Hauts et bas du mensuel « La Décroissance »

Ce journal, contestation radicale de la société croissanciste, nous semble dans le vrai. Mais, comme tout un chacun, il a aussi ses insuffisances. Dans la rubrique lecteurs de ce mensuel qui vient de paraître, trois témoignages en tracent le tableau suivant :

Guillaume Vallet : Merci pour le numéro d’octobre, toujours aussi salutaire au milieu du naufrage intellectuel ambiant. Je me permets tout de même de vous exprimer ma confusion à la lecture de l’article « Catastrophiques catastrophistes » ! Une charge contre la collapsologie* que je n’ai pas bien saisie. Le chroniqueur semble reprocher à Pablo Servigne de « provoquer la peur » ». Faudrait-il ne rien dire des dangers qui nous guettent ? Ou le dire avec légèreté ? (…) Je termine sur les solutions, éternel point faible du journal, puisque la position choisie est celle du tireur embusqué qui canarde à peu près toutes les initiatives, ici « l’entraide dans les écovillages », tout en devenant soudain bien nébuleux, retranché derrière quelques grandes phrases, « assumer de dire maintenant ce qui est presque indicible », «  ne plus nous laisser anéantir », etc. Pour les petites gens, je doute que ce soit ça qui les mobilise…

Cédric Moulet-Marquis : Au chapitre des regrets, j’ajouterai l’absence totale que vous portez à la question démographique. Je ne me souviens pas vous avoir vu une seule fois aborder ce sujet, sinon pour hurler à la misanthropie**. Faut-il être journaliste à « La Décroissance » pour penser qu’une croissance infinie de la population est possible dans un monde fini ?

Marie-Claire Hauville : Quel plaisir de retrouver votre journal. J’ai un mal fou à faire prendre conscience aux amis et à la famille des effets néfastes, éthiques et écologiques, de l’utilisation inconsidérée des outils high tech. J’avoue que parfois, je baisse les bras lorsque l’on me traite de passéiste et je ne sais quels autres soi-disant termes péjoratifs ! Votre journal me réconforte et je me dis que l’espoir est là…

* pour connaître le livre de Servigne et Stevens, lire sur notre blog

http://biosphere.blog.lemonde.fr/2015/04/25/collapsologie-leffondrement-demographique-previsible/

** pour en savoir plus sur l’anti-malthusianisme de « La décroissance », lire sur notre blog

http://biosphere.blog.lemonde.fr/2013/11/07/malthus-merite-detre-rehabilite-nen-deplaise-a-certains/

11 réflexions sur “Hauts et bas du mensuel « La Décroissance »”

  1. @Bga80
    Si vous aviez mieux lu ce que j’ai écrit, ça nous aurait évité de gaspiller de l’énergie. Ben oui, Internet est un gouffre en matière de consommation d’énergie !

    Ben non … les 5% (et encore vous êtes gentil) sont la preuve que l’homme (l’Homme ?) n’est pas génétiquement programmé pour en vouloir toujours plus.
    La preuve, le jour où j’ai eu 500 euros de plus par mois (fin du crédit immobilier) je ne me suis pas précipité pour acheter un gros 4×4, ni une Volvo etc. Mon vieux véhicule qui a 17 ans me va très bien. J’espère qu’il durera encore un bon bout de temps, et je fais tout pour ça.
    Ce jour là, j’ai travaillé moins, tout simplement. Je me suis mis à temps partiel. Vous pourrez toujours me dire que tout le monde ne peut pas le faire, et je vous dirais que c’est vrai. Il n’empêche qu’en ce qui me concerne j’avais la liberté de choisir (comme vous dites). Et je ne me considère pas pour autant pour un sur-homme, je ne crois même pas être un mutant. 🙂

    Quant à tous ces braves pauvres gens qui ne nous reprocheraient pas ceci mais plutôt cela … ils ne sont ni plus cons ni plus malins que nous. Ni plus vaillants ni plus fainéants. Ce sont des hommes (et des femmes). Eux aussi ont des yeux (pour voir le monde), eux aussi voient ce qu’on nous passe à la télé, ils voient aussi tous ces petits bourgeois occidentaux qui viennent s’amuser chez eux. Pas étonnant alors qu’ils veuillent nous imiter, nous singer.

  2. @ Michel C

    «  »Toutefois vous ne pouvez pas dire qu’il (l’homme) en veut toujours plus, qu’il est programmé ainsi. Parce que ce n’est pas vrai. La preuve, ce sont ces gens qui savent dire « assez », qui ne courent pas après le « toujours plus », les honneurs, le prestige etc. Ces gens (être humains) trouvent leur équilibre (bonheur, plaisir) dans la simplicité etc. «  »

    Ben si 95 % des gens veulent toujours plus ! On est que 5 % à souhaiter la simplicité consentie…. Donnez 500 euros de plus par mois à tout le monde, et vous verrez qu’ils vont accourir tous pour acheter une plus grosse bagnole 4×4, bmw, mercedes, volvo etc

    Par ailleurs, les africains, les américains du sud et les asiatiques, ne nous reprochent pas l’occidentalisation, ne nous reprochent pas l’existence du système occidental, ils nous reprochent de ne pas les avoir occidentalisés davantage pour accéder au rêve américain eux aussi !! Ils nous reprochent de ne pas leurs donner des facilités pour accéder au système occidental. Même l’arabie saoudite se lance dans le nucléaire civile… Donc non, je maintiens ce que je dis, 95 % des gens ne sont jamais satisfaits de ce qu’ils ont déjà ! C’est inscrit dans le gène cette expansion (même la kabballe l’affirme)…

  3. @Bga80
    Je partage votre constat, votre vision sur la façon dont « les gens » agissent. Et c’est exactement pour ça que je disais précédemment « en l’état actuel des choses… »
    Je suis également d’accord pour dire que la décroissance sera subie. Et non pas choisie, hélas. En effet, en l’état actuel des choses… je ne vois pas comment il pourrait en être autrement, de plus je ne crois pas aux miracles.

    Maintenant je ne suis pas totalement d’accord avec ce que vous dites au sujet de la liberté, notamment « la liberté de choisir ». J’ai essayé vite fait d’expliquer ce que moi, j’entendais par « liberté ». Pour moi la liberté ne se résume pas en la possibilité de choisir entre 50 marques ou 500 modèles de camemberts, de lessives, de bagnoles etc. ni de choisir entre la peste et le choléra.

    Vous dites : « C’est inscrit dans le gène humain que l’homme (en tant qu’espèce et non sexe) ne pense qu’à son expansion de plaisir, y compris par la consommation, il veut toujours plus de ce qu’il a déjà… »

    Sauf si vous êtes généticien… vous ne pouvez pas affirmer que ceci ou cela « est inscrit dans le gène humain ». Encore moins dans cette fameuse « nature humaine », ce concept finalement très pratique pour capituler, nous faire dire amen, TINA etc. C’est tellement plus facile de baisser les bras que de se battre. Se battre pas forcément contre l’Autre ou les autres, mais déjà contre soi-même.

    Vous parlez du plaisir. En effet, comme tout ce qui vit, l’homme est en recherche permanente de plaisir. Plus exactement, il lutte en permanence pour maintenir son équilibre vital (homéostasie). Et tant qu’à faire, avec le minimum d’efforts possible. Parce que les efforts ça fait mal, ça fatigue. (Je vous conseille de lire Henri Laborit)
    Toutefois vous ne pouvez pas dire qu’il (l’homme) en veut toujours plus, qu’il est programmé ainsi. Parce que ce n’est pas vrai. La preuve, ce sont ces gens qui savent dire « assez », qui ne courent pas après le « toujours plus », les honneurs, le prestige etc. Ces gens (être humains) trouvent leur équilibre (bonheur, plaisir) dans la simplicité etc.

    Le problème c’est bien le conditionnement. Depuis bien longtemps déjà, de tous les côtés et 24H/24, nous sommes conditionnés par notre société, par ce sytème (Le Système = Le Capitalisme).
    Conditionnés, manipulés etc. de manière à ce que nous ne soyons que de vulgaires esclaves. Et tant qu’à faire, des esclaves qui se croient libres.

  4. @ Michel C

    Lorsque le gouvernement a voulu baisser de 5 euros les allocs annuels, ben ça braille… La dette et la bonne gestion des biens publics les électeurs s’en foutent, tout ce qu’ils veulent c’est toujours plus à moindre effort ! Désolé, mais les gens ont la liberté de choisir leurs aliments, et que font-ils de leur liberté de choisir des aliments ? Et ben ils vont se goinfrer chez Mac do… car la paresse l’emporte sur le choix de cuisiner des aliments sains… En plus, vous ne pouvez pas dire que les gens sont ignorants sur la question, ils savent qu’ils bouffent de la merde mais ils préfèrent satisfaire leur paresse à cuisiner pour s’amuser plus souvent sur le Pc, les jeux passent avant leur propre santé, ils le savent mais ils aiment ça bouffer du brun si ça leur permet de jouer plus longtemps… La plupart des gens exigent surtout plus de liberté à faire des conneries et non pas à utiliser leur liberté à bon escient…. et pourtant cette liberté de choisir leur bouffe ils l’ont, ce n’est pas l’oligarchie et les lobbye qui les force à acheter de la merde, et tous ces gens que font-ils de leur liberté de choisir leurs aliments avec responsabilité ? Ben une fois qu’ils ont grossi et dilaté du ventre, ils chialent pour que le gouvernement leurs remboursent leur régime minceur, et pour autant ils continueront quand même à bouffer cette merde qui les a fait grossir et dilaté obésément… Je pense que les individus incapables de bien gérer leur propre liberté sont beaucoup plus nombreux qu’on ne le pense ! Ils veulent plus de liberté pour faire des conneries pour satisfaire leur paresse…

  5. @ marcel
    «  »dame nature comme à son habitude saura nous remettre sur le droit chemin …. à sa façon ! » »

    Vous confirmez mes propos, la décroissance sera subie lorsque dame nature dira stop pour nous approvisionner….

    C’est inscrit dans le gène humain que l’homme (en tant qu’espèce et non sexe) ne pense qu’à son expansion de plaisir, y compris par la consommation, il veut toujours plus de ce qu’il a déjà… Il n’y a même pas 5% des humains qui savent contenir cette expansion en eux, cette expansion de plaisir et de consommation est encore plus difficile à mettre en œuvre que de contenir son envie de procréer (puisque ce sont les cellules d’un corps biologiques qui ne demandent qu’à se multiplier, même les homosexuels veulent procréer finalement…. Je vais prendre un exemple concret, l’accès à l’eau, et ben quasiment plus personne ne veut être raisonnable pour consommer de l’eau dans nos pays, puisqu’il n’y a plus besoin d’effort pour obtenir de l’eau, l’eau arrive directement à domicile par des tuyaux. En l’occurrence, même si une personne sait qu’elle tire trop d’eau, elle ne corrigera pas son comportement parce que la facilité d’ouvrir le robinet est une tentation qui est impossible de renoncer alors si la personne aime prendre plusieurs douches par jour, elle le fera même si elle sait que c’est déraisonnable, elle le fera car son plaisir passera avant une bonne gestion des ressources. Et pour preuve, il y a de plus en plus de gens qui veulent une piscine individuelle dans son jardin, alors la soif dans le monde ils s’en foutent comme de la guigne…

  6. @Bga
    Vous dites que décroissance et démocratie sont incompatibles.
    Mais déjà, de quelle démocratie parlez-vous ? Où la voyez-vous la démocratie ? Vous devriez pourtant savoir que ce n’est pas l’étiquette qui fait le produit, il ne suffit pas de dire que nous sommes en démocratie pour que ce soit vrai. Et pour tout c’est pareil.

    Avez-vous lu ne serait-ce que Viviane Forrester ? Savez-vous qu’on ne peut pas avoir de véritable démocratie sans citoyens, où voyez-vous de véritables citoyens (libres, responsables), ne confondez-vous pas les citoyens avec les cons-ommateurs ? J’arrête là mes questions.

    Alors bien évidemment, en état actuel des choses… vous avez raison. Jamais un peuple d’esclaves et d’andouilles ne votera pour un programme de décroissance des biens de con-sommation. Voter c’est choisir. Et pour choisir faut-il déjà être libre.

    Et sur ce coup je suis d’accord avec marcel, à « choisir » … ce peuple d’esclaves et d’andouilles préfèrera « Une décroissance démographique dûment planifiée à l’ échelle mondiale » que de renoncer à sa sacro-sainte Bagnole et à son mode de vie de petit-bourgeois.

  7. « dans toutes les démocraties, la décroissance sera mécaniquement subie à la dernière seconde dans le désastre, car personne ne votera pour un programme afin de se préparer à la décroissance pour y amortir les chocs… »

    Une décroissance démographique dûment planifiée à l’ échelle mondiale serait plus facilement acceptée par la population qu’ une décroissance consommatoire .
    Si elle n’ est pas acceptée , dame nature comme à son habitude saura nous remettre sur le droit chemin …. à sa façon !

  8. La décroissance et un programme de décroissance est incompatible avec la démocratie. En effet, personne ou quasiment personne ne consentira à la décroissance, alors il n’y a pas lieu à ce que des masses d’électeurs votent pour un tel programme. Et pour preuve, aujourd’hui encore le Figaro soulève cette question à laquelle plus de 42000 lecteurs ont répondu au sondage =
    «  »Les annonces d’Emmanuel Macron pour compenser la hausse des prix du carburant et du chauffage vous paraissent-elles suffisantes ? » »
    RESULTATS :
    14% Oui
    86% Non

    http://www.lefigaro.fr/politique/2018/11/06/01002-20181106QCMWWW00088-les-annonces-d-emmanuel-macron-pour-compenser-la-hausse-des-prix-du-carburant-et-du-chauffage-vous-paraissent-elles-suffisantes.php

    Alors dans les commentaires, j’ai répondu ceci =
    «  »Un tel sondage personne ne répondra objectivement. Par définition, une démocratie consiste à avoir une légion d’électeurs-consommateurs qui votera toujours pour avoir plus ou qui votera toujours pour dire qu’un gouvernement n’en fait jamais assez pour eux… Alors vous pouvez répétez un tel sondage sur des sujets différents dans des démocraties différentes, vous obtiendrez toujours la même proportion de résultats, la population dira toujours qu’elle attend plus et qu’un gouvernement n’en fait pas assez pour elle.
    Bref, dans de tels sondages les résultats d’opinion sont très prédictifs…. » »

    En résumé, dans toutes les démocraties, la décroissance sera mécaniquement subie à la dernière seconde dans le désastre, car personne ne votera pour un programme afin de se préparer à la décroissance pour y amortir les chocs… En somme, tous les futurs gouvernements seront confrontés à de très graves conflits sociaux et cette fois les gouvernements ne pourront plus acheter la paix sociale, faute de ressources fossiles….

  9. Depuis le temps, j’ai compris que tous ceux qui ne faisaient pas fixette sur le problème démographique et/ou la pub pour Malthus chagrinaient biosphère. C’est le cas du journal La Décroissance. Cédric Moulet-Marquis écrit d’ailleurs au journal pour lui exprimer ses regrets sur ce manque. Je compatis à sa tristesse.

    Un autre lecteur exprime sa confusion à la lecture de l’article de Denis Bayon, « Catastrophiques catastrophistes ».
    « Une charge contre la collapsologie* que je n’ai pas bien saisie. » (Guillaume Vallet )
    Celui-ci a déjà l’honnêteté de dire qu’il n’a pas bien saisi. Je lui répondrais que dans ce genre de situation, quand on n’a pas bien compris ou saisi, la première des choses à faire c’est de relire. Plusieurs fois si besoin. Et si les symptômes persistent, alors là on consulte et on pose des questions. N’oublions jamais que la communication est un art difficile.

    Le courrier de ce lecteur n’est pas dénué d’intérêt, l’article de Denis Bayon non plus. Les deux invitent à réfléchir. Bien sûr, faut-il déjà avoir envie de réfléchir.
    Pour que le lecteur puisse comprendre cette « charge contre la collapsologie » (comme il dit), je pense qu’il n’est pas inutile de lui rappeler le lien entre la mode et le pognon. Il se trouve que l’article commence par ce simple constat : « La catastrophe est à la mode ».
    D.Bayon voit un catastrophisme écologiste et un catastrophisme anti-écologiste. Ce dernier, il le voit (comme moi) du côté des libéraux et de leur façon de voir le monde, dont l’Homme. Après avoir brossé le portrait de ceux qu’il nomme les « clowns tristes », D.Bayon termine son article par ce conseil de sagesse, déguisé en question : « Parier sur la joie plutôt que sur la peur, n’est-ce pas le seul pari raisonnable ? »
    Là aussi, faut-il déjà avoir les outils pour comprendre ce que portent les mots « pari, raisonnable, raison… »

    En tous cas, nous savons où nous mène la peur et nous savons ce que la joie nous procure. Il faudrait vraiment être malade ou tordu pour préférer la peur à la joie. Nul besoin de rappeler que La Décroissance est sous-titré « le journal de la joie de vivre ».

    Hélas, pour choisir (parier) entre le parti d’en rire et celui d’en pleurer, je doute qu’ils soient nombreux ceux qui ont vraiment le choix. Là encore… faut-il déjà être libre pour pouvoir choisir. Libre et non pas colonisé, intoxiqué, endoctriné, esclave etc.
    D’autre part je pense qu’on ne peut pas sous-estimer le tempérament de chacun. Cette chose qui fait qu’Untel soit naturellement porté à voir la bouteille à moitié pleine et Ontel à la voir à moitié vide. Qu’Untel soit un clown joyeux et Ontel un clown triste.

  10. « Au chapitre des regrets, j’ajouterai l’absence totale que vous portez à la question démographique. Je ne me souviens pas vous avoir vu une seule fois aborder ce sujet, sinon pour hurler à la misanthropie**.  »

    Qu’ en termes polis ces constatations sont établies , je n’ aurais pas pris autant de gants pour secouer ceux que je pense être des zozos rigolos du niveau de N. Hulot et des semi bisounours à haute densité en moraline (caractéristique principale du gauchiste) !
    Cet oubli fâcheux et de taille me laisse entrevoir une possible contamination de type gauchopastèque de la rédaction de ce magazine .

    Autos , centrales nucléaires ,matières plastiques , BEURK ET REBEURK mais bipèdes lapinistes (aliasimmigrés et migrons appelés aussi sans papiers) , MAGNIFIQUE , « ils sont tous jontils car tous persécutés par méchant homme blanc (homme blanc li en a vilain , li méchant ,li prendre richisses di terres di pov migron « )

  11. « Au chapitre des regrets, j’ajouterai l’absence totale que vous portez à la question démographique. Je ne me souviens pas vous avoir vu une seule fois aborder ce sujet, sinon pour hurler à la misanthropie**.  »

    Qu’ en termes polis ces constatations sont établies , je n’ aurais pas pris autant de gants pour secouer ceux que je pense être des zozos rigolos du niveau de N. Hulot et des semi bisounours à haute densité en moraline (caractéristique principale du gauchiste) !
    Cet oubli fâcheux et de taille me laisse entrevoir une possible contamination de type gauchopastèque de la rédaction de ce magazine .

    Autos , centrales nucléaires ,matières plastiques , BEURK ET REBEURK mais bipèdes lapinistes (aliasimmigrés et migrons appelés aussi sans papiers) , MAGNIFIQUE , « ils sont tous jontils car tous persécutés par méchant homme blanc (homme blanc li en a vilain , li méchant ,li prendre richisses di terres di pov migron « )

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