Guy Sorman sort de l’IEP et de l’ENA, il ne peut qu’approuver les thèses économiques libérales. Il croit donc que l’économie est une « science puisqu’elle part des faits constatés » (LeMonde du 10 septembre). Or l’économie est cette prétendue science, aussi élaborée que l’était la médecine du temps de Molière, qui théorise le mode d’enrichissement le plus injuste et le plus malsain, qui justifie par là-même l’ordre socio-politique national et international que cela implique, et qui, par la modélisation mathématisée, parvient à faire oublier le caractère arbitraire du « fait économique » tel qu’il se produit.
Sorman prétend que l’économie ne ment pas, croissance et libre-échange sortent à son avis les masses humaines de la pauvreté, mais il avoue ne pas savoir prédire l’avenir. Pourtant page suivante du Monde, le scientifique (parce que biologiste) David Suzuki annonce ce qui vient puisque « l’humanité continue de foncer à 100 km/h dans un mur, presque aveuglément. Pour infléchir la tendance, il faudrait renoncer à l’impératif de croissance économique. » Il a été plus impressionné par les recherches de Rachel Carson sur l’impact des pesticides dans la chaîne alimentaire que par la vulgate des économistes. Il n’oublie pas qu’aucune activité humaine n’est infaillible : « Vous, Français, avec vos centrales nucléaire, vous êtes assis sur des bombes à retardement. »
Sorman est invalidé par une autre information du Monde, « les trois quarts du patrimoine génétique agricole mondial ont disparu au XXe siècle ». La mondialisation (le libre-échange) est en effet responsable de la disparition de nombreux aliments autochtones et d’une standardisation des habitudes de nourriture. Le libéralisme a donc fait disparaître la diversité des aliments indigènes, aussi bénéfiques pour la santé, sinon plus que les aliments de base des régimes occidentaux. Sans compter que l’appauvrissement du patrimoine génétique en agriculture fait peser des menaces sur l’avenir de nos monocultures, de plus en plus fragiles face aux insectes. Sur ce point aussi, il faut relire « le printemps silencieux de Rachel Carson (1962), récemment réédité par wildproject. Mais les économistes libéraux ne savent lire qu’une seule sorte de littérature…
La Terre : un climat régulé, et propice à la vie.
Pourquoi le Soleil était-il autrefois moins chaud qu’aujourd’hui ?
Le Soleil tire son énergie des réactions thermonucléaires qui transforment, en son cœur, l’hydrogène en hélium. Au fur et à mesure que la proportion d’hélium augmente, le cœur se densifie et se contracte car l’hélium est plus dense que l’hydrogène. La production d’énergie augmente avec la densité. Le Soleil a donc vu sa luminosité augmenter de plus en plus vite, de 27% environ depuis 4,5 milliards d’années, dont 5% au cours des six cents derniers millions d’années. En pratique, c’est surtout la taille du Soleil qui varie plus que sa température de surface. La luminosité continuera à augmenter dans le futur, à peu près au même rythme, et il est probable que la Terre connaîtra le destin de Vénus dans quelques milliards d’années. (Peut être moins de 2 milliards d’années.)
Peut-on vraiment affirmer que la Terre a adapté son atmosphère à l’évolution du Soleil pour maintenir un climat propice à la vie ?
Il existe réellement des mécanismes géophysiques qui contrôlent le climat en le ramenant vers un régime propice à l’eau liquide et donc à la vie telle que nous la connaissons. Ainsi, le cycle des carbonates-silicates semble capable de réguler la concentration de gaz carbonique dans l’atmosphère afin d’assurer en permanence un effet de serre suffisant pour maintenir l’eau à l’état liquide :
Le dioxyde de carbone de l’atmosphère se dissout (sous forme d’acide carbonique 1. HCO3-) dans l’eau douce des pluies qui lessivent les continents, et dissout aussi les silicates et les ions calciums (Ca2+) ou magnésium (Mg2+) des sols.
Transportés dans les océans, les ions se combinent pour former des carbonates 2. (CaCO3) qui se dépose au fond des océans. De nos jours, cette réaction est presque entièrement effectuée par les êtres microscopiques du plancton qui utilisent les carbonates pour fabriquer leurs coquilles…
A terme, les mouvements tectoniques entraînent le plancher océanique dans le manteau par « subduction », où une partie des carbonates est dissociée à haute température avant d’être recyclée dans l’atmosphère via les volcans.
A l’échelle géologique, ce cycle contrôle la quantité de CO2 présent dans l’atmosphère et son effet de serre. En effet, le taux de “consommation” du CO2 atmosphérique dépend directement de l’intensité des précipitations et du cycle de l’eau, lui-même d’autant plus fort que les températures sont élevées. En d’autres termes, plus il fait chaud, plus le système consomme du CO2. L’effet de serre diminue.
Si, il fait froid, les précipitations et le lessivage sont fortement réduits. Le CO2 émis par les volcans s’accumule dans l’atmosphère et intensifie l’effet de serre. Une telle régulation a pu stabiliser le climat terrestre par le passé.
Source : Climat Eau Vie (Institut de Jussieu) là ou travaille le vice-président du GIEC
Commentaire :
En suivant la logique des derniers paragraphes, le froid et à fortiori la glace sont un écran à l’absorption du CO2
Autre logique ce n’est pas l’homme qui est responsable de la désertification de certaines contrées Africaines ou d’Asie et ailleurs, mais le manque de pluies suffisamment abondantes, la désertification étant un processus naturel qui existe depuis très longtemps. En contre partie l’exploitation forestière sauvage et abusive est néfaste de-même que l’assèchement des marécages pour gagner des terres cultivables, dans le but de nourrir la population et les animaux domestiques.
Il y a un autre problème qui peut être source de danger pour la continuité de la vie sur Terre, c’est la démographie galopante, avec un besoin de plus en plus fort de ressource et d’espace pour survivre. (Comme expliqué tout en haut plus la luminosité du soleil augmente, en même temps que son volume, plus il fait chaud.) Instaurer une fiscalité climatique, est une utopie qui prouve que nos soi-disant spécialistes n’ont rien d’autre à proposer et ce qui de toute façon ne résoudra pas le problème, et surtout n’arrêtera pas le processus du cycle de vie du soleil. La seule solution intelligente c’est l’installation de filtres partout ou cela est nécessaire, ainsi que le contrôle de la démographie galopante.
Depuis les années 80 la montée des températures qui s’est accentuée très fortement et de façon brutale dans les années 90 jusqu’à nos jours trouvent sa source fondamentale dans les incendies de forêts d’origine humaine auxquels s’ajoute l’incendie criminel des puits de pétroles au Koweït.
Avant l’arrivée du gaz naturel (années 50/60) dans nos foyers l’utilisation du charbon dans nos cuisinières pour la cuisine et également pour le chauffage était généralisée, ajouté aux cheminées d’usines cela faisait du monde à rejeter du CO2 et autres GES et pourtant les températures étaient plutôt stables ou en dessous des moyennes normales. (Exemple -0,3°c en dessous de la moyenne normale en 1962/63, au contraire en 1998 : +0,5°c (le record))
Ce qui est anormal l’été n’étant pas fini, depuis plusieurs jours, nous avons des températures matinale en aquitaine digne d’un mois de février quand aux après-midi c’est guerre mieux avec des températures de l’ordre de 17 à 18°c, nous sommes toujours en été jusqu’au 23 septembre. Nous ne pouvons pas dire qu’il s’agit là de réchauffement climatique.
N’oublions pas que l’hiver 2008/2009 a été l’un des plus froid. (Le froid est bien plus meurtrier que la chaleur)
Il y a une question qui se pose, et dont la réponse devient urgente : Comment nourrir de plus en plus d’êtres humains avec une terre de plus en plus exploitée ? Les ressources s’amenuisent petit à petit. Que faut-il faire ? Créer une taxe spécifique parce que les gens mangent trop? Ce qui ne résoudra pas le problème de la famine. Ou bien lancer une campagne de stérilisation de l’être humain pour l’empêcher d’avoir plus de deux enfants, c’est-à-dire juste ce qu’il faut pour la continuité de l’espèce. N’oublions pas que la France a vu sa population augmenter de 50% depuis la fin de la dernière guerre, elle est passée à plus de 60 millions. D’après certains spécialistes, c’est encore 20 millions d’habitants de plus d’ici 2050 qui peupleront la France. Il va bien falloir trouver à les loger et surtout à les nourrir (on ne pourra pas compter uniquement sur le Bio) et ce sera autant de sources en plus de CO2 (l’homme dans son processus de respiration rejette du CO2) va-t-il falloir lui imposer un filtre sur le visage, ou le taxer parce qu’il pollue en respirant ? Pire va-t-on devoir faire comme au Japon ou à une certaine époque ils supprimaient les vieux devenu inutiles ?
Allons messieurs soyez sérieux, et faite des propositions crédibles qui tiennent la route, pas du n’importe quoi. (La taxe Carbonne ne résoudra jamais les problèmes de GES)
Si les eaux de mer deviennent de plus en plus acides la faute en revient aux incendiaires criminels, après une végétation complètement brulée, la terre à nu, la pluie lessive le sol et le tout se retrouve à la mer via les rivières, ce sont les végétaux sur terre qui captent en premier le CO2 et s’en nourrissent, en contrepartie ces mêmes végétaux nous fournissent de l’oxygène, qui ne vient pas que de la mer, c’est là leur utilité et notre protection. .
En résumé, il convient de faire en sorte que les criminels incendiaires ne puissent plus nuire et ne puissent plus détruire nos forêts, il convient de contrôler également l’exploitation forestière, ce sont les végétaux qui jouent le rôle de nettoyeur de l’atmosphère et de régulateur, ne l’oublions pas. Chaque fois qu’il y a des incendies en forêt avec plusieurs milliers d’hectares brulés, c’est autant d’espace qui n’assure plus son rôle de purificateur et de régulateur de l’atmosphère et cela pour très longtemps.
Ps : l’Argentine aurait perdu 70% de sa forêt, autant d’espace qui ne joue plus son rôle de régulateur et d’épurateur de l’atmosphère
Christian-Bernard Vidal
La Terre : un climat régulé, et propice à la vie.
Pourquoi le Soleil était-il autrefois moins chaud qu’aujourd’hui ?
Le Soleil tire son énergie des réactions thermonucléaires qui transforment, en son cœur, l’hydrogène en hélium. Au fur et à mesure que la proportion d’hélium augmente, le cœur se densifie et se contracte car l’hélium est plus dense que l’hydrogène. La production d’énergie augmente avec la densité. Le Soleil a donc vu sa luminosité augmenter de plus en plus vite, de 27% environ depuis 4,5 milliards d’années, dont 5% au cours des six cents derniers millions d’années. En pratique, c’est surtout la taille du Soleil qui varie plus que sa température de surface. La luminosité continuera à augmenter dans le futur, à peu près au même rythme, et il est probable que la Terre connaîtra le destin de Vénus dans quelques milliards d’années. (Peut être moins de 2 milliards d’années.)
Peut-on vraiment affirmer que la Terre a adapté son atmosphère à l’évolution du Soleil pour maintenir un climat propice à la vie ?
Il existe réellement des mécanismes géophysiques qui contrôlent le climat en le ramenant vers un régime propice à l’eau liquide et donc à la vie telle que nous la connaissons. Ainsi, le cycle des carbonates-silicates semble capable de réguler la concentration de gaz carbonique dans l’atmosphère afin d’assurer en permanence un effet de serre suffisant pour maintenir l’eau à l’état liquide :
Le dioxyde de carbone de l’atmosphère se dissout (sous forme d’acide carbonique 1. HCO3-) dans l’eau douce des pluies qui lessivent les continents, et dissout aussi les silicates et les ions calciums (Ca2+) ou magnésium (Mg2+) des sols.
Transportés dans les océans, les ions se combinent pour former des carbonates 2. (CaCO3) qui se dépose au fond des océans. De nos jours, cette réaction est presque entièrement effectuée par les êtres microscopiques du plancton qui utilisent les carbonates pour fabriquer leurs coquilles…
A terme, les mouvements tectoniques entraînent le plancher océanique dans le manteau par « subduction », où une partie des carbonates est dissociée à haute température avant d’être recyclée dans l’atmosphère via les volcans.
A l’échelle géologique, ce cycle contrôle la quantité de CO2 présent dans l’atmosphère et son effet de serre. En effet, le taux de “consommation” du CO2 atmosphérique dépend directement de l’intensité des précipitations et du cycle de l’eau, lui-même d’autant plus fort que les températures sont élevées. En d’autres termes, plus il fait chaud, plus le système consomme du CO2. L’effet de serre diminue.
Si, il fait froid, les précipitations et le lessivage sont fortement réduits. Le CO2 émis par les volcans s’accumule dans l’atmosphère et intensifie l’effet de serre. Une telle régulation a pu stabiliser le climat terrestre par le passé.
Source : Climat Eau Vie (Institut de Jussieu) là ou travaille le vice-président du GIEC
Commentaire :
En suivant la logique des derniers paragraphes, le froid et à fortiori la glace sont un écran à l’absorption du CO2
Autre logique ce n’est pas l’homme qui est responsable de la désertification de certaines contrées Africaines ou d’Asie et ailleurs, mais le manque de pluies suffisamment abondantes, la désertification étant un processus naturel qui existe depuis très longtemps. En contre partie l’exploitation forestière sauvage et abusive est néfaste de-même que l’assèchement des marécages pour gagner des terres cultivables, dans le but de nourrir la population et les animaux domestiques.
Il y a un autre problème qui peut être source de danger pour la continuité de la vie sur Terre, c’est la démographie galopante, avec un besoin de plus en plus fort de ressource et d’espace pour survivre. (Comme expliqué tout en haut plus la luminosité du soleil augmente, en même temps que son volume, plus il fait chaud.) Instaurer une fiscalité climatique, est une utopie qui prouve que nos soi-disant spécialistes n’ont rien d’autre à proposer et ce qui de toute façon ne résoudra pas le problème, et surtout n’arrêtera pas le processus du cycle de vie du soleil. La seule solution intelligente c’est l’installation de filtres partout ou cela est nécessaire, ainsi que le contrôle de la démographie galopante.
Depuis les années 80 la montée des températures qui s’est accentuée très fortement et de façon brutale dans les années 90 jusqu’à nos jours trouvent sa source fondamentale dans les incendies de forêts d’origine humaine auxquels s’ajoute l’incendie criminel des puits de pétroles au Koweït.
Avant l’arrivée du gaz naturel (années 50/60) dans nos foyers l’utilisation du charbon dans nos cuisinières pour la cuisine et également pour le chauffage était généralisée, ajouté aux cheminées d’usines cela faisait du monde à rejeter du CO2 et autres GES et pourtant les températures étaient plutôt stables ou en dessous des moyennes normales. (Exemple -0,3°c en dessous de la moyenne normale en 1962/63, au contraire en 1998 : +0,5°c (le record))
Ce qui est anormal l’été n’étant pas fini, depuis plusieurs jours, nous avons des températures matinale en aquitaine digne d’un mois de février quand aux après-midi c’est guerre mieux avec des températures de l’ordre de 17 à 18°c, nous sommes toujours en été jusqu’au 23 septembre. Nous ne pouvons pas dire qu’il s’agit là de réchauffement climatique.
N’oublions pas que l’hiver 2008/2009 a été l’un des plus froid. (Le froid est bien plus meurtrier que la chaleur)
Il y a une question qui se pose, et dont la réponse devient urgente : Comment nourrir de plus en plus d’êtres humains avec une terre de plus en plus exploitée ? Les ressources s’amenuisent petit à petit. Que faut-il faire ? Créer une taxe spécifique parce que les gens mangent trop? Ce qui ne résoudra pas le problème de la famine. Ou bien lancer une campagne de stérilisation de l’être humain pour l’empêcher d’avoir plus de deux enfants, c’est-à-dire juste ce qu’il faut pour la continuité de l’espèce. N’oublions pas que la France a vu sa population augmenter de 50% depuis la fin de la dernière guerre, elle est passée à plus de 60 millions. D’après certains spécialistes, c’est encore 20 millions d’habitants de plus d’ici 2050 qui peupleront la France. Il va bien falloir trouver à les loger et surtout à les nourrir (on ne pourra pas compter uniquement sur le Bio) et ce sera autant de sources en plus de CO2 (l’homme dans son processus de respiration rejette du CO2) va-t-il falloir lui imposer un filtre sur le visage, ou le taxer parce qu’il pollue en respirant ? Pire va-t-on devoir faire comme au Japon ou à une certaine époque ils supprimaient les vieux devenu inutiles ?
Allons messieurs soyez sérieux, et faite des propositions crédibles qui tiennent la route, pas du n’importe quoi. (La taxe Carbonne ne résoudra jamais les problèmes de GES)
Si les eaux de mer deviennent de plus en plus acides la faute en revient aux incendiaires criminels, après une végétation complètement brulée, la terre à nu, la pluie lessive le sol et le tout se retrouve à la mer via les rivières, ce sont les végétaux sur terre qui captent en premier le CO2 et s’en nourrissent, en contrepartie ces mêmes végétaux nous fournissent de l’oxygène, qui ne vient pas que de la mer, c’est là leur utilité et notre protection. .
En résumé, il convient de faire en sorte que les criminels incendiaires ne puissent plus nuire et ne puissent plus détruire nos forêts, il convient de contrôler également l’exploitation forestière, ce sont les végétaux qui jouent le rôle de nettoyeur de l’atmosphère et de régulateur, ne l’oublions pas. Chaque fois qu’il y a des incendies en forêt avec plusieurs milliers d’hectares brulés, c’est autant d’espace qui n’assure plus son rôle de purificateur et de régulateur de l’atmosphère et cela pour très longtemps.
Ps : l’Argentine aurait perdu 70% de sa forêt, autant d’espace qui ne joue plus son rôle de régulateur et d’épurateur de l’atmosphère
Christian-Bernard Vidal
Les libéraux doivent faire leur auto-critique, c’est entendu, mais d’une part Sorman est un des intellectuels libéraux FR les plus ouverts, d’autre part si vous vous figurez que des commentaires sans la moindre rigueur scientifique font avancer les choses …
Les libéraux doivent faire leur auto-critique, c’est entendu, mais d’une part Sorman est un des intellectuels libéraux FR les plus ouverts, d’autre part si vous vous figurez que des commentaires sans la moindre rigueur scientifique font avancer les choses …
L’ancien système digérait alors ses dernières rations de milliards de dollars, ayant ingurgité davantage encore de monnaies fiduciaires qui n’étaient plus fondées que sur le surendettement.
Il torpillait même la capacité des états à pouvoir rembourser les intérêts de leurs propres dettes et ce système en était arrivé à un moment de vérité historique où il fallait, où il aurait fallu faire montre d’un désir collectif de restructuration.