Le Top aujourd’hui, c’est de se faire mousser en vendant de l’anti-écologisme primaire du type « Ayatollah vert » et autres amabilités du retour à l’âge de pierre. Pourtant la dureté des chocs écologiques présents et à venir devraient nous amener soit à un silence terrifié, soit à un rejet de ces sombres crétins qui sont en train d’anéantir l’avenir de leurs générations futures. Même des fidèles de notre blog se laissent aller à ne pas vouloir comprendre ce qui pousse au radicalisme de l’écologisme.
Esprit critique : « Qu’est-ce qu’il fait avancer, Michel Tarrier, avec son dégoût de l’humanité ? Par exemple, il a écrit : « Je suis misanthrope et j’emmerde mes semblables que je déteste tout autant que je me hais.[…] j’estime que tous les nouveaux parents sont des salauds qui mettent au monde un otage […] » En gros c’est l’histoire d’un salaud qui parlait de salauds… Croyez-vous que c’est avec ce genre de propos qu’on puisse faire avancer la Cause ?
Biosphere : Nous avons consulté le portait de Michel Tarrier brossé par Jean Delacre. Encore une fois, on constate que sortir une phrase de son contexte relève de la manipulation d’autrui, pas de la défense de la Cause écologique. Reprenons donc le contexte des propos de Michel T.
Jean Delacre : « Si je vous disais que c’est mon ami, mon meilleur am. Mais Michel Tarrier n’est pas à l’abri de certains esprits ombrageux, sans doute jaloux de sa renommée bien méritée, et qui ne se privent pas de tenter par tous moyens et sans le moindre scrupule de le discréditer. Rappelons les faits. L’éclosion de l’écosophe ne fut en lui qu’une réaction, comme on fait « aïe ! » quand on vous marche sur les pieds. Ca c‘est à quatre pattes, le nez sur le microcosme, que Michel a vu arriver la sixième phase d’extinction massive des espèces, la première ayant la cynique anthropie comme cause. Chaque fois plus nombreux et plus nocifs sur la petite planète bleue, la seule et unique obsession semble être le pillage. Tous les discours et les mesurettes ne sont que de fourbes proclamations à base d’oxymores pour faire durer le massacre. Nous sommes au bord du gouffre et nous rigolons, nous nous mentons à nous-mêmes. Au Maroc, le surpâturage biffe les écosystèmes, la biodiversité et les sols, la vitesse érosive est exponentielle : plus d’une centaine de millions d’herbivores « de bouche » scalpent sans répit le mince substrat végétal d’un biome semi-aride pour l’essentiel,Tout ce qu’on a trouvé comme parade, c’est un semblant de reboisements qui ne dure que le temps de l’effet d’annonce puisque dès les années qui suivent le périmètre devant protéger les semis et la régénération du site est livré à la dent des ovins, des caprins et des camelins. Homo sapiens demens ne changera pas et disparaîtra, victime de son propre écocide. Face à cette situation qu’il a vécu, Michel Tarrier a écrit une dizaine de livres sur ce thème, en exhortant notamment à la dénatalité, seul facteur pour réduire les affres de cette sale espèce invasive qu’est devenue la nôtre.Des milliers d’articles qui n’ont été selon lui que temps perdu. Mais c’est un peu comme s’il ouvrait sa fenêtre pour pousser une gueulante : « C’est pas fini, merde ! ». Écrire, hurler peut contribuer à ralentir sa propre métastase…
Jean Delacre : Tu as toujours été « très dur » avec tes amis, qui doivent avoir un caractère drôlement bien trempé pour résister à tes coups de boutoir et tes quolibets. Cependant, même si quelques-uns d’entre eux te vouent maintenant une haine féroce, tu restes toujours pour bon nombre une figure d’exception. Comment expliques tu cette haine/admiration qui t’a toujours poursuivi tout le long de ton parcours ?
Michel Tarrier : Je me détourne de ce type de question car pathos et ego ne m’intéressent pas plus que les bonnes manières et le protocole. Je suis misanthrope et j’emmerde mes semblables que je déteste tout autant que je me hais. Les vérités, la sincérité, la confiance seules m’importent. En ce troisième millénaire (qui n’aura qu’un siècle), nous n’avons plus le temps d’être polis. Quant à l’amour : je n’aime pas que l’on m’aime, c’est un empêcheur de respirer en rond.
Jidé : Vois-tu un avenir pour notre planète autre que ce que tu décris avec tant de conviction dans tes livres qui sont tout sauf réjouissants ?
Michel : Aucun autre avenir qu’une vie qui va devenir de plus en plus invivable, si bien que j’estime que tous les nouveaux parents sont des salauds qui mettent au monde un otage. Il faut instituer le droit de ne pas naître en se posant cette question novatrice : existe-t-il une vie vivable pour l’enfant après l’accouchement ?
Jidé: Pour terminer sur un tout autre sujet qui me tient personnellement à cœur et pour illustrer nos visions biocentriste-animiste partagées, que sont pour toi les Grands Singes, Bonobos, Chimpanzés, Gorilles et Orang-outangs ?
Michel : Il s’agit de nos frères. Comme Homo modernicus a détruit toutes les nations humaines premières, après les avoir humiliés et incarcérés dans nos effroyables zoos, nous sommes en train d’anéantir d’autres humains que sont Homo (Pan) paniscus, Homo (Pan) troglodytes, Homo (Gorilla) gorilla et beringei, Homo (Pongo) pygmaeus. Nous ne savons rien faire d’autre qu’anéantir ; la seule et unique invention de la négative intelligence de l’animal humain se nomme : la douleur. Homo sapiens est une ordure. Comme l’exprime René Fallet, « quand l’homme ne tue pas l’homme, il tue ce qu’il peut, c’est-à-dire ce qui l’entoure. Il sort de son cadre, veut prendre la place des forêts et des animaux, souille les rivières, pollue l’air, se multiplie sans raison, se bâtit un enfer et s’étonne ensuite naïvement de n’y pouvoir vivre. »
Conclusion biosphèrique : Lecteurs, tenter de salir une telle personne sans vouloir essayer de la comprendre, c’est se salir soi-même… Lisez Michel Tatrier sur ce blog, et discutez du fond de son analyse, ne faites pas preuve d’un sentimentalisme déplacé face au désespoir qui mine tant d’écologistes « radicaux ».
Etonnant que les gauchiasses , ces neuneus ravis de la crèche , n’ aient pas remplacé le mot misanthropie par andro / anthropophobie : ces acéphales croient que les ennemis de l’islam (islamophobie) par exemple , ont une peur panique de ce système politicoreligieux (au moins aussi sinistre que le communisme stalinien ou autre) alors qu’ ils éprouventt tout simplement une haine amplement justifiée à son égard.
La profonde malhonnêteté et la malveillance sont consubstantielless aux mahométans et à leurs alliés gauchistes : on rira en pensant au sort que les gauchos énamourés du régime des ayatollah, ont subi (certains ont appris à planer du haut d’ un immeuble)
Mais pourquoi autant de haine mon pauvre Marcel ? Et la juste mesure dans tout ça, hein ? Sérieusement, je pense que vous devriez consulter. Parce qu’en attendant, je resterais con vaincu qu’il faut être sévèrement atteint pour se réjouir à l’idée de voir planer un “gauchiasse“, ou je ne sais quel genre de neuneu, du haut d’un immeuble. Faudra préciser au Professeur Foldingue si des fois ce genre de rêves vous procure une érection.
Et Biosphère, qu’est-ce qu’il en pense de cette hubris de dégoût ?
Lisez donc les qualités dont j’ ai affublé les gauchistes dans un commentaire
A qui doit-on l’ insécurité en France , à votre avis ?
Ils doivent payer le prix fort pour les méfaits criminels dont ils (socialos et cocos inclus, pastèques)
Me voila gravement atteint , ben voyons comme dirait Zemmour,
– « Nous avons consulté le portrait de Michel Tarrier brossé par Jean Delacre. Encore une fois, on constate que sortir une phrase de son contexte relève de la manipulation d’autrui, pas de la défense de la Cause écologique. Reprenons donc le contexte des propos de Michel T. » (Biosphère)
Le 30 MAI 2022 À 09:11 et 9:16 ESPRIT CRITIQUE MC cite en effet deux phrases issues de cette INTERVIEW avec Jean Delacre. Et juste après il donne le lien vers cet entretien. Partant de là chacun peut se faire une idée du contexte, voir ce qui en est réellement etc.
Quoi qu’il en soit, Biosphère commet une erreur s’il pense que la défense de la Cause écologique doit s’abstenir de critiques envers certains de ses membres. Et l’erreur est encore plus grave si ses stratagèmes ne visent qu’à faire taire ou discréditer toute parole qu’il juge dissidente.
Pour finir, le plat du jour… et si ça peut mettre tout le monde d’accord, ce dont je serais évidemment ravi 🙂 🙂 🙂 je dirais que s’ils devaient analyser tout le monde, le Professeur Foldingue et tous ces con frères auraient du boulot pour des millénaires. Fous, malades, nous le sommes tous. Plus ou moins bien sûr. Et je pense l’avoir dit plus d’une fois. Quant au remède, miracle… j’ai toujours dit : à chacun sa came !
– « J’ai subitement été pris d’une maladie, le dégoût de l’humanité. […] Tout homme qui à quarante ans n’est pas misanthrope n’a jamais aimé les hommes. » ( Honoré de Balzac )
La misanthropie et le dégoût de l’humanité sont des maladies vieilles comme le monde.
Platon (Socrate) et Aristote en parlaient déjà très bien. Ce n’est que récemment qu’on s’est posé la question de savoir si la misanthropie est un genre de pathologie mentale. Bien que je ne sois spécialiste de rien, ni de Balzac, ni des insectes et encore moins des maladies de la tête, sur cette question je suis d’accord avec Balzac. Le dégoût de l’humanité est bien une maladie.
Quant à la misanthropie, si elle n’est pas une maladie elle y ressemble.
– « Le misanthrope est un être excessif à double titre : son excès de confiance initial l’a conduit à un excès de méfiance final. […] Le misanthrope est un être désillusionné qui a pris ses désirs pour des réalités et qui continue de le faire en ne faisant plus confiance à personne, c’est-à-dire en mettant sur le même pied d’égalité l’homme de parole et l’homme irresponsable. »
( forum : la misanthropie est-elle un genre de pathologie mentale ? )
– « la misanthropie est quelque chose d’acquis socialement. C’est-à-dire que c’est à travers certaines situations sociales que la personne finit par acquérir ce sentiment. […] comme nous l’avons dit, la misanthropie n’est pas une maladie. Cependant, vous pouvez faire de la place pour cela. Comme le misanthrope est sentimentalement plus vulnérable, il peut développer une dépression. En outre, il peut présenter une mélancolie et une tristesse excessive. »
( Quelle est la définition du mot misanthrope ? 16 mai 2021 sur aurablog.org )
On peut à juste titre se demander si l’ humanisme dégoulinant de moraline gauchiste de ce cher Michel esprit critique parti d’ en rire ne relève pas d’ une pathologie mentale incurable .
Tout ce qui est issu de la gauche (sinister en latin —> sinistre) respire la fausseté , l’ hypocrisie (son antiracisme de pacotille), le mensonge , la manipulation , la démagogie (que ferait cette secte stalinienne LFI (la France islamisée) sans la présence hypermassive de ces afromuzz pour qui elle a les yeux (électoraux) de Chimène ?
A l’ égard des gauchistes , des bobos droitogauchos, des antifas , ma misanthropie est sans limite et pour ces nuisibles qui se nourrissent de la pauvreté voire de la misère , je recommande un traitement dutertien (toute ma sympathie à cet excellent homme )😁😁😁
Oui, on peut à juste titre se demander… De quoi Mézique*, Michel Tarrier, Marcel Duterte, Pierre Paul et Jacques sont-ils respectivement atteints ?
Après tout, si ça peut permettre de faire avancer le Schmilblick. Jean Doute !
En attendant, Biosphère ne peut que remercier son cher Marcel d’avoir tout compris. Ou presque. Ce qui lui permet de ramer dans le Bon Sens. C’est à dire le sien, celui de Tarrier et Jean Pass. Misère misère ! 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂
* = Michel C, alias Esprit critique, Parti d’en rire, Misère misère et Jean Pass !
Je me demande bien ce qui peut valoir de se faire traiter de sombre crétin, d’extracteur de phrases de leur contexte, manipulateur et patati et patata. Encore une fois je vois que sur ce blog, la haine, pardon le mépris… si ce n’est le dégoût… bref les propos «humanistes» dans le style de notre fidèle Marcel Duterte passent mieux que l’esprit critique.
En tous cas bravo ! Voilà déjà qui me donne envie de lire plus sérieusement ce que raconte ce Monsieur Tarrier, afin de comprendre ce qui pousse au radicalisme de l’écologisme.
Mais d’un autre côté je me dis que ce serait alors un comble, que de filer des ronds à un spécialiste, des insectes, dans le seul but de comprendre ce que de toutes façons ma bêtise crasse m’empêche, de comprendre. Vous comprenez ? Non ? C’est pas grave.
Dit autrement, encore une fois j’ai affaire au dogmatisme de ces fameux ou fumeux radicaux de l’écologisme. Qui passent leur temps à pleurnicher parce que de sombres crétins, dans mon genre, les qualifient d’ayatollahs, de khmers verts et Jean Passe. Vous comprenez ? Non ? C’est pas grave.
Plus sérieusement, quoique. Comme on peut comprendre les raisons qui poussent certains individus à s’engager dans la lutte armée, chez Daesh par exemple, ou tout simplement dans l’Armée, la Police, ou alors dans les Ordres, chez les moines, dans une secte, celle du Capt’ain Watson par exemple, on peut évidemment comprendre ce qui pousse au radicalisme de l’écologisme. (à suivre)
Le dégoût de l’humanité peut être une de ces raisons. Bien sûr il n’y a pas que ça. Une extrême fatigue, la perte des repères, le nihilisme, peuvent expliquer le dégoût de l’humanité. Avec ça nous voilà bien avancés.
En attendant, même avec toute la meilleure volonté du monde personne ne pourra jamais comprendre ce qui se passe exactement dans la tête des autres.
Occupons-nous d’abord de mettre de l’ordre dans la notre.
Ceci dit, comprendre ne veut pas dire souscrire, approuver. Et tout le problème est là, notamment avec les dogmatiques.
Mes écrits concernent tous ceux qui résistent à la vulgaire pensée commune qui émerge des urnes. La tendance politiquement correcte est contraire à la conscience universelle, au respect de tous les êtres vivants et des écosystèmes. Penser avec le troupeau mène aux pires égarements et cruautés. La majorité silencieuse est dans la tradition d’un crétinisme auto-suicidaire. La vérité dérange, c’est un truisme de le dire. Seuls quelques rebelles et anticonformistes ont toujours fait avancer la société amorphe. Soyons fiers d’en être !
J’avais 4 livres sur la conscience, je les ai écrits, ils sont parus, et je suis « en peu » soulagé d’avoir pu cracher le morceau. Mais ces thématiques sont imbuvables pour « le gros de la société » et aucun média, je dis bien « AUCUN », ne peut se permettre de relayer mes publications sans provoquer les foudres de l’indignation de la bien-pensance.
Vous trouverez mes livres-alertes dans toutes les librairies en ligne, y compris chez le « vilain » Amazon qui les livre en 3 jours.
218 pages pour vilipender l’éducation parentale des familles qui font de nous des spécistes, des racistes et autres personnes haïssables, c’est « Salauds de parents !« .
232 pages pour alerter sur l’extrême sensibilité des personnes animales et hurler « stop au carnage », c’est « Sentience animale« .
196 pages pour exhorter à la dénatalité parce que c’est une honte de mettre aujourd’hui au monde un enfant dont la vie sera invivable, c’est « Le Malheur de naître« .
252 pages pour dénoncer que, preuves à l’appui, l’origine du mal c’est le mâle, c’est « Le Dernier Mâle« .