Quelle société voulons-nous pour la fin de ce siècle ?
Cette question nous parait si importante que nous te laissons la parole (rubrique commentaire) sur cette thématique pendant une semaine.
Si tu veux nous donner ton point de vue de façon confidentielle, nous écrire biosphere@ouvaton.org
Remarque méthodologique : Philippe Chalmain, qui vient d’écrire « le XXIe siècle raconté à mon petit-fils », estime que la population du globe se stabilisera autour de 10 milliards d’humains. D’autres pensent que les blocages d’approvisionnement de l’espèce humaine aura au contraire fait diminuer fortement la population d’ici la fin de ce siècle. Si on s’exprime ainsi, on sera hors-sujet.
La question porte sur un volontarisme, une utopie en action : par exemple, sur la question démographique (mais il y a bien d’autres problématiques), voulons-nous la liberté totale de procréation pour le XXIe siècle, une procréation encadrée, de quelle façon, etc.…
« …voulons-nous la liberté totale de procréation pour le XXIe siècle, une procréation encadrée, de quelle façon… »
Vous voulez mettre votre code (im)moral, vos caméras de surveillance, vos flics voyeurs et vos magistrats sado-maso dans le lit des amants et des époux ?
Remarque de la modératrice du blog biosphere : Faux-cul, FNET et Minus Malthus sont une seule et même personne qui se contente d’affirmer une profession de foi : « A bas le holisme des sociétés primitives, vive la liberté des sociétés libérales et individualistes modernes ! ».
Cela ne suffit pas pour établir un raisonnement sur notre blog biosphere que nous voulons sérieux et pondéré.
Merci « faux-cul » de bien vouloir tenir compte de nos observations…
Remarque de la modératrice du blog biosphere :
FNET et Minus Malthus s’expriment sur le même ordinateur. Il suffit de lire ses déclarations pour comprendre qu’il écrit pour ne rien dire, ainsi :
« Et FNE partage cette idéologie malthusienne et totalitaire ! On s’en serait douté, mais merci de l’avoir confirmé explicitement ! Tout le monde saura ainsi à quoi s’en tenir. »
Remarque de la modératrice du blog biosphere :
FNET et Minus Malthus s’expriment sur le même ordinateur. Il suffit de lire ses déclarations pour comprendre qu’il écrit pour ne rien dire, ainsi :
« Et FNE partage cette idéologie malthusienne et totalitaire ! On s’en serait douté, mais merci de l’avoir confirmé explicitement ! Tout le monde saura ainsi à quoi s’en tenir. »
Remarque de la modératrice du blog biosphere :
FNET et Minus Malthus s’expriment sur le même ordinateur. Il suffit de lire ses déclarations pour comprendre qu’il écrit pour ne rien dire, ainsi quand il veut confondre questionnement et affirmation :
« … voulons-nous la liberté totale de procréation pour le XXIe siècle, une procréation encadrée, de quelle façon… »
Vous voulez mettre votre code (im)moral, vos caméras de surveillance, vos flics voyeurs et vos magistrats sado-maso dans le lit des amants et des époux ?
C’est bien toute votre immoralité insupportable et votre totalitarisme qui se reflètent dans cette seule question. Vousne vous rendez même pas compte de ce que vous dites, c’est à peine pensable d’en être à ce niveau de nullité intellectuelle. A bas le holisme des sociétés primitives, à bas les totalitarismes prétendument scientifiques et prétendument pour le bonheur de l’humanité, vive la liberté des sociétés libérales et individualistes modernes !
Un évènement qui va dans le sens de ce que ce blog « biosphere » souhaite :
L’économie de demain abordée au 34e congrès de France Nature Environnement les jeudi 25 et vendredi 26 mars 2010 à Toulouse. Intitulé De l’insupportable au désirable, vers une économie respectueuse de l’homme et de l’environnement, il invite à une réflexion sur nos modes de consommation et de production.
Érosion de la biodiversité, remise en cause de nos modes de production et de consommation, recherche de nouveaux indicateurs, viviers d’emploi… nombreux seront les sujets abordés lors de ce congrès.
Un scénario pour la fin de ce siècle n’est en rien de la science fiction. Aujourd’hui, il est devenu évident que la limitation des ressources tirées de notre planète va bouleverser en profondeur notre économie et nos sociétés : l’écologie deviendra une variable dominante. Nous pouvons considérer comme hypothèse probable que, pendant les années 2030, la synergie des crises alimentaires, énergétiques, climatiques et démographiques va entraîner une dégradation rapide et brutale du niveau de vie à l’occidentale. Ce que nous prévoyons pour 2050 est déjà largement avéré au niveau des statistiques : la population du globe sera de 9 milliards d’hommes et de femmes, la proportion des personnes âgées de 60 ans et plus passera de 10 à 38 %, si nous consommons tout le charbon accessible, la température planétaire pourrait monter de plus de 10°C, etc. Il n’est pas besoin de beaucoup imaginer pour déterminer que la crise sera terrible et que nous devons dès maintenant nous mobiliser pour éviter le pire, c’est-à-dire la survie des sociétés les plus combatives au nom de la raison d’Etat..
Nous sommes dorénavant obligés de nous confronter aux limites de notre planète, les citoyens du monde ne peuvent pas faire l’impasse sur l’avenir de tous les êtres vivants, sauf à admettre qu’on ne s’occupe que du bien-être actuel des 20 % de personnes qui utilisent déjà 80 % des ressources de notre Biosphère.
Un scénario pour la fin de ce siècle n’est en rien de la science fiction. Aujourd’hui, il est devenu évident que la limitation des ressources tirées de notre planète va bouleverser en profondeur notre économie et nos sociétés : l’écologie deviendra une variable dominante. Nous pouvons considérer comme hypothèse probable que, pendant les années 2030, la synergie des crises alimentaires, énergétiques, climatiques et démographiques va entraîner une dégradation rapide et brutale du niveau de vie à l’occidentale. Ce que nous prévoyons pour 2050 est déjà largement avéré au niveau des statistiques : la population du globe sera de 9 milliards d’hommes et de femmes, la proportion des personnes âgées de 60 ans et plus passera de 10 à 38 %, si nous consommons tout le charbon accessible, la température planétaire pourrait monter de plus de 10°C, etc. Il n’est pas besoin de beaucoup imaginer pour déterminer que la crise sera terrible et que nous devons dès maintenant nous mobiliser pour éviter le pire, c’est-à-dire la survie des sociétés les plus combatives au nom de la raison d’Etat..
Nous sommes dorénavant obligés de nous confronter aux limites de notre planète, les citoyens du monde ne peuvent pas faire l’impasse sur l’avenir de tous les êtres vivants, sauf à admettre qu’on ne s’occupe que du bien-être actuel des 20 % de personnes qui utilisent déjà 80 % des ressources de notre Biosphère.