Faire de la politique autrement, à notre avis ce n’est pas déclarer publiquement son penchant pour tel ou telle présidentiable, mais permettre une réflexion résultant d’une analyse comparative. Voici différentes analyses faites sur ce blog biosphere :
Les présidentiables et le droit de mourir dans la dignité
Des présidentiables shootés au glyphosate
Des présidentiables qui en veulent plus pour l’armée
Les présidentiables à la recherche de la croissance
Les présidentiables face au feu nucléaire
Les présidentiables face aux perturbateurs endocriniens
Présidentiables 2017, tous des nuls au niveau écologique
Projet de présidentiables sur la transition écologique
Et maintenant, à chacun de réfléchir à son vote jusque dans l’isoloir… Mais constatons que depuis le forfait de Yannick Jadot, pour la première fois depuis 1974 il n’y a plus de candidat réellement écolo en 2017.
Désolé d’insister ! Je dirais plutôt que » depuis le forfait de Yannick Jadot, pour la première fois depuis 1974 » , en effet il n’y a aucun candidat représentant un quelconque parti écologiste, disons « classique » … du moins à l’image de ces partis dits « écologistes » que nous avons connus ces dernières décennies.Ces partis représentés par des personnes plus motivées par leurs ambitions personnelles que par la défense de l’environnement . Ces partis représentant une écologie politique de façade, une écologie plus que timide et qui nous a montré ses limites politiques dans les derniers gouvernements de gauche comme de droite.
Il y a « mille » façons de faire de la politique autrement. Pourquoi l’écologie politique devrait-elle être nécessairement représentée par un parti arborant un logo vert et incarnée par un gourou plus ou moins perché ? Pourquoi cette écologie politique devrait-elle nécessairement participer à la farce électorale ?
L’écologie politique, elle-aussi, a bien besoin de décoloniser son imaginaire !