore ou de bœuf aux hormones –, de normes culturelles – l’exception culturelle française – ou bien de clauses climatiques, sans oublier la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pratiquée en Europe. L’administration Trump est ainsi parvenue à des chiffres mirobolants : les Etats-Unis seraient frappés à 67 % par la Chine, 46 % par le Japon et 39 % par l’UE. En réalité, ces chiffres proviennent d’une équation sans aucune valeur économique. Il s’agissait d’une division du montant du déficit commercial bilatéral par celui des importations en provenance du pays concerné. Le vertige guette : la guerre commerciale mondiale est lancée sur la base de calculs sans assise scientifique. Une récession est désormais jugée probable dans les douze prochains mois. Le second écueil est l’inflation, un risque économique, mais aussi politique. Les plus pessimistes parlent du retour de la stagflation, mélange d’inflation et de stagnation connue dans les années 1970.

Le point de vue des écologistes réalistes

L’invasion de l’Ukraine faisait déjà redouter la stagflation, une stagnation de l’activité économique (le chômage) s’accompagnant d’une forte inflation. S’y ajoutent maintenant les obsessions de Trump, une personne ignare tant au niveau économique que géopolitique. Bref demain sera rude, d’autant plus rude que l’interconnexion des marchés connaîtra des goulots d’étranglement, des ruptures, et que les prix seront  de plus en plus fixés par des décisions aléatoires. Contre une mondialisation effrénée, un protectionnisme est certes nécessaire, mais pas engagée d’une façon globale et disproportionnée comme le fait Trump. Rappelons qu’un libre-échange basé sur le va-et-vient de produits quasi-similaires est économiquement une absurdité.

notre article le plus ancien

6.11.2005 Soyez apôtre du protectionnisme !

Dans « Système national d’économie politique » paru en 1841, Frédéric List (naît dans le Wurtemberg actuel) pensait que les libéraux se trompaient en croyant qu’il existait des lois générales de l’économie en tout temps et en tout lieu. Pour lui, l’évolution économique de chaque pays dépend de son évolution politique et culturelle. Aussi, on ne pouvait présenter le libre-échange comme modèle incontestable à une Allemagne ravagée par les guerres napoléoniennes et politiquement éclatée. Par contre la protection des industries naissantes permettrait l’émergence d’industries hautement compétitives et ce n’est qu’à condition de rattraper le niveau de la Grande-Bretagne que l’Allemagne pourrait ouvrir les frontières car on échangerait alors à armes égales. Il s’agit là d’un « protectionnisme éducateur » et en conséquence, F.List n’est qu’un libre-échangiste différé : son idéal d’avenir reste l’industrialisation, c’est-à-dire tout ce qui détruit les ressources de la planète.

Pour enrayer ce flot de destructions, la Biosphère souhaite que les humains s’arrêtent de faire du libre-échange généralisé de biens matériels, de services financiers ou de travailleurs migrants, mais attacher au contraire les communautés à leur cadre territorial d’appartenance pour qu’elles en vivent de la façon la plus autonome possible. En agriculture, il s’agit de promouvoir la souveraineté alimentaire.

Pour en savoir encore plus

2 septembre 2014, Démondialisation, pour un retour au protectionnisme

8 septembre 2011, la démondialisation selon Aquilino Morelle

1er juillet 2011, la démondialisation contre Pascal Lamy

30 juin 2011, la démondialisation contre Zaki Laïdi (suite)

29 juin 2011, la démondialisation contre le gauche-droite de Zaki Laïdi

3 mai 2011, Montebourg, de la démondialisation à la décroissance

17 juin 2011, tout est écolo, y compris le protectionnisme

29 décembre 2010, Démondialisation féroce

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Le consentement, à mettre à toutes les sauces

Il y a non consentement possible pour la sexualité et consentement obligé pour la publicité.

Le viol, selon le texte actuel, est défini par « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, ou tout acte bucco-génital commis sur la personne d’autrui ou sur la personne de l’auteur par violence, contrainte, menace ou surprise ». Une proposition de modification a été adopté le 1er avril à l’Assemblée nationale par 161 voix contre 56. On entend redéfinir ces agressions comme « tout acte sexuel non consenti », et précise ce qu’est ou n’est pas le consentement. Le texte exige un « consentement libre et éclairé, spécifique, préalable et révocable. Il ne peut être déduit du seul silence ou de la seule absence de réaction de la victime» aux actes sexuels. La mesure ne fait toutefois pas consensus. Certains opposants craignent qu’inclure le non-consentement à la définition pénale du viol conduise à centrer l’enquête sur l’attitude de la victime.

La notion de consentement est complexe. Prenons le cas de la publicité. Chaque individu reçoit en moyenne entre 400 et 3 000 messages publicitaires quotidiennement. Y a-t-il consentement ? Du point de vue des écologistes, la publicité, qui n’est qu’une forme sournoise de propagande, devrait être interdite. Comment continuer à accepter qu’il soit autorisé de faire le vide dans les cerveaux pour inciter à boire du Coca Cola ou à rouler en SUV ? La première mesure que devrait promouvoir un politique responsable ? Pour l’envoi de toute publicité, recueillir le consentement préalable des individus. L’application d’une telle mesure remettrait la filière inversée à l’endroit ; ce n’est pas au consommateur de subir sans l’avoir demandé les annonceurs dans les rues, dans les journaux et sur les écrans. Sur les boîtes aux lettres, plus besoin de mettre STOP pub, aux addicts de mettre s’ils le souhaitent OUI pub. Les journaux devraient proposer un exemplaire au choix, avec pub ou sans pub, etc. Remettons l’information à sa place, personne ne devrait être obligé de payer une publicité pour les autres.

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Publicité, une agression caractérisée

extraits : Le 8 juin 1970 j’écrivais ce qui me semble toujours d’actualité : « Qu’est-ce que la violence quand les affiches publicitaires agressent l’homme qui pense. La publicité, c’est un conditionnement absurde à acheter l’inutile, l’appel au sexe subi, à l’orgueil, à la puissance et à l’envie. C’est nuisible. » En mars 1971, j’étudie La persuasion clandestine de Vance Packard : « Il est impossible d’établir comme postulat que les gens savent ce qu’ils veulent. Il est même dangereux de croire les gens capables d’une conduite rationnelle… Par homme, femme ou enfant d’Amérique, 53 dollars furent dépensés en 1955 pour le ou la persuader d’acheter… Certaines sociétés de produits de beauté se mirent à dépenser en publicité ¼ de ce que rapportaient leurs ventes… La publicité vient de créer le vieillissement psychologique des choses, grâce entre autre au phénomène de mode. Plus est grande la similitude des produits, moins le rôle joué par la raison dans le choix de la marque est important… »

Le Dictionnaire des apparences

extraits : Autrefois, le viol portait préjudice aux parents ou au mari plutôt qu’à la victime elle-même, ce qui expliquait la recherche d’un arrangement à l’amiable. Au début du XIXe siècle, le viol n’était toujours pas défini légalement en France. Au cours du XXe siècle, le viol cesse d’être considéré comme un dommage familial pour devenir un dommage intérieur, le meurtre psychique d’une personne. Dans un arrêt de 1857, la Cour de cassation avait cependant limité la définition du viol à une agression sexuelle commise par un homme sur une femme. Depuis 1981, le viol est défini plus généralement comme tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise ; la fellation est donc aussi considéré comme un viol. Une lecture restrictive de ce texte peut cependant signifier que des rapports hétérosexuels imposés sous la contrainte par une femme ne peuvent être légalement considéré comme un viol. Notez que la spécificité des femmes par rapport aux hommes, c’est qu’elles peuvent mettre au monde un enfant non désiré suite à un viol...

Le consentement, à mettre à toutes les sauces Lire la suite »

BIOSPHERE-INFO, mars 2025

Ce blog, c’est un article chaque jour… depuis 2005.

Voici notre récapitulatif de mars 2025,

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Question structurelle

Interdisciplinarité face à l’urgence écologique

Recherche de l’intelligence collective

« MSC World of America » et mégalomanie

On est foutu, et on l’a bien cherché

Le militantisme écolo

news Résistance à l’Agression Publicitaire

Violence, non-violence et Premières secousses

H5N1. Crystal Heath, une lanceuse d’alerte

Il y a les ONG écolo et le lobbying pernicieux

Bientôt le survivalisme climatique obligé

Dégradations écologiques

Impossible croissance pour sauver l’emploi

Angola, l’absence de pétrole entraînera la chute

Pleurnicher pour l’aide n’est pas une stratégie

La loi de Gabor critiqué par Gabor lui-même

L’irresponsabilité écologique des citoyens suisses

Wauquiez veut supprimer l’OFB !!!

La taxe carbone au Canada, pschitt

Questions démographiques

Dénatalité : Moins nombreux, plus heureux

Vers une démographie de l’extrême…

Dépasser les limites amène à l’effondrement

Que faire contre les obèses, attendre leur décès

Texas, la protection de la vie en vente libre

Yannick Neuder ne veut pas de l’aide à mourir

Pacifisme

En Russie, nous devrions tous être des Skobov

La fin du pacifisme pour Les Écologistes ?

Pour un débat sur le nucléaire militaire

Un modèle de « défense totale » en Suède

L’Italie, un pacifisme né de son histoire

Faut-il faire peur, désobéir, donner envie ? 

Questions sociétales

Tout savoir sur l'(in)existence de Dieu

Les écrans menacent la santé mentale

L’antisionisme n’a jamais été un antisémitisme

Hors compétition : le Trumpisme

rencontre Zelenski/Trump, verbatim hallucinant

Trump sabote les conférences sur le climat

Trump et la grippe aviaire, fiasco en vue

Trump contre la réalité écologique

Donald Trump et la guerre des ressources

L’écologie à l’épreuve de l’ignorance trumpiste

La trouvaille canadienne de Néron/Trump

Novlangue, le fascisme nous façonne par le langage

à lire, Jean-Michel FAVROT, l’AnthropoEXcentrisme

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Biosphere-Info février 2025

Ce blog, c’est un article chaque jour… depuis 2005.

Voici notre récapitulatif de février 2025,

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question structurelle

La sagesse des DÉ contre le règne des SUR

Pour faire progresser l’intelligence collective

Comment devenir un citoyen éclairé

Michel Sourrouille, sa bibliothèque

Michel Sourrouille, son Dictionnaire des apparences

Michel Sourrouille, son approche des spiritualités

L’Intelligence Artificielle à l’école, une erreur majeure

La liberté comme choix en situation contrainte

L’intelligence collective, qui la cherche la trouve

le militantisme écolo

Faut-il encore emmener les enfants au ski ?

RAP, Résistance à l’Agression Publicitaire

COP16 biodiversité, scientifiques en rébellion

Autoroute A69, le chantier est arrêté, enfin !

Dégradations écologiques

Nous tuons nos sols, nous tuons la vie

PFAS, le dernier épisode de notre empoisonnement

Le courlis à bec grêle et le solutionnisme techno

3600 tigres en Inde, 1000 loups en France

Jeux olympiques d’hiver 2030, un anachronisme

La ville, processus d’artificialisation de la vie

L’Afrique est mal partie… depuis longtemps

Question énergétique

Le soleil sur la terre pendant 1 337 secondes

questions démographiques

L’immigration… si possibilité d’intégration

Arrivée de l’eugénisme génétique, inquiétant ?

La souveraineté alimentaire, une notion dévoyée

Pacifisme

« Si vis pacem… para bellum », l’engrenage

Savoir résister à la force armée, cela s’apprend

En Israël, des mères en guerre contre la guerre

Identité nationale et racisme, le faux débat

Droit du sol, donc devenir Terrien, enfin !

La guerre en Ukraine, bientôt 3 ans pour rien

« Si tu veux la paix, prépare la paix », comment ?

questions sociétales

Julien Bayou, victime d’un féminisme victimaire

Le dernier souffle, ce n’est pas un film

Modération de la liberté d’expression sur ce blog

Richard Malka : la liberté comme religion

La mort à coups de batte de base-ball

Hors compétition : le Trumpisme

Donald Trump, très occupé en février 2025

Savoir résister au négationniste Donald Trump

Elon Musk et Donald Trump font la paire

TRUMP, bientôt complètement disqualifié

Trump se lance dans la guerre idéologique

CPI. Trump continue de faire des dégâts

Donald Trump, fou rire garanti tous les jours

Donald Trump n’aime pas le genre transgenre

Charité bien ordonnée commence par soi même… (selon Trump)

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Donald Trump, très occupé en février 2025

Mais où Donald va-t-il chercher tout ça !

3 février. La fin annoncée de l’Usaid, l’Agence pour le développement international, liquidée par Elon Musk et l’administration Trump

Le premier pourvoyeur d’aide humanitaire dans le monde va « fermer », a déclaré le multimilliardaire Elon Musk. La Maison Blanche a rappelé que ce dernier ne prenait pas de décision sans son accord.

4 février. Donald Trump signe un décret pour retirer les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme de l’ONU

Le texte, qui vise à interdire toute future implication de Washington dans l’organisme, prolonge aussi la suspension de tout financement américain à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens.

4 février. Donald Trump provoque la sidération en envisageant un contrôle américain de la bande de Gaza

A l’issue d’une rencontre avec le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le président américain a répété qu’il souhaitait vider le territoire palestinien de ses habitants, avant d’évoquer une « situation de propriété sur le long terme » des Etats-Unis.

5 février. Donald Trump lâche la bride sur la corruption, au nom de la « compétitivité économique » du pays

Le président américain a ordonné par décret le 5 février, la suspension des poursuites dans le cadre de la loi « anticorruption ». Les autorités américaines avaient déposé, en 2024, une trentaine d’actions en justice contre des entreprises ayant payé des intermédiaires pour remporter des marchés.

5 février. L’administration Trump supprime une unité du FBI chargée de lutter contre l’ingérence électorale étrangère

Cette unité de la police fédérale avait été créée en 2017 dans le but « d’identifier et de contrer les opérations néfastes d’influence étrangères ciblant les Etats-Unis ».

5 février. Donald Trump signe un décret excluant les athlètes transgenres des catégories sportives féminines

Dernière attaque en date contre une communauté que le président des Etats-Unis cible régulièrement, ce texte prévoit de couper les subventions de l’Etat fédéral aux écoles qui permettraient à des élèves transgenres d’être membres d’équipes sportives féminines.

6 février. Sanctions prises contre la CPI : le cadeau de Donald Trump à Benyamin Nétanyahou

Le président américain a pris, le 6 février, un décret sanctionnant la Cour pénale internationale, imposant « des conséquences tangibles et importantes » aux personnes responsables des « transgressions » de la CPI.

7 février. En Afrique du Sud, le malaise des nationalistes afrikaners invités à l’exil le 7 février par Donald Trump

En réaction à une loi sur l’expropriation, le président américain a proposé l’asile aux descendants des premiers colons européens. Une offre dont les leaders de la minorité blanche, qui représente 7 % de la population, se seraient bien passés.

7 février. L’administration Trump a limogé Hampton Dellinger, un juriste à la tête d’une agence chargée de la protection des lanceurs d’alertes employés fédéraux.

Un juge de première instance a ordonné qu’il soit rétabli dans ses fonctions. L’administration a donc sollicité la Cour suprême en référé, arguant que l’ordonnance de protection représente « une attaque sans précédent contre la séparation des pouvoirs ».

9 février. Donald Trump veut mettre fin au penny

Le président des Etats-Unis a demandé au secrétaire au Trésor d’arrêter la production de ces pièces de 1 cent. « C’est du gaspillage ! », a-t-il justifié.

10 février. Trump ordonne le 10 février à l’administration américaine de bannir les pailles en papier au profit des pailles en plastique

Le président américain nie l’impact environnemental du plastique. Il a fustigé les pailles en papier : « Je les ai utilisées plusieurs fois, et parfois elles se cassent, elles explosent. »

10 février. Les Etats-Unis imposent 25 % de droits de douane sur l’acier et l’aluminium

Donald Trump a signé le 10 février un décret en ce sens, assurant qu’il n’y aurait ni « exception » ni « exemption »… avant de confirmer que l’Australie ne serait pas concernée.

10 février. Donald Trump déclare que les Palestiniens n’auraient pas de droit au retour dans le cadre de son plan pour Gaza.

Dans une interview sur Fox News, le président américain a dit vouloir construire pour les Gazaouis un « endroit permanent » au motif que la bande de Gaza n’est actuellement « pas habitable ».

11 février. Donald Trump fait pression sur le Hamas, l’Égypte et la Jordanie

Le Hamas menace de reporter la libération des captifs israéliens prévue samedi, accusant Israël de violer l’accord de cessez-le-feu. Le président américain promet l’« enfer » si tous les otages ne sont pas libérés samedi 15 février à midi, ce que ne prévoit pas l’accord.

11 février. Elon Musk défend sa méthode pour sabrer dans l’État fédéral, son fils sur les épaules et sous les yeux de Donald Trump dans le bureau Ovale

L’enfant parle quand Donald Trump s’exprime à l’occasion de la signature d’un décret présidentiel qui renforce le rôle de son département œuvrant aux coupes budgétaires, le fameux Department of Government Efficiency (DOGE).

11 février. Un journaliste refoulé de la Maison Blanche car son employeur n’utilise pas le terme « golfe d’Amérique »

Un reporter d’Associated Press (AP) s’est vu refuser l’accès, mardi, au bureau Ovale car l’agence de presse américaine ne s’est pas conformée à la décision de Donald Trump de débaptiser le golfe du Mexique. AP dénonce une décision qui bafoue la liberté d’expression et de la presse.

12 février. Donald Trump lance, avec Vladimir Poutine, des négociations de paix en Ukraine et brise l’unité des alliés

Sans concertation avec les dirigeants européens, le président américain s’est longuement entretenu le 12 février avec le chef du Kremlin.

14 février. L’agence Associated Press bannie du bureau Ovale et d’« Air Force One »

L’agence Associated Press (AP) dénonce une « atteinte à la liberté d’expression » : après trois jours de refus d’accès au bureau Ovale, la plus grande agence de presse américaine s’est vu bannie, pour une durée illimitée, vendredi 14 février, du bureau Ovale et d’Air Force One, l’avion officiel de Donald Trump, en raison de son refus d’appeler le golfe du Mexique « golfe d’Amérique ».

16 février 2025. Guerre en Ukraine : les Etats-Unis n’entendent pas inviter l’Europe à la table des négociations

Le général Keith Kellogg, envoyé spécial du président Donald Trump sur l’Ukraine, a expliqué très clairement lors de la Conférence de Munich que son pays n’avait pas l’intention d’inviter l’Europe à siéger à la table d’éventuelles négociations sur la fin de la guerre en Ukraine.

18 février 2025. Trump annonce le limogeage de tous les procureurs de « l’ère Biden »

« Au cours des quatre dernières années, le ministère de la Justice a été politisé comme jamais », a déclaré sur sa plateforme Truth Social le président républicain, invoquant la nécessité de « faire le ménage immédiatement et de rétablir la confiance dans l’institution judiciaire. »

19 février 2025. Dans un message sur Truth Social, Donald Trump étrille Volodymyr Zelensky

« Zelensky, la seule chose à laquelle il était bon, c’était de manipuler Biden. Dictateur sans élection, Zelensky ferait bien de réagir rapidement. En attendant, nous négocions avec succès la fin de la guerre avec la Russie, quelque chose que seul “TRUMP” et l’administration Trump peuvent faire. J’aime l’Ukraine, mais Zelensky a fait un boulot épouvantable, son pays est dévasté, et des MILLIONS de personnes sont mortes inutilement – Et ça continue… »

21 février, Donald Trump remplace le chef d’état-major, militaire le plus haut gradé des forces armées américaines

Ça n’est pas, en théorie, l’un des postes les plus instables en cas de changement de présidence. le chef du Pentagone, Pete Hegseth militait déjà pour un départ du général Brown, considérant qu’il fallait que tout haut responsable militaire « associé à quelque politique woke de merde, prodiversité, égalité et inclusion que ce soit » s’en aille. Le ministre de la défense de Donald Trump, Pete Hegseth, a annoncé à son tour écarter plusieurs autres hauts responsables des forces armées.

22 février 2024. Poussé par le président américain Donald Trump à être « plus agressif », Elon Musk donne quarante-huit heures aux fonctionnaires américains pour justifier de leur activité et menace d’interrompre leur contrat en l’absence de réponse

L’objet de l’e-mail envoyé est le suivant : « Qu’avez-vous fait la semaine dernière ? » … « L’absence de réponse sera considérée comme une démission »

24 février. « J’ai pensé aujourd’hui que la compagnie [canadienne TC Energy] derrière le projet d’oléoduc Keystone XL, vicieusement abandonné par l’administration incompétente de M. Biden, devrait revenir en Amérique et le faire construire – maintenant ! »

Trump remet en question le plan de lutte contre le changement climatique.

24 février 2025. Le Conseil de sécurité de l’ONU adopte une résolution américaine refusant de soutenir l’Ukraine.

Trois ans après l’invasion russe, les Etats-Unis de Donald Trump se sont alliés à la Russie, poussant l’idée d’une paix rapide sans condamnation de Moscou, ni défense des frontières de l’Ukraine.

25 février 2025. La porte-parole de la présidence américaine, Karoline Leavitt, a annoncé un changement des règles d’accès de la presse à la Maison Blanche.

Elle a précisé que le « pool » serait ouvert à de nouveaux médias choisis par l’exécutif américain. C’est une rupture avec un système établi depuis des années et géré par les médias eux-mêmes au travers de l’Association des correspondants à la Maison Blanche.

25 février. « carte dorée Trump » à 5 millions de dollar pour obtenir un titre de résidence permanente

« Je connais certains oligarques russes qui sont des gens très bien », a déclaré Donald Trump. « Il est possible » qu’ils soient éligibles, a-t-il ajouté. Il a avancé que les Etats-Unis pourraient bénéficier de « la vente peut-être d’un million de ces cartes, peut-être plus que cela ».

26 février. Les États-Unis vont expulser les personnes transgenres de l’armée sauf dérogations spéciales, selon une note de service du Pentagone

Donald Trump, avait déjà signé, à la fin de janvier, un décret interdisant le recrutement de personnes trans dans l’armée, une décision contestée en justice.

26 février. Trump annonce que les produits européens feront l’objet « prochainement » de 25 % de droits de douane.

Ses griefs : l’Union européenne « n’acceptait pas les voitures ou les produits agricoles américains »… Il ajoute : « L’UE a été conçue pour emmerder les Etats-Unis. C’était l’objectif et ils y sont parvenus. Mais désormais je suis le président »

28 février 2025. Trump face à Zelinski : « Concluez un accord avec la Russie ou nous vous laissons tomber »,

La tension est montée quand le président Zelensky a réclamé des garanties de sécurité et déclaré : « Nous n’accepterons jamais un simple cessez-le-feu. »

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La mort à coups de batte de base-ball

Il avait battu à mort à coups de batte de base-ball les parents de son ex-petite amie. La date d’exécution de Brad Sigmon, 67 ans, condamné à la peine capitale en 2002, a été fixé du 7 février au 7 mars 2025. Les lois de l’Etat de Caroline du Sud font de la chaise électrique le mode d’exécution par défaut, mais accordent au condamné l’alternative de la mort par injection létale ou le peloton d’exécution. Pour la première fois depuis 2010 aux Etats-Unis, Brad Sigmon a choisi le peloton d’exécution. Les trois précédents condamnés exécutés en Caroline du Sud depuis septembre ont tous choisi l’injection létale.

Faut-il ou non accepter la peine de mort pour un criminel ? Ce débat polarise les points de vue entre les pour et les contre. A vous d’affiner vos propres arguments pour essayer d’améliorer l’intelligence collective.

Des points de vue antagonistes

Lenco : Quelle horreur. Quand on pense que la peine de mort ne dissuade pas, qu’aucun pays qui la pratique n’a de criminalité basse et que même les pays démocratiques qui la pratiquent exécutent régulièrement des innocents… je ne vois vraiment pas comment on peut en être partisan.

Apocalypse de Espylacopa : Il est important de reconnaître que se faire lyncher à coup de batte de baseball n’est pas une « torture », mais au contraire une mort douce et très agréable, fondamentalement humaine.

The Grabbing Hands : Je serais curieux de savoir ce que Trump choisira !

Edgard Wibeau : Le pouvoir iranien observe tout cela d’un œil expert …

Henry de Cerfroid : Quel pays barbare! Franchement cela ne donne pas envie d’aller aux USA.

Ja : La peine de mort est en soi une ignominie. C’est un simple marqueur de régime : soit on est du côté de la barbarie et de la terreur, soit de l’humanisme.

Rue des Italiens : Beaucoup de contributeurs qualifient de barbarie la peine de mort et parlent de mépris pour la vie et les valeurs humaines. Brad Sigmon a fait preuve de barbarie et d’aucun respect pour la vie et les valeurs humaines, en massacrant à coup de battes de batte de base-ball les parents de son ex-petite amie. Je suis pour la peine de mort pour les actes de ce type. Au final, il souffrira moins que ce qu’ont enduré ses 2 victimes avant de mourir. On peut peut-être avoir une pensée pour eux, non ? .… Mais bon, chacun est libre de penser ce qu’il veut.

MR : Il aurait pu demander, à titre dérogatoire, la batte de baseball pour clore son existence en respectant le principe œil ou œil, dent pour dent.

Attilio Carbonara : Est-ce qu’une peine de prison à vie ne serait pas une punition plus dure qu’une exécution pure et simple ? Moi je pense qu’enfermer un type 24/24H est une sacrée punition, sûrement pire que la mort (qui arrive de toute façon tôt ou tard).

Neznose : On peut regretter un délai si long (23 ans) dans l’exécution de la peine.

Tosho : Les recours prennent énormément de temps, il y en a beaucoup de possibles. Certains condamnés ont renoncé à tous les appels pour que l’exécution ait lieu rapidement. D’autres en revanche se battent jusqu’au bout, c’est leur droit. Ce n’est pas l’Etat qui impose ces délais.

JMJ : « Entretenir une population en prison, c’est utiliser de la nourriture, des ressources et de l’énergie pour le bénéfice d’improductifs mis au ban de la société. Jusqu’à une époque somme toutes assez récente, on ne s’encombrait pas de ces bouches à nourrir : le sort commun de l’assassin était la mort dans des délais assez rapides. Il est évident que, en univers énergétiquement contraint, ces mauvais souvenirs risquent de redevenir d’actualité. » [Changer le monde, tout un programme ! de Jean-Marc Jancovici]

Filou2 : J’aimerais pas être a la place de ceux qui vont tirer….

guéguerre : En Ukraine on tire tous les jours sur des êtres en bonne santé qui n’ont jamais massacré quiconque !

Michel SOURROUILLE : Je suis condamné à mort. Comme chacun d’entre nous. Nous sommes tous voués à disparaître, tôt ou tard, sans exception. Après la vie, la mort. C’est inéluctable. Sauf que je ne sais pas dans quelles conditions je vais mourir, grabataire ou saisi à tout moment par une crise cardiaque fatale. Cela peut même arriver dans d’atroces et trop longues souffrances. C’est pourquoi je ne comprends pas l’attention extrême que portent les abolitionnistes à une peine de mort subie par une personne qui a précédemment pris la vie d’un autre. L’auteur d‘un crime a voté par son acte pour la peine de mort, pourquoi en serait-il exempt ?

Untel : L’azote est un très bon candidat pour réaliser des euthanasies sous anesthésie quand elles seront autorisées par la loi. On voit sur des vidéos des personnes exposées accidentellement à l’azote décéder en quelques secondes sans se rendre compte de rien.

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Robert Badinter, condamné à la peine de mort

extraits : Un petit matin de novembre 1972, Bontems est conduit à la guillotine. Robert Badinter est là, dans la cour glaciale de la Santé. Il n’oubliera jamais « le claquement sec de la lame sur le butoir ». Cet échec en a fait l’homme d’une croisade, celle de l’abolition de la peine capitale. Il a défendu et sauvé la tête de six condamnés. « Ce seront mes témoins lorsque je comparaîtrai devant le Seigneur. » Son souvenir le plus éclatant remonte à l’année 1977, au lendemain du verdict de Troyes, où il avait sauvé la tête de Patrick Henry, coupable d’avoir enlevé et tué un petit garçon de 7 ans. Robert Badinter restera d’abord comme l’homme qui a aboli la peine de mort en France en 1981….

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Elon Musk et Donald Trump font la paire

Le conseiller de Donald Trump Elon Musk, sur pression de Trump, avait exigé le 22 février que les travailleurs fédéraux décrivent cinq tâches effectuées récemment dans un courriel, faute de quoi ils seraient considérés comme démissionnaires. Le Pentagone et d’autres agences du gouvernement américain, dont le FBI, ont demandé à leurs équipes de ne pas répondre à ce courriel :

« Le ministère de la défense est responsable de l’évaluation des performances de son personnel et il conduira tout examen en accord avec ses propres procédures »…

« Le FBI, par l’intermédiaire du bureau du directeur, est chargé de toutes les procédures d’évaluation ».

Les commentaires sur lemonde.fr

CH TokTik : Qu’avez vos faut la semaine dernière ? 5 points.
– j’ai fait le zouave avec mon gamin de 5 ans dans le Bureau Ovale
– j’ai fait un salut nazi, ou je sais pas, c’est pas très clair, je me contrôle mal, enfin si peut être
– j’ai fait des concours de bucheronnage sportif avec des tronçonneuses
– j’ai licencié les personnes en charge de la maintenance de l’arsenal du nucléaire
– j’ai rappelé illico les personnes en charge de la maintenance de l’arsenal du nucléaire

Shiva : Qui devrait traiter les milliers de réponses arrivées en 2 semaines ? Une IA ou Musk lui-même ? Cet homme fait joujou avec les autres.

D B Saada : le problème, c’est qu’il faudrait des fonctionnaires pour traiter les réponses

Jigi : Aucun analyste de données au monde ne peut évaluer la pertinence d’un poste sur 5 tâches récentes. L’évaluation d’un emploi c’est les réalisations de l’année, mais aussi les responsabilités du poste et les compétences acquises. Imaginons un technicien dans le nucléaire qui déclarerait « j’ai surveillé le fonctionnement du système, il n’y a eu aucun incident. »

Clipperton : Je pense qu’Elon Musk serait bien en peine de décrire 5 choses vainement utiles qu’il aurait fait dans sa vie entière.

Jif : Trump pas réputé grand travailleur, adepte des mensonges, bêtises, inepties peut-il prouver cinq actions, déclarations qui ne relèvent pas de ces domaines ?

Souillon : En une semaine j’ai : – sauvé mon ami Poutine ; – Insulté la moitié de la planète ; – Piétiner mon électorat qui continue de me chérir ; – rançonner l’Ukraine ; – Jouer au golf. Donald Trump

Jean-Pierre Peyrard : La démarche d’E. Musk est de type fascisant en ce sens qu’elle impose des critères purement subjectifs (pourquoi 5 tâches et pas 6 ?) – cf. les paramètres « raciaux » des nazis. C’est un premier pas de l’arbitraire dont l’histoire nous rappelle qu’il n’a pas de limite autre, dans la destruction, que la mort de ceux-là mêmes qui ont applaudi le discours et élu l’orateur.

Grg : Parfait ! Des voix en plus contre Trump pour les prochaines élections. Trump et Musk vont se rendre compte qu’on ne gère pas un État fédéral comme on gère une boite comme Twitter. Les réseaux sociaux ont une sorte « d’inertie », il faut peu de monde pour la maintenance. Par contre, un État a besoin d’énormément de maintenance. On comprend bien que si on réduit drastiquement les fonctionnaires dans l’administration, la santé, l’éducation, la sécurité, ça va mal se passer. On ne vire pas la moitié du personnel d’un hôpital pour quelques mauvais salariés…

DTGE : Même des sénateurs républicains commencent à comprendre que les idioties de Musk pourraient leur coûter plus cher dans les urnes que les derrière dingueries de Trump… Sans programme structuré de développement du pays, le trumpisme n’est pour l’instant qu’une ribambelle de décrets plus ou moins légaux qui flattent une extrême droite qui déteste un état providence qui limite les effets des extrémismes…

Citizen L : Pourrait-ce être le premier mouvement de résistance ? La Défense et le FBI sont des entités ayant un pouvoir significatif : leur refus est de bon augure pour la démocratie. Bizarrement, à court terme un coup d’état militaire paraîtrait salvateur aux USA !

Apocalypse de Espylacopa : Vous verrez que les rigolo Trump-Musk tomberont de haut et cette parenthèse servira in fine à reconstruire une gauche libérale plus puissante et plus adaptée. Elle qui s’est dilué dans la fantaisie woke et anticolonialiste.

Lacannerie : De toute évidence, ces deux hommes délirants sont dangereux pour les autres. Une hospitalisation d’office semble tout à fait nécessaire.

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Modération de la liberté d’expression sur ce blog

A l’origine, notre conception de la liberté d’expression sur ce blog biosphere était très large. Au delà des interdits classiques, pas de diffamation, pas d’injure, pas de propos discriminatoire…, tout pouvait être dit. Les événements internationaux nous font réfléchir, tout ne peut pas être dit quand cela nuit à l’intelligence collective. On constate malheureusement que les mensonges ont bien plus de succès que la vérité sur les réseaux sociaux. Et promettre l’égalité de tous les points de vue au nom d’une prétendue neutralité médiatique revient à favoriser les discours les plus violents, les plus clivants, les plus radicaux – et donc à donner libre cours à des fléaux tels que la xénophobie ou le racisme.

L’éloge de la liberté auquel l’extrême droite se livre n’est qu’un leurre qui n’a pour but que d’exploiter les fragilités du système démocratique et de sa libre confrontation des opinions. Les partis et les médias d’extrême droite ont d’ailleurs pour habitude de hurler à la censure lorsqu’ils sont dans l’opposition, avant de l’imposer partout dès qu’ils sont parvenus au pouvoir. Rien donc de paradoxal ni d’illogique à ce qu’Elon Musk ait avec X aussitôt foulé aux pieds l’idéal libertarien dont il se réclamait jusque-là. Elon Musk ne « s’informe » sur l’actualité européenne que par une poignée de comptes X, presque tous proches de l’extrême droite ; s’ils ne constituent pas sa seule source d’information, ils sont très régulièrement la source de son penchant à la désinformation.

Le propriétaire de X, Elon Musk, accuse les lois européennes de « censurer » sa liberté d’expression. Mais c’est pour multiplier les messages orientés visant à influencer les décisions politiques au Royaume-Uni ou dans l’Union européenne (UE), notamment en Allemagne. Il a par exemple privilégié Alice Weidel, la responsable du parti d’extrême droite allemand AfD. Et ses propres messages sont favorisés algorithmiquement… par X. Le fondateur de Meta (Facebook, Instagram), Mark Zuckerberg, décide le 7 janvier 2025 l’arrêt des partenariats de « fact checking » avec des médias. Comme sur X, la « vérification » d’une information n’est plus assurée que par des internautes [les community notes], ce qui n’est pas fiable. Les moyens d’information de masse sont biaisés.

On ne peut appeler censure le fait de faire vérifier des allégations mensongères. La liberté d’expression n’est pas la liberté de mentir, ni de diffuser des informations aussi fausses que toxiques pour la bonne santé mentale des gens. La désinformation, c’est le triomphe des sophistes, qui inventent des réalités alternatives à des fins stratégiques. C’est la liberté des riches de raconter n’importe quoi pour forger la cage de fer de l’ignorance des masses. La liberté d’expression n’est pas la liberté de manipulation.

Un dialogue réussi nécessite une attitude constructive des interlocuteurs, qui s’engagent à dire leur propre vérité mais avec l’état d’esprit d’essayer de comprendre la vérité posée par autrui. Le Monde sur lequel nous appuyons beaucoup de nos articles permet la présence d’opinions très divergentes. Pas étonnant qu’Elon Musk soit en désaccord total avec Wikipédia, il n’aime pas se confronter au débat d’idées argumenté.

A la lumière de ce qui précède nous essaierons, dans la mesure de nos moyens limités, de tendre à plus de vérité fiable et de convivialité de la part de nos commentateurs… Merci de votre attention.

En savoir plus

Règles de modération des commentaires

extraits : Pour que les commentaires sur ce blog biosphere approfondissent le sens de l’article d’origine, nous éliminerons tout texte sans rapport avec le sujet proposé. La discussion doit être respectueuse, sans attaque personnelle. Vos contributions sont publiées automatiquement, mais notre équipe de modération effectue un contrôle a posteriori. Toute contribution que nous estimons contraire à la bonne tenue du débat sera dé-publiée…

Pour avoir un point de comparaison, Charte des commentaires selon lemonde.fr

Les commentateurs et la modération sur lemonde.fr

extraits : Pour éclairer les commentateurs de ce blog biosphere, voici la chronique du médiateur (Franck Nouchi) qui précisait la manière dont sont gérés les messages des internautes postés sur les différents supports du journal « Le Monde »…..

Modération de la liberté d’expression sur ce blog Lire la suite »

TRUMP, bientôt complètement disqualifié

Nous sortons par ce post de notre objectif principal, défendre la cause écologique, car nous pensons que le comportement de Donald TRUMP est une menace effroyable contre la démocratie et l’entente internationale. Le monde doit choisir entre « être avec Poutine ou être avec la paix ». Nous ne sommes pas les seuls à le penser…

– L’ancien vice-président Mike Pence conteste les propos de Donald Trump concernant l’Ukraine : « L’Ukraine n’a pas “déclenché” cette guerre. La Russie a lancé une invasion brutale et injustifiée qui a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes. La voie vers la paix doit être fondée sur la vérité. »

– Le chef de file des démocrates au Sénat de New York, Chuck Schumer, s’est dit consterné par les propos de Donald Trump accusant l’Ukraine d’être responsable de l’invasion russe : « C’est dégoûtant de voir un président américain se retourner contre l’un de nos amis et se ranger ouvertement du côté d’un voyou comme Vladimir Poutine. »

Certains élus républicains au Congrès ont réfuté les caractérisations de Donald Trump à l’égard de Volodymyr Zelensky et du rôle de l’Ukraine dans l’origine du conflit. « Poutine a commencé cette guerre. Poutine a commis des crimes de guerre. Poutine est le dictateur qui a assassiné ses opposants. Les Etats de l’UE ont contribué davantage à l’Ukraine. Zelensky est à plus de 50 % dans les sondages », a listé l’élu républicain Don Bacon sur X. « Je n’accepte pas cette double pensée à la George Orwell »

– Il est « tout simplement faux et dangereux de nier au président Zelensky sa légitimité démocratique », a réagi mercredi le chancelier allemand, Olaf Scholz, aux propos du président américain, Donald Trump, qui accuse son homologue ukrainien d’être un « dictateur sans élection ».« Il est tout simplement erroné et dangereux de nier la légitimité démocratique du président Zelensky. Le fait que, en pleine guerre, des élections régulières ne puissent pas être organisées correspond aux dispositions de la Constitution ukrainienne et des lois électorales. Personne ne devrait prétendre le contraire ». Le chancelier a rappelé que c’est la Russie de Vladimir Poutine qui a déclenché la guerre en Ukraine : « L’Ukraine se défend depuis près de trois ans contre une guerre d’agression russe impitoyable. Jour après jour. »

Le sénateur démocrate de l’Illinois Dick Durbin a déclaré que les propos de Trump étaient une insulte pour les milliers d’Ukrainiens morts pendant la guerre et a accusé le président de répéter la propagande russe. « J’appellerais le président Trump à présenter des excuses au peuple ukrainien, mais ce serait une perte de temps », a-t-il déclaré, ajoutant que « Donald Trump est une marionnette pour Poutine ». 

Les propos de Donald Trump, qualifiant son homologue ukrainien de dictateur sont « complètement absurdes », a réagi mercredi Annalena Baerbock, la ministre des affaires étrangères allemande, sur la chaîne publique ZDF. « Si l’on ne fait pas que tweeter rapidement, mais que l’on voit le monde réel, alors on sait qui, en Europe, doit malheureusement vivre sous des conditions dictatoriales : les habitants de Russie, les habitants de Biélorussie »

Le vice-chancelier allemand Robert Habeck (Verts) a qualifié de « choquante » la déclaration de M. Trump selon laquelle Volodymyr Zelensky est un dictateur. « Il s’agit d’une distorsion de la réalité sans précédent et extrêmement dangereuse. « Ce qui est vrai, c’est que le dictateur Poutine a envahi la démocratie ukrainienne »

– Le candidat CDU/CSU à la chancellerie, Friedrich Merz, a commenté les propos de Donald Trump sur l’Ukraine. « Il s’agit d’un renversement classique des rôles de bourreau et de victime. Cela correspond au discours russe du président Vladimir Poutine. Et pour être honnête, je suis quelque peu choqué que Donald Trump ait maintenant clairement fait sien ce discours »,

– Le sénateur américain Roger Wicker, président de la commission sénatoriale des forces armées, a commenté les discussions avec le président russe, affirmant que les Ukrainiens et les Européens devraient être associés aux négociations. Pour lui, « on ne peut pas faire confiance à Poutine. Poutine est un criminel de guerre et devrait être en prison pour le reste de sa vie, s’il n’est pas exécuté. »

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Dictionnaires des apparences

Devenir un citoyen éclairé résulte d’un apprentissage préalable. Ce blog biosphere a été précédé par une accumulation de connaissances de son créateur, Michel Sourrouille. En voici une compilation que nous conservions en archives. Elle a été faite au tout début des années 2000. C’est un lexique d’un peu plus d’un million de caractères, soit un livre de 600 pages environ s’il était publié.

En libre service ci-dessous.

lien, Dictionnaire des apparences

INDEX

A. absolu ; accouchement ; acculturation ; actions (capitalisme) ; adoption ; adulte ; agriculture ; agriculture biologique ; aide internationale ; alcool ; aliénation ; alimentation ; allaitement ; anthropique ; anticipation, armée ; art ; association ; athéisme ; athlète ; auteur ; autisme ; automobile ; autonomiste ; avenir ; avortement ;

B. bénévolat ; besoins, électricité ; biens libres ; biodiversité ; bourse ; budget de l’État ;

C. calendrier ; cerveau ; chômage ; christianisme ; circuit économique ; citoyen ; classe sociale ; collège ; commerce ; commerce équitable ; communautarisme ; concertation ; concurrence ; consensus, consommateur ; Constitution ; contraception ; contrôle des parents ; crise ; croissance ; culture ; cyborg ;

D. décentralisation ; déchets ; délinquance ; demande ; démocratie ; démocratie directe ; démographie ; déplacement ; détour de production ; développement durable ; développement humain ; déversement ; déviance ; division du travail ; division sociale du travail ; divorce ; dopage ; droit ; droit du travail ; droit international ; droit à ; droit de ;

E. eau ; échange ; échange international ; école ; écologie ; économie ; écosynthèse ; écriture ; effet de serre ; égalité ; élection ; électricité ; embryon ; emploi ; énergie ; énergie renouvelable ; entrepreneur ; entreprise ; esclavage ; espace ; espérance de vie ; espéranto ; État-nation ; État-providence ; étayage ; ethnocide ; eugénisme ; euro ; Europe ; euthanasie ; évolutionnisme ; exploitation ; externalités ;

F. famille ; famine ; fécondé ; féminisme ; femme ; filiation ;

G. génériques ; genèse ; génétique ; guerre ;

H. héritage ; hiérarchie ; histoire ; homoparentalité ; homosexualité ; hygiène ;

I. identité ; impôt ; individu ; individualisme ; inégalité ; inégalité de salaire ; inégalités de statut ; ingérence ; insécurité ; instinct maternel ; intellectuel ; internet ; invention énergétique ; irresponsabilité ; islamisme ;

J. jardin ; jeux olympiques ; journal ; jumeaux ; justice ;

L. laïcité ; langage ; langue ; libéralisme ; liberté d’expression ; littéraire ; loi ; loisirs ; lutte de classes ; lycée ;

M. machine ; majorité civile ; majorité civique ; majorité sexuelle ; marché ; massification ; médecin ; médicaments ; mémoire ; mère ; migration ; militantisme ; minimum social ; minimum vital ; mixité ; mobilité géographique ; mondialisation ; monnaie ; mort ; musée ;

N. naissance ; nation ; nature ; nom ; nucléaire ;

O. OMC (organisation mondiale du commerce) ; ONU (organisation des Nations unies) ; opinion publique ;

P. parents;  parité parentale ; parité politique ; parti ; pêche ; peine de mort ; père ; pétrole ; PIB (produit intérieur brut) ; pilule ; planification ; plurilinguisme ; police ; pornographie ; prématuré ; presse ; prison ; privatisation ; procréation médicalement assistée ; procréation socialement assistée ; productivité ; progrès ; propriété ; prostitution ; protectionnisme ; publicité ;

R. racisme ; rationalité ; recyclage ; religion ; rendements ; renoncement ; repas ; retraite ; rêve ; révolution ; roman ;

S. salaire ; santé ; savoir ; schizophrénie ; secte ; sélection ; semences ; sentiment amoureux ; sépulture ; services ; sexualité ; socialisation ; sociologie ; soins palliatifs ; solidarité ; sous-développement ; spatial ; sport ; statistique ; statut ; suffrage universel ; suicide ; syndicat ;

T. tabac ; taux d’intérêt ; technologie ; techno-science ; technostructure ; téléphone ; télévision ; temps de travail ; temps ; tourisme ; transgenèse ; transparence ;

U. universalisme ; urbanisation ; utilité ; utopie ;

V. valeur ; valeur ajoutée ; valeur travail ; valeurs ; vêtement ; vieillissement ; village ; viol ; vitesse.

https://biosphere.ouvaton.org/blog/michel-sourrouille-son-dictionnaire-des-apparences/

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Michel Sourrouille, sa bibliothèque

Devenir un citoyen éclairé résulte d’un apprentissage préalable. Le blog biosphere a été précédé par une accumulation de connaissances de son créateur, Michel Sourrouille. Il a lu beaucoup de livres, il en a extrait la substantifique moelle pour les offrir aux internautes sur son site de documentation des écologistes.

La liste suivante de 304 ouvrages que nous jugeons essentiels s’arrête en 2017. Par la suite les livres étudiés ont été publiés au fur et à mesure sur le blog biosphere.

https://biosphere.ouvaton.org/bibliotheque

Cliquez sur ce qui vous intéresse…

  1. 1516 L’utopie de Thomas More
  2. 1576 La servitude volontaire d’Etienne de La BOETIE
  3. 1798 Essai sur le principe de population de Robert Malthus
  4. 1849 La désobéissance civile de Henry David Thoreau
  5. 1854 « Je vivais seul dans les bois » (1er chapitre de Walden) de Henry David Thoreau
  6. 1880 Le droit à la paresse de Paul LAFARGUE
  7. 1899 Théorie de la classe de loisirs de Thorstein Veblen
  8. 1935-1937 Nous sommes des révolutionnaires malgré nous (de Bernard Charbonneau et Jacques Ellul)
  9. 1940 Testament agricole (pour une agriculture naturelle) de Sir Albert Howard
  10. 1946 Almanach d’un comté des sables d’Aldo LEOPOLD
  11. 1948 La planète au pillage de Fairfield Osborn
  12. 1955 Tristes tropiques de Lévi-Strauss
  13. 1956 Les transformations de l’homme de Lewis Mumford
  14. 1957 The Breakdown of Nations de Leopold Kohr
  15. 1960 La technique ou l’enjeu du siècle de Jacques ELLUL
  16. 1962 Le Printemps silencieux de Rachel Carson
  17. 1964 Tolérance répressive d’Herbert Marcuse
  18. 1965 Avant que nature meure de Jean Dorst
  19. 1968 Arcadie, essai sur le mieux vivre de Bertrand de Jouvenel
  20. 1971 La bombe P de Paul Ehrlich
  21. 1971 La planète malade de Guy Debord
  22. 1971 Socialisation de la nature de Philippe Saint Marc
  23. 1972 La dernière chance de la terre (hors série du Nouvel observateur, juin juillet 1972)
  24. 1972 les limites de la croissance ou rapport au club de ROME
  25. 1972 Nous n’avons qu’une terre de Barbara WARD et René DUBOS
  26. 1972-1980 La Gueule ouverte (périodique)
  27. 1973 La convivialité d’Ivan Illich
  28. 1973 Le miroir de la production de Jean BAUDRILLARD
  29. 1973 Le Sauvage (périodique, 1973-1981) : résumé du n° 6 sur la problématique automobile
  30. 1974 Fatu Hiva, le retour à la nature de Thor Heyerdahl
  31. 1974 L’écologie ou la mort (à vous de choisir) la campagne de René Dumont, les objectifs de l’écologie politique
  32. 1975 Le macroscope, vers une vision globale de Joël de ROSNAY
  33. 1976 De la nature, pour penser l’écologie de Moscovici Serge
  34. 1979 La décroissance (entropie, écologie, économie) de Nicholas GEORGESCU-ROEGEN
  35. 1979 Le principe responsabilité de Hans Jonas
  36. 1979 Que la crise s’aggrave de François Partant
  37. 1979 Vivre sans pétrole de J.A. GREGOIRE
  38. 1980 Le Feu vert de Bernard Charbonneau (réédition Parangon, 2009)
  39. 1982 Du chômage à l’autonomie conviviale d’Ingmar Granstedt
  40. 1985 Le bonheur conforme (essai sur la normalisation publicitaire) de François Brune
  41. 1988 Le bluff technologique de Jacques ELLUL
  42. 1988 The Collapse of Complexe Societies de Joseph Tainter
  43. 1990 Gouvernance des biens communs (pour une nouvelle approche des ressources naturelles) d’Elinor Ostrom
  44. 1991 L’équivoque écologique (P. Alphandéry, P. Bitoun et Y. Dupont)
  45. 1995 La révolte luddite, briseurs de machine à l’ère de l’industrialisation de Sale Kirkpatrick
  46. 1996 Notre empreinte écologique de Mathis WACKERNAGEL et William REES
  47. 1998 La simplicité volontaire de Serge Mongeau
  48. 1999 la faim dans le monde expliqué à mon fils de Jean Ziegler (Seuil)
  49. 2000 Les poules préfèrent les cages d’Armand Farrachi
  50. 2000 Quand le développement crée la pauvreté de Helena NORBERT HODGE
  51. 2001 « Défaire le développement, REFAIRE LE MONDE » (L’Ecologiste n° 6)
  52. 2001 L’état de la planète Worldwatch Institute (Lester Brown et autres auteurs)
  53. 2002 L’économie hydrogène de Jérémy RIFKIN
  54. 2002 Pour un catastrophisme éclairé (quand l’impossible est certain) de Jean-Pierre Dupuy
  55. 2003 « Défaire le développement, Refaire le monde » (divers auteurs)
  56. 2003 De l’écologie hors de l’imposture et de l’opportunisme de Corinne LEPAGE
  57. 2003 Fragilité de la puissance (se libérer de l’emprise technologique) d’Alain GRAS
  58. 2003 La guerre secrète des OGM d’Hervé Kempf
  59. 2003 objectif décroissance (vers une société harmonieuse) par collectif
  60. 2003 Pétrole, la fête est finie d’Heinberg Richard
  61. 2003 Quand la misère chasse la pauvreté de Majid RAHNEMA
  62. 2003 Sauver la terre d’Yves COCHET et Agnès SINAI
  63. 2003 STOP de Laurent de BARTILLAT et Simon RETALLACK
  64. 2004 Sauvez cette planète ! (512 gestes simples et attitudes douces) de Dominique Glocheux
  65. 2004 De la misère humaine en milieu publicitaire par le groupe Marcuse
  66. 2004 ENVIRONNEMENT, l’hypothèque démographique de René Monet
  67. 2004 La fin du progrès ? de Ronald Wright
  68. 2004 La perte des sens (recueil de textes d’Ivan ILLICH)
  69. 2004 Le syndrome du Titanic de Nicolas HULOT
  70. 2004 Les limites à la croissance (dans un monde fini) de Meadows et Randers
  71. 2004 SO WATT ? (l’énergie, une affaire de citoyens) de Benjamin Dessus et Hélène Gassin
  72. 2004 Vers l’ultime extinction de Philippe Dubois
  73. 2005 Comment ne plus être progressiste…sans devenir réactionnaire de Jean-Paul Besset
  74. 2005 La fin du pétrole (le vrai défi du XXIe siècle) de James Howard Kunstler
  75. 2005 La vie après le pétrole de Jean-Luc Wingert
  76. 2005 Les nouveaux indicateurs de richesse de Gadrey et Jany-Catrice
  77. 2005 Les paysans sont de retour de Silvia Pérez-Vitoria
  78. 2005 Pétrole apocalypse d’Yves COCHET
  79. 2005 Une société à la dérive de Cornelius Castoriadis
  80. 2006 Effondrement (de la disparition ou de la survie des sociétés) de Jared DIAMOND
  81. 2006 l’art de guillotiner les procréateurs (manifeste anti-nataliste) de Théophile de Giraud
  82. 2006 l’Explosion démographique d’Albert Jacquard (éd. Le Pommier)
  83. 2006 L’humanité disparaîtra, bon débarras d’Yves PACCALET
  84. 2006 Le développement durable, maintenant ou jamais de Dominique BOURG et G.RAYSSAC
  85. 2006 Le pacte écologique de Nicolas Hulot (avec le Comité de veille écologique)
  86. 2006 Le pari de la décroissance de Serge LATOUCHE (Fayard)
  87. 2006 Le plein s’il vous plaît de Jean-Marc JANCOVICI et AlainGRANDJEAN (Seuil)
  88. 2006 Les Ecovillages de Jonathan Dawson
  89. 2006 Les luddites (bris de machines et économie politique) de BOURDEAU et JARRIGUE
  90. 2006 Rapport secret du pentagone sur le changement climatique (édition Allia)
  91. 2006 Un éléphant dans un jeu de quilles de Robert Barbault (Seuil)
  92. 2007 Comment les riches détruisent la planète d’Hervé Kempf (Seuil)
  93. 2007 Des cancres à l’Elysée (5 Présidents de la république face à la crise écologique) de Marc Ambroise-Rendu
  94. 2007 Homo disparitus d’Alan Weisman
  95. 2007 La faim, la bagnole, le blé et nous (une dénonciation des biocarburants) de Fabrice Nicolino
  96. 2007 La tyrannie technologique, critique de la société numérique (collectif)
  97. 2007 Le choix du feu d’Alain Gras
  98. 2007 Le retour du gang de la clef à molette d’Edward Abbey
  99. 2007 petit traité de la décroissance sereine de Serge Latouche
  100. 2008 « 2030, le KRACH écologique » de Geneviève Ferone
  101. 2008 Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable de René Riesel
  102. 2008 Ecorev n° 29 Quelles sciences ? Pour une planète vivable en 2030
  103. 2008 Ecorev n°30 Ecologie et féminisme
  104. 2008 Ecoterroristes ou Ecoguerriers ? de Roger Ribotto
  105. 2008 EPR, l’impasse nucléaire de Frédéric Marillier
  106. 2008 Faire des enfants tue (éloge de la dénatalité) de Michel et Daisy Tarrier
  107. 2008 Homo sapiens technologicus de Michel Puech
  108. 2008 L’animal dominant, évolution démographique et environnement de Paul et Anne Ehrlich
  109. 2008 l’effondrement du système technologique de Theodore J. Kaczynski
  110. 2008 L’enfermement planétaire d’André Lebeau
  111. 2008 La décroissance, Rejets ou projets ? (croissance et développement durable en questions) de Frédéric Durand
  112. 2008 La nature malade de la gestion de Jean-Claude Génot
  113. 2008 La nouvelle écologie politique de JP.Fitoussi et Eloi Laurent (Seuil)
  114. 2008 La Terre perd la boule (trop chaude, trop plate, trop peuplée) de Thomas L.Friedman
  115. 2008 Le capitalisme est-il durable de Bernard Perret (carnetsnord)
  116. 2008 Le choc de la décroissance de Vincent Cheynet
  117. 2008 Le climat otage de la finance Aurélien Bernier
  118. 2008 Le Développement Durable, les termes du débat (COLLECTIF)
  119. 2008 Les deux âmes de l’écologie (une critique du développement durable) de Romain Felli (l’Harmattan)
  120. 2008 Une vie de cochons de J.Porcher et C.Tribondeau
  121. 2009 Antimanuel d’écologie d’Yves Cochet
  122. 2009 Au temps des catastrophes, résister à la barbarie qui vient d’Isabelle Stengers
  123. 2009 Au temps des catastrophes, résister à la barbarie qui vient d’Isabelle Stengers
  124. 2009 Bidoche, l’industrie de la viande menace le monde de Fabrice Nicolino
  125. 2009 C’est maintenant ! Trois ans pour sauver le monde de Jancovici Jean-Marc et Grandjean Alain
  126. 2009 Casseurs de pub, 10 ans (collectif)
  127. 2009 Ecorev n° 31 Des chiffres et des êtres : la valeur de la nature
  128. 2009 Face au monstre mécanique (une histoire des résistances à la technique) de François Jarrige
  129. 2009 L’enseignement face à l’urgence écologique de Bernard Legros et Jean-Noël Delplanque
  130. 2009 l’écologie pour les nuls de Franck COURCHAMP
  131. 2009 L’empreinte écologique d’Aurélien Boutaud et Natacha Gondran
  132. 2009 La crise pétrolière (analyse des mesures d’urgence) de Bernard Durand (EDP sciences)
  133. 2009 La décroissance économique (pour la soutenabilité écologique et l’équité sociale) sous la direction de Baptiste Mylondo)
  134. 2009 La politique de l’oxymore de Bertrand Méheust
  135. 2009 Le changement climatique expliqué à ma fille de Jean-Marc Jancovici
  136. 2009 Le syndrome du Titanic – 2 de Nicolas Hulot
  137. 2009 Les Etats et le carbone de Patrick Criqui, Benoit Faraco et Alain Grandjean
  138. 2009 Les guerres du climat d’Harald Welzer
  139. 2009 Politique de Cassandre (manifeste républicain pour une écologie radicale) de Jean-Christophe Mathias
  140. 2009 Pour sauver la planète, sortez du capitalisme d’Hervé Kempf
  141. 2009 Résister pour sortir du développement (le droit entre nature et liberté) de Simon Charbonneau
  142. 2009 Sur quelle planète vont grandir mes enfants ? (écologie, clé du futur) de Jean-Guillaume Péladan
  143. 2009 Tu viens ? de Nathalie Kosciusko-Morizet (Gallimard)
  144. 2010 Accélération (une critique sociale du temps) d’Hartmut Rosa
  145. 2010 Adieu à la croissance (bien vivre dans un monde solidaire) de Jean Gadrey
  146. 2010 Croissance infinie, la grande illusion de Jean Aubin
  147. 2010 Demain, seuls au monde ? (L’homme sans la biodiversité) d’Emmanuelle Grundmann
  148. 2010 Des idées et des rêves d’Arnaud Montebourg
  149. 2010 Dictature verte (Michel Tarrier)
  150. 2010 Divertir pour dominer (la culture des masse contre les peuples) par collectif Offensive
  151. 2010 ECOLOGIE POLITIQUE n°40 : les écologies politiques aujourd’hui
  152. 2010 Ecorev n° 34 urgence écologique, urgence démocratique (vers une sortie civilisée du productivisme ?)
  153. 2010 Ecorev n° 35, l’agriculture au cœur du projet écologiste
  154. 2010 ENTROPIA n° 9, contre pouvoirs et décroissance
  155. 2010 Il était une fois la bio-révolution (nature et savoirs dans la modernité globale) de Jean Foyer
  156. 2010 L’autoproduction accompagnée de Daniel Cérézuelle et Guy Roustang
  157. 2010 L’avenir est notre poubelle (l’alternative de la décroissance) de Jean-Luc Coudray
  158. 2010 L’imposteur, c’est lui (réponse à Claude Allègre) de Sylvestre Huet
  159. 2010 La décroissance (10 questions pour comprendre et en débattre) de Denis Bayon, Fabrice Flipo et François Schneider
  160. 2010 la guerre des terres de Thierry Pouch
  161. 2010 La Terre sur un fil d’Eric Lambin
  162. 2010 LABO Planète (où comment 2030 se prépare sans les citoyens) de Jacques Testard, Agnès Sinaï et Catherine Bourgain (1001 nuits)
  163. 2010 Le populisme climatique, Claude Allègre et Cie (enquête sur les ennemis de la science) de Stéphane Foucart
  164. 2010 Le temps du monde fini de Geneviève Azam
  165. 2010 Les luddites en France (résistance à l’industrialisation et à l’informatisation) par un collectif coordonné par Cédric Biagini et Guillaume Canino
  166. 2010 Les profiteurs du bizness écolo (les dossiers du Canard enchaîné, avril 2010)
  167. 2010 Manifeste pour une société écologique (EELV)
  168. 2010 Manuel de Transition (de la dépendance au pétrole à la résilience locale) de Rob Hopkins
  169. 2010 Ne soyons pas des écologistes benêts (pour un protectionnisme écologique et social) d’Aurélien Bernier et Michel Marchand
  170. 2010 No impact man de Colin Beavan
  171. 2010 Peut-on sauver la planète sans toucher à notre mode de vie ? Un débat Benjamin Dessus / Sylvain David
  172. 2010 Prospérité sans croissance (la transition vers une économie durable) de Tim Jackson
  173. 2010 Quel futur pour les métaux ?
  174. 2010 Sans le nucléaire on s’éclairerait à la bougie et autres tartes à la crème du discours techno-scientifique de Corinne Lepage et Jean-François Bouvet
  175. 2010 Solutions locales pour un désordre global (avec Coline Serreau…)
  176. 2010 Superphénix, déconstruction d’un mythe de Christine Bergé
  177. 2010 Territoires de la décroissance (Entropia n° 8, printemps 2010)
  178. 2010 Tous écolos… et alors (de Géraud Guibert)
  179. 2010 Vers une démocratie écologique (le citoyen, le savant et le politique) de Dominique Bourg et Kerry Whiteside (Seuil)
  180. 2010 Vers une société sobre et désirable – Fondation Nicolas Hulot (20 ans)
  181. 2010 Villes en transition : vers le rationnement (Silence n° 379, mai 2010)
  182. 2010 Voyage dans l’anthropocène de Claude Lorius et Laurent Carpentier
  183. 2011 AMERICAN ECOLO d’Hélène Crié-Wiesner
  184. 2011 Carbon Democracy. Le pouvoir politique à l’ère du pétrole (Timothy Mitchell)
  185. 2011 Changer le monde, tout un programme de Jean-Marc Jancovici
  186. 2011 Comment nous sommes devenus écolos de Léonard Laborie
  187. 2011 Cradle to cradle de William McDonough et Michael Braungart
  188. 2011 Décroissance versus développement durable (ouvrage collectif)
  189. 2011 Des écologistes en politique d’Erwan Lecoeur (lignes de repères, 2011)
  190. 2011 Des esclaves énergétiques (réflexions sur le changement climatique) de Jean-François Mouhot
  191. 2011 Ecorev n° 36 : crise sanitaire, la quatrième crise écologique
  192. 2011 Ecosocialisme (l’alternative radicale à la catastrophe écologique capitaliste) de Michael Löwy
  193. 2011 ENTROPIA n° 10, aux sources de la décroissance
  194. 2011 Faire des enfants tue… la planète (de Michel Tarrier)
  195. 2011 L’oligarchie, ça suffit, vive la démocratie d’Hervé Kempf (Seuil)
  196. 2011 La décroissance heureuse (la qualité de la vie ne dépend pas du PIB) de Maurizio Pallante
  197. 2011 La vérité sur le nucléaire (le choix interdit) de Corinne Lepage
  198. 2011 Le fanatisme de l’apocalypse de Pascal Bruckner
  199. 2011 le livre noir de l’agriculture (comment on assassine nos paysans, notre santé et l’environnement) d’Isabelle Saporta
  200. 2011 Le nouveau siècle biotech (Ecologie & Politique n ° 43)
  201. 2011 Le poids du nombre de Georges Minois (éditions Perrin)
  202. 2011 Pierre Fournier, précurseur de l’écologie par Danielle Fournier et Patrick Gominet
  203. 2011 Plus un poisson d’ici 30 ans ? (surpêche et désertification des océans) de Stephan Beaucher
  204. 2011 Pour une éducation au développement durable de Francine Pellaud (éditions Quae)
  205. 2011 Pour une raison écologique de Bernard Perret (Flammarion)
  206. 2011 Survivre à l’effondrement économique de Piero San Giorgo
  207. 2011 Vandana Shiva, victoires d’une Indienne contre le pillage de la biodiversité
  208. 2012 « Ecologie, la fin » de Christian Gerondeau
  209. 2012 1,2 milliards d’automobiles 7 milliards de terriens – la cohabitation est-elle possible ? de Jean-Pierre et Marine Corniau
  210. 2012 A quoi peut bien servir un député écolo ? de François de Rugy
  211. 2012 Abolir le nucléaire civil et militaire de Jean-Marie Pruvost-Beaurain
  212. 2012 Agro-ressources et écosystèmes : enjeux sociétaux et pratiques managériales de Bernard CHRISTOPHE et Roland PEREZ
  213. 2012 Autopsie de l’Apocalypse de Patrick Simon
  214. 2012 BD Jo le paysan (tome 4) : haro sur les OGM
  215. 2012 Bon pour la casse (les déraisons de l’obsolescence programmée) de Serge Latouche
  216. 2012 Capitaine Watson, entretien avec un pirate de Lamya Essemlali
  217. 2012 Comment j’ai arrêté de CONsommer de Frédéric Mars
  218. 2012 ECOREV n° 39, Le commun ou la relocalisation du politique
  219. 2012 Emprise et empreinte de l’agrobusiness par l’ONG Entraide & Fraternité et le Centre Tricontinental
  220. 2012 Hold-up sur le vivant (éthique & manipulations) de Pierre Sartor
  221. 2012 L’âge des limites de Serge Latouche
  222. 2012 L’écologie sinon rien de Claude-Marie Vadrot
  223. 2012 La fabrique de la famine (les paysans face à la mondialisation) de Walden Bello
  224. 2012 La fabrique de la famine (les paysans face à la mondialisation) de Walden Bello
  225. 2012 La faim du monde (l’humanité au bord d’une famine globale) d’Hugues Stoeckel
  226. 2012 la fin de la croissance de Richard Heinberg
  227. 2012 La grande amnésie écologique de Philippe J. Dubois
  228. 2012 La nature n’a pas de prix (les méprises de l’économie verte) par ATTAC
  229. 2012 Le futur a-t-il un avenir ? (pour une responsabilité socio-écologique) de Philippe Lebreton
  230. 2012 Les marchands de doute de Naomi Oreskes et Erik Conway
  231. 2012 Les missions militaires au service de la biodiversité de Sarah Brunel
  232. 2012 manifeste négaWatt (réussir la transition énergétique) par association négaWatt
  233. 2012 Où va le monde ? Une décennie (2012-2022) au devant des catastrophes
  234. 2012 Pour un socialisme vert (Vers la société écologique pour la justice sociale) d’Arno Münster
  235. 2012 Préludes à la transition (Pourquoi changer le monde ?) de Christian Araud
  236. 2012 Que serait le tourisme sans pétrole d’Isabelle Babou et Philippe Callot
  237. 2012 Sommes-nous tous voués à disparaître ? d’Eric Buffetaut
  238. 2012 Tous cobayes ! (OGM, pesticides, produits chimiques) de Gilles-Eric Séralini
  239. 2012 Vers l’autonomie alimentaire de Frédérique Basset
  240. 2012 WWI Vers une prospérité durable, RIO + 20 (collectif)
  241. 2012.06.25 appel de Poitiers pour sauver la biodiversité
  242. 2013 Murray Bookchin et l’écologie sociale (Vincent Gerber)
  243. 2013 à qui profitent les OGM ? de Jacques Testart
  244. 2013 Changeons d’énergie (transition mode d’emploi) de l’association négaWatt
  245. 2013 Compte à rebours (Jusqu’où pourrons nous être trop nombreux sur terre ?) d’Alan Weisman
  246. 2013 Croissance et écologie (concilier l’homme avec la société de demain) d’Alban Vétillard
  247. 2013 De Darwin à Lévi-Strauss (Pascal Picq)
  248. 2013 Démographie et écologie de Jacques Véron
  249. 2013 EcoRev’ n° 40, dans les pas de SAISON BRUNE
  250. 2013 Entropia n° 14, La Saturation des mondes
  251. 2013 Faut-il être végétarien ? de Claude Aubert et Nicolas Le Berre
  252. 2013 Fin de l’Occident, naissance du monde d’Hervé Kempf
  253. 2013 Gaz de schiste, histoire d’une imposture de Jacques Ambroise
  254. 2013 L’écologie est politique (Fondation de l’écologie politique)
  255. 2013 L’écologie est-elle encore scientifique ? de Christian Lévêque
  256. 2013 L’écologie, c’est fini (qu’en pensent les experts ?) de Alice Audouin
  257. 2013 L’effondrement des sociétés complexes (Joseph A. Tainter)
  258. 2013 L’enfer vert, un projet pavé de bonnes intentions de Tomjo
  259. 2013 La fabrique du mensonge (comment les industriels manipulent la science et nous mettent en danger) de Stéphane Foucart
  260. 2013 La faim du pétrole (une civilisation de l’énergie vue par des géologues) de Pierre Mauriaud, Pascal Breton et Patrick de Wever
  261. 2013 La fin de l’abondance, l’économie dans un monde post-pétrole (John Michael Greer)
  262. 2013 La mystique de la croissance, comment s’en libérer (Dominique Méda)
  263. 2013 La véritable richesse (une économie du temps retrouvé) de Juliet B.Schor
  264. 2013 Le Changement (Bernard Charbonneau)
  265. 2013 les Grands Textes fondateurs de l’écologie, présentés par Ariane Debourdeau
  266. 2013 Les précurseurs de la décroissance (nouvelle collection)
  267. 2013 Manifeste pour une Dotation Inconditionnelle d’Autonomie (collectif)
  268. 2013 Nicholas Georgescu-Roegen, pour une révolution bioéconomique d’Antoine Missemer
  269. 2013 Penser la décroissance (politiques de l’Anthropocène) par collectif
  270. 2013 Plus haut que mes rêves de Nicolas Hulot
  271. 2013 Politiques de la décroissance (pour penser et faire la transition) de Michel Lepesant
  272. 2013 Pour supprimer les partis politiques ? Réflexions d’un apatride sans parti de Daniel Cohn-Bendit
  273. 2013 Quelle transition énergétique ? d’Henri Safa
  274. 2013 Radicalité, 20 penseurs vraiment critiques
  275. 2013 Réinventer le feu (des solutions économiques novatrices pour une nouvelle ère énergétique d’Amory B. Lovins
  276. 2013 Toxique planète. Le scandale invisible des maladies chroniques (André Cicolella)
  277. 2013 Un écologisme apolitique ? Débat autour de la transition (Paul Chatterton et Alice Cutler)
  278. 2013 Vert paradoxe. Le piège des solutions éco-énergétiques (David Owen)
  279. 2013 Vivement 2050 ! (Programme pour une économie soutenable et désirable)
  280. 2014 10 milliards de Stephen Emmott
  281. 2014 Comment je suis devenu écologiste (textes de René Dumont présentés par Charles Rémy)
  282. 2014 Football, la colonisation du monde (collectif)
  283. 2014 Insoumise de Delphine Batho
  284. 2014 L’âge des Low tech (Philippe Bihouix)
  285. 2014 L’écologisme des pauvres (une étude des conflits environnementaux dans le monde) de Joan Martínez Alier
  286. 2014 La nature est un champ de bataille (Razmig Keucheyan)
  287. 2014 La pensée écologique, une anthologie (Dominique Bourg et Augustin Fragnière)
  288. 2014 Moins nombreux, plus heureux (l’urgence écologique de repenser la démographie) livre collectif, coordinateur Michel Sourrouille
  289. 2014 Nature et politique, Contribution à une anthropologie de la modernité et de la globalisation (Fabrice Flipo)
  290. 2014 Nos limites (pour une écologie intégrale) de Gaultier Bès, Marianne Durano et Axel Norgaard Rokvam
  291. 2014 Une planète trop peuplée ? (le mythe populationniste, l’immigration et la crise écologique)
  292. 2014 Une question de taille d’Olivier Rey
  293. 2015 Agriculture urbaine (vers une réconciliation ville nature)
  294. 2015 Comment les citoyens peuvent décider du bien commun, l’humanitude au pouvoir (Jacques Testard)
  295. 2015 Comment tout peut s’effondrer de Pablo Servigne & Raphaël Stevens
  296. 2015 Crime climatique STOP ! L’appel de la société civile
  297. 2015 Décroissance, vocabulaire pour une nouvelle ère (collectif)
  298. 2015 Dormez tranquilles jusqu’en 2100 et autres malentendus sur le climat et l’énergie (Jean-Marc Jancovici)
  299. 2015 Ecologie ou gauchisme, il faut choisir ! (François de Rugy)
  300. 2015 L’énergie des esclaves (le pétrole et la nouvelle servitude) d’Andrew Nikiforuk
  301. 2015 Osons, plaidoyer d’un homme libre de Nicolas Hulot
  302. 2016 Extractivisme d’Anna Bednik
  303. 2016 L’ÉCOLOGIE À L’ÉPREUVE DU POUVOIR (Un avenir peint en vert pour la France ?) de Michel Sourrouille
  304. 2017 On ne naît pas écolo, on le devient

Michel Sourrouille, sa bibliothèque Lire la suite »

Donald Trump, fou rire garanti tous les jours

Sa dernière de derrière les fagots , Donald Trump à la Maison Blanche devant Netanyahou le 4 février 2025 :

« Les Etats-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza », évoquant une « situation de propriété sur le long terme ». Il l’assure : « Tous ceux à qui j’ai parlé adorent l’idée de voir les Etats-Unis posséder ce morceau de territoire, de développer et de créer des milliers d’emplois avec quelque chose qui sera magnifique. » Donald Trump s’est engagé à transformer ce « symbole de mort et de destruction » qu’est Gaza en « Riviera du Moyen-Orient…Les gens pourraient vivre dans le confort et la paix, et on va s’assurer que quelque chose de spectaculaire soit fait. »

Mais il faudrait vider Gaza de sa population, éparpiller les Palestiniens ailleurs… en Jordanie, en Égypte ?

« On peut trouver une zone magnifique pour y installer les gens de façon permanente dans de belles maisons, où ils peuvent être heureux sans se faire tirer dessus, sans se faire tuer, sans se faire poignarder à mort comme ce qu’il se passe à Gaza », a-t-il ajouté. Le président américain promet aux Gazaouis des « habitations de vraiment bonne qualité » grâce aux « quantités massives d’argent fournies par d’autres personnes, des nations très riches ».

A ses côtés, Benyamin Nétanyahou semblait pris de court, derrière un sourire crispé….

Commentaires réjouis sur lemonde.fr

Silers ; Le projet se tient mais ne va pas assez loin : il faudrait plutôt imaginer un gigantesque Donaldland, avec de chics hôtels, des palmiers, des golfs verdoyants et des bateaux de croisières géants déversant des flots de touristes en short/claquettes.

Buddy gloomy : J’étais terrifié de voir revenir Trump mais j’avoue que maintenant, c’est champagne et fou rire tous les jours.

Les murs rient : Enfin le retour à l’évidence de la Pataphysique. Donald Trump est donc bien l’incarnation de cet indispensable Ubu. Magique, apaisant et rationnel. Deux et deux font cinq, désormais et si vous me dites que la terre n’est pas plate, je vous met mon poing dans la figure. Ça fait tellement de bien.

Lulubobo : Pour éviter de polluer la rubrique « International » du journal, je propose à la rédaction du Monde de dorénavant faire figurer les news impliquant ce monsieur dans une plus appropriée, intitulée « la blagounette du jour ».

VentdOuest : Le Trumptosaur fait ses courses. Dans son cady, le Groenland, le Canada, le Panama, maintenant une opération immobilière à Gaza après avoir nettoyé les scories humaines. Ce dinosaure se croit au casino.

Rigomer Kerviel : Si Elon 1er et Trump comptent acquérir la Bretagne, ils apprendront à leurs dépends que les Bretons sont un noyau dur.

BLT : Quand on a dépassé les bornes il n’y a plus de limites. Il serait temps que les américains se rendent compte qu’ils ont paradoxalement voté pour un coup d’état permanent

BGA : Comme certaines fusées d’Elon Musk, ce type finira par exploser en plein vol. À peine trois semaines de présidence et nous assistons stupéfaits au-delà de ce que nous pouvions imaginer aux délires les plus extrêmes, absurdes et insultants d’un agent immobilier qui n’a jamais, à l’évidence, lu un livre d’histoire: Convaincu que le monde et sa complexité ne sauraient être autre chose qu’une immense parti de Monopoly, il ose tout.

Pierre59 : «  Deux possibilités se dessinent : ou le président américain est sérieux, ou il déplace les termes du débat » écrit M Smolar. Je pense qu’il y en a une troisième : Trump est mentalement atteint et complètement dans le virtuel, et il est entouré de requins qui pensent pouvoir tirer profit de sa folie et du chaos qu’il va installer.

Thymie : Il (DT) tient des propos qui justifieraient un placement en établissement psychiatrique, à la demande de tiers. Délire, mégalomanie, accès (hypo) maniaque… Je n’exagère pas. Autant je trouve que la claque donnée aux « wokistes » est méritée, autant le claqueur gesticule plus qu’il ne frappe, en une danse incohérente, neurologique, psychiatrique.

Lisa dorel : Personne ne le fait enfermer ?

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L’intelligence collective, qui la cherche la trouve

Un commentateur sur ce blog : « L’intelligence collective c’est un concept vide de sens, l’intelligence ne s’additionne pas, les connaissances éventuellement, mais pas la finesse d’analyse. Essayez de faire écrire un grand roman par un collectif d’écrivains ça donnera de la bouillie, c’est dans la solitude qu’Hugo, Einstein, Newton ont travaillé, ils ont certes emprunté à d’autres des éléments, mais leur mise en commun créative est le fait d’un cerveau unique. La foule donne par contre une bonne image de la bêtise collective. »

Il est vrai que l’intelligence collective progresse par des individualités qui réfléchissent plus que d’autres, qu’ils soient penseurs ou scientifiques. Mais c’est en intégrant leur apport que l’intelligence collective progresse. Il n’y a pas d’opposition entre l’individu et le collectif, tout est question d’éducation quant au comportement collectif. Comme l’exprimait Nicolas Hulot, « il n’y aura pas de sortie de la myopie démocratique si les citoyens ne sont pas eux-mêmes les défenseurs d’une conscience élargie du monde dans le temps et dans l’espace. » Ce blog biosphere existe, à sa petite échelle, pour faire progresser cette conscience.

L’intelligence collective grâce à wikipedia

La connaissance des membres d’une communauté est limitée, tout autant que leur perception de l’environnement commun. L’intelligence collective se manifeste par le fait qu’une équipe d’agents coopérants peut résoudre des problèmes plus efficacement que lorsque ces agents travaillent isolément. Elle résulte entre autres de la qualité des interactions entre ses membres. Quatre éléments de base ont été identifiés pour que de l’intelligence collective émerge :

– Diversité d’opinions : plus les approches sont diverses, plus il est probable qu’une bonne ou meilleure solution émerge.

– Indépendance d’esprit : les opinions de chacun ne doivent pas dépendre des opinions des autres. la « Pensée de groupe » est nocive à la bonne prise de décision.

– Décentralisation : pour assurer un équilibre entre le global et le local, les individus apportent chacun leur savoir spécialisé, tiré d’une connaissance intime d’un aspect du problème à résoudre.

– Agrégation : un mécanisme de compte objectif, pour réunir les jugements des personnes en un jugement final. (ex: vote à la majorité, estimation de probabilité sur un marché prédictif).

L’intelligence collective grâce aux archives du MONDE

L’argot de bureau : l’« intelligence collective », au fondement du management

Apparu en psychologie et biologie, le concept d’intelligence collective est adopté en sciences de gestion dans les années 1990Véritable mantra des manageurs qui veulent tourner le dos à la hiérarchie traditionnelle (ou se donner l’air de le faire), l’intelligence collective désigne les processus par lesquels une équipe de personnes qui coopère résout plus aisément les problèmes qu’une somme de personnes isolées. « Si l’homme est un loup pour l’homme, les loups savent surmonter leur nature solitaire lorsqu’ils chassent en meute ! »

Télétravail : l’intelligence collective s’est réorganisée en numérique

L’intelligence collective ne date pas d’aujourd’hui, mais le recours massif au télétravail lui a donné une nouvelle dimension. Classiquement, il s’agit de mettre en commun les compétences et les connaissances d’individus, afin qu’ensemble ils produisent quelque chose que chacun ne parviendrait pas à produire seul. Alors que les réunions et les déplacements étaient devenus impossibles pendant le confinement, l’intelligence collective s’est réorganisée en numérique pour permettre la continuité de l’activité. Le télétravail a popularisé les outils collaboratifs pour partager les documents à distance et communiquer en visioconférence. On pratiquait déjà l’intelligence collective, le brainstorming, les ateliers agiles, etc., et cela fonctionnait bien jusqu’à 15 ou 20 participants. Mais comment faire avec 100 ou 1 000 personnes ?

« Pour un retour au débat scientifique et à l’intelligence collective »

La voix de la science est d’essence collective : elle est celle du consensus qui naît du débat au sein de la communauté scientifique. Aussi longtemps et passionnément que nécessaire, les chercheurs échangent arguments et expériences jusqu’à converger vers des énoncés débarrassés des préjugés des uns et des autres, en accord avec les faits observés et qui constituent la vérité scientifique du moment. L’intelligence collective étant i inhibée par une gouvernance verticale, la science tend alors à se développer horizontalement : on se cloisonne dans des sujets de niche sans concurrence, les erreurs s’accumulent sans être corrigées, les controverses stagnent,

Christian Brodhag : « La transition écologique exige connaissance et intelligence collective, transfert d’expériences »

La convention citoyenne pour le climat en France a montré que des citoyens tirés au sort et informés comprenaient la gravité de la situation climatique, la nécessité d’un changement profond et formulaient des propositions qui se veulent ambitieuses. La transition écologique et le développement durable exigent connaissance et intelligence collective, par les moyens de l’information, la formation, le transfert d’expériences, le partage des solutions et la coopération.

« Intelligence collective », « manque d’audace »… Réactions mitigées aux propositions de la convention citoyenne pour le climat

21 juin 2020, rapport de 600 pages contenant les propositions de la convention citoyenne pour le climat. Nicolas Hulot a « salué un très bel exemple d’intelligence collective et un impressionnant travail cohérent de véritable démocratie inclusive. Ce peut être un premier levier pour amorcer la mutation écologique tant attendue. Il y a, pour le gouvernement, une opportunité à saisir pour sortir du cercle de la défiance ».

L’intelligence collective grâce à notre blog biosphere

L’intelligence collective, impossibilité majeure

extraits : Sur ce blog biosphere, le commentateur Michel C. fait feu de tout bois contre le malthusianisme et se heurte à fleuret non moucheté à Tsp qui ne voit que surpopulation. Par contre, entre le climatosceptique Tsp et le partisan du GIEC Michel C., ça chauffe à feu continu. Comme quoi, entre deux personnes qui semblent intelligentes et bien informées, le rapprochement des points de vue semble impossible de toute éternité. Ce blog, qui se voudrait promouvoir l’intelligence collective, est bien emmerdé, que faire pour réconcilier l’inconciliable, Poutine et l’Ukraine, Hamas et Israël, climatosceptiques et malthusiens !

GPT, intelligence artificielle et/ou collective

extraits : Avec ChatGPT, tout se passe désormais comme si créer une œuvre consistait à assembler des extraits d’œuvres antérieures. Avec ce blog biosphere, l’enjeu est de reproduire ce qui se dit de plus significatif publiquement sur notre avenir commun. C’est la même démarche. De notre point de vue d’écologistes, c’est l’imaginaire social qui conditionne nos comportements. Nous sommes comme Nicolas Hulot qui voulait créer un nouvel imaginaire collectif, construire un monde, ne plus le regarder se défaire devant nos écrans… Nous sommes comme Serge Latouche, il nous faut décoloniser l’imaginaire actuellement imposé et choisir le pari de la décroissance, choisir la pensée créative contre l’économie de l’absurde. Un changement culturel d’ampleur ne peut arriver en un jour, il se forge par étapes successives contre le règne des SUR….

Ouf, l’écologie devient intelligence collective

extraits : Un maelstrom de conversions à l’écologie parcourt LE MONDE. Le plus réconfortant, c’est que cela touche tous les centres de pouvoir, élus, médias, culture… Ainsi par exemple au congrès des maires, l’écologie s’impose comme un « thème incontournable : « Moins de voitures, plus de verdure ! « , « Aménager des îlots de fraîcheur dans la cité », « Des solutions pour une route plus durable », plus rien ne sera comme avant dans la prise de conscience… (LE MONDE du 22 novembre 2019)

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