Écologie, le patron de Renault déconne grave

Le président de Renault, Jean-Dominique Senard, répond n’importe quoi aux questions du MONDE. Il rend même ridicule l’idée de « capitalisme responsable » aux yeux des commentateurs du monde.fr.

LE MONDE : N’y a-t-il pas un manque de cohérence de la part de l’État entre son plan de soutien à l’automobile et l’application des préconisations de la convention citoyenne pour le climat avec notamment la taxe sur le poids des véhicules ?

Jean-Dominique Senard : Je considère que la taxe sur le poids est complètement inutile. La demande se porte sur des véhicules plus gros. Or, le client est roi. Je ne vois pas pourquoi on devrait le culpabiliser ainsi. En France, la voiture est déjà taxée 20 % de plus qu’en Allemagne. On veut préserver les emplois dans la filière automobile ? Commençons par alléger la fiscalité sur la mobilité. Nous nous retrouvons brutalement dans une situation où il faut régler des questions sociales sans avoir pu les anticiper. On a le droit de nous demander d’évoluer, de restructurer, d’innover, mais il faut aussi nous donner les moyens d’anticiper.

Pm42 : Hilarant : « Or, le client est roi. Je ne vois pas pourquoi on devrait le culpabiliser ainsi ». Un trafiquant de drogue pourrait tenir le même discours en forçant à peine le trait.
Mais en restant dans le domaine de la voiture, je ne vois pas pourquoi il y a des taxes sur les émissions de CO2 non plus : « le client est roi ». Et la planète, on s’en fout.

Imprécateur : Le client est roi certes, mais on lui fait acheter n’importe quoi ! Bourré par la pub, la mode… je doute qu’il est encore le sens critique et le discernement ! La première motivation d’achat est la suivante :  » T’as vu mon auto, hein ! » Le problème est que lorsqu’il en descend il est un peu plus con qu’en y montant car il a cru chatouiller les étoiles !

Acropora : Jean-Dominique Senard ne se rend pas compte combien il est ridicule de tenir des propos comme « le client est roi ». Un vrai dinosaure inconscient de sa prochaine disparition…Tous les voyants sont au rouge et il continue de vivre dans l’ancien monde. Que va-t-il nous proposer pour pallier le réchauffement climatique: augmenter la taille de la climatisation dans ses SUV? Son projet de société (comme celui des compagnies aériennes) est clair: laissez-nous (entreprises privées) continuer nos profits et que l’état prenne à sa charge les dégâts que nous causons. Juste lamentable!

Emmanuel Lazard : Fabuleux ! Les conséquences de l’augmentation de CO2 sont connues depuis le début du XXe siècle (Arrhenius). Dès les années 1980, on s’inquiète (création du GIEC en 1988). Cela fait 20-30 ans que les chercheurs alertent régulièrement sur cette catastrophe annoncées. La société civile se joint à eux depuis quelques années.
Mais Renault n’a pas pu « anticiper » les changements législatifs !

Bergeist : Je trouve hallucinant que le patron d’un grand groupe automobile affirme qu’ils n’ont pas pu anticiper la changement en cours. Il était auparavant patron de Michelin et ne vivait pas dans une yourte en Mongolie profonde. De fait, il avait pleinement connaissance, si ce n’est conscience, de la vague de fond qui arrivait : dieselgate, contraintes environnementales, contraintes de circulation. Si cette méconnaissance de sa part sur ces évolution visible à l’œil nu est vraie, c’est qu’une fois de plus, les teams de direction des entreprises édulcorent les messages négatifs et finissent par croire à leur propre chimère. Ce fut le cas de Bull à une époque… et on a vu où ils sont allés… La pire cécité, c’est la volonté de ne pas voir – on aurait espéré mieux de ce monsieur.

domlyon :J’ai beau tourner le pb ds tous les sens, l’idée de « carte de rationnement » reste de loin la meilleure, la plus efficace et a l’avantage de ne pas « stigmatiser » les possesseurs de grosses berlines et SUV. Carte à x litres/an depassement =10 €/l ou plus) L’idée : quand on prend sa bagnole, c’est qu’on en a vraiment besoin.

LE MONDE : Vous militez pour l’émergence d’un capitalisme responsable. Quelle sera sa nature dans un contexte où les entreprises doivent lutter pour leur survie ?

Jean-Dominique Senard : La question n’est pas de savoir s’il faut faire des profits, il faut en faire. Mais si l’on ne
fait que cela, on condamne le capitalisme à un rejet profond. L’enjeu porte sur l’éthique, la manière dont nous faisons ce profit, en prenant en compte les questions sociales et environnementales. C’est cela qui va distinguer le capitalisme européen du
reste du monde.

zut alors : « La demande se porte sur des véhicules plus gros. Or, le client est roi. Je ne vois pas pourquoi on devrait le culpabiliser ainsi. » Peut être pour essayer de sauver ce qui reste de notre planète… Capitalisme responsable ? Il n’en n’est visiblement pas un échantillon !

J.François : Le capitalisme n’est pas responsable. Ce n’est pas très difficile à constater sur les dernières décennies. Vu que le capitalisme n’est pas responsable, il est du rôle de l’Etat de le réguler. Et c’est la qu’est le problème, puisque tout Etat tentant de le réguler se voit menacer de délocalisation, fuites de capitaux, récession etc. Face à l’écologie, chaque secteur défend son bout de gras pour ne pas être touché. En résulte un bel immobilisme. C’est ça le capitalisme responsable.

C. du Lac : Un capitalisme responsable n’existe pas. Il faut tenir les dirigeants personnellement responsables pour l’effet néfaste de leurs entreprises sur la société. Une réelle possibilité d’une peine de prison, c’est motivant.

20 réflexions sur “Écologie, le patron de Renault déconne grave”

  1. En plus du manque de cohérence et du déni de réalité, des uns et des autres, je pense qu’il faut aussi dénoncer l’hypocrisie. Et là c’est pareil, il y a de quoi en remplir des livres : «Nous voulons concentrer sur la France nos productions à valeur ajoutée dans l’électrique. Il faut nous en donner les moyens. Le coût de production est un sujet. Être aidé avec des primes à l’acquisition de véhicules électriques, c’est bien. Ce sera encore mieux si les constructeurs obtiennent un soutien pour baisser les coûts de production». (Jean-Dominique Senard)
    Et bien sûr des idiots vont défendre cette idée. Pas plus que Volvo qui use de la même ficelle pour verdir son image, Renaud ne va pas renoncer à fabriquer des bagnoles et des moteurs thermiques à pétrole. Non, le pétrole a encore de beaux jours devant lui. Tout ça ils le construiront à l’étranger, là où ça leur rapportera un max de blé.

    1. Et en plus ce monsieur a le culot de demander à l’Etat de le soutenir pour baisser les coûts de production ! Mais que veut-il, aligner les salaires français sur ceux des marocains ? OK, mais alors qu’on le dise, qu’on l’explique. Qu’on nous explique les salaires, les dividendes, les retraites chapeaux etc. etc. Qu’on balance toutes les cartes sur la table !

    2. Le pétrole de beaux jours devant lui ?
      1/ On a déjà consommé plus de la moitié des réserves mondiales, c’est déjà brûlé on ne pourra pas le récupérer. Le Pic pétrolier conventionnel c’est 2008
      2/ Sur l’autre moitié restante, il y a un peu près 1/3 de ces moins de 50 % restants qui ne sont pas rentables, comme celui du Venezuela.
      3/ en 1900 le retour énergétique était de 100 barils récupérés pour 1 investi. Aujourd’hui le taux est inférieur à 10 pour 1 investi (ça fluctue entre 3 et 10 de récupéré pour 1 investi selon localisation puits de pétrole.
      4/ Sur ces moins de 50 % restants, il y a aussi une part significative de pétrole de schiste mais implique la fracturation hydraulique qui détruit l’environnement et assèche des zones aquifères.

      1. En outre
        5/ la France importe de moins en moins de pétrole depuis 2001 (et 2008 à l’échelle européenne) d’où le fait que JM Le Pen soit passé au second tour dès 2002, la baisse énergétique de 2001 s’est fait immédiatement ressentir
        6/ On est de plus en plus nombreux sur Terre a consommer des quantités de plus en plus grandes de pétrole alors que les productions et approvisionnements de pétrole vont décliner dans les années à venir
        7/ Les pays qui produisent du pétrole, voient aussi leur population augmenter, comme par exemple l’Algérie et l’Arabie Saoudite, autrement dit ces pays vont consommer plus de pétrole en interne et vont en exporter beaucoup moins vers les autres pays c’est à dire la France et l’Europe. En l’occurrence nous européens on aura de moins en moins de pétrole. D’ailleurs l’Arabie Saoudite a récemment annoncé qu’elle réduirait sa production quotidienne.

        1. Bref, les générations des Baby-boomers qui sont à la tête de toutes les entreprises françaises et européennes auront dilapidé les ressources naturelles pour pouvoir continuer de jouir de profits immédiats, de biens inutiles (piscines, yacht, bateaux de plaisance, jetski, résidences secondaires voir plus, etc) et de retraites chapeaux, tout en refourguant toutes les conséquences négatives aux générations suivantes (pollutions, dettes, destructions des artisans et entreprises locales en France, destruction de l’humus sur les terres agricoles, sécheresses, et leurs ribambelles de migrants vivant d’économie sous-terraine)

      2. Dire que le pétrole a encore de beaux jours devant lui ne veut pas dire qu’on continuera à le brûler pendant encore 100 ans ou 50 ans comme on le fait aujourd’hui. Non, seulement un certain temps. Donc, en attendant, Renaud-Volvo et Compagnie continueront à nous vendre des bagnoles à pétrole, des petites et des grosses. Peut-être de moins en moins de grosses, on verra bien. Et en même temps ils nous vendront des bagnoles électriques, toujours plus. On appelle ça la Transition (piège à cons). Et un jour, peut-être qu’ils nous vendront des bourrins et des chariotes. Et en même temps des vélos et des brouettes. C’est bon, c’est plus clair dit comme ça ?

        1. Oui mais tu as oublié l’essentiel =

          Les énergies renouvelables c’est bien, les politiciens non renouvelables c’est mieux !

  2. On peut imaginer qu’il défend l’intérêt (ou ce qu’il croit être l’intérêt) de son entreprise ou de sa branche industrielle
    Mais on peut aussi imaginer qu’il fait partie de la majorité des gens qui n’ont pas encore compris que nous allions devoir changer complètement de direction. Curieusement je crois (je crains ?) que c’est le plus probable.
    Il a tort, mais je ne me moquerais pas excessivement. Après tout, il y a bien une grande majorité des écologistes qui pensent que l’on peut-être autant de milliards que l’on veut sur la planète et qui se moquent éperdument de la disparition de tous les animaux que cela suppose. Au moins, le dirigeant de Renault n’a pas la prétention de se dire porte parole de la défense de la nature

    1. Il y a surtout une grande part de connivence entre entreprises et gouvernement. C’est un système auto-bloquant ! Le gouvernement donne la directive d’impératif de croissance auprès des entreprises.C’est à dire que notre État a trop de charges courantes mensuellement. Comment dire ? Il y a trop de rentiers sociaux en France (retraités, chômeurs, personnes handicapées, migrants et fonctionnaires inutiles planqués derrière un bureau, bref des bull-shit jobs créés par les pouvoirs publics pour faire baisser artificiellement le chômage. Aussi des entreprises zombis qui perçoivent des subventions) Du coup le gouvernement a besoin d’énormément de recettes pour entretenir tout ce beau monde, et le gouvernement veut percevoir le maximum de Tva et autres taxes pour pouvoir continuer de distribuer aux rentiers sociaux, sinon ça serait la famine et beaucoup de familles ruinées.

      1. Autre problème étant que l’industrie a monopolisé les moyens de production devenus trop performant, du coup les industries ont monopolisé aussi les marchés Les marchés ne sont plus partagés, on le voit bien chaque entreprise veut étendre son marché sur l’ensemble de la planète Terre. Et ça la monopolisation des moyens de production étant lié aux machines devenues trop performantes et à la dilapidation des énergies fossiles pour les faire fonctionner Du coup ça créée de nombreux chômeurs De plus ces entreprises délocalisent vers des endroits où la main d’œuvre est payée au lance-pierre, la performance des machines ne leurs suffisent pas pour faire des profits ! Mais délocalisent aussi vers des zones où il n’y a aucune norme de protection de l’environnement. Bref, on n’est plus dans une société artisanale où les moyens de production sont partagés par le plus grand nombre d’individus et où les marchés seraient beaucoup plus locaux et non planétaire

        1. Normalement, les industries devraient être en incapacité de vendre leurs produits depuis très longtemps ! En effet la productivité des robots devenue trop performante créée du chômage de masse. Et normalement une économie saine c’est je t’échange quelque chose contre quelque chose, je t’échange une force de travail contre une autre force de travail. Et donc s’il n’y a plus assez de travailleurs, il n’y a plus assez de salaires de versés pour que les entreprises puissent écouler leurs stocks de biens et services produits. Et malgré tout, les entreprises ont réussi à écouler leurs stocks massifs mais non pas en distribuant et partageant des salaires (comme le système fordien) mais en endettant les populations en les noyant de crédits, ainsi que les gouvernements qui s’endettent aussi pour verser des rentes sociales

        2. . Sans oublier les quantitative easing, les hélicoptères de monnaie, etc. Bref on n’est plus dans un système d’échange de force de travail contre une autre force de travail, mais au prix d’un surendettement tant au niveau privé que public. Et tout cette monopolisation industrielle est liée à l’énergie ! Les chefs d’entreprise des multinationales ne sont pas Shiva avec 8 paires de bras et de jambes, ils ne travaillent pas plus qu’un artisan, ils ne sont pas plus performant qu’eux d’ailleurs, c’est juste qu’ils ont à disposition des méga-robots, et ils parviennent encore à rechigner à payer correctement le peu d’ouvriers qu’ils ont pour piloter ces robots. Et je dirai même plus ces chefs d’entreprise ne sont pas plus performant qu’un chômeur, car généralement les machines et robots qu’ils ont à disposition ce ne sont même pas eux qu’ils les ont inventés eux-mêmes, mais bien souvent des ingénieurs payés au lance-pierre !

        3. Tout ce que tu décris là porte un nom, économie de marché, autrement dit capitalisme. L’essence du capitalisme est l’accumulation (toujours plus), qui repose sur l’exploitation et le vol. Le capitalisme possède une formidable capacité à s’adapter, muter, engloutir et «recycler » tout ce qui lui fait obstacle, il est aujourd’hui dans une phase libérale et mondialisée que ses curés nous présentent comme étant la modernité, etc. etc. Tout ça nous le savons. La connivence n’est pas seulement entre entreprises et gouvernements, nous sommes tous ou presque de connivence.
          – «Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.  » (Étienne de La Boétie)

        4. – «Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » (Étienne de La Boétie)

          –> Non parce qu’ils tiennent les gens par le ventre et la brutalité étatique !

        5. -> Et impossible de rivaliser économiquement, parce qu’ils sont de connivence aussi avec la finance. Par exemple, imaginons que je voudrai lancer une entreprise avec un nouveau produit, moi ou monsieur Michu n’aura que ses piètres économies pour se lancer et que si je veux un emplacement ou terrain spécifique pour lancer le projet, ils pourront toujours surenchérir gràce à la production monétaire, et monsieur Michu étant limité par ses économies ne pourra suivre l’enchère. Bref, ces multinationales siphonnent aussi le projet des autres. C’est bien pour ça qu’ils ont à disposition des équipes de détecteurs de projets et de juristes pour flouer tout le monde. D’ailleurs on le voit aussi que les innovations créées par des petites Pme se font siphonner par ces multinationales de connivence avec la finance pour racheter le projet des autres sans effort mais uniquement par la production monétaire. Bref, on n’est plus une société au mérite non plus !

        6. @ BGA 14:17 : « Non parce qu’ils tiennent les gens par le ventre et la brutalité étatique ! […] Par exemple, imaginons que […]  »

          Commence donc par lire Le Discours de la servitude volontaire de La Boétie. Ensuite imagine, justement, ou imaginons, nous en avons grandement besoin… que plus aucun con sot mateur ne veuille du dernier SUV de chez Renaud-Volvo et Compagnie, que tous désertent les temples de la consommation, cessent de boire du Coca-Cola, de regarder TF1 etc. etc. On peut toujours rêver, non ?
          Que crois-tu qu’il se passerait ? Crois-tu que les Macron, Senard, Roux de Bezieux et Compagnie enverraient la troupe pour amener de force tous ces mécréants communier ?

    2. On peut imaginer aussi qu’il est comme Macron et la majorité d’entre nous. Chacun essaie de défendre son bout de gras. Que ce soit sa petite ou sa grosse entreprise, son pays, sa chapelle ou sa religion, celle du Progrès et de la Croissance ou telle autre, peu importe. Bref, chacun défend comme il peut son petit ou son grand confort, ses idées, ses rêves et ses délires. Plus exactement son équilibre vital. Et en même temps, chacun de nous sait bien qu’il faudrait changer de cap. Plus facile à dire qu’à FAIRE.
      Alors c’est vrai, il n’y a pas lieu de se moquer excessivement. Comme pour tout, faisons le avec modération. Dans la juste mesure quoi.

  3. Hilarant, fabuleux, hallucinant, invraisemblable, formidable, phénoménal, monumental etc.
    C’est vrai le patron de Renault déconne grave. Mais faut quand même pas s’en étonner. Que pourrait-il faire d’autre ? Et que font les autres patrons et autres dirigeants à la dérive, à la ramasse ? Pareil, ils déconnent grave.
    Avec toutes ces déclarations toutes aussi hilarantes, fabuleuses etc. les unes que les autres, on pourrait remplir des pages et des pages . Or ici nous sommes limités à 999 caractères. 🙂
    De toutes façons d’autres se chargent, de commenter et de compiler toutes ces âneries qui font notre quotidien. Ne serait-ce que pour vendre leur quotidien, hebdo ou mensuel. Ou encore leur dernier article ou sketch. Comique c’est un métier.

    1. De toutes façons the Show must gon on ! Aux conneries rajoutons d’autres conneries, toujours plus.
      Et Macron en septembre dernier, n’a t-il pas déconné grave avec sa blague sur la lampe à huile et les Amish ? C’est sûr, sur ce coup le comique a bien fait rigoler les patrons des entreprises «French Tech», qu’il a bien brossés dans le sens du poil avec l’autre blague «La France c’est le pays des Lumières, c’est le pays de l’innovation [et blablabla] « .
      Après ces conneries croisons les doigts pour que les Amish et les producteurs de fromages ne nous déclarent pas la guerre. Eh oui, parce qu’avant d’être le pays des Lumières (éteintes) et des innovations (à la con) la France c’est le pays des fromages. Et ça Manu aurait dû le dire, ne serait-ce que pour montrer à la crémière qu’il pense toujours à elle. Ben oui, c’est bien ce qu’il nous avait promis non ? Le beurre et en même temps l’argent du beurre et en prime le c.. de la jolie crémière.

      1. Et le roi dans cette histoire, qu’est ce qu’il fait le roi, hein ?
        Oui le roi, le client, le con sot mateur quoi. Après la révélation Coca-Cola-TF1, lorsque Patrick Lelay a eu le toupet de lui balancer les quatre vérités en pleine gueule, qu’est ce qu’il a fait le roi ? Il a foutu le feu à TF1, il a arrêté de boire du Coca, il est passé à la vodka, peut-être ?
        Le roi ne serait-il finalement qu’un pauvre pion ? Ou alors serait-il devenu fou, lui aussi ? Qu’est-ce qu’ils en pensent les joueurs d’échecs ? 🙂

Les commentaires sont fermés.