Rapport qualité/prix assuré, l’abonnement est gratuit, il suffit de nous écrire à biosphere@ouvaton.org. Notre bimensuel permet à tous les écologistes de recevoir périodiquement une analyse de fond… et nous sommes tous potentiellement des écologistes !
Notre dernier numéro (1er au 15 décembre) fait la recension du livre d’Olivier Rey : Une question de taille (Stock, 280 pages, 20 euros). Olivier Rey connaît tous les intellectuels qui comptent, il les analyse tout au cours de son livre : Ernest Schumacher (Small is beautiful), Ivan Illich, Leopold Kohr, etc. La thèse centrale de l’ouvrage de Leopold Kohr, The Breakdown of Nations (1957) est remarquablement simple : « Il semble qu’il n’y ait qu’une seule cause derrière toutes les formes de misère sociale : la taille excessive. Partout où quelque chose ne va pas, quelque chose est trop gros. » Un message que notre société de la démesure a eu trop tendance à ignorer…
Faites connaître ce bimensuel autour de vous, nous avons besoin de sept milliards d’écologistes sur notre petite planète.
Pour en savoir plus : http://biosphere.ouvaton.org/bibliotheque-2014-et/2816-2014-une-question-de-taille-d-olivier-rey
« Sept milliards d’écologistes » n’est pas écologique.
Bien vu, Yolande
7 milliards de Terriens, c’est beaucoup trop pour la planète.
C’est pourquoi, si nous étions tous écologistes, nous réduirions notre fécondité…
et nous adhérerions à « Démographie responsable »
ou à son équivalent dans son pays d’appartenance !
Commentaire d’Anne-Marie
Ce texte condense toutes les idées auxquelles je crois. Oui, un monde à 10 milliards d’humains est un enfer. C’est un monde inconcevable et qui ne réparera pas les dégâts qu’il a causé. Un monde où rien n’est à taille humaine, ni les villes, ni les transports, ni les rapports sociaux, ni même les spectacles( je pense au 8 décembre de Lyon où une foule canalisée, contrainte, surveillée, sans liberté de flâner est sommée de s’ébahir devant une débauche de technologie sensée lui offrir de la « poésie »!!).
Un monde sans frontière, sans limite, sans différence, sans intime, sans retenue est un monde d’où on a expulsé l’humanité.