Secteur du logement et de la résidence. Ce secteur contribue largement au réchauffement climatique dans notre pays. En effet la surface habitable chauffée a largement augmentée depuis 1945. A cette époque on ne chauffait que la cuisine qui était aussi la pièce à vivre. On trouvait normal que les pièces moins occupées telles les chambres, ne soient pas chauffées. La surface habitable chauffée a considérablement augmenté avec la recherche de confort. De même dans les régions les plus chaudes, la climatisation est largement utilisée en été. Ce chauffage est réalisé de différentes façons : par des radiateurs électriques, par des pompes à chaleur électriques, par la combustion de gaz fossile, par la combustion de gaz renouvelable, par la combustion de fuel, par la combustion de charbon, par la combustion de bois prétendu renouvelable, par la récupération de chaleur solaire, par géothermie. Selon ces façons, le dispositif de chauffage peut être centralisé ou réparti ou par éléments distribués. Notons que le chauffage centralisé ou réparti a contribué à chauffer l’ensemble du logement. Enfin d’aucuns chauffent plus ou moins intensément selon la température désirée. Pour chiffrer et lutter contre cette gabegie de chauffage on utilise la notion de kWh thermiques par mètre carré habitable et par an. En dessous de 50 kWh/m²/an, le logement est de classe A, considéré comme performant. Au dessus de 300 kWh/m2/an le logement est considéré comme une passoire thermique. La climatisation implique également une consommation d’énergie importante, souvent électrique. On nous propose soit d’améliorer l’isolation afin de limiter le besoin de chauffage et le besoin de climatisation, soit d’utiliser des appareils de chauffage plus performants. Est-ce suffisant pour réduire rapidement la gabegie énergétique due au chauffage ? Non pour plusieurs raisons : D’abord parce que mettre en place une isolation performante sur le parc déjà construit (80 % du total) coûte cher financièrement et énergétiquement. Du coup, soit on n’isole pas assez en qualité et en nombre, soit on isole très bien au prix d’un effort énergétique important et donc de son lot de pollutions correspondant. De même remplacer des convecteurs électriques par une pompe à chaleur et ses splits, améliore bien le rendement mais coûte également très cher sur le plan énergétique. Et on sait que le retour sur investissement, dans les deux cas, se compte en dizaines d’années. Il est facile d’en déduire que les solutions proposées ne répondent pas au problème posé et l’urgence d’y remédier.
Quelles peuvent être les bonnes solutions pour diminuer la dépense énergétique liée au chauffage et à la climatisation ? La première solution est assez évidente : chauffer moins, beaucoup moins. Accepter une température relativement basse en hiver et relativement haute en été. Pour mettre en œuvre, ne chauffer que le minimum de surface (cuisine et salle à manger par exemple). Rester bien couverts dans nos bureaux et appartements. C’est simple, ça marche, c’est efficace immédiatement, ça ne coûte que quelques vêtements ou couvertures chauds. Certes notre idée du confort en prend un sale coup ! Mais n’est-il pas normal de sacrifier son confort afin de limiter le réchauffement climatique qui menace notre survie ? La deuxième solution est d’ordre social et collectif : vivre ensemble dans de plus petites surfaces. En effet, nous sommes très individualistes et considérons comme normal de nous étendre sur des surfaces habitables importantes ; en gros un individu occupe entre vingt et quatre vingt mètres carrés à lui seul. Vingt mètres carré pour une famille de quatre enfants, quatre vingt mètres carrés pour une personne âgée seule. Il est évident que la personne âgée seule peut héberger matériellement une autre personne plus jeune. Il y aurait même intérêt pour sa sécurité et la communication avec l’autre. On comprend bien que ces solutions pratiques matériellement possibles sans frais, sont à l’opposé des principes de notre société individualiste ayant peur de l’autre et de sa différence !
« Eh ben… c’est sûr que si on laissait faire les types dans votre genre, VOUS en aurez de la place. Misère misère ! »
Ne le dites à personne mais mon idéaél de répression est Rodrigo Duterte et sa méthode « spéciale » : visitez donc gogole et vous verrez de quel bois il se chauffe !
Ce seront les méthodes d’ avenir une fois que cela partira en vrille : gauchoislamocollabos , préparez – vous , cela va tanguer !
« Pour vous il n’est évidemment pas question de vivre dans une seule pièce, ni de vous geler les cacahuètes par -20°, ni d’enfiler un caleçon et un gros pull quand ça caille. »
Quand je disais que vous étiez zinzin , je ne me suis pas trompé et ai sous estimé votre démence : pour les irresponsables mais néanmoins monstrueux disciples du communisme que vous et vos copains gauchodécroissants êtes , on peut laisser la population croître à l’ infini , il suffira de les entasser dans des immeubles ultra exigus des villes puis de recréer les mêmes conditions de betonisation hors villes une fois que la population atteindra les 15 milliards d’ habitants .
Ainsi entassés dans des monades urbaines ou rurales , nous ne devrons pas craindre les hivers rudes car nous serons accolés les uns aux autres et transmettrons mutuellement notre chaleur humaine .
Quel merveilleux futur que celui-là , en rationnant la nourriture nous atteindrons vite le poids idéal requis par le politburo décroissant .
« autrement dit tous ceux que vous qualifiez allègrement (et courageusement) de « gauchodécroissants »,
voulez-vous que je vous le dise face à face ? Je ne puis en dire plus sur la manière dont je m’ occuperais de vous et de vos gauchos associés mais ce ne serait pas tendre !
« part ça, qu’est-ce que vous pensez du projet écologique de Christian Rozé ? Déjà sur la mobilité (1/4) , c’est marrant vous n’avez rien à dire. »
Je me fous de C. Rozé et de plus , il doit sûrement appartenir à votre groupe de polpotiens avérés .
Vous m’ inspirez le plus profond mépris et je regrette que le jour où tout partira en vrille , je ne pourrai personnellement m’ occuper de votre cas . (biosphere , aux armes )
Eh ben… c’est sûr que si on laissait faire les types dans votre genre, VOUS en aurez de la place. Misère misère !
Et BIOSPHERE, qu’est ce qu’il en dit de ce chouette programme ?
J’ai fait une affreuse fôôôte de grand-mère (misère misère), alors je corrige :
– si […] , VOUS en auriez de la place !
Et à part ça, où est passée la nouvelle « modération » ? En vacances peut-être…
« Qui sont ces « agités du bocal » qui croient que nous ne pourrions pas vivre en dehors des villes ? »
Mais vous pardi et vos copains gauchodécroissants et le très jovial , onctueux et généreux Aries , que seul un misérable de mon acabit peut avoir l’ outrecuidance et l’ infinie témérité de railler .
Si l’ on vous écoutait , la population en serait réduite à se nourrir de presque rien , à vivre dans des locaux ultra exigus (1 pièce devrait suffire) , à ne pas utiliser de convecteur au gaz / poêle mais se contenter de gros chandails en laine et pantalon en velours côtelé même si la T° extérieure est de – 20°C .
D’ ailleurs l’ acharnement plus que suspect des décroissants à ne pas s’ inquiéter de la croissance démographique les discrédite pour de bon .
« Et qu’est-ce qui explique l’exode rural, partout sur la planète ? »
la pauvreté due à une natalité galopante et un phénomène de déversement du trop – plein de population vers le miroir aux alouettes que sont les villes
Moi (moâââ) … qui dit que nous ne pourrions pas vivre en dehors des villes ? Celle-là aussi faut l’encadrer ! En attendant c’est bien ce que je disais précédemment, tout ce que vous racontez là, mon pôôôvre MARCEL, c’est le monde à l’envers, autrement dit du GRAND N’IMPORTE QUOI.
Ceci dit, à part raconter n’importe quoi et cracher sur tous ceux qui ressemblent de près ou de loin à des anti-identitaires-malthusiens d’extrême extrême droite, autrement dit tous ceux que vous qualifiez allègrement (et courageusement) de « gauchodécroissants », de « gôôôchistes », « bisounounours » et Jean Passe, autrement dit tous ceux qui vous ne ressemblent pas … à part ça, qu’est-ce que vous pensez du projet écologique de Christian Rozé ? Déjà sur la mobilité (1/4) , c’est marrant vous n’avez rien à dire. Au sujet du logement (2/4) c’est bon on a compris. Pour vous il n’est évidemment pas question de vivre dans une seule pièce, ni de vous geler les cacahuètes par -20°, ni d’enfiler un caleçon et un gros pull quand ça caille.
Question(s) … De combien de mètres carrés avez-vous BESOIN ? De combien de degrés ? De combien de grains de riz ? etc. etc.
Si nous voulons viser l’ autarcie énergétique ou alimentaire , je ne vois pas comment nous y parviendrions avec une telle masse de consommateurs même en ayant réduit fortement leurs consommations !
On adressera un sourire narquois à ceux qui voudraient nous « comprimer » dans de vastes monades urbaines et faire croire que nous pouvons à la fois nous alimenter avec quelques grains de riz par jour (un repas par jour) ce qui est jugé sufffisant pour ces agités du bocal impregnés de communisme), vivre dans des clapiers ou enfiler de gros pulls et pantalons épais afin de ne pas trop chauffer des locaux exigus des nouvelles sociétés décroissantes .
Une fois de plus en ces matières , 2 écoles s’ affrontent : l’ école malthusienne ,réaliste, qui ne nie pas la nécessité de réduire la consommation mais préconise surtout la réduction massive de la présence humaine et l’ autre , à tendance communiste , qui ne s’ appuie que sur la réduction de la consommation alimentaire / énergétique .
Ces naîfs mourront de faim mais le tout de façon conviviale en maintenant des rapports humains onctueux , terme utilisé par le génial Silverberg .
Sacré MARCEL va ! Bien sûr vous ne voyez pas (et patati et patata) .
Mais déjà, qui sont « ceux qui voudraient nous « comprimer » dans de vastes monades urbaines » … et « nous alimenter avec quelques grains de riz par jour » ? Qui sont ces « agités du bocal » qui croient que nous ne pourrions pas vivre en dehors des villes ?
Ce que vous racontez là, c’est le monde à l’envers, non ? Et qu’est-ce qui explique l’exode rural, partout sur la planète ?
Alors SVP , comme dit l’autre, halte au sketch !
Là également j’adhère à 100% . Au moins ça nous change du discours habituel qui se limite à parler d’isolation et d’appareils faibles cons-ommation.
Je pense moi aussi qu’il est bon de commencer par rappeler comment nous vivions (et comment nous nous chauffions) dans les années 50-60 … de combien de mètres carrés nous avions besoin, de combien de KWh d’électricité, etc. etc. Et puis de comparer avec tout ce dont nous avons besoin et « besoin » aujourd’hui.
Le problème, c’est que nous nous sommes salement embourgeoisés. Autre problème, cette réalité est particulièrement difficile à admettre, elle vient trop ébranler la belle image que nous nous plaisons à cultiver de nous.
On dira que les bourgeois ce sont les AUTRES, ceux qui ont des yachts de luxe, des jets privés, des tas de résidences secondaires, avec piscines etc. etc. On dira que les années 60 c’était le Moyen-Age, que dis-je, l’âge des cavernes. Et puis on qualifiera de « kmers » et/ou de « bisounounours » ceux qui prônent la frugalité, la simplicité, la solidarité. Et pour finir, alors que ça chauffe de plus en plus, on dira qu’aujourd’hui la clim c’est indispensable ! Et même que la clim … c’est vital ! Misère misère !