Lorsque la France prend possession de l’île de Mayotte, la population comptabilisée en 1843 ne dépassait pas 3 000 habitants. Elle est passée de 11 000 habitants en 1911 à 320 000 en janvier 2024, sans compter les clandestins. De 2012 à 2017, la population s’accroît de 3,8 % par an en moyenne, soit un doublement en 18 ans seulement. La densité de population est particulièrement élevée, avec 690 habitants au km² en 2017, et déjà 829 hab./km² en 2023, c’est-à-dire plus de 8 personnes sur un carré de 100 mètres de côté. En fait cette situation résulte surtout d’un flux migratoire ingérable. Plus de 40 % de la population est de nationalité étrangère en 2018, essentiellement comorienne en situation irrégulière…
Macron à Mayotte, jour 2 après le cyclone. Ce vendredi 20 décembre 2024, l’eau manque et l’électricité fonctionne cahin-caha, « De l’eau, de l’eau, de l’eau ! », entend-on au passage du président, qui s’avance dans la rue principale de Tsingoni. à Pamandzi, une commune de Petite-Terre, Emmanuel Macron a eu pour se défendre ce propos malheureux, filmé et diffusé sur les réseaux sociaux : « Si vous opposez les gens, vous êtes foutus parce que vous êtes contents d’être en France ! Si c’était pas la France, vous seriez 10 000 fois plus dans la merde ! Il n’est pas un endroit de l’océan Indien où on aide autant les gens. Emmanuel Macron aura acquis la conviction que régler les problèmes de Mayotte implique de se pencher sur le sujet de l’immigration clandestine. « Malgré les investissements, malgré l’engagement de l’Etat, les services publics ont été calibrés pour une population, et cette population, elle a augmenté vite, et elle est aussi sous une pression migratoire qui fait exploser tous les services. Donc il faut qu’on se dise la vérité. »
Bayrou à Mayotte. Interrogé dans le cadre de son déplacement, François Bayrou a estimé que « quiconque prétendrait qu’il n’y a pas de problème d’immigration brûlant à Mayotte était irresponsable ». Selon le premier ministre, « notre devoir, c’est de poser la question et tenter d’apporter des réponses. » Revenir par exemple sur le droit du sol dans l’archipel – un projet de loi constitutionnelle sur sa suppression à Mayotte devait être présenté en conseil des ministres en juillet, avant la dissolution de l’Assemblée nationale –. « C’est une question qu’il faut poser », a ajouté M. Bayrou.
Le point de vue des écologistes malthusiens
Pour ceux qui ne savent pas ce que « immigration massive » veut dire, voici quelques données sur Mayotte :
– Pour rejoindre l’île, des dizaines de Comoriens risquent leur vie tous les jours
– Coût de l’inlassable surveillance. Leurs bateaux utilisent plus de 100 litres d’essence par heure.
– 40 % des 212 000 habitants de Mayotte sont désormais d’origine comorienne. (+ 25 % en 2007)
– Système de santé proche de l’effondrement.
– Pénuries d’eau, territoire sous perfusion par aide de la métropole.
– L’éducation nationale ne suit plus : 25 % à 40 % des élèves sont issus de familles sans papiers.
– Désarroi des associatifs et fonctionnaires qui tentent de maintenir à flot le territoire.
– Prostitution sauvage, etc., etc.
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Droit du sol ou droit du sang ?
extraits : Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé en février 2024 à Mayotte une révision constitutionnelle destinée à supprimer le droit du sol dans l’archipel de l’océan Indien, confronté à une grave crise migratoire et à une situation sociale et sécuritaire explosive. Mayotte connaît en effet depuis plusieurs années une forte immigration, principalement venue de l’archipel voisin des Comores. L’archipel de l’océan Indien, qui est aussi le 101e département français, est régi par des règles plus strictes qu’en métropole. Pour qu’un enfant soit reconnu comme français, il faut notamment que ses parents aient été en situation régulière au moment de sa naissance….
discours d’un sénateur de Mayotte
Saïd Omar Oili : « Pour tout de suite, l’urgence est claire, c’est la crise de l’eau. Sans eau il n’y a pas de vie et nous le touchons durement du doigt au quotidien. on a touché le fond, on ne peut plus s’adapter. L’autre priorité pour laquelle il faut absolument que l’on s’attelle, c’est la gestion des naissances. Dès l’école, il faut que les élèves réalisent ce qu’engendre, en termes de responsabilités et de coût financier, le fait d’avoir un enfant. Il faut que les prises de conscience s’amorcent dès le plus jeune âge. C’est bien ce facteur culturel qui détermine cette dynamique des nombreuses naissances. La notion de pauvreté en Hexagone n’est pas la même que celle rencontrée à Mayotte. Nous ne sommes pas sur les même standards et il faut, encore une fois, conscientiser la population sur ce que coûte réellement un enfant.
Second point, notamment pour les jeunes filles approchant de leur majorité : avoir un enfant c’est synonyme d’obtention de la nationalité française et d’une régularisation de sa situation. Il faut que les choses soient plus claires en ce sens et que le systématisme soit désancré des mentalités. Si les gens viennent d’autres pays pauvres environnants, bien entendu que cela ne les dérangera pas outre-mesure de vivre dans des bangas; quelque part, c’est quelque chose de tristement commun pour eux. Mais si nous luttons efficacement contre ces habitats insalubres et que nous nous alignons réellement dans cette volonté des standards métropolitains, les gens se rendront compte qu’il y a des choses qui ne peuvent plus être et que tout à un coût bien au delà du bricolage adaptatif qu’ils ont connus par le Passé. Pauvreté et développement ne peuvent aller de pair.
Je pense sincèrement que lorsque la démographie et le recensement ne sont pas clairement définis, on ne peut avoir une vision claire de la consommation et donc des besoins à anticiper. Je prends pour exemple le quartier de la Vigie, en Petite-Terre ; on ne sait combien de personnes utilisent le réseau d’adduction d’eau qui lui est affilié. Aujourd’hui, la base de tout, c’est la démographie. Chaque année, on doit produire approximativement 2 000 m3 d’eau en plus, c’est juste ingérable. »
Mayotte, l’eau manque et tout le reste
extraits : Les quelque 320 000 habitants du département français situé dans le canal du Mozambique n’en ont pas fini avec les pénuries d’eau. La situation perdurera jusqu’à la mi-2026. A cette date, espère le syndicat mixte Les Eaux de Mayotte, doit entrer en service la seconde usine de dessalement d’eau de mer de l’île. Cette usine, d’un coût de 94 millions d’euros, doit produire plus de 10 000 mètres cubes d’eau potable par jour. Les installations actuelles produisent péniblement 39 500 mètres cubes par jour. Mais l’usine va rejeter de l’eau plus que salées à l’intérieur d’un lagon presque fermé, et qui est l’un des plus beaux du monde. Autre critique mise en avant : les tuyaux reliant l’usine au lagon passeront dans la mangrove, qui va devoir être coupée. Le collectif « Un lagon sans poison ! » a lancé une pétition en ligne contre ce projet qualifié d’« écocide ».
Quel rapport y a t-il entre Depardieu et Mayotte ?
Réponse : L’ indécence de Macron.
– « Depardieu rend fière la France […]
Si c’était pas la France, vous seriez 10 000 fois plus dans la merde ! »
De l’extrême gauche à l’extrême droite le mot fait quasiment l’unanimité : indécence.
L’indécence et le mépris de tous ceux qui osent encore appeler un chat un chat.
L’indécence qui évidemment n’est pas seulement réservée à Macron, ni à nos « élites ».
L’indécence et l’obscénité qui aujourd’hui s’expriment de tous les côtés, et toujours plus.
Tous les jours dans les meRdias, les réseaux dits sociaux, la rue, à l’école, les stades, partout !
Et au sujet de tout et n’importe quoi. ( à suivre)
(suite) L’indécence crasse, vulgaire, qui ringardise la « common decency ». Et en même temps celle de tous ces misérables qui depuis des décennies n’ont réussi qu’à nous démontrer une chose, leur incompétence. Si ce n’est leur malhonnêteté. Tous ces politicards, pseudo intellectuels, commentateurs de tout et n’importe quoi, qui un jour disent une chose et le lendemain le contraire.
Et qui feraient mieux de disparaître définitivement des radars et de se taire !
A LIRE sur le Figaro ! Un vrai SCOOP ! Article intitulé : Mayotte : Daniel Cohn-Bendit appelle à «freiner l’immigration», cause d’un «grand remplacement» sur l’île
Le meilleur moyen de régler le problème de Mayotte, c’est de déclarer l’indépendance de Mayotte, et que la France ou plus exactement les français cessent de prendre à charge cette île ! S’il n’y a plus d’allocs, il n’y aura plus de migrants qui iront à Mayotte, autrement dit offrir l’indépendance aux mahorais c’est le meilleur moyen de leurs rendre service ! Il serait temps que les mahorais se prennent à charge par eux mêmes. Puis surtout ils ne subiraient plus l’invasion attirée par la CAF.
Si ça ne tenait qu’à moi, je déclarais l’indépendance de tous nos Dom Tom sans exception !
DE toute façon, lorsqu’il n’y aura plus de pétrole, plus d’énergies fossiles disponibles, on ne pourra plus prendre à charge tous nos Dom Tom ! Les populations locales de toutes ces îles devront se prendre à charge par elles-mêmes ! Toutes ces populations locales devront apprendre à vivre des ressources disponibles localement ! Car ça ne sera plus possible d’envoyer autant de marchandises pour les soutenir, puisque ça coûtera tellement cher ! Et toutes les Caisses d’allocations familiales disparaîtront ! Autant dire que les populations des îles vont être divisées par 10 minimum, ce sera la déplétion démographique, et ça ne va pas se passer pacifiquement, bref ça sera un mauvais moment à passer, les bouches en trop s’entretueront …mais ainsi soit il ! L’essentiel étant que les émissions de CO2 baissent pour sauver la planète, y compris dans nos Dom Tom..
On pourrait parfaitement faire vivre 10 millions de personnes sur l’archipel de Mayotte si l’on extirpait le capitalisme de ces îles.
Militons pour introduire le point d’ironie dans la langue français c’est un manque source de beaucoup de malentendus
J’irais même plus loin que l’introduction du point d’ironie. Pour que tout le monde y trouve son compte je préconise le grand n’importe quoi.