Secteur de l’agriculture et de l’élevage. Ce secteur est également responsable de l’émission de GES. A la fois par l’élevage mais aussi par l’agriculture intensive.
On sait que l’élevage des bovins est producteur de gaz méthane, un GES bien plus néfaste que le gaz carbonique. On sait aussi que les engrais et produits phytosanitaires utilisés en agriculture intensive nécessitent beaucoup d’énergie et mêmes d’hydrocarbures pour leur fabrication. Ici encore la concurrence mondiale implique de plus des transports fort polluants. L’agriculture et l’élevage tels que pratiqués aujourd’hui, ne sont pas compatibles avec la lutte contre le réchauffement climatique ni avec la préservation de la biodiversité.
Que nous propose t on pour changer cette situation désastreuse ? Rien ! En fait l’agriculture et l’élevage sont vus comme une production industrielle. Idem que vu ci-dessus !
Que pouvons nous faire, quelles solutions sont bonnes pour lutter contre le réchauffement climatique ? Premièrement, il faut que la production agricole et l’élevage visent uniquement à nourrir les hommes et ce de manière saine. Deuxièmement, il faut abandonner la culture intensive au profit de la permaculture, du maraîchage et revenir à de petites fermes. Ces petites fermes pratiquant également un élevage de proximité. En effet combiner agriculture et élevage crée des synergies intéressantes de nature à réduire le gâchis et la pollution. Troisièmement, il faut réduire la proportion de viande dans notre alimentation. En effet, manger trop de viande nuit à notre santé et nuit à l’environnement. Réduire cette proportion dans nos pays riches semble une évidence.Quatrièmement, il faut restaurer l’humus des sols afin que les plantes retrouvent un développement en symbiose avec la terre. Ce qui suppose également de savoir attendre que les plants s’installent et s’acclimatent à leur implantation.
De la part de notre correspondant Christian Rozé
Ben oui, c’est évident, de tous les côtés il faut … Alors YACA !