en hommage à tous les morts pour Charlie,
nous ne parlons pas aujourd’hui d’écologie,
mais uniquement de la liberté de réfléchir en paix…
en hommage à tous les morts pour Charlie,
nous ne parlons pas aujourd’hui d’écologie,
mais uniquement de la liberté de réfléchir en paix…
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C’est bien ce blog qui publiait en 2010 un article élogieux sur ces femmes qui choisissent volontairement de porter la burqa pour résister à l’oppression des méchants laïques ?
Larmes de crocodile aujourd’hui…
Josèphe
Rappelons que ces braves gauchistes ont proposé la suppression du FN : de grands démocrates qu’ on vous dit !
Inutile de pleurer sur leur sort mais plutôt sur celui des Français de souche assassinés par ces braves mahométans à la religion d’ amour et de paix .
L’idée de « crime contre l’islam » est un non sens éthique
C’est une bien sinistre reconnaissance qu’avait acquise le dessinateur Charb Stéphane Charbonnier au sein de la sphère djihadiste internationale. En mai 2013, le directeur de Charlie Hebdo avait été placé sur la liste des personnalités les plus détestées et ciblées par Al-Qaida. L’obstination du journal à revendiquer la publication des caricatures du Prophète n’avait fait qu’attiser la haine des extrémistes islamistes.Dans le numéro dix du magazine trimestriel de langue anglaise, Inspire, parfait manuel de l’apprenti djihadiste, Charb apparaissait sous la bannière : « Recherché mort ou vif pour crimes contre l’islam ». Sa tête était alors mise à prix avec celles du dessinateur danois Kurt Westergaard, auteur d’une caricature de Mahomet en 2005, du penseur indien Salman Rushdie ou du pasteur américain Terry Jones accusé d’avoir insulté le Prophète.
LE MONDE du 8 janvier 2015, Charb, cible désignée de la revue d’Al-Qaida au Yémen
rappel sur la liberté de communication des pensées et des opinions
La chambre de la presse et des libertés avait prononcé en 2006 un jugement dont chaque ligne condamnait par avance toute atteinte à la liberté d’expression de Charlie-Hebdo : « Attendu que Charlie Hebdo est un journal satirique, contenant de nombreuses caricatures que nul n’est obligé d’acheter ou de lire, à la différence d’autres supports tels que des affiches exposées sur la voie publique ; attendu que toute caricature s’analyse en un portrait qui s’affranchit du bon goût pour remplir une fonction parodique (…) ; attendu que le genre littéraire de la caricature, bien que délibérément provocant, participe à ce titre à la liberté d’expression et de communication des pensées et des opinions (…) ; attendu qu’ainsi, en dépit du caractère choquant, voire blessant, de cette caricature pour la sensibilité des musulmans, le contexte et les circonstances de sa publication dans le journal Charlie Hebdo, apparaissent exclusifs de toute volonté délibérée d’offenser directement et gratuitement l’ensemble des musulmans ; que les limites admissibles de la liberté d’expression n’ont donc pas été dépassées (…). »