réchauffistes contre négationnistes

Voici un échange sur ce blog biosphere entre réchauffiste et négateur du réchauffement quand on enlève toutes les digressions inutiles du type « Quand est-ce que vous allez enfin réaliser que l’arnaque carbocentriste est en train de partir en sucette. »

biosphere : Le débat climatique n’est pas ouvert aux citoyens ordinaires, les climatologues du GIEC ayant démontré l’origine anthropique du réchauffement.

Jean Staune : NON justement ce n’est pas démontré : DES CITOYENS NON ORDINAIRES c’est a dire des grands scientifiques disent le contraire.

Robert : Climategate ou pas, les faits sont là, ça se réchauffe et pas un scientifique sérieux le nie. Les scientifiques publient des articles qui sont réfutés ou non, ils ne se contentent pas de colporter des ragots.

Laurent Berthod : Il y un feed-back auquel les réchauffistes n’ont pas pensé : le climat se réchauffe, on se chauffe moins, on renvoie moins de CO2 dans l’atmosphère ! Ah ! Ah! Ah !

Robert : Vous avez raison sur un point, il semblerait que le GIEC se soit effectivement trompé, ce sera pire que ce qu’il annonçait.

Laurent Berthod : avez-vous un argument probant que le réchauffement climatique est en partie dû à l’homme ?

Robert : si vous regardez les choses avec froideur et objectivité, vous observerez que depuis un peu plus d’un siècle le taux de GES dans l’atmosphère a une tendance à monter TRES RAPIDEMENT et ceci est un indicateur de la responsabilité anthropique.

On s’aperçoit finalement que les négationnistes « farfouillent dans les articles des dissidents et dans la presse étrangère » (dixit Mon810) pour essayer de marquer leur présence sur Internet ; leur argumentation reste limitée scientifiquement ou non démontrée, mais ils sont virulents. Les réchauffistes peuvent s’appuyer sur des rapports scientifiques validés, mais leur présence sur le net des bloggeurs est marginale. Le problème, c’est que cette disproportion dans le débat instille le doute et l’abstention dans la réflexion des citoyens ; la délibération démocratique est faussée quand on ne sait plus qui croire. C’est un des éléments d’explication de l’échec de Copenhague. C’est pourquoi nous allons à la catastrophe, mais nous ne voulons pas le croire…

31 réflexions sur “réchauffistes contre négationnistes”

  1. précisions-conclusion…

    La découverte d’une erreur dans le rapport du GIEC a donné, fin décembre 2009, le coup d’envoi à une campagne médiatique sans précédent dirigée contre le panel d’experts sur l’évolution du climat. Faut-il se prêter à cette campagne de discrédit ? Ce serait ignorer la solidité du travail – accompli bénévolement par l’ensemble de la communauté scientifique – dans cette tâche titanesque qu’est la revue générale des connaissances dans le domaine des sciences du climat. Car le GIEC ne mène pas de travaux de recherche. Il synthétise les connaissances existantes pour en tirer un consensus le plus objectif possible.

    Dans son rapport 2007, le GIEC écrivait que les glaciers de l’Himalaya disparaîtraient d’ici à 2035. Le GIEC a expliqué qu’il s’agit d’une « coquille » perdue dans le corps de quelques 3000 pages. Cette coquille n’a pas été reprise dans les résumés rédigés à l’attention des décideurs politiques et elle a, à l’évidence, été commise sans intention de tromper.

    Dans cette affaire, les idéologues ne sont pas du côté qu’on pourrait croire.
    (éditorial du Monde le 14-15 février 2010)

  2. précisions-conclusion…

    La découverte d’une erreur dans le rapport du GIEC a donné, fin décembre 2009, le coup d’envoi à une campagne médiatique sans précédent dirigée contre le panel d’experts sur l’évolution du climat. Faut-il se prêter à cette campagne de discrédit ? Ce serait ignorer la solidité du travail – accompli bénévolement par l’ensemble de la communauté scientifique – dans cette tâche titanesque qu’est la revue générale des connaissances dans le domaine des sciences du climat. Car le GIEC ne mène pas de travaux de recherche. Il synthétise les connaissances existantes pour en tirer un consensus le plus objectif possible.

    Dans son rapport 2007, le GIEC écrivait que les glaciers de l’Himalaya disparaîtraient d’ici à 2035. Le GIEC a expliqué qu’il s’agit d’une « coquille » perdue dans le corps de quelques 3000 pages. Cette coquille n’a pas été reprise dans les résumés rédigés à l’attention des décideurs politiques et elle a, à l’évidence, été commise sans intention de tromper.

    Dans cette affaire, les idéologues ne sont pas du côté qu’on pourrait croire.
    (éditorial du Monde le 14-15 février 2010)

  3. La campagne des climato-sceptiques contre le GIEC cherche surtout à discréditer et éviter le débat sur le fond. Pour ébranler le scénario central du GIEC, il faudrait pouvoir démontrer qu’il a peu de chances de se réaliser. Personne aujourd’hui n’est capable de faire cette démonstration. Aucune étude ne nous donne la moindre raison de le penser. Absolument aucune.
    Si nous agissons comme si la science avait raison et que, in fine, les risques s’avèrent moins importants, ce sera de toute façon une bonne chose : nous aurons découvert de nombreuses technologies utiles, nous aurons sécurisé nos approvisionnements énergétiques.

    En revanche, si nous agissons comme si la science se trompait, nous nous serons mis dans une position dangereuse dont nous serons peut-être incapables de sortir. Les sceptiques ont le droit de s’exprimer et de débattre mais pas celui d’avoir des arguments mal fondés.
    (Nicholas Stern, LeMonde du 13 février 2010)

    PS : le président du GIEC, l’Indien Rajendra Pachauri, est la cible d’attaques répétées de la part des négationnistes du climat. Pourtant Pachauri est non rémunéré par le GIEC. Ses activités de conseils à des entreprises entraînent des émoluments mensuels de 2960 euros qui lui sont versés par le centre de recherche TERI qu’il dirige.

  4. La campagne des climato-sceptiques contre le GIEC cherche surtout à discréditer et éviter le débat sur le fond. Pour ébranler le scénario central du GIEC, il faudrait pouvoir démontrer qu’il a peu de chances de se réaliser. Personne aujourd’hui n’est capable de faire cette démonstration. Aucune étude ne nous donne la moindre raison de le penser. Absolument aucune.
    Si nous agissons comme si la science avait raison et que, in fine, les risques s’avèrent moins importants, ce sera de toute façon une bonne chose : nous aurons découvert de nombreuses technologies utiles, nous aurons sécurisé nos approvisionnements énergétiques.

    En revanche, si nous agissons comme si la science se trompait, nous nous serons mis dans une position dangereuse dont nous serons peut-être incapables de sortir. Les sceptiques ont le droit de s’exprimer et de débattre mais pas celui d’avoir des arguments mal fondés.
    (Nicholas Stern, LeMonde du 13 février 2010)

    PS : le président du GIEC, l’Indien Rajendra Pachauri, est la cible d’attaques répétées de la part des négationnistes du climat. Pourtant Pachauri est non rémunéré par le GIEC. Ses activités de conseils à des entreprises entraînent des émoluments mensuels de 2960 euros qui lui sont versés par le centre de recherche TERI qu’il dirige.

  5. En réponse à Pachauri je mets cette intervention de NIcolas Stern:

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/02/12/nicholas-stern-j-ai-sous-estime-les-dangers-du-rechauffement_1304800_3244.html#xtor=AL-32280184

    Extrait :

    «  » » »Il est inévitable que des erreurs se glissent dans un ouvrage de plusieurs milliers de pages. D’autres seront certainement relevées. Les scientifiques doivent les corriger. Mais pour ébranler le scénario central du GIEC, il faudrait pouvoir démontrer qu’il a peu de chance de se réaliser. Personne aujourd’hui n’est capable de faire cette démonstration. Aucune étude ne nous donne la moindre raison de le penser. Absolument aucune. «  » » » »

  6. En réponse à Pachauri je mets cette intervention de NIcolas Stern:

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/02/12/nicholas-stern-j-ai-sous-estime-les-dangers-du-rechauffement_1304800_3244.html#xtor=AL-32280184

    Extrait :

    «  » » »Il est inévitable que des erreurs se glissent dans un ouvrage de plusieurs milliers de pages. D’autres seront certainement relevées. Les scientifiques doivent les corriger. Mais pour ébranler le scénario central du GIEC, il faudrait pouvoir démontrer qu’il a peu de chance de se réaliser. Personne aujourd’hui n’est capable de faire cette démonstration. Aucune étude ne nous donne la moindre raison de le penser. Absolument aucune. «  » » » »

  7. La modératrice reproche à certains commentateurs de ne faire valoir que des opinions sans donner d’éléments « scientifiques » (je mets ce mot entre guillemet, car sur un blog comment apporter des éléments « scientifiques » si l’on donne à ce mot le sens de « peer-review ».

    Le Climategate a ouvert les vannes en suscitant un immense intérêt envers les dessous de la «science» réchauffiste de la part des internautes partout dans le monde.

    Greenpeace et le WWF sont deux organisations militantes écofascistes dont les publications n’ont rien d’objectif ni de scientifique.

    L’histoire des glacier himalayens, une exception ? La pointe de l’iceberg plutôt. Parce que on peut parier que ce n’est pas fini.

  8. La modératrice reproche à certains commentateurs de ne faire valoir que des opinions sans donner d’éléments « scientifiques » (je mets ce mot entre guillemet, car sur un blog comment apporter des éléments « scientifiques » si l’on donne à ce mot le sens de « peer-review ».

    Le Climategate a ouvert les vannes en suscitant un immense intérêt envers les dessous de la «science» réchauffiste de la part des internautes partout dans le monde.

    Greenpeace et le WWF sont deux organisations militantes écofascistes dont les publications n’ont rien d’objectif ni de scientifique.

    L’histoire des glacier himalayens, une exception ? La pointe de l’iceberg plutôt. Parce que on peut parier que ce n’est pas fini.

  9. Jean-Gabriel Mahéo @

    Les GES ont pour effet de ralentir le refroidissement de la terre et la vapeur d’eau est le plus important des GES, maintenant dites moi ce qui provoque l’évaporation? De plus votre exemple de variations thermiques entre les zones humides et les déserts ne vaut rien, le RC est mondial avec des variations régionales certes mais mondial.

  10. Jean-Gabriel Mahéo @

    Les GES ont pour effet de ralentir le refroidissement de la terre et la vapeur d’eau est le plus important des GES, maintenant dites moi ce qui provoque l’évaporation? De plus votre exemple de variations thermiques entre les zones humides et les déserts ne vaut rien, le RC est mondial avec des variations régionales certes mais mondial.

  11. @ Robert :

    Le RC n’a rien à voir avec l’activité humaine, parce que l’effet de serre n’est pas du au CO2 (anthropogène ou non, 0,035% de l’air) mais à la vapeur d’eau atmosphérique. Comparez les variations thermiques jour/nuit des zones tropicales humides et celles des déserts, en gardant en mémoire que le taux de CO2 atmosphérique est constant partout.

    Le RC a par contre une source évidente : l’activité solaire et ses variations.

    Salutations,
    Jean-Gabriel Mahéo

  12. @ Robert :

    Le RC n’a rien à voir avec l’activité humaine, parce que l’effet de serre n’est pas du au CO2 (anthropogène ou non, 0,035% de l’air) mais à la vapeur d’eau atmosphérique. Comparez les variations thermiques jour/nuit des zones tropicales humides et celles des déserts, en gardant en mémoire que le taux de CO2 atmosphérique est constant partout.

    Le RC a par contre une source évidente : l’activité solaire et ses variations.

    Salutations,
    Jean-Gabriel Mahéo

  13. Laurent Berthod @

    Au lieu de traiter les autres de ce que vous êtes vous feriez mieux de mettre quelquechose sur la table.

    Je vous avais posé une question tout ce que vous avez su faire c’est me la retourner et j’y ai répondu, eh oui dans la vie il y a des cloches qui sonnent juste.

    Alors je vous repose la question: Auriez vous un argument démontrant que le RC n’est pas dû en partie à l’homme?

    Voyez vous il y a une chose qui nous sépare, je n’ai pas été seulement nourri mais éduqué et on m’a enseigné à respecter l’opinion de l’autre fut-elle contraire à la mienne, je ne tends pas l’autre joue, mais je me respecte en ne me laissant pas aller à l’insulte.

  14. Laurent Berthod @

    Au lieu de traiter les autres de ce que vous êtes vous feriez mieux de mettre quelquechose sur la table.

    Je vous avais posé une question tout ce que vous avez su faire c’est me la retourner et j’y ai répondu, eh oui dans la vie il y a des cloches qui sonnent juste.

    Alors je vous repose la question: Auriez vous un argument démontrant que le RC n’est pas dû en partie à l’homme?

    Voyez vous il y a une chose qui nous sépare, je n’ai pas été seulement nourri mais éduqué et on m’a enseigné à respecter l’opinion de l’autre fut-elle contraire à la mienne, je ne tends pas l’autre joue, mais je me respecte en ne me laissant pas aller à l’insulte.

  15. Penicillium roqueforti

    Pour en rajouter sur MON810, je demanderais quelle formation scientifique (et de quel niveau) a Monsieur Biosphère pour se prononcer sur ce qui est scientifiquement prouvé ou pas ? Monsieur Biosphère a-t-il la moindre notion de ce qu’est une manip, une observation, une expérimentation scientifiques ? A-t-il eu seulement une fois dans sa vie professionnelle à tirer les conclusions pratiques d’un compte rendu d’expérimentation pour peser son degré de fiabilité, son “intervalle de confiance” et évaluer dans quelle mesure ont pouvait l’appliquer sur le terrain pratique de la production. Moi ça a été mon boulot pendant de nombreuses années, certes pas dans la climatologie, mais ça exerce néanmoins le regard critique sur les prétentions des scientifiques à détenir LA vérité et ça apprend à détecter les approximations et les dérives de toutes sortes.

  16. Penicillium roqueforti

    Pour en rajouter sur MON810, je demanderais quelle formation scientifique (et de quel niveau) a Monsieur Biosphère pour se prononcer sur ce qui est scientifiquement prouvé ou pas ? Monsieur Biosphère a-t-il la moindre notion de ce qu’est une manip, une observation, une expérimentation scientifiques ? A-t-il eu seulement une fois dans sa vie professionnelle à tirer les conclusions pratiques d’un compte rendu d’expérimentation pour peser son degré de fiabilité, son “intervalle de confiance” et évaluer dans quelle mesure ont pouvait l’appliquer sur le terrain pratique de la production. Moi ça a été mon boulot pendant de nombreuses années, certes pas dans la climatologie, mais ça exerce néanmoins le regard critique sur les prétentions des scientifiques à détenir LA vérité et ça apprend à détecter les approximations et les dérives de toutes sortes.

  17. Et Biosphère continue à répéter « non scientifique, gnan, gnan, gnan » simplement parce que Foucart et Huet qui sont des nuls sur le plan scientifique n’arrêtent pas de seriner que les rapports du Giec sont scientifiques. Biosphère croit des journalistes incultes et menteurs sur parole. De toute façon un blog ne peut être le lieu de démonstrations scientifiques. Que les lecteurs se renseignent un peu dans la presse étrangère, ils commenceront à avoir de sérieux doutes sur les rapporst du Giec.

  18. Et Biosphère continue à répéter « non scientifique, gnan, gnan, gnan » simplement parce que Foucart et Huet qui sont des nuls sur le plan scientifique n’arrêtent pas de seriner que les rapports du Giec sont scientifiques. Biosphère croit des journalistes incultes et menteurs sur parole. De toute façon un blog ne peut être le lieu de démonstrations scientifiques. Que les lecteurs se renseignent un peu dans la presse étrangère, ils commenceront à avoir de sérieux doutes sur les rapporst du Giec.

  19. Remarque de la modératrice du blog biosphere :
    Le message ci-dessous de MON810 ne contient aucune approche scientifique du réchauffement climatique. Comme toute analyse complexe et réalisée à plusieurs voix, les rapports du GIEC contiennent quelques erreurs ponctuelles qui ne remettent nullement en question le constat du réchauffement climatique et la prévision de son évolution. Nous rappelons aussi que le groupe intergouvernemental des experts sur le climat n’est pas un organisme franco-français. Voici un exemple de l’effort d’intoxication de l’opinion publique opéré par MON810 sur ce blog biosphere :

    « Il n’y a que Biosphère pour ignorer que le Ministre néerlandais de l’environnement a demandé des explications au Giec sur les erreurs à propos les Pays-bas qui figurent dans son dernier rapport. Que le Giec a publié une énorme erreur sur la fonte des glaciers de l’Himalaya, d’autres sur les conséquences du réchauffement sur les rendements agricoles en Afrique, que le rapport du Giec est truffé de références non peer-review, tirées de publications du WWF ou de Greenpeace, que son Président Pachauri a des intérêts dans une société de commerce de certificats d’émission de carbonne, etc. etc. Si vous ne censurez pas les liens je vous en donnerai. Les journalistes français sont mouillés jusqu’au cou dans cette affaire du RCA, ils continuent donc à désinformer les Français. Mais je conseille aux gens que ce sujet intéresse de sortir un peu de la presse hexagonale, ils vont trouver des choses qu’ils ne trouveront pas dans la presse française. Quand la bulle du RCA va éclater, ça va éclabousser beaucoup de monde. »

  20. Remarque de la modératrice du blog biosphere :
    Le message ci-dessous de MON810 ne contient aucune approche scientifique du réchauffement climatique. Comme toute analyse complexe et réalisée à plusieurs voix, les rapports du GIEC contiennent quelques erreurs ponctuelles qui ne remettent nullement en question le constat du réchauffement climatique et la prévision de son évolution. Nous rappelons aussi que le groupe intergouvernemental des experts sur le climat n’est pas un organisme franco-français. Voici un exemple de l’effort d’intoxication de l’opinion publique opéré par MON810 sur ce blog biosphere :

    « Il n’y a que Biosphère pour ignorer que le Ministre néerlandais de l’environnement a demandé des explications au Giec sur les erreurs à propos les Pays-bas qui figurent dans son dernier rapport. Que le Giec a publié une énorme erreur sur la fonte des glaciers de l’Himalaya, d’autres sur les conséquences du réchauffement sur les rendements agricoles en Afrique, que le rapport du Giec est truffé de références non peer-review, tirées de publications du WWF ou de Greenpeace, que son Président Pachauri a des intérêts dans une société de commerce de certificats d’émission de carbonne, etc. etc. Si vous ne censurez pas les liens je vous en donnerai. Les journalistes français sont mouillés jusqu’au cou dans cette affaire du RCA, ils continuent donc à désinformer les Français. Mais je conseille aux gens que ce sujet intéresse de sortir un peu de la presse hexagonale, ils vont trouver des choses qu’ils ne trouveront pas dans la presse française. Quand la bulle du RCA va éclater, ça va éclabousser beaucoup de monde. »


  21. Remarque de la modératrice du blog biosphere :
    Le message ci-dessous ne contient aucune approche scientifique du réchauffement climatique. Il y a seulement des imprécations et des suppositions proférées contre le GIEC, ce qui est inadmissible. Monsieur Berthod qui, si nous avons bien compris, traite comme troll ceux qui essayent de le contredire sur son propre site va bientôt être considéré de même sur ce site biosphere. Voici son discours pour juger sur pièce :

    « Il y a de plus en plus de scientifiques et de responsables politiques à demander des comptes au Giec. Je ne donne pas cher de la peau de cette enceinte ultrapolitisée qui n’a de scientifique que sa prétention.
    Dans une déclaration rapportée par le Times, Mike Hulme, ancien directeur-fondateur du Centre de Recherche Tyndall du Royaume Uni, professeur de changement climatique à l’Université d’East Anglia, au moment du climategate estime : « Il est possible que certains domaines de la climatologie se soient sclérosés. Il est possible que la climatologie soit devenue trop partisane, trop centralisée. L’aspect tribal de quelques uns des emails résultant de la fuite, montre quelque chose qui est plus habituellement associé avec une organisation sociale au sein de cultures primitives. Il n’est pas plaisant de découvrir que ces pratiques ont cours au sein même de la science »

    Et : « Il est aussi possible que l’innovation institutionnelle qu’a été le Giec a fait son temps. (…) Le Giec lui-même, à travers sa tendance structurelle à politiser la science du changement climatique, a peut-être aidé à faire naitre une forme plus autoritaire et intolérante de production de la connaissance (…)»


  22. Remarque de la modératrice du blog biosphere :
    Le message ci-dessous ne contient aucune approche scientifique du réchauffement climatique. Il y a seulement des imprécations et des suppositions proférées contre le GIEC, ce qui est inadmissible. Monsieur Berthod qui, si nous avons bien compris, traite comme troll ceux qui essayent de le contredire sur son propre site va bientôt être considéré de même sur ce site biosphere. Voici son discours pour juger sur pièce :

    « Il y a de plus en plus de scientifiques et de responsables politiques à demander des comptes au Giec. Je ne donne pas cher de la peau de cette enceinte ultrapolitisée qui n’a de scientifique que sa prétention.
    Dans une déclaration rapportée par le Times, Mike Hulme, ancien directeur-fondateur du Centre de Recherche Tyndall du Royaume Uni, professeur de changement climatique à l’Université d’East Anglia, au moment du climategate estime : « Il est possible que certains domaines de la climatologie se soient sclérosés. Il est possible que la climatologie soit devenue trop partisane, trop centralisée. L’aspect tribal de quelques uns des emails résultant de la fuite, montre quelque chose qui est plus habituellement associé avec une organisation sociale au sein de cultures primitives. Il n’est pas plaisant de découvrir que ces pratiques ont cours au sein même de la science »

    Et : « Il est aussi possible que l’innovation institutionnelle qu’a été le Giec a fait son temps. (…) Le Giec lui-même, à travers sa tendance structurelle à politiser la science du changement climatique, a peut-être aidé à faire naitre une forme plus autoritaire et intolérante de production de la connaissance (…)»

  23. Ce post de Biosphère est complètement faux concernant l’état de la science du climat aujourd’hui.

    Comme l’illustre très bien Michel, concomitance ne vaut pas rapport de cause à effet, contrairement à ce que voudrait faire croire le troll Robert.

  24. Michèle Ricart

    Je ne suis ni réchauffiste ni négatrice, j’attends !!!!
    En attendant, en France, c’est une affaire de fric.
    A partir du moment où rien n’est clair, que les pêcheurs et routiers en sont dispensés, que les industries peuvent vendre et acheter du CO2 entre elles, etc. et nous pauvre lambda nous subissons l’impôt… Sous cet angle je suis négatrice !
    Quand on extermine une grande partie de toutes les forêts du monde et essentiellement l’Amazone, fric encore…
    S’il s’agit d’un cycle de réchauffement naturel et bien tous ces arbres ne sont plus là pour faire leur boulot… Faibles protestations puisqu’il s’agit de grand trusts !

  25. Michèle Ricart

    Je ne suis ni réchauffiste ni négatrice, j’attends !!!!
    En attendant, en France, c’est une affaire de fric.
    A partir du moment où rien n’est clair, que les pêcheurs et routiers en sont dispensés, que les industries peuvent vendre et acheter du CO2 entre elles, etc. et nous pauvre lambda nous subissons l’impôt… Sous cet angle je suis négatrice !
    Quand on extermine une grande partie de toutes les forêts du monde et essentiellement l’Amazone, fric encore…
    S’il s’agit d’un cycle de réchauffement naturel et bien tous ces arbres ne sont plus là pour faire leur boulot… Faibles protestations puisqu’il s’agit de grand trusts !

  26. michel maccagnan

    Je crois que c’est le nombre de bacheliers qui a provoqué le réchauffement : en effet il y a une très bonne corrélation entre ces paramètres (meilleure qu’avec le CO2).
    Michel

  27. Le réchauffement est peut être anthropique, mais l’action humaine n’est elle pas, en définitive, une action comparable à celle de tout autre acteur naturel : soleil, volcan, coraux qui ont piégé le CO2 dans leurs squelettes de carbonate, végétaux, météorites, variations orbitales de la Terre…
    Tout changement n’est pas forcément apocalyptique.

  28. citer une phrase, en l’occurrrence de moi, qui se voulait purement humoristique, comme constituant un argument de ma part, relève de la malhonnêteté intellectuelle.

  29. citer une phrase, en l’occurrrence de moi, qui se voulait purement humoristique, comme constituant un argument de ma part, relève de la malhonnêteté intellectuelle.

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