Nous ne rentrerons pas dans le débat sur le 7 octobre 2023, terrorisme ou pas. Le terrorisme est devenu un mot valise qui ne veut plus dire grand-chose de précis, et qui d’ailleurs n’a jamais été explicité : semer la terreur est une généralité de notre temps. Notons aussi que la barbarie est inhérente à tout état de guerre, qu’elle soit le fait des Palestiniens ou des Israéliens. L’armée française du temps des colonies a aussi massacré femmes et enfants et même torturé et violé. Donc faut-il rester opposé en toutes circonstance à l’usage collectif des armes et donc à toutes les guerres ? Rester objecteur de conscience est-il encore possible à Gaza, victime comme la Cisjordanie d’une épuration ethnique ?
Dans une tribune dans LE MONDE, EELV met les deux parties dos à dos : « Les actes du Hamas sur le territoire israélien, ce sont des actes terroristes d’une barbarie rare (et) les représailles d’Israël en cours à Gaza sont des crimes contre l’humanité. Quant à nous, les Écologistes, nous constatons que les faits sont tels que nous les qualifions de génocide. Agir pour stopper un potentiel génocide implique un changement radical de discours. Nous réitérons nos demandes à Emmanuel Macron : Osez reconnaître, Monsieur le Président, l’Etat palestinien de manière unilatérale. »
Notre commentaire : Comme trop souvent, l’écologie institutionnelle se contente de cracher en l’air. Cette supplique ne fait que répéter ce qui avait été décidé en 1947. Le plan de partage de la Palestine est alors approuvé par l’Assemblée générale de l’ONU, résolution 181. Ce plan prévoit la partition de la Palestine mandataire en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, tandis que la ville de Jérusalem et sa proche banlieue sont placées sous contrôle international.
On pouvait revendiquer à l’époque une alternative. Un sionisme militait comme certains Palestiniens pour un Etat binational pour les Juifs comme pour les Arabes sur le territoire de la Palestine mandataire. Il s’agirait d’un ensemble fédéral du type Suisse, Belgique ou Canada. Mais c’est le sionisme colonial de Vladimir Jabotinsky (1880-1940), qui a fini par s’imposer. La symbiose croissante, des deux côtés, entre religion et nationalisme radical a fait complètement disparaître toute pensée de coexistence pacifique. Le groupe Brit Shalom (« alliance pour la paix ») avait compté des personnalités remarquables comme Hans Kohn (1891-1971), secrétaire de l’association : « Ce petit Etat d’Israël, prédit-il en 1929, sera toujours en armes contre un irrédentisme interne, et contre les “ennemis” tout autour. Conscient de sa faiblesse, il demeurera à jamais la serre d’un nationalisme effréné. »
C’est la victoire de 1967 qui a tranché, avec l’occupation des territoires palestiniens, la question de l’avenir d’Israël. Pas question d’opter pour un État palestinien au lendemain d’une telle victoire. Les gouvernements successifs ont dès lors opté pour le statu quo de l’occupation, dans lequel se sont engouffrés les partisans de la colonisation, en particulier les nationalistes religieux. Rappelons que les Palestiniens de Gaza sont séparés artificiellement de leur territoire de Cisjordanie, soit 6000 km² au total. Rappelons qu’ils ont été chassés d’un pays qui occupait une superficie de 27 000 km² au total. Certains parlent de façon injustifiée aujourd’hui de risque de grand remplacement en France, mais se gardent bien d’utiliser le même terme à propos de la Palestine historique. On ne peut que douter d’une porte de sortie sauf à éradiquer une population gazaouite qui connaît une fécondité de presque 4 enfants par femme. C’est un taux de croissance d’environ 3 % annuel, soit un doublement prévisible de la population en 23 années seulement.
Alors que faire ? Un Etat binational est resté du domaine de l’utopie. La création de deux États séparés est resté un simple projet depuis 1947. Reste la violence armée perpétuelle qui ne peut se résoudre que par l’expulsion des Palestiniens en terres juives, solution Netanyahou ou l’exil des Juifs loin de la terre promise, solution Hamas. Le grand remplacement ! L’Inde et le Pakistan n’ont-ils pas fait en leur temps une « Partition ». Mais aux États-Unis, si tous les immigrés devaient être chassés du territoire, il ne resterait que les descendants des Indiens. En Australie il ne resterait que les Aborigènes. En Nouvelle Calédonie, il ne resterait que les Kanaks. Et en France il ne resterait que les Néandertaliens, malheureusement exterminés par des homo sapiens venus d’Afrique. Grand remplacement, une constance historique !!!
Alors mieux vaut vivre selon nous dans l’utopie, un avenir meilleur qui ne s’est pas encore réalisé mais qui ne demande qu’à l’être. On devrait aujourd’hui tous savoir qu’il n’y a pas de races, nous sommes tous d’un bout à l’autre de la planète des homo sapiens. Nous pouvons tous constater qu’une femme peut être à l’égale de l’homme, qu’un noir et un blanc restent frères de race…. Et un Juif, un musulman ou un Français de souche sont libres de pratiquer la religion de leur choix en France, pays laïc.…
On ne devrait participer entre membres d’une même race à aucun conflit armé, et rester en toutes circonstances opposés à l’usage collectif des armes. C’est un choix personnel, Juifs ou Palestiniens peuvent le pratiquer même dans les circonstances actuelles à Gaza. L’avenir peut se construire sur des ruines si, et seulement si nous agissons pour un monde meilleur.
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Gaza, une surpopulation carcérale (2024)
extraits : Incidents mortels entre Israéliens et Palestiniens depuis le 7 octobre 2023. Nous ne rentrerons pas dans les controverses anti-sionisme et/ou anti-sémitisme, nous ferons un simple constat démographique. Sur une longueur de 41 km de longueur et 6 à 12 km de largeur, soit une superficie de 360 km² seulement, s’entassent 2,3 millions de Gazaouis dans ce qui est devenu une énorme poche de pauvreté et de béton…
Les Juifs d’Israël vont mourir par là où ils ont péché (2016)
extraits : Laissons de côté la problématique politique d’un Etat juif composée à 20 % d’Arabes israéliens et d’un Etat palestinien toujours à l’état de projet depuis près de 70 ans. En 2016, Israël annonce 8,5 millions d’habitants et 366 personnes au kilomètre carré. Sa population a plus que décuplé depuis sa création en 1948, elle devrait quasiment doubler d’ici à 2050 pour atteindre 15 à 16 millions de personnes. Résultat ? Les routes de l’Etat hébreu sont congestionnées, les habitants privés de nature, la biodiversité en ruine. On va droit vers une catastrophe écologique et socio-économique….
Nous sommes 7 milliards, Ariel Sharon est de trop (2011)
extraits : Ariel Sharon a été un facteur important du conflit entre Palestiniens et Israéliens. Le 16 et 17 septembre 1982, dans un secteur « sécurisé » par le ministre israélien de la défense Ariel Sharon, eut lieu un génocide dans deux camps de réfugiés palestiniens (Sabra et Chatila). Le 26 septembre 2000, Ariel Sharon annonce son intention de se rendre sur l’esplanade des mosquées… il déclenche volontairement la deuxième Intifada. Le 6 juin 2004, Ariel Sharon fait adopter un plan de désengagement des colonies de la bande de Gaza… pour mieux poursuivre la colonisation en Cisjordanie. Pourtant les juifs ne sont pas chez eux en Palestine ! En 1880, il n’y avait là que 20 000 juifs installés de longue date….
(suite) Comment construire la paix ?
Rappelons qu’à part quelques grands malades (fous de guerre) tout le monde aspire à la paix. D’un certain point de vue ce sera donc «Si vis pacem, para bellum» (Si tu veux la paix, prépare la guerre). Ce vieil adage est le credo des militaristes et autres déçus de la «nature humaine». Peut-être du fait qu’elle nous est inculquée dès la maternelle, force est d’admettre que cette idée est largement partagée. Hommages aux Anciens Combattants, morts pour la France… fierté de notre armée, de nos Rafales etc. etc. Bref, la paix se doit d’être armée.
D’un autre point de vue la paix doit être désarmée. Nous retrouvons là les pacifistes et autres objecteurs de conscience. Tantôt qualifiés de Bisounours, de doux-rêveurs, tantôt de lâches ou de traîtres, notamment lorsqu’ils refusent de prendre les armes, ou de soutenir ou voter les budgets de notre sacro-sainte Défense Nationale.
( à suivre )
(suite et fin) Je pense qu’il nous faut faire des efforts… pour dépasser cette vision binaire des choses (du monde). Pour moi il y a mille façons de construire la paix. Maoz Inon est un bel exemple qui nous le prouve. Souhaitons-lui de réussir dans son entreprise. Mieux, aidons-le à réussir.
– « Je sais qu’Israéliens et Palestiniens peuvent vivre ensemble car je l’ai vécu »
( lessentiel.lu – 02 avril 2024 )
– Objecteur de conscience à Gaza, est-ce possible ? (Titre Biosphère)
Je pense qu’ON pourrait au moins essayer de répondre à la question.
Je nous propose donc de nous appuyer sur ce témoignage :
– « Je sais qu’Israéliens et Palestiniens peuvent vivre ensemble car je l’ai vécu »
( lessentiel.lu – 02 avril 2024 )
Contrairement à bien d’autres… cet israélien croit donc (il dit même «je sais») que la paix est possible. Pour en arriver là il dit «J’ai dû faire des efforts, y compris pour me convaincre moi-même». En effet une conviction (digne de ce nom) ne peut s‘atteindre qu’à ce prix là, du temps et des efforts. Contrairement aux défaitistes et autres fous de guerre, Maoz Inon a donc décidé de «construire» la paix… «pour un avenir meilleur» (sic).
Voilà donc déjà UN israélien, objecteur de conscience je ne sais pas, mais en tous cas qui ne correspond pas du tout au stéréotype de certains. ( à suivre )
michel C, alias esprit critique, alias parti d’en rire , votre discours essayant de nier l’évidence du soutien aux dirigeants des peuples habitants dans la démocratie israélienne est disqualifié par votre syntaxe ordurière et l’utilisation de con dans toutes vos phrases montre la confusion mentale qui vous habite. Israël est une démocratie et les dirigeants correspondent à la majorité des Israéliens.
Il faut comprendre d’où vient la guerre en Israël. La création de 2 états Israélien et Palestinien s’est fait sur le dos des anglais. Les américains voulaient éjecter les anglais comme dans toutes leurs colonies et ceci en tribu du soutien à la guerre 1940. L’Urss a soutenu militairement cette création et l’installation des israéliens aussi dans ce but.
Mais la négligence des américains et des anglais a fait que la création des 2 états n’a pas été entérinée. Seul , les israéliens ont déclaré leur état qui a été reconnu par la suite.
Les palestiniens et les arabes ont attaqué immédiatement les israéliens et le résultat, 750 000 palestiniens ont été dépossédés de leurs biens et déplacés dans les zones non occupés par les israéliens pas assez nombreux pour le faire.
La haine des palestiniens est totale et celle des israéliens est totale.
Rabbin et Arafat proposant une paix ont été assassinés par leur propre camps.
Ne généralisez pas ! La grande majorité des Israéliens comme des Palestiniens ne rêve que de paix. La haine n’est totale que du côté des fanatiques (dogmatiques).
Et bien sûr nous retrouvons ces gens-là des deux côtés. La haine, le fanatisme, et la violence, sont indissociables. Le pire poison (comme dit BGA) c’est bien ça.
Esprit critique , pour généraliser l’opinion des israéliens et des palestiniens il faut sortir de sa grotte sentant la naphtaline et voir le monde et connaître l’histoire, c’est sûr qu’un vieil ermite maladif ne pourra pas généraliser. Donc j’explique au vieux débile ignorant que si les palestiniens n’étaient pas en guerre, les palestiniens n’abriteraient pas le Hamas. Si les israéliens ne soutenaient pas les interventionnistes comme Sharon et netanyahou , ils ne les auraient pas élus.
Par contre un TSP (Très Supérieur au Populo) lui il peut généraliser.
Parce que lui d’abord il est prof. Pas d’histoire ni de philo ni de travaux manuels mais c’est pareil. Pas con quoi. Et puis un TSP sait combien de palestiniens et d’israéliens sont haineux et fous de guerre, et combien ne le sont pas. Gentils quoi. Et s’il le sait c’est parce qu’ils les connait tous. Et qu’il connait leur histoire mieux que tout le monde. Et s’il sait tout ça, Sharon, Rabbin, Arafat, le Hamas, le climat, le CO2 et Jean Pass, c’est tout connement parce que lui il ne passe pas sa vie dans une grotte à lire des bouquins et à réfléchir. Lui il se con tente de voir le monde tel qu’il est. Un monde facile à comprendre et ON ne peut plus simple. Comme lui quoi.
Personne ne peut être indifférent à tout état de guerre, que ce soit en Ukraine, en Palestine ou au Soudan…. Nous n’avons qu’une planète et la mettre à feu et à sang est indigne de nos capacités cérébrales. Pour la Palestine, l’erreur fondamentale de la part des autorités internationales a été de donner un territoire au sionisme. Maintenant il ne s’agit pas de mettre les Arabes dehors ou les Juifs, le mal est fait, il y a une guerre interne sur un même territoire. La seule solution qui devrait être défendue internationalement et de supprimer toute référence religieuse à la Palestine/Israël pour que ce pays adopte un régime laïc comme en France. Avant 1947, il y avait des juifs en Palestine, il y a des juifs dans tous les pays, nous ne sommes plus aux temps de la solution finale sauf dans la tête de Natanyaou ou de certains membres du Hamas.
Mr Sourrouille, vous rêvez !
Petit, J’ai compris la violence dans le monde avec la guerre civile irlandaise et la guerre des 6 jours . J’essayais de voir l’injustice subit par l’opprimé mais j’ai compris qu’en temps de guerre la justice est celle du puissant , du vainqueur. Par exemple , DeGaulle le déserteur condamné à mort est revenu blanchit et grandit car il était du côté des vainqueurs. Mais au final tout le monde perd, la France est sorti ruiné et les français, morts , blessés, traumatisés et meurtris.
La guerre ne peut être un objet à philosopher , seulement l’objet des machiavels.
Nous n’avons rien à gagner intellectuellement à nous engager avec cette guerre civile israélienne.
Il ne faut pas se laisser fasciner par la guerre.
– « Alors que faire ? […] Alors mieux vaut vivre selon nous dans l’utopie, un avenir meilleur qui ne s’est pas encore réalisé mais qui ne demande qu’à l’être. On devrait aujourd’hui tous savoir [etc.] » (Michel Sourrouille, Biosphère)
Je partage ce point de vue. Certains n’y verront que du pacifisme, qu’ils assimilent alors aux Bisounours et/ou aux doux-rêveurs, c’est leur problème. Pour moi cette utopie est aussi optimiste que révolutionnaire.
S’ils commençaient déjà à repenser le sens du mot utopie… et de tant d’autres qu’ils utilisent à tort et à travers (philosopher = réfléchir, penser, raisonner)… ceux qui ont les idées courtes pourraient gagner intellectuellement.
Et rien qu’un peu ce serait déjà ça.
« Pourtant les juifs ne sont pas chez eux en Palestine ! »
A entendre l’auteur, les musulmans sont partout chez eux, mais les autres sont nul part chez eux ! Bref, le nazislamisme a bon train à l’extrême-gauche !
L’auteur a oublié (sciemment) de parler du grand mufti de Jérusalem qui a collaboré avec Hitler ! Et oui il n’y a pas de fumée sans feu ! Hein !
Lire article sur le site Slate : « Le Grand Mufti de Jérusalem a bien conseillé Hitler sur la destruction des juifs d’Europe »
A mon avis, ça se passera mieux en Israël et Palestine, lorsqu’il n’y aura plus d’islam ! Cette religion est un poison mental, il n’y aura jamais de bien vivre ensemble tant que cette religion existera !
Le poison ce n’est pas l’islam mais l’islamisme, nuance !
Maintenant si ON veut parler de poison mental… alors là ON n’est pas sorti de l’auberge. ON peut déjà faire la liste de tout un tas de trucs en isme (illettrisme, racisme, dogmatisme et j’en passe), à laquelle ON peut rajouter la paresse intellectuelle, la connerie qu’ON se plait à entretenir, les jeux du Cirque, la Compétition, la Pub, Internet et les réseaux dit sociaux, et j’en oublie sûrement.
L’islam c’est l’islamisme au repos
L’islamisme c’est l’islam en mouvement
Les 2 revers d’une même médaille.
– « Nous ne rentrerons pas dans le débat sur le 7 octobre 2023, terrorisme ou pas. Le terrorisme est devenu un mot valise qui ne veut plus dire grand-chose de précis [etc.] »
Le terrorisme c’est le terrorisme, ce mot a une définition, une histoire etc.
Maintenant si ON s’en sert pour designer tout et n’importe quoi, alors supprimons le du dictionnaire. Seulement je crains qu’il faille alors en supprimer bien d’autres.
En attendant le mot saloperie devrait ici faire l’affaire, pour désigner les actes des uns et des autres. Et là il ne s’agit même pas de savoir laquelle vaut le mieux, ou celle qui est la pire. Entre deux grosses pour moi il n’y pas photo.
EELV demande à Macron d’appeler un chat un chat. Et je trouve que c’est la moindre des choses de la part d’un parti par définition… pacifiste. Ou alors c’est à ne plus rien y comprendre.
Je vois que personne ne veut voir la réalité en face, la Palestine n’existe plus depuis la guerre des 6 jours en 1967. C’est le résultat de l’attaque de la Jordanie, l’Égypte, la Syrie et tout le monde arabe sur Israël.
Depuis , la question des Israéliens est de savoir quoi faire des arabes en Israël. Certains sont partis au Liban puis en Lybie? D’autres en Jordanie. Les autres pays arabes n’en veulent pas.
Bref tous , Israéliens et arabes , sont des sémites et ils ont la particularité de ne vivre que dans la violence et la haine.
C’est leur histoire depuis des millénaires.
Laissons leurs leur mode de vie , aucune leçon de vie et aucune cause n’est à défendre dans leurs délires guerriers. Tous les individus qui ont voulus prôner la paix ont été assassinés.
Ils m’indiffèrent et je ne comprends pas ceux qui se passionne pour ce bourbier. Sûrement des relents des croisades passées.
Pour moi il y a déjà une différence entre s’intéresser et se passionner.
Quant à être indifférent (rien à foot !), se désintéresser du conflit à Gaza, comme de celui en Ukraine, pour moi c’est une posture misérable.
Esprit critique, t’es un misérable
La modération à Tsp
nous avons été obligé de supprimer vos multiples envois identiques.
Nous vous rappelons les règles de modération de ce blog :
Pour que les commentaires sur ce blog biosphere approfondissent le sens de l’article d’origine,
nous éliminerons tout texte sans rapport avec le sujet proposé.
Rappelons aussi quelques règles de bonne conduite :
– La discussion doit être respectueuse, sans attaque personnelle.
– Limites de la liberté d’expression : pas de diffamation, pas d’injure…