La population mondiale au 1er janvier 2020

La Terre héberge environ 7,7 milliards d’habitants en ce 1er janvier 2020. Le taux de croissance annuel (+,1,1 %) reste élevé au regard de l’Histoire et conduit à une augmentation de 80 millions de personnes chaque année (soit près de 220 000 personnes chaque jour). 

Projection mondiale  pour 2100 (ONU) : 10,9 milliards

Signalons la signature, en novembre dernier, par 11 000 scientifiques d’un appel sur la crise climatique faisant clairement référence au facteur démographique.

Source : http://economiedurable.over-blog.com/2019/12/la-population-mondiale-au-1er-janvier-2020.html

Biosphere-Info, la surpopulation mondiale

4 réflexions sur “La population mondiale au 1er janvier 2020”

  1. Dans les années 1970 les charmants membres de l’espèce Sapiens ont procédé a une expérience avec des rats. Les rats étaient bien nourris mais on ne cessait d’en rajouter dans la cage jusqu’au moment ou ils se sont bouffés entre eux. Encouragés par cette expérience une bande de singes hors controle décide de reproduire l’expérience sur eux-mêmes…
    Une chose qui ferait absolument diminuer la procréation serait une justice inter-générationelle ou l’on donne aux enfants un droit de poursuite envers leurs parents s’ils n’aiment pas ce qu’on leur a servi. Si ce droit existait j’aurai poursuivi en justice mon père physicien spécialisé en thermo-dynamique pour m’avoir attachée sans mon accord sur un rail avec deux trains jumeaux se dirigeant sur moi dans un avenir pas très lointain: le réchauffement climatique et la surpopulation. Toute une vie de chagrin, de terreur, de désespoir et de douleur dont je me serai très bien passée. Evidemment mon mari et moi n’avons pas d’enfants, nous sommes déja trois fois trop nombreux pour la capacité de regeneration de la biosphere et je préfère laisser un peu de place a la vie sauvage.
    Meilleurs voeux pour une année espérons-le pas trop tumultueuse

  2. Bonjour BGA80
    Oui bien sûr il y a une certaine incertitude, en général les démographes prétendent que l’on connait globalement la population mondiale à + ou – 1 % près, c’est à dire en arrondissant que nous serions entre 7,6 et 7,8 milliards. On peut penser que cette estimation de la marge d’erreur vaut pour le montant comme pour l’estimation de son évolution
    Une autre façon de le dire est que nous sommes en avance ou en retard d’à peu près un an
    dans nos estimations, ce qui ne change en rien l’ordre de grandeur, j’ai tendance à dire que si l’on veut raisonner en ordre de grandeur, nous sommes 8 milliards.
    Comme vous, j’ai tendance à penser qu’il ne faut pas attendre de solution miracle des idées progressistes, ni de la technologie en général, in fine le quantitatif l’emporte toujours, et les efforts faits sur le qualitatif se payent d’ailleurs souvent d’une augmentation du quantitatif : au fur et à mesure que les voitures consomment moins on met plus de voitures en circulation et résultat on consomme toujours plus ! Pareil pour la démographie, si nous consommions et polluons un peu moins on en profiterait pour être un peu plus, résultat nul (ou même pire car on consommerait plus d’espace) !

    1. Sur l’incertitude des statistiques, notons qu’un brouillard de dénombrement règne un peu partout sur le continent africain.
      Lagos, la tentaculaire capitale économique du Nigeria, compte-t-elle 10, 15 ou 20 millions d’habitants ? Combien de chômeurs dénombre-t-on à Madagascar, où le secteur informel est le plus grand pourvoyeur d’emplois ? Quel est le taux de scolarisation des enfants de West Point, vaste bidonville de Monrovia au Liberia ? Difficile à dire. Aujourd’hui encore, environ un Africain sur deux est dans l’incapacité de prouver son identité. La Fondation Mo Ibrahim rappelle que sur les cinquante-quatre pays du continent, huit seulement disposent d’un système opérationnel d’enregistrement des naissances. Une quinzaine d’Etats africains n’ont procédé à aucun recensement de population ces dix dernières années. En République démocratique du Congo, cela fait même trente ans !

  3. Et oui, et en vérité on en est même à +90 millions de plus values entre les naissances et les décès, chaque aannée et peut-être encore plus si on considère que des pays sont mal administrés et ne parviennent pas à registrer toutes les pontes en plus….(comme en Afrique)… Mais bon peu importe, 80 ou 90 millions chaque années sont autant de bouches à nourrir supplémentaires qui se greffent déjà à nos stocks d’affamés mondiaux….

    Autant dire, que les animaux vont se faire tous becqueter, y compris les animaux domestiques, ceux des zoos et des cirques, quand le peuple à faim comme dirait Melenchon, et ben il a faim, et lorsque l’instinct de survie est poussé à ses limites et ben les individus n’auront plus aucun scrupule pour se nourrir… J’ai toujours pensé que tôt ou tard, les humains s’inspireront des recettes de cuisine d’Hannibal Lecter pour manger à leur ‘fin’….. Alors oui désolé pour le zoo de la flèche et le cirque gruss, mais l’humanité goûtera à de la cuisse de girafe, de la trompe d’éléphant, ainsi que des otaries en sushi, et tout le reste passera aussi à la casserole…

    D’autant que, ne vous attendez pas à des idées progressistes pour sauver la mise par des nouvelles technologies, c’est avant tout une question de ressources plus que d’intelligence, notamment de ressources fossiles en cours d’épuisement… Puis quant à l’intelligence c’est plutôt mal barré, en effet les gens stupides se multiplient plus vite que les gens intelligents, et encore même parmi ceux qui ont un bon potentiel intellectuel ils savent mal se servir de leurs cerveaux, cerveaux enfin leurs cerveaux qu’ils ne mettent qu’à leur profit personnel de court terme (sous couvert de carrière) et non pour l’humanité… Mais bon peu importe, le fait que les gens stupides se multiplient plus vite que les gens intelligents, fera que les gens intelligents toujours de moins en moins nombreux devront encadrer de plus en plus de gens stupides, ils vont finir par craquer….

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