Le marché boursier est en fait un casino où les uns gagnent ce que les autres perdent. Mais il possède la particularité de disjoncter périodiquement par rapport ce qu’il représente normalement, la valeur des entreprises. Les investisseurs peuvent prendre peur et tout vendre, n’importe quelle rumeur peut devenir une prophétie autoréalisatrice. Alors il y a krach boursier. Suite à cet affolement financier, grand nombre d’épargnants se ruent simultanément dans leurs banques pour retirer de l’argent . Cela devient une crise économique. Depuis la grande crise de 1929 et l’analyse de Keynes, on sait que la machine productiviste ne repart que si les banques créent de l’argent ex nihilo (la planche à billets) et si l’État pratique le déficit budgétaire. Si on demande au contraire aux gens de se serrer la ceinture, on amplifie la crise. C’est pour ces constats connus depuis longtemps que trois personnes ont reçu le prix « Nobel » de « sciences » économiques. Foutaise !
Le prix de la Banque de Suède en sciences économiques a été attribué le10 octobre 2022 à Ben S. Bernanke, Douglas W. Diamond et Philip H. Dybvig, « pour leurs recherches sur les banques et les crises financières ». Juste un truc sur Bernanke, le patron de la Réserve fédérale (Fed) entre 2006 et 2014 : Il avait tellement l’habitude d’émettre des déclarations illisibles, tant par les experts que par leur auteur, que sa femme a dit un jour: » il m’a demandé en mariage – je n’ai pas compris. » Il faut bien rigoler un peu par rapport à des analyses orthodoxes qui nous ont poussé à la crise écologique.
Lire, Croissance durable, un oxymore obtient le prix Nobel !
Le point de vue des écologistes
Comme chacun devrait savoir, une personne qui croit encore qu’une croissance à long terme est possible dans un système planétaire clos (et dont on a déjà transgressé toutes les limites) est soit un fou, soit un économiste. L’économie orthodoxe s’est transformée en religion de la croissance, une chose abstraite dénuée de fondements matériels. Cette croyance été relayée politiquement aussi bien par la droite ou la gauche. Sarkozy voulait même aller chercher la croissance avec les dents. Mais traiter les crises financières en dopant la reprise économique a certes entraîné les Trente Glorieuse (1945-1974). Constatons que les dégâts infligés à la planète par le productivisme et la croissance à crédit se sont terminés au milieu des années 1970 par la stagflation, stagnation de l’activité économique et donc chômage accompagné par l’inflation.
C’est reparti à nouveau sur la même tendance en 2022, sauf que nous n’aurons plus d’énergies à prix très réduit comme nous l’avons eu au cours des 60 dernières années. Le « développement durable » aussi bien que la « croissance verte » sont impossibles à perdurer en l’absence de ressources naturelles en bon état. Nous allons vers une économie biophysique, de gré ou de force. Nous entrons dans l’ère de la grande crise écologique, et elle va durer au moins un siècle.
Ce prix Nobel, qui n’en a que le nom, n’est évidemment qu’une foutaise.
Et combien de trucs comme ça ? Ne serait-ce que la Légion d’honneur.
Ce n’est même pas la peine d’argumenter. Misère misère !
Tous ceux qui s’aperçoivent de cette supercherie, critiquent et dénoncent ce système corrompu inique se verront qualifiés de tous les noms d’oiseaux (tu connais la série par cœur « nazi, fascistes, machiste ») il suffit juste d’utiliser ces 3 mots pour faire perdre leur crédibilité par la terreur, combien même ils présenteraient des milliers de preuves !
Pour en revenir aux résultats déplorables, alors les milliards de dettes aussi bien officielles (3000 milliards d’euros) que les non-officielles cachées dans les hors bilan (au minimum 6000 milliards). Philosophiquement c’est le nivellement par le bas. Les artistes français pondent des navets invendables à l’international. La musique n’en parlons même pas ! Quant aux sciences physiques et biologiques ainsi que mathématique c’est la descente aux enfers.
Bref, la seule chose qu’on sait former étant des beaux-parleurs qui ne savent rien foutre, même pas capable de traiter correctement leurs sujets (comme à Scien-Po, en sociologie, journalisme, économie, chanteurs à casseroles, acteurs bidons) Que ce soit pour un film, pour un programme politique, de l’économie ou encore de la chanson, ce sont les mêmes idéologues qui ne savent pas faire fonctionner le pays et nous bassinent pour accueillir toujours plus de migrants ! (avec leur humanisme bon teint !)
T’as raison. C’est normal puisque t’as toujours raison, et que t’es le Champion. C’est vrai qu’il ne manquerait plus qu’on invente un Nobel de journalisme. Mieux… un Nobel de casseroles et un Nobel de bidons.
Je pense que dans ces deux disciplines t’en décrocherais un sans problème.
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