Recensions de livre grâce à l’association JNE
..• Que crève le capitalisme, ce sera lui ou nous – Hervé Kempf (JNE) – >> lire
..• Sauvons les forêts – les 10 actions pour (ré)agir ) – Nathalie Tordjman (JNE) – >> lire
..• La fabrique de l’obésité, enquête sur un fléau planétaire – Yves Leers (JNE) – >> lire
..• Et si… on libérait notre imagination pour créer le futur que nous voulons – Rob Hopkins – >> lire
..• Réparons le monde – Humains, animaux, nature – Corine Pelluchon – >> lire
..• Bienvenue dans ma maison zéro déchet – Julie Niel-Villemin. Illustrations Bérengère Staron – >> lire
..• L’agenda 2021 du jardinier bio – Blaise Leclerc – >> lire
..• Flore de Dordogne – Bernard et Nicole Bédé – >> lire
..• Une vigne bio dans mon jardin – Sonja et Toni Schmid – >> lire
..• Des arbres fruitiers dans mon jardin – Jean-Marie Lespinasse et Danielle Depierre-Martin – >> lire
..• Identifier arbres et arbustes en toutes saisons – Rita Lüder – >> lire
..• L’Adieu aux insectes ? Pourquoi ils disparaissent – Vincent Albouy, Denis Richard et Pierre-Olivier Maquart – >> lire
..• Le lièvre invisible – Olivier Borne et Michel Bouche – >> lire
..• L’exode urbain. Manifeste pour une ruralité positive – Claire Desmares-Poirrier – >> lire
..• Comment saboter un pipeline – Andreas Malm – >> lire
..• Le tour du France du littoral. Regard d’un géologue – François Michel – >> lire
Opinions et débat
Climat : jusqu’où seriez-vous prêt à aller ? par Michel Sourrouille >> lire
Vive l’ensauvagement par Jean-Claude Génot >> lire
Catastrophe Lubrizol : l’absence de contrôles par Gabriel Ullmann >> lire
Bye, bye, l’âme des étangs de Corot par Bernard Boisson >> lire
Tchekhov, un écolo du désespoir par Jane Hervé >> lire
L’écologie en quête d’incarnation nationale .. par Michel Sourrouille >> lire
Si la suggestion biosphérique ne vous tente pas, si rien que les titres vous filent le blues, je vous invite à lire “Le beaujolais nouveau est arrivé“, de René Fallet. Une petite histoire sympa, avec l’amitié, la joie de vivre et la simplicité en toile de fond. René Fallet mérite lui aussi d’être connu.
Oui mais, quel rapport avec l’écologie, notre cause commune, notre dada, me demandera t-on. Lisez-le et vous verrez, répondrais-je. René Fallet disait : «Le cheval n’est pas le meilleur ami de l’homme, c’est le vélo : car il n’y a pas de boucheries vélocipédiques.» René Fallet adorait le vélo, c’est lui qui est à l’origine de la plus belle des courses cyclistes, Les Boucles de la Besbre.
Les livres c’est très bien et très nul simultanément, c’est à dire que ce sont toujours les mêmes personnes qui les lisent ! C’est toujours le même public, ce sont toujours les mêmes lecteurs déjà sensibilisés par les causes environnementales. Bref, les livres ne permettent pas d’informer un plus large public. D’ailleurs, il en est de même avec les conférences, Jancovici s’est aperçu que ce sont toujours les mêmes personnes dans le public. D’où d’ailleurs le fait que Jean-Marc propose de former les individus directement en Entreprise pour les causes environnementales. En outre, il y a aussi les médias Tv et journaux, mais là pareil, les journalistes ne diffusent pas forcément les bonnes informations.
Bref, voir la vidéo de Jean-marc sur youtube intitulée = »Jancovici Enjeux climatiques et énergétique que faire face à la contrainte carbone OMP SD »
Dessus, il expose mathématiquement de ce qu’il en ressort de la lecture des rapports et livres.
Quels sont les tarifs de Janco pour ses conférences ? Quoi qu’il en soit si les entreprises paient pour les prestations d’un conférencier ce n’est pas pour rien. C’est comme pour la Pub, Business as usual !
Je ne dirais pas que les livres c’est très nul, là je crois entendre mon petit-fils quand il râle, je dis seulement que nous en avons beaucoup trop. Comme beaucoup de choses. Les bibliothèques débordent et on en rajoute toujours plus. Si encore tous ces nouveaux bouquins nous apprenaient quelque chose. Même pas. Qu’y a-t-il que nous ne sachions pas du capitalisme depuis le temps ? Et pour sauver les forêts, etc. Quant au mode d’emploi pour décoloniser son imagination et/ou son imaginaire, eh ben justement il faut lire. Quand je pense à tous ces bouquins qu’il faudrait avoir lu au moins une fois dans sa vie, tous ces bouquins qui pour le coup valent largement les arbres qu’il a fallu couper… là il faudrait que je vive au moins mille ans.
Ce n’est pas la lecture et l’intérêt de la lecture que je remets en question. Si tu avais suivi le filon, tu aurais compris que j’expliquais que pour changer les comportements et lutter contre le consumérisme ambiant, les livres sont quasiment inutiles parce que ce sont toujours les mêmes lecteurs qui achètent et lisent les livres concernant la préservation de l’environnement et tous les sujets qui y sont associés. Bref, contrairement à la télévision et Internet qui sont des autoroutes de la communication (à la différence près qu’on ne peut pas répondre à ses interlocuteurs à la télé comparativement à Internet). les livres impliquent un effort de compréhension que peu de gens sont prêts à consentir, ou n’ont pas le temps. D’ailleurs, c’est bien pour ça que les multinationales privilégient la télé et internet et non pas les livres pour nous matraquer de publicité, c’est autrement plus efficace.
D’autant que les gens par les écrans consomment des informations sans avoir besoin de réfléchir, ce qui réjouit davantage les multinationales, il n’y a pas de réflexion pouvant semer le doute de permise à travers les écrans, on se doit de croire aveuglément ce que dit la télé (d’ailleurs c’est l’argument préféré des enfants pour donner du crédit à leurs propos que tel ou tel truc soit passé à la télé)