La décroissance économique est notre destin. Qu’on l’appelle croissance négative, récession ou dépression, la crise écologique et financière devient une composante structurelle de la civilisation thermo-industrielle. Même un journal aussi croissanciste que LeMonde commence à se poser la question de manière de plus en plus affirmée dans son numéro du 14-15 novembre 2009.
Ainsi Pierre-Antoine Delhommais, qui ne savait parler que de croissance économique, s’inquiète : « Après le spectre de 1929, celui de 1937. Seule la seconde guerre mondiale a vraiment permis à l’économie américaine de surmonter sa grande Dépression. » Ainsi l’article de Sylvia Zappi sous le grand titre La crise relance le thème de la décroissance : « Jusqu’alors cantonnées à des économistes en marge ou d’écologistes radicaux, les théories des décroissants progressent. Il y a deux ans à peine, la thématique effrayait. Parler de sobriété économique était synonyme de limitation du progrès, on raillait ceux qui voulaient revenir à la bougie, même les Verts se méfiaient du mot. le jugeant trop « raide ». Depuis, la crise a sévi, la récession est là. La critique d’un système économique fondé sur la seule croissance des biens et de la consommation est générale. Le vocabulaire présenté dans cet article fluctue : « Plutôt que de décroissance, il s’agit d’une autre croissance » ; « croissance verte » ; « croissance sélective » ; « croissance des « biens essentiels » et/ou décroissance des « biens superflus » » ; « décroissance sélective et équitable » ; « décroissance des activités inutiles et polluantes ». Mais la tendance à la décroissance volontaire est bien présente.
Médias ou citoyens, nous commençons tous à prendre conscience de la stupidité d’une croissance matérielle exacerbée confrontée aux limites de notre petite biosphère.
L’homme est capable du meilleur et du pire, car il a un libre arbitre (si il le veut) et c’est ce qui le différencie des animaux . Les humains ne sont pas supérieurs aux animaux mais simplement ont suivis un chemin d’évolution différent. Chaque être vivant a sa place sur terre.
Enfin, espérons qu’il se rende compte en évoluant que c’est mieux de donner le meilleur que le pire…
L’homme est capable du meilleur et du pire, car il a un libre arbitre (si il le veut) et c’est ce qui le différencie des animaux . Les humains ne sont pas supérieurs aux animaux mais simplement ont suivis un chemin d’évolution différent. Chaque être vivant a sa place sur terre.
Enfin, espérons qu’il se rende compte en évoluant que c’est mieux de donner le meilleur que le pire…
A mon tour :
« Espérance
Les hommes parlent et rêvent sans cesse de jours futurs meilleurs. On les voit courir et s’élancer vers un but fortuné, un but doré. Le monde vieillit, puis rajeunit, mais toujours l’homme espère une amélioration.
L’espérance l’introduit dans la vie; elle voltige autour de l’enfant joyeux; son charme brillant séduit le jeune homme; elle n’est pas ensevelie avec le vieillard : car, s’il termine, épuisé, sa course dans la tombe, au bord même de cette tombe, il plante encore…l’espérance.
Ce n’est pas une vaine et flatteuse illusion, engendrée dans le cerveau des fous. Au fond du coeur ce cri s’élève et le proclame : « Nous sommes nés pour un état meilleur » et ce que dit la voie intérieure n’abuse pas l’âme qui espère. »
Friedrich Schiller
A mon tour :
« Espérance
Les hommes parlent et rêvent sans cesse de jours futurs meilleurs. On les voit courir et s’élancer vers un but fortuné, un but doré. Le monde vieillit, puis rajeunit, mais toujours l’homme espère une amélioration.
L’espérance l’introduit dans la vie; elle voltige autour de l’enfant joyeux; son charme brillant séduit le jeune homme; elle n’est pas ensevelie avec le vieillard : car, s’il termine, épuisé, sa course dans la tombe, au bord même de cette tombe, il plante encore…l’espérance.
Ce n’est pas une vaine et flatteuse illusion, engendrée dans le cerveau des fous. Au fond du coeur ce cri s’élève et le proclame : « Nous sommes nés pour un état meilleur » et ce que dit la voie intérieure n’abuse pas l’âme qui espère. »
Friedrich Schiller
et maintenant, un peu de poésie :
Les humains se sont égarés dans le maquis de la chimie et de la technique,
Ils se verront contraint de rebrousser chemin, même si c’est pénible.
Il leur faudra découvrir à quel moment ils se sont fourvoyés
Et faire la paix avec la Biosphère.
Ce faisant, ils pourront peut-être retrouver le rythme de la vie
Et l’amour des choses simples,
Ce qui leur sera source d’une joie toujours renouvelée.
et maintenant, un peu de poésie :
Les humains se sont égarés dans le maquis de la chimie et de la technique,
Ils se verront contraint de rebrousser chemin, même si c’est pénible.
Il leur faudra découvrir à quel moment ils se sont fourvoyés
Et faire la paix avec la Biosphère.
Ce faisant, ils pourront peut-être retrouver le rythme de la vie
Et l’amour des choses simples,
Ce qui leur sera source d’une joie toujours renouvelée.