vivre sans écrans, c’est possible

La semaine sans écrans a eu lieu du 22 au 28 mars 2010. Vivre sans écrans est non seulement possible, mais nécessaire.

Une impasse : Il n’y a rien à faire. Seule porte de sortie ouverte à nos enfants : enfiler une combinaison munie de tous les bio-senseurs que la loi de Moore saura leur fournir afin de sentir, voir et toucher virtuellement, avaler une bonne dose d’euphorisant et partir chaque week-end pour le pays des songes avec la star préférée, là-bas sur une plage d’avant la sixième extinction, les yeux rivés aux écrans du casque, les volets fermés, sans passé et sans avenir.

Une nécessité : Le jeûne est une pratique qui pourrait être interprété dans un sens écologique. En s’abstenant périodiquement de nourriture, l’individu acquiert une force intérieure, une capacité de faire plus avec moins. Et cela peut s’exprimer dans d’autres domaines que la nourriture : jeûner par rapport à la voiture (réduire sa consommation d’essence), ou par rapport aux médias (période pendant laquelle on proscrit la télévision, Internet et/ou le téléphone portable). Cette cure volontaire de simplicité peut favoriser un nouveau lien avec la nature et faire apprécier les choses essentielles de la vie.

Un idéal : Sans écrans, on est quand même informé, on écoute la radio, on lit les journaux. Et les soirées, on aime les passer entre copains autour d’une table, avec du cidre, des rires, un jeu de cartes ou des jeux d’esprit.

Et maintenant, tu sais ce qu’il te reste à faire…

6 réflexions sur “vivre sans écrans, c’est possible”

  1. Hypocrisiequandtunoustiens

    A ce que je vois, la semaine sans écrans, aucours de laquelle biosphère conseillait à ses lecteurs de fermer leurs écrans, s’est terminée, et chaque jour de cette semaine Biosphère était devant son écran à écrire ses conneries. Nul, hypocrite, menteur, totalitaire, une vraie teigne, une vraie gale, un vrai morpion, une vraie vérole, un dictateur en herbe…

  2. Vivre sans lire de conneries est aussi difficile, mais pourquoi donc, ô trillot, que ce Monsieur fasse autre chose dans la vie que d’en écrire ? Il le fait si bien…

  3. Michel Petit

    « En s’abstenant périodiquement de nourriture, l’individu acquiert une force intérieure, une capacité de faire plus avec moins. »

    Ah bon ? Vous pourriez le dater et le signer, s’il-vous-plaît ?

    Et pour nous faire part de votre sagesse, vous avez utilisé la radio ? le télégraphe Chappe ?

    Bref, vous voyez, je suis de l’avis de trillot — en plus « enveloppé ».

    (et le cidre me fait roter)

    ;o)

  4. « Apprécier les choses essentielles de la vie », pas sous forme de cure. Un peu tous les jours. Conditionner l’enfant, dans ce sens. Lui distiller la sagesse et la patience…

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