Alléluia ! Tous les problème du monde vont être résolus. Emmanuel Macron félicite Donald Trump et se dit « prêt à travailler » avec lui. Une poignée de main avec Poutine, et l’Ukraine n’existera plus. Netanyahou les mains libres, toute la Palestine sera enfin juive. Les Latinos-américains n’oseront plus rentrer aux USA, le mur sera infranchissable. Plus du tout d’inflation, encore moins de chômage, la présidence y veillera. Par la grâce d’un seul homme, envoyé divin, la paix régnera sur Terre et dans les Airs. Le réchauffement climatique n’existe pas et la biodiversité se porte comme un charme.
Ainsi soit-il, les Américains l’ont voulu, ils l’ont bien profond, et le monde aussi.
Pour en savoir plus, nos article antérieurs, rien de nouveau sous le soleil.
Ne nous TRUMPons pas, nous l’avons bien cherché
extraits : Donald Trump prendra officiellement ses fonctions le 20 janvier 2017. Pas de quoi trumpeter pour les écolos. Mais ne nous TRUMPons pas, nous l’avons bien cherché, c’est ce que les États-Unis attendaient. Il n’y a rien à dire sauf à contester une forme de démocratie élective. Si le peuple adule les trump-la-mort, qu’y faire ? Pourtant cette victoire en trump-l’oeil annonce des lendemains qui déchantent. Ce n’est pas une petite trumpette que nous allons faire avec la montée des eaux causés par le réchauffement climatique, ce sera le grand bain pour plusieurs générations. Les climatosceptiques ont gagné, les populistes bateleurs et menteurs sont avec eux. Même si en français nous n’avons pas de mot en « trump », il y a de fortes chances que le trumpisme devienne un mot courant. L’écologie va faire encore plus de trumpoline que précédemment, un vrai trumplin vers la catastrophe écologique.Voici ce que pense avec trumptitude Agnès Sinaï, une spécialiste de l’anthropocène, de la situation écolo-politique à venir …
Donald Trump, narcissique et psychopathe
Voici comment on pourrait analyser le tempérament de Donald Trump : C’est une personnalité narcissique, plus exactement un « narcissisme malfaisant ». Le narcissique est intolérant aux critiques et se montre virulent lorsqu’on lui fait des remarques. Trump a pris très souvent des décisions de manière impulsive, sans se soucier de leurs conséquences. Il fonctionne en permanence avec des rapports de force et il valorise l’action autoritaire. C’est aussi un psychopathe qui recherche assidûment le pouvoir. Sa personnalité est caractérisée par un ego surdimensionné, une froideur affective, une tendance à la séduction, un besoin d’action et une absence de peur qui lui fait souvent prendre des risques démesurés. Ce type de personnage est prêt à tout pour arriver à ses fins. Trump cultive des relations humaines superficielles, un manque d’empathie et porte atteinte aux droits d’autrui sans ressentir la moindre culpabilité. Tout se passe donc comme s’il n’y avait aucune conscience morale. Selon un test de personnalité permettant d’établir un score de psychopathie, on a observé que Donald Trump obtenait les scores parmi les plus élevés, en bonne place parmi de nombreux dictateurs. Trump admire d’ailleurs les leaders autocrates comme Vladimir Poutine ou les dictateurs comme Kim Jong Un ; il compte parmi ses « amis » le président brésilien Jair Bolsonaro.
Donald Trump est également un menteur pathologique. C’est ainsi que le décrit sa propre nièce, la psychologue Mary Trump , dans son livre « Too Much and Never Enough ». Il s’est proclamé vainqueur de la présidentielle US en niant les évidences électorale. Depuis son élection, il a été responsable de la diffusion de plus de 20 000 mensonges, fake news, erreurs ou approximations. Il se soucie uniquement de son propre intérêt, d’où un penchant certain pour la fraude fiscale. Il est particulièrement doué pour percevoir les faiblesses des autres et en tirer un profit personnel. La vérité, c’est le monde tel qu’il se le fabrique et il accuse les autres de ses propres erreurs. C’est en fin de compte une personne immature, ayant un esprit chaotique et binaire, incapable de comprendre les idées complexes. Il n’arrive pas à focaliser son attention plus de quelques minutes, il ne lit ni la presse ni les rapports qu’on lui donnait quotidiennement. Il passe plusieurs heures par jour devant la télévision, en se focalisant sur les émissions qui le mettent en avant. Il reste assidûment dans sa bulle médiatique.
Devant un tel tableau clinique, n’importe qui de rationnel refuserait son soutien à une telle personnalité. Pourtant Trump a obtenu plus de 74 millions de suffrages à la présidentielle américaine de 2016. C’est un grave inconvénient de la démocratie représentative, la dimension autoritaire plaît car cela rassure une grande partie des électeurs. Les mécanismes de la servitude volontaire ont été bien analysés depuis longtemps, il faut lire et relire l’essai d’Etienne de la Boétie (1576). Mais le plus grave avec ces personnalités qui nient les réalités, c’est le fait qu’arrivé au pouvoir ils mettent en place une politique anti-écologique. Qu’on s’appelle Poutine, Bolsonaro, Erdogan ou Trump, on mène la planète au désastre et nous avec.
La France insoumise (LFI) a été la première en France à réagir, voyant dans l’échec du positionnement modéré de la candidate démocrate une validation de sa ligne « radicale et populaire » face à une gauche « molle ». Mélenchon avait estimé que les deux prétendants à la Maison Blanche étaient « similaires mais pas identiques », évoquant leurs prises de position sur le conflit israélo-palestinien ou le soutien au « capitalisme ». « Le moindre mal, c’est toujours le mal », avait-il conclu.
Comme quoi un populiste ne se reconnaît dans un autre populiste que s’il arrive lui-même au pouvoir…
Melenchon est devenu multimillionnaire juste en pantouflant pendant près de 40 ans au parti socialiste, il sait de quoi il parle en terme de capitaliste puisqu’il n’a même pas partagé son magot avec ses camarades, mais en terme de mal il n’est pas des moindres, puisque sa fortune il l’a doit aux contribuables, bref traire celles et ceux qu’ils considèrent comme des peaux de vache soit disant égoïstes mais pourtant bien généreuses au regard de son patrimoine obtenu sans effort !
Même si je me refuse à le comparer à Trump, Mélenchon ferait bien de disparaître une bonne fois pour toutes du paysage politique français. Pas que lui d’ailleurs, BASTA !
Ceci dit, et c’est exactement comme avec l’écologie… il est vrai qu’il existe en France (et ailleurs) une gauche molle, une gauche qui n’en a que le nom.
Et qui porte un tort considérable à la Gauche, digne de ce nom.
La Gauche… que certains qualifient de dure, de radicale, d’extrême etc.
Tout connement pour mieux la dénigrer, et la rendre… impopulaire.
La Gauche ce n’est pas Mélenchon ou Tartempion. La Gauche c’est d’abord des idées !
A lire 2 articles du Point intitulés 1/ « Élection de Donald Trump : « Trump n’est pas bête, il connaît bien son public »
Intro du 1er article » Trump s’est occupé de duper les gens. Bonimenteur de cirque, il a fait le tour des États-Unis dans sa roulotte de la supercherie. Le costume du clown lui va comme un gant. Tout le monde sait qu’il ment, mais c’est un menteur distrayant, bien habillé, à l’intelligence grossière et à l’embonpoint confortable »
Comme toujours, les gauchistes démocrates n’ont aucun programme pour le bien commun ! Uniquement des invectives face à leurs adversaires pour conserver comme des parasites le pouvoir
et 2/ « Élection de Donald Trump : pourquoi Hollywood s’est encore planté »
Introduction du second article « Arnold Schwarzenegger, George Clooney, Leonardo DiCaprio, Harrison Ford, Beyoncé, Taylor Swift, Bruce Springsteen, Jennifer Lopez, Will Ferrell… Pendant plusieurs semaines, aux États-Unis, les visages les plus célèbres du showbiz se sont relayés pour marteler à tue-tête sur les réseaux sociaux, avec plus ou moins de bonheur, l’enfer promis à l’Amérique en cas de victoire de Donald Trump. À les écouter, c’était Kamala Harris ou le chaos. Et, comme en 2016, mais dans une proportion encore plus implacable au vu des premiers résultats, les électeurs n’ont guère suivi les prescriptions des vedettes. »
–> Comme vous pouvez le constater, la quasi totalité des stars cités du camp démocrate sont impliqués dans les affaires pédo-criminels de Diddy !!! Ainsi que les affaires de crime pour le cas de Jennifer Lopez !
Eh ben, force est de constater que les trois pelés et un tondu que compte ce blog sont bien plus inspirés par la victoire de ce gros misérable que par l’agro-industrie et l’agro-écologie.
Pas de doute, ON avance ON avance !
Oh certes pas vers l’intelligence collective, mais bon. Misère misère !
Oui, mais c’est normal c’était le sujet de l’article.
C’est bien ce que je dis, c’est comme pour les questions, comme pour tout et n’importe quoi, il y a sujet ET sujet. Ceux qui vous inspirent, et ceux qui vous laissent coi.
Quoi coi ? Ben, sans voix ou sans répondant quoi !
Éditorial du MONDE.
En 2016, lorsqu’ils lui ont confié la Maison Blanche pour la première fois, les électeurs américains ignoraient à quoi ressemblerait une présidence Donald Trump. En 2024, l’électorat sait où ce président va les emmener, et en redemande. La victoire de Donald Trump au terme d’une campagne populiste, misogyne et raciste sans précédent est de mauvais augure pour les femmes, les immigrants et la démocratie en général. C’est la fin d’un imaginaire, celui d’une superpuissance ouverte et engagée dans le monde, désireuse de s’ériger en modèle démocratique. Le monde selon Donald Trump est un monde qu’il regarde à travers le seul prisme des intérêts nationaux américains.Un monde de rapports de force et de guerres commerciales, qui méprise le multilatéralisme. Un monde où le président des Etats-Unis réserve ses mots les plus durs à ses alliés mais ménage les autocrates, considérés comme des partenaires.
Cet éditorial met l’accent sur le personnage Trump et sur tous problèmes que pourrait générer son élection. A aucun moment il ne s’interroge sur les causes ayant provoqué ce résultat. Les démocrates sont en partie responsables puisque Biden a voulu se représenter malgré les handicaps physiques et mentaux que chacun pouvait constater. Kamala Harris fut un choix par défaut.
Les démocrates ont pâti de l’inflation mais aussi de leur politique sociétale qui mettait en avant les minorités, le genre, le féminisme en semblant les privilégier, wokisme oblige. Le retour de bâton à été cinglant. Ceci rajouté à une certaine condescendance de démocrates assimilés à l’élite. En face la brutalité, la gouaille, le sexisme de Trump apparaissait comme le pendant bienvenu d’une bien pensance élitiste.
Et oui mon pauvre Michel, en 2020 mes cartes du Tarot ta l’avait bien prédit que Donald Trump serait réélu !
En tout cas il serait temps que Macron dise à ses caniches de médias d’être plus neutre dans les publications d’articles, car sinon ça va être compliqué de négocier avec un Président sur qui les médias français ont gerbé quotidiennement pendant plus de 8 ans !
Car franchement faire présenté Donald Trump comme un homme de vengeance, c’est du culot après avoir tenté de l’assassiner plusieurs fois ! La mauvaise foi ! Je ne parlerai pas des bourrages d’urne de 2020 qui se sont avérés exact dans les mois qui ont suivi l’élection de Biden.
Ce qui est certain, c’est que je me réjouis grandement de l’élection de D Trump, car la justice va pouvoir avoir les mains libres pour faire son boulot sur l’affaire Diddy qui a été mise au frigo en attendant les résultats de l’élection !! Et comme on sait très bien que toutes les stars du cinéma et de la chanson, ainsi que des politiciens et sportifs impliqués dans l’affaire Diddy sont tous partisans des Démocrates ! Ben on comprend mieux pourquoi ils aient tous peur de D Trump ! Beaucoup de français seraient impliqués aussi au réseau de Diddy (il y a même eu des Freak off en France) , mais les médias français gardent le silence sur les noms impliqués. Autrement dit pour apprendre les noms français il va falloir lire la presse étrangère. Ça me rappelle l’affaire DSK, où la justice et les médias français ont gardé le silence de très nombreuses années, et qu’il a fallu qu’il se fasse griller aux Usa pour que les français l’apprennent !
C’est vrai que les médias français ne se sont pas comporté de manière neutre, ils étaient tout à fait partisans, sans guère de respect pour les électeurs américains, considérant tout non démocrates comme abruti ou nazi en puissance, tant pis pour eux.
Ah bon… Vous êtes sérieux là ?
Oh pardon c’est une question.
Tout à fait je suis sérieux, l’immense majorité des média français a pris parti et ne s’est pas contenté d’un rôle de journalistes.
S’ils veulent faire de la politique, qu’ils s’engagent dans un parti, mais là c’est insidieux et pas très honnête.
Je le répète, plutôt que de dire »facho » à tout bout de champ on ferait bien d’écouter ce que veulent dire les électeurs américains, l’écoute est plus intéressante que le mépris.
Ah, elle est bonne celle-là ! Ça vous va bien de vouloir écouter ce que veulent dire les électeurs américains, alors que vous n’êtes pas foutu d’écouter ceux qui vous dérangent.
Et si des fois… ON ne sait jamais… un de ces ricains vous lisait et vous posait une question… est-ce que vous lui répondriez ?
Oh pardon encore une question. Décidément je suis irrécupérable !
Il est surtout heureux que Chlamydia Harris ne soit pas présidente car elle aurait plongé le pays dans l’ enfer socialomondialiste digne de la Corée du nord ou de la Chine
Les magnifiques théories des docteur Folamour Schwab , Soros auraient été activées pour décerveler la population , la fentanyliser , la trangenriser, en bref la rendre miséreuse et stupide en proie à des guerres raciales permanentes .
Excellente nouvelle que l’ élection de DT .
Parlons un peu de Chlamydia adepte de la promotion canapé qui doit beaucoup plus à ses charmes qu’ à ses qualités intellectuelles : ceci équilibre la critique de sa nièce dont on se demande aussi si elle est bien un modèle de vertu et si elle n’ appartient pas aussi à la caste des tricheurs, voleurs et manipulateurs qu’ est le parti dit démocrate 😎
J’ ai jubilé en voyant la face déconfite des journa(putes) lopes de la presse française en état d’ effondrement , ces scélérats, au bord de l’ apoplexie .
J’ ose espérer que ces racailles seront remplacées rapidement par l’ IA et ce jour béni , je me boirai un bon millésime pour célébrer cela 😁😁😁😁
Heureusement qu’ON a Pascal Praud pour relever le niveau.
Je ne moquerais pas des américains en évoquant le plaisir de la servitude volontaire, car ce qu’ont accepté les français pendant le covid n’était pas mal non plus en la matière.
La critique de Trump sur sa personnalité est certes aisée tant il y prête le flanc par son comportement, mais certaines choses qu’il dit doivent être écoutées : le ras le bol des citoyens devant un Etat tout puissant qui les ponctionne toujours plus et laisse le pays se faire envahir.
On peut être contre ses idées, mais il ne faut pas mépriser ce que le peuple dit par ce vote, c’est trop facile. La gauche en général n’écoute jamais le peuple, elle lui demande juste de penser comme elle l’entend. Son extrême (le communisme) a d’ailleurs conduit les habitants de tous les pays qui l’ont subi à n’avoir qu’une idée : en sortir.
Comme dans la Russie de Poutine, Trump a fait en sorte qu’une bonne partie du peuple vive dans un monde parallèle complètement assujetti à un homme menteur et inculte comme dans tous les pays où les populistes ont pris le pouvoir. On va maintenant voir Trump à l’œuvre pendant quatre sans adulte dans la pièce ni contre-pouvoir véritable…
Certes, c’est vrai que «chez nous» ON n’est pas mal non plus.
Toutefois je suis encore capable de faire la différence entre des petits cornichons et des grosses andouilles. Et si vous, Monsieur Barthès, vous voulez vous assimiler à ce peuple d’andouilles, lui chercher mille circonstances atténuantes et blablabla, eh ben ce n’est que votre problème.
Il était 2 heures du matin, mercredi 6 novembre, lorsque TRUMP s’est lancé dans un long propos décousu. Égal à lui-même, tout en improvisation. Donald Trump a remercié les électeurs, promettant « un nouvel âge d’or de l’Amérique ».
Au vote populaire, Donald Trump affichait au moment de prendre la parole près de cinq millions de voix d’avance sur son adversaire. Une incroyable récompense pour une campagne marquée par la xénophobie, niant le changement climatique, dessinant à traits caricaturaux une Amérique en chute libre.
Le virage à droite des Etats-Unis est brutal, inattendu dans son ampleur, inquiétant pour sa démocratie et ses alliés traditionnels dans le monde. Les Européens risquent de se retrouver livrés à eux-mêmes, la Russie a toutes les raisons de se réjouir et la Chine d’envisager une nouvelle phase de tensions commerciales avec son seul rival systémique.
La bourse gagne, la planète perd. Tant que ce monde sera dirigé par l’argent, il ira dans le mur. Le plus triste et le plus absurde est que ce sont les personnes qui en manquent dans les pays riches qui votent pour ces programmes d’extrême droite. Le plus scandaleux est que les dirigeants qui ont œuvré pour cette victoire ne seront plus là forcement pour voir les dégâts et les conséquences sur notre milieu de vie… bien que l’on commence à le voir avec la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes.
L’avenir du monde s’est éclipsé et les égotistes vont s’en réjouir. Triste époque pour les écolos démocrates.
Comme tout les bobo-gaucho-ecolo pro-Harris j’ai un portefeuille d’actions bien garni, et je viens de gagner beaucoup d’argent. Alors que les rednecks pro-trump qui n’arrivent pas à finir les fins de mois n’ont rien gagné. Le monde est vraiment cruel.
Et plus que cruel pour les redneks pro-Trump genre Elon Musk ou Clint Eastwood.
Ce qu’il fallait retenir à 9 heures. Donald Trump a revendiqué la victoire et a remercié les Américains pour l’avoir « élu 47ᵉ président des Etats-Unis » : une victoire qui a été annoncée par Fox News, mais pas par Associated Press. Selon le décompte de l’agence de presse américaine, il compte actuellement 267 grands électeurs. Une victoire dans l’Alaska, un Etat qui lui est promis, et il atteindrait le seuil des 270 grands électeurs.
En Hongrie, le premier ministre Viktor Orban, partisan inconditionnel de Donald Trump, a été le premier à se réjouir, dès le début des résultats partiels. « En route vers une belle victoire », a-t-il écrit sur Facebook, où il se montrer devant un écran de télévision affichant le comptage des voix aux Etats-Unis.
En Israël, le premier ministre, Benyamin Nétanyahou a salué « le plus grand retour de l’Histoire » et « un réengagement puissant dans la grande alliance ».
La victoire du milliardaire et la perspective de voir une nouvelle administration Trump mettre en œuvre un programme mêlant baisses d’impôts et mesures de dérégulation profitent aux actions américaines,
tandis que celle d’un relèvement des droits de douane et d’un creusement du déficit budgétaire alimente la hausse des rendements des bons du Trésor et du dollar.
C’est la victoire du court terme au détriment des enjeux du long terme.