brochure, sommes-nous trop nombreux ?

Jacques Véron, démographe membre de l’INED, avait publié un livre, « Démographie et écologie » en 2013. Il y écrivait :

« La stabilisation de la population mondiale apparaît comme indispensable, et il serait souhaitable qu’elle intervienne le plus rapidement possible. »

Aujourd’hui il vient d’éditer une brochure de 90 pages, « Parlons démographie en 30 questions » (la documentation française). Le premier thème traité, « Sommes-nous trop nombreux ?» Il ne répond pas à la question qu’il se pose, le mot surpopulation lui est inaccessible ! Il se contente de constater que nous sommes passés de 1 à 8 milliards en deux siècles et que la répartition spatiale est très inégale. Il fait quand même un dernier paragraphe intitulé «  l’indispensable stabilisation du nombre des humains , reprenant mot pour mot son antienne de 2013. Voici l’intégrale de son discours :

« La pression démographique ne peut accroître sans limites, mais les couples restent libres de déterminer le nombre de leurs enfants. Pour qu’une stabilisation de la population mondiale soit possible, ce qui implique que la fécondité poursuive sa baisse, il importe que les pays les moins développés puissent bénéficier de meilleures conditions de vie de manière à ce que les couples qui y vivent effectuent de véritables choix en matière familiale. Le maître mot est le développement. »

Il n’en dira pas plus ! Pourtant son livre de 2013 disait plein d’autres choses, en particulier au niveau des citations :

– Les hommes se multiplient comme des souris dans une grange s’ils ont le moyen de subsister sans limitation (Richard Cantillon, 1755)

– Le prince de Condé, après une bataille au cours de laquelle quelque 6000 soldats auraient péri dans ses rangs : « Une nuit de Paris remplacera cela. »( Mirabeau, 1759)

– Julian Huxley, le premier président de l’UNESCO, dénonçait en 1955 la pression sur les ressources de la planète exercée par la croissance de la population, qu’il qualifiait de « cancer de la planète ».

– Il est aisé de remontre l’enchaînement causal de la détérioration. Trop de voitures, trop d’usines, trop de produits détergents, trop d’insecticides, trop d’analgésiques, trop peu d’eau et trop de dioxyde de carbone – la cause de ces maux, on la retrouve aisément dans l’excès de population. (Paul Ehrlich, 1968)

– La liberté de reproduction est pour Garrett Hardin inacceptable puisque les familles ne dépendent pas de leurs propres ressources pour vivre, mais bénéficient des apports de sociétés tournées vers le bien-être de leurs membres. (1968)

– Il n’y a pas, dans la nature, de don gratuit (Barry Commoner, 1971)

– Ce que l’économie considère comme une « production » (l’exploitation des forêts primaires par exemple) est souvent considéré par l’écologie comme une « destruction ». (René Passet, 1979)

Et pour conclure cette pensée de Mr Véron en 2013 : « L’humanité est, en dernier ressort, confrontée à un dilemme. Si la population chinoise augmente moins vite en raison de la politique de l’enfant unique, mais que chaque Chinois change de mode de vie pour se caler sur celui d’un Européen moyen, il est à prévoir que la pression environnementale ne diminuera pas. »

30 réflexions sur “brochure, sommes-nous trop nombreux ?”

  1. Véron est un grand promoteur de la géothermie dans laquelle il voit une élément important de la transition énergétique qui seule pourrait mener à un développement durable et à la baisse de la natalité.
    Ce qui motive, je dirais presque de manière inconsciente, le rejet de tout ce qui pourrait mettre en cause cette vision , et par conséquent la nécessité d’une décroissance démographique qui ne soit pas le résultat d’un développement durable, pourtant illusoire, surtout dans les pays les moins développés.

  2. Réponse à DIDIER BARTHES 9 OCTOBRE 2022 À 21:37
    Mon cher Didier… je me souviens très bien vous l’avoir déjà dit… si un jour le hasard veut que je me retrouve devant un de vos stands, ou à une de vos conférences, croyez bien que je viendrais vous saluer. Vous serrer la main ne me dérangera pas, je vous montrerais même ma carte d’identité si vous y tenez. En attendant, je n’ai aucune intention de forcer le hasard.
    Blagues à part, quoique, je vois bien que vous êtes encore là en manque d’inspiration. Pour ne pas dire coincé, dans les cordes. Alors vous me renvoyez la patate chaude, le mistigri, la baballe… en espérant bien sûr faire un smache et gagner la partie, c’est de bonne guerre comme on dit :
    – Ping : Que fait-on quand on a moqué « y a ka » et écrit trois fois « misère » ?
    ( à suivre )

    1. – Pong : Pourquoi, mon cher Didier, me posez-vous cette question, alors que vous n’avez pas répondu à la mienne ? Toutefois à vôtre «Que fait-on ?» voici ma réponse, mon yaka : Ben, on continue, pardi ! Et à chacun sa came, en attendant !

      Ceci dit, à ma première question vous auriez pu me répondre : Ben, yaka et faukon continuer à parler Surpopulation, à faire des conférences, écrire des articles, des bouquins etc. Et ceci afin de briser le Tabou, réveiller les consciences etc. etc.
      Ce à quoi j’aurais répondu : Bon qu’on en finisse, on peut toujours rêver, admettons maintenant que, par je ne sais quel miracle (que Dieu nous en préserve) … 95% des politiques (je n’ose même plus dire «écologistes», de toute façon ça ne veut plus rien dire)… soient devenus malthusiens. Et maintenant, mon cher Didier, pouvez-vous nous dire comment vous imaginez la Suite ?
      ( à suivre )

      1. parti d'en rire

        De mon côté j’imagine le sketch que ça pourrait donner si le hasard voulait que je me retrouve à l’une de vos messes :
        – Ah ? Monsieur Michel … nous ne vous entendons plus… Nous sommes désolés, nous avons un petit problème technique, que nous allons tenter de réparer au plus vite. En attendant, merci Monsieur Michel C d’avoir participé à faire progresser le «Débat», et nous vous applaudissons !

  3. Marcel Duterte

    N’ oublions pas non plus nos compagnons sur pattes domestiqués ou sauvages qui eux aussi ont droit à un espace vital préservé mais que l’ expansion infinie du sinistre bipède ronge chaque jour un peu plus .
    Les forêts , montagnes, lacs, fleuves ont aussi le droit de ne pâs être traités à la découpe ou
    pollués ou voir leur cours rectifié par l’ envahisseur .

  4. Marcel Duterte

    Il est probable que M. Veron se soit fait taper sur les doigts par les gauchistes à la Lebras ,
    d’ où sa position en retraite .

    1. Jacque Véron en retraite … et depuis quand ?
      Quoi qu’il en soit, à 72 balais il l’a bien méritée sa retraite, non ?

  5. Didier BARTHES

    Bien sûr qu’on est trop nombreux. La moindre en connaissance en écologie (au sens scientifique du terme) permet de savoir que nos effectifs sont d’un ordre de grandeur environ 1 000 fois supérieur à celui d’une espèce prédatrice de notre taille. Mais 95 % des écologistes politiques ignorent l’écologie scientifique.

    1. Puisque c’est comme ça je recommence, un radotage de plus, pour rien bien sûr.
      Alors admettons, qu’on le soit, trop nombreux, admettons même que 95% des écologistes soient des nazes, pas foutus de regarder la réalité en face et tout ce que vous voudrez. Et maintenant, en quoi sommes-nous plus avancés, hein ?
      Autrement dit, et maintenant qu’est-ce qu’on fait… c’est quoi le yaka etc. hein ?

      1. Didier BARTHES

        Mais je ne comprends pas l’intérêt de vos commentaires destructeurs des avis des autres. Car ce raisonnement que vous appliquez aux discours des autres, vous pourriez tout aussi logiquement l’appliquer à vos propres propos.
        Que fait-on quand on a moqué « y a ka » et écrit trois fois « misère » ?
        Bon et puis puisque nous sommes dans la répétition : quand vous dévoilez-vous pour qu’on discute à égalité ? Quand venez-nous nous voir sur nos stands, conférences et salons ? Ce serait quand même plus sympa de se serrer une fois la main.

      2. Je t’ai déjà démontré par la preuve que c’était possible de baisser la natalité d’un pays ! Je t’ai présenté le cas de l’Algérie qui avait baissé son taux autour de 2 enfants par femmes à la fin des années 90 et début 2000 puis dans les années 2010 a redressé le taux de natalité à plus de 3 enfants par femme !!! C’est bien la preuve que le pays dispose de moyens efficaces pour faire baisser le taux de natalité mais que c’est une question de volonté politique ! Ce pays peut très baisser le taux ! Dont oui YAKAVOULOUIR POURPOUVOIR !

  6. Marcel Duterte

    « C’est bien ce que disais précédemment, ce sur quoi je concluais À 11:00 . »
    Seriez – vous dur de comprenure ?
    Pour vous , les avis de Dufumier , Pison et du rédacteur du journal la décroissance sont parole d’ évangile alors que ceux de leurs opposants sont quantité négligeable .
    Surpopulation signifie qu’ il y a un excès de population en un endroit donné : elle peut être territoriale (trop d’ humains sur un territoire étriqué (Belgique) où l’ on se marche dessus et où bétonne à mort ce qui reste de nature) ou alimentaire (les agriculteurs n’ ont pas les moyens de subvenir aux besoins même modestes de la population) .
    Bon , je vais de ce pas pisser dans un champ pour stimuler la pousse des betteraves du fermier local : il sera content car il ne paiera rien pour cet apport d’ engrais 🙄🙄

    1. Et vous, mon “cher“ marcel, seriez-vous vous aussi dur de comprenure ?
      Si surpopulation signifie qu’il y a un excès de population en un endroit donné (sic), la question est juste de savoir ce qu’il en est au niveau planétaire.
      Et je redis que cette question n’a aucun sens. Aucun sens, tant qu’on ne dit pas une bonne fois pour toutes POUR QUOI. Trop nombreux pour quoi ?
      Si c’est pour vivre comme des américains, ou comme des porcs, alors là c’est sûr 8 milliards c’est TROP. Si c’est pour vivre comme des érythréens, ou des amish, ou seulement pour assurer la survie de notre espèce, là je pense que c’est plus pareil.
      ( à suivre )

      1. Quoi qu’il en soit, vous comme moi, Pierre-Paul et Jacques sans oublier Didier, ni pouvons rien ! On peut pleurnicher et radoter tant qu’on veut, et même se bouffer le nez, chier sur tout ce qui bouge si ça nous amuse ou si ça nous fait du bien… en attendant personne ne peut agir sur la tendance.
        La tendance qui est ce qu’elle est. Tout au plus… on peut se fixer comme objectif 8,9 milliards, en 2050… en se disant que 8,9 milliards reste préférable aux 10,6 milliards du «scénario haut» du simulateur de l’INED.
        ( MICHEL C 5 OCTOBRE 2022 À 10:26 etc. sur “8 milliards d’humains, débat avec Emmanuel Pont”)
        Seulement quand on passe son temps à dire que 8 milliards c’est trop, c’est horrible etc. que 7 aussi, et que pour Bien faire il faudrait que nous soyons je ne sais plus combien, si ce n’est tout juste quelques millions… avouez quand même qu’il y a là de quoi se moquer un peu. C’est donc ce que je fais. 🙂

      2. A part qu’il n’y a rien de plaisant à galérer à survivre à passer son temps à galérer quotidiennement à chercher de la nourriture, les gens ne veulent pas survivre, ils veulent vivre ! Voilà toute la nuance ! Surtout survivre tout au long de sa vie ne branche personne ! Ben oui, survivre c’est un peu jouable lorsqu’on est jeune, mais à partir de 35/40 ans les gens ont envie de poser et de vivre ! Puis le temps des chasseurs cueilleurs n’est plus possible puisque la majorité des sols a été artificialisée ! On ne peut pas faire survivre 8 milliards d’individus de chasse et de cueillette c’est absolument impossible ! Donc toutes tes bêtises n’ont aucun sens, d’ailleurs tes bêtises on en voit les résultats au Sri Lanka qui a voulu passer au bio concernant l’alimentaire, ben oui du coup il n’y en a plus assez pour toute la population ! Un vrai désastre !

      3. Le cas du Sri Lanka devrait te faire réfléchir ! (mais j’en doute que tu en sois capable, car par mauvaise foi et par ego tu iras jusqu’au bout de la bêtise humaine !)

        Dans un monde où tous les individus passent leur temps à survivre il n’y a plus vraiment de loisir ! Ni plaisir de vivre ! Ton projet ne peut être accepté car les individus ne renonceront jamais aux plaisirs ! Par ailleurs, dans un monde où tous les individus se doivent de survivre, il ne peut y avoir que des conflits permanents pour accéder aux ressources, car c’est plus facile et rapide de piller que de chercher et transformer manuellement les ressources (donc transformer les ressources sans énergies fossiles implique de recourir à la force motrice humaine)

      4. Marcel Duterte

        Trop nombreux car toutes les terres n’ ont pas la même productivité et qu’ il est prudent de ne pas trop les solliciter pour nourrir une quantité gigantesque de personnes
        Utilisées à fond les manettes et donc très fragilisées les terres deviennent beaucoup moins productives .
        Devinez ce qui se passera le jour où la plupart seront stériles même en Europe(Ukraine + Russie incluses) / USA.
        Au fait , l’ impitoyable régulatrice qu’ est dame nature , cette méchante créature qui ose réguler le merveilleux bipède , est malthusienne car elle conditionne la survie d’ une espèce à l’ abondance ou non des ressources

  7. Marcel Duterte

    A partir du moment où un pays ne peut vivre en autarcie alimentaire ou ne peut nourrir entièrement sa population , on peut parler de surpopulation dans ce pays : on en revient au postulat malthusien qui stipule l’ adéquation du chiffre de population avec les ressources disponibles

    Un pays comme la Gelbique est surpeuplé car il importe divers produits alimentaires commes les cérales, le tournesol , la moutarde , …..pour combler ses insuffisances agricoles

  8. Depuis le temps je croyais que la question était résolue. Mais non, la preuve. Mon dieu ce qu’on se répète ! En attendant. D’ailleurs je pense que je vais écrire un bouquin sur le sujet.
    Je l’intitulerais «Obsession».
    « Sommes-nous trop nombreux ? » Jacques Véron ne répond pas à la question… qu’il se pose… le mot surpopulation lui est inaccessible ! (sic)
    Giles Pison, également, s’oppose au terme «surpopulation»… il a du mal à cacher son scepticisme, et s’amuse (sic) des «solutions» soutenues par l’association Démographie Responsable. ( Surpopulation ou extinction : Avec 10 milliards d’humains en 2050, que deviendra l’espèce humaine ? 23 janvier 2021- cnetfrance.fr )
    Que doit-on en déduire ? Que ces deux démographes ne comprennent rien à leur sujet d’étude? Qu’ils n’ont pas les yeux en face des trous, qu’ils sont englués dans le Tabou ?

    1. Esprit critique

      « Sommes-nous trop nombreux ? » Cette question n’a aucun sens.
      Si ce n’est bien sûr celui que lui donnent les Malthusiens. Tout le reste n’est que du verbiage, du radotage etc. Bref, tout ça ne nous avance absolument à rien. Rien de bon en tous cas.

    2. Évidemment il n’y a que toi qui a les yeux en face des trous et qui comprend les sujets d’étude sur Terre ! Bref, en aucun cas tu ne démontres par des arguments soutenus de preuve que ces démographes ont tort, tu te contentes de le proclamer par des déclarations brutes !

      Désolé mais lorsque des famines à répétition se produisent sur Terre tous les ans ce sont déjà des preuves factuelles que nous sommes trop nombreux, surtout lorsque la nourriture parcourent plusieurs milliers de kilomètres avant d’atteindre l’assiette, c’est qu’il y a un grave problème ! Ça prouve que de nombreux pays n’ont aucune autonomie alimentaire, et qu’ils sont dépendants de ressources fossiles en voie de déplétion pour espérer se remplir le ventre sans pourtant obtenir un bon équilibre alimentaire par la diversité des aliments indispensables pour rester en bonne santé !

      1. Parti d'en rire

        Ne commence pas ton grand n’importe quoi, que je démontre pas et patati et patata ! J’ai cité une source, commence par la lire. Et puis si ça ne te va pas, je t’invite à t’adresser à Giles Pison ou à l’INED.
        Tu peux aussi écrire un bouquin. Celui-là c’est promis je l’achèterais, je le rangerais à côté de ceux de Botul.

    3. Enfin s’il y a des obsédés de croissance démographique regarde toi dans le miroir car tu découvriras que c’est plutôt toi que l’obsession concerne !

      D’ailleurs j’attends toujours l’inventaire de toutes les ressources naturelles dont alimentaires sur lesquelles tu espères pouvoir faire vivre 8 à 12 milliards d’habitants ? Avec quelles ressources tu vas pouvoir faire vivre dignement tous ces gens ?

    4. Marcel Duterte

      Gilles Pison de l’ INED 😁😁 ne peut cacher son scepticisme : normal vu que son maître en manipulation , désinformation agitpropiste , le sinistre sbire socialomondialiste Lebras a dû le (dé) former .
      Pison est le pendant pour la démographie de Dufumier pour l’ agriculture , c’est dire et n’ oublions pas , de l’ opinion de ces gens peu crédibles , on se fout éperdument .

  9. A partir du moment où il y a des famines dans le monde la réponse est oui ! Chaque territoire est censée avoir une autonomie alimentaire par rapport au nombre d’habitants. Or ce n’est pas le cas. D’autant que le transport de nourriture d’un bout à l’autre de la planète est un semblant d’autonomie alimentaire artificiel qui n’est pas durable puisque dépendant des énergies fossiles en voie d’épuisement ! Comment fera t on pour transporter la nourriture sans pétrole ? De même que les engrais et phosphates eux aussi sont en voie d’épuisement, pourtant ils participent à la production agricole et par ricochet à l’élevage, mais comment fera t on lorsqu’il n’y en aura plus ? Actuellement, la famine n’affecte que quelques centaines de millions de personnes, mais sans pétrole sans engrais et sans phosphate les famines tueront en milliards d’individus… ET ce scénario se rapproche de plus en plus vite sur l’échelle du temps !

    1. Esprit critique

      Si ce ne sont que les famines qui font la réponse, alors on peut dire que ça fait une sacrée plombe que nous sommes (qu’ils sont ) trop nombreux.

      1. Ben oui ça fait une sacrée plombe que nous sommes trop nombreux ! Déjà rien qu’en poissons on prélève plus de poissons qu’ils n’ont le temps de se reproduire ! Et ça fait des décennies que ça dure ! Et réintroduire des poissons n’a rien de simple ! Par exemple sur le Rif marocain des bains de poissons ont disparu, les usines à poissons ont fermé, et les tentatives de réintroduction d’espèces poissonnières ont échoué ! Aucun poisson ne se réinstalle là où des bans de poissons ont disparu…

      2. Arrête avec tes railleries à 2 balles ! Genre il n’y a que toi qui réfléchit ! La bonne blague ! Alors que tu ne réponds pas à la question cruciale qui permet de trancher la question de manière lucide, sur quelles ressources naturelles comptes tu faire vivre tous ces gens ? Allez l’inventaire chiffré avec localisation géographique de ces ressources, je t’écoute ?

    2. Marcel Duterte

      Certains zozos pseudo ecolos des merdias français ont trouvé la solution pour combler l’ insuffisance prochaine des engrais : l’ utilisation de l’ urine (humaine ou animale) , pissons donc joyeusement dans les champs 🤣🤣🤣🤣🤣

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