Une bonne nouvelle, l’année 2025 ne peut pas être pire que les années précédentes. Des endémies multiples (Covid-19, H5N1, etc), des guerres multiples et même mondialisées, des famines multiples et structurelles, des gouvernements tendance dictatoriale et des démocraties en panne même en France, des inondations extrêmes et des sécheresses sans compter les ouragans, des femmes qui sont emmurées dans leur propre maison et des hommes qui servent de chair à canon, une télé de merde et des réseaux sociaux décervelant, des usines qui ferment et d’autres qui maintiennent en esclavage, des économistes politiciens qui psalmodient « croassance croassance » et justifient des inégalités extravagantes, etc., etc.
C’est pourquoi nous vous proposons la recette pour atteindre la bonheur dans ce monde de brut et de brutes.
Beaucoup de choses peuvent apporter une joie intense, un dernier verre, le but marqué par son équipe, la mort de son ex-femme,… liste non limitative. Mais ce qui devrait être source de béatitude, c’est notre contact avec la nature. Communier avec la nature n’est pas une pratique très compliquée. Il suffit de sortir de chez soi, sortir de la ville, sortir de sa bagnole, se retrouver en contact direct avec mère Nature. En immersion, de préférence sans avoir à payer quoi que ce soit. Faut en profiter avant qu’il soit trop tard, de la nature il ne reste plus grand chose.
Cécile Cloutour : « J’ai 9 ans. Le soleil s’est couché, mais nous restons sur la plage. Ma sœur et moi sommes assises face à la mer. A quelques mètres de nous, mon père et trois cousins commencent à chanter, a cappella, les premières phrases du Cantique de Jean Racine, de Gabriel Fauré. Je suis détendue, relâchée, heureuse. Face à nous, au loin, un orage d’été éclate. Les éclairs déchirent et illuminent le ciel sans un bruit. Moi, petite citadine, je n’ai pas l’habitude de contempler un spectacle aussi majestueux. Des années après, en étudiant l’art romantique, j’ai compris que ce moment relevait du sublime. Il y avait une résonance entre la nature et l’harmonie du cantique. Je ne suis pas croyante, mais il y avait une forme de sacré. Tous mes sens étaient alignés pour apprécier cet instant. »
Ted Kaczynski : En vivant au contact de la nature, on découvre que le bonheur ne consiste pas à chercher toujours plus de plaisir. Il réside dans le calme. Une fois que vous avez apprécié le calme suffisamment longtemps, vous développez vraiment un sentiment de rejet à la seule évocation de plaisirs excessifs. Vous pouvez parfois rester assis pendant des heures à ne rien faire, à écouter les oiseaux, le vent ou le silence, à observer les ombres qui se déplacent avec la course du soleil. Et vous ne connaissez pas l’ennui. Vous êtes seulement en paix, à admirer la neige d’une blancheur immaculée et les rayons de soleil filtrant au travers des pins. Je laisse entrer en moi le silence et la solitude. La chose la plus pénible de ma vie ? La pire chose que j’ai connue au cours de ma vie dans les bois fut l’envahissement progressif de la nature par la civilisation moderne…
En savoir plus sur le bonheur avec notre blog biosphere
Notre très inquiétante séparation d’avec la nature
extraits : Que reste-t-il de la vraie nature dans nos villes, nos intérieurs aseptisés, nos supermarchés climatisés, nos jardinets engazonnés, nos autoroutes embouteillés et nos parcs d’attraction ? A la maison, à l’école ou au travail, quand sommes-nous en contact sensoriel avec la texture de la terre, la lumière, les cycles de la terre, les esprits des arbres, la puissance de la vie ? Où et comment apprenons-nous cela ? De par leur formatage intérieur dès la petite enfance, nombre de personnes sont – existentiellement et émotionnellement – trop séparées de la nature pour être véritablement touchés par les maux qui l’affectent. Fruit de la modernité, la culture de la société industrielle est déconnectée de son substrat naturel. Nous savons notre impact écologique négatif, mais nous n’y prêtons guère attention, car la nature ne fait plus vraiment partie de notre être et de notre vie….
extraits : La nature semble s’être engagée dans une situation qui pourrait bien se retourner contre elle. Elle a mis au monde une espèce néfaste capable de neutraliser les instincts régulatoires qui assuraient la pérennité de la vie terrestre. Avec le développement de la science et de la technologie, l’homme modifie considérablement la planète qu’il habite. Il aménage la nature et transforme la campagne. A part les paysages arctiques, toutes les régions ont été plus ou moins altérées par sa présence. Rien ne lui résiste. Son influence est singulièrement accélérée par l’apparition de la civilisation occidentale qui n’a plus, comme les cultures traditionnelles, le respect de la nature. Un grand nombre de biotopes et d’espèces vivantes disparaissent. Les forêts se rétrécissent et les sous-bois deviennent des parkings. L’asphalte et le béton sont les manifestations de cette nouvelle et menaçante monotonie. Vue sous l’angle « l’homme hors de la nature », l’arrivée de l’être humain apparaît ici comme une catastrophe cosmique….
Rejoignez notre Alliance des gardiens de Mère Nature
extraits : Nous, gardiens et enfants de la Terre Mère, peuples indigènes et alliés, nos prophéties, notre sagesse et nos savoirs nous ont permis de constater que la vie sur la Terre Mère est en danger et que l’heure d’une grande transformation est arrivée. Nous appelons l’humanité à prendre des mesures pour protéger le caractère sacré de l’eau, de l’air, de la terre, du feu, du cycle de la vie et de tous les êtres humains, végétaux et animaliers. Il est vital de transformer notre approche de la nature en l’envisageant non comme une propriété, mais un sujet de droit, garante de la vie… Nous devons évoluer vers un paradigme basé sur la pensée et la philosophie indigènes, qui accorde des droits égaux à la Nature et qui honore l’interrelation entre toute forme de vie…..
Dans nos sociétés, les débats d’idées semblent omniprésents, débat télévisé, délibération parlementaire, sur ce blog biosphere… Pour autant, débat-on vraiment ? « On ne se parle plus, on se confronte » : tel est le constat amer dressé par le philosophe Antoine Vuille dans Contre la culture du clash. Débat d’idées et démocratie.
Les désaccords ne se règlent pas par la confrontation d’arguments mais par la caricature ou les attaques ad hominem. Le philosophe identifie deux attitudes hostiles au dialogue : le relativisme (tous les avis se valent) et le dogmatisme (j’ai raison, tous les autres ont tort). Dans les deux cas, le débat est mort : inutile de justifier ses idées. Il faut également se méfier du biais de confirmation, qui consiste à donner plus de poids aux informations allant dans son sens. Autre vice dialectique majeur : la mauvaise foi, sorte de mensonge que l’on fait aux autres.
L’échec du socialo-communisme n’est pas une opinion ni même une idée, mais un constat des faits aussi bien en Russie et autres pays de l’est ainsi qu’en France = 3330 milliards d’euros de dettes + 8000 milliards dans les hors bilans ! Mais les parasites qui vivent de ce système veulent faire croire que ça fonctionne…
En tous cas c’est sûr, ce n’est pas avec ce genre de commentaires que l’année 2025 a la moindre chance d’être plus brillante que les précédentes.
Se dire que 2025 ne sera pas pire que les précédentes, c’est déjà pas mal. C’est un bon début d’optimisme, ou de Positive Attitude. Et c’est justement cet état d’esprit que nous devrions cultiver, favoriser. Et non pas la sinistrose qui ne peut rien nous apporter de bon.
Au lieu de rabacher qu’il n’y a plus de nature, ce qui est ridicule, et/ou que le peu qu’il en reste est désormais dénaturé, altéré, salopé par les activités humaines, ce qui l’est tout autant… allons plutôt faire un petit tour dans les bois. Tant que loup n’y est pas.
Pas besoin d’aller bien loin, pour voir de belles choses, des champignons, des sangliers… entendre couler un ruisseau, le bruit du vent dans les feuilles, ressentir sur sa peau la douce morsure des fourmis. ON peut même aller y passer ses vacances, pour pas cher. Les plus radicaux et les moins frileux peuvent même y aller à poil, comme Adam et Eve, retourner à l’instinct primaire, comme à la Télé quoi.
Tu me fais bien rire avec tes promenades dans les bois ! Sérieux ! Je peux écrire un commentaire à n’importe quel moment du jour et de la nuit, je peux choisir n’importe quel jour au hasard, et pourtant je publie bien moins souvent que toi, et ben dans les 5 minutes qui suivent tu as déjà répondu à mon commentaire ! Bref, tu es pendu sur Internet pour surveiller tous les commentaires en désaccord avec toi ! En résumé tu es bien plus souvent en promenade sur les réseaux sociaux que dans les bois ! Autrement dit des conseils et des morales de vie que tu n’es même pas capable d’appliquer à toi même, ce qui ressemble beaucoup à des propos de gauche caviar… Les bois pour les pauvres et internet pour les riches…
Détrompe-toi, c’est tous les jours que je me promène dans les bois. Tous les jours aussi que je me promène au bord de l’eau. Les bois et le bord de l’eau pour les riches, et internet pour les pauvres. Misère misère !
Oh si, elle peut tout à fait être pire, la réalité a des ressources insoupçonnées.