L’euthanasie et le suicide assisté restent illégaux au Royaume-Uni. Mais si une personne souffrant d’une maladie incurable ou en phase terminale prend l’initiative de demander l’aide d’un parent ou d’un ami intime, ce dernier est dorénavant en droit de lui rendre ce service en toute légalité. A condition qu’il soit entièrement motivé par la compassion et que son concours se limite à une aide ou une influence mineure. Encore faut-il que le futur défunt ait émis un souhait clair, définitif et informé de se suicider (LeMonde du 26 septembre). Donc, si j’ai bien compris, un conjoint peut aller avec son malade en Suisse, pays qui a déjà légalisé le suicide assisté.
Cela me fait penser aux avortements illégaux pratiqués en Suisse par les Françaises qui subissaient avant 1975 les lois populationnistes de 1920. Avant la naissance ou au moment de la mort, il n’y a pas en soi de définition d’une vie digne d’être vécue ; tout dépend d’une élaboration sociale. Quelle décision philosophico-politique prendre dans le cas des Alzheimer qui n’ont de la dignité humaine que l’apparence charnelle ? Quelle décision philosophico-politique prendre dans le cas des fins de vie dans des hôpitaux-prisons-mouroirs ? L’acharnement des partisans de la vie malgré tout me paraît incompréhensible. Il me paraît plus sain d’empêcher la perte de biodiversité et l’extinction des espèces plutôt que de vouloir préserver la vie des humains qui ne servent plus à rien. Mais j’aurais un certain respect pour les personnes qui militent à la fois pour les deux causes, il y aurait en effet une certaine logique !
Les personnes qui militent à la fois contre l’extinction des espèces et pour la vie malgré tout méritent un certain respect. Ce double engagement montre que ces personnes veulent sans doute protéger les plantes et les malades, les animaux et les vieux, la planète et les humains.
Beau programme quand on y réfléchit cinq secondes…
Les personnes qui militent à la fois contre l’extinction des espèces et pour la vie malgré tout méritent un certain respect. Ce double engagement montre que ces personnes veulent sans doute protéger les plantes et les malades, les animaux et les vieux, la planète et les humains.
Beau programme quand on y réfléchit cinq secondes…
Charité bien ordonnée commence par soi même…
Pour la question du titre : à rien comme la vie des plantes, des animaux et de tout ce qui vous est soit disant cher.
C’est une belle question philosophique et vous avez une belle réponse utilitariste. Tu ne sers à rien tu peux mourir. Quand la deep écologie rejoint les objectifs du libéralisme. On comprend mieux l’amour de NS pour la taxe carbone.
Eliminons les parasites, les bouches inutiles, les malades, les vieux, les enfants, les débiles, les alcooliques, les tuberculeux, tous les déficients et puis aussi ceux qui ne pensent pas comme vous car ils sont dangereux pour la planéte.
Une bien bonne odeur faisandée des années 30 du siècle précédent.
Encore une foi quand on est convaincu qu’on est dangereux pour la planète on commence par montrer l’exemple. Finalement la vie a du bon, quand on y réfléchit cinq secondes.
Charité bien ordonnée commence par soi même…
Pour la question du titre : à rien comme la vie des plantes, des animaux et de tout ce qui vous est soit disant cher.
C’est une belle question philosophique et vous avez une belle réponse utilitariste. Tu ne sers à rien tu peux mourir. Quand la deep écologie rejoint les objectifs du libéralisme. On comprend mieux l’amour de NS pour la taxe carbone.
Eliminons les parasites, les bouches inutiles, les malades, les vieux, les enfants, les débiles, les alcooliques, les tuberculeux, tous les déficients et puis aussi ceux qui ne pensent pas comme vous car ils sont dangereux pour la planéte.
Une bien bonne odeur faisandée des années 30 du siècle précédent.
Encore une foi quand on est convaincu qu’on est dangereux pour la planète on commence par montrer l’exemple. Finalement la vie a du bon, quand on y réfléchit cinq secondes.