L’impérialisme de la pensée Woke n’a plus de limites. Une spécialiste d’écologie politique « féministe » vient de publier en français Pétromasculinité. Elle s’intéresse à la façon dont les identités de genre structurent les enjeux énergétiques. Tout y passe, on fait l’amalgame entre relations de domination et violences colonialistes, écocidaires, sexistes, on pourfend l’extrême droite américaine, misogyne, raciste et climato-négationniste. Heureusement qu’en France les gens ne sont pas trop au courant de la guerre des genres !
Lire, La religion woke contre l’écologisme
Cara New Daggett : « La masculinité a de nombreuses expressions, mais il existe une relation entre un type particulier de masculinité dominante – que j’appelle « pétromasculinité » – et les énergies fossiles. Les études féministes ont montré que la définition de ce qui était productif, improductif ou reproductif s’est construite sur une vision du monde où la subordination des femmes et l’exploitation de la nature sont liées l’une à l’autre… La valeur que nous accordons à l’énergie est liée à des croyances, des émotions. Les « pétrocultures » se sont développées sur l’idée que l’utilisation intensive et sans cesse croissante d’énergie est nécessaire à une « bonne vie ». Si les énergies fossiles ont apporté des avantages, elles ont également intensifié l’impérialisme et la violence, et ont contribué à forger un sentiment de maîtrise et de pouvoir illimité.
Le point de vue des gens normaux
André C. : Merci pour la leçon de wokisme qui m’a bien fait rire !
ALBERTO : Le pétrogenré, c’est tout nouveau, ça vient de sortir, un nouveau sujet de débat pour sociologue en manque de copie.
Pm42 : « les liens entre énergie et identités de genre » : on peut arrêter là… C’est curieux cette obsession de nous vendre en permanence des « sciences sociales » 100% idéologiques, 10 % déconnectées.
GERONIMO : Dites Le Monde, vous ne croyez pas qu’il a assez de brillants experts et spécialistes SCIENTIFIQUES des industries fossiles pour ne pas se coltiner une « sociologue » (science molle) experte en « identités de genre » (sic) ? Un(e) sociologue va ramer pour nous « assener » (et non pas démontrer) qu’il y a un lien entre domination masculine sur la femme et domination humaine sur la nature.
Eric.Jean : Avant la découverte des combustibles fossiles pour alimenter les machines en énergie abondante et bon marché la force de travail était animale (on a gardé l’habitude d’exprimer la puissance en chevaux) et humaine. Quant au rang de la femme en tant que force de travail, il n’était guère supérieur à celui d’esclave de son mari. Sauf pour les dames de la haute qui avaient esclaves et domestiques bien sûr. Mais le pétrole c’est mal, donc masculin, lol.
Cap.2020 : Au travers de tous ces articles qui nous servent du masculin toxique ad nauseam, on comprend en creux qu’avec les femmes, « tout ça » ne serait pas arrivé, ce qui est absolument indémontrable. Ce sont de simples constructions intellectuelles, qui reposent sur une vision biaisée du féminin et ne mènent nulle part.
He jean Passe : C’est fou comme le n’importe quoi peut procurer du travail à certain(e)s. Avec le concept de « Pétromasculinité « , pas besoin d’aller plus loin, on est pas loin de la transpétrolité ou du LGBT contre-pétrolier.
La théorie du genre consiste à s’affranchir de sa condition humaine biologique.
Je ne suis plus une femme, je ne suis plus un homme, je suis ce que mon cerveau décide.
C’est une révolution de l’organisation sociale qui en découle.
les gens qui se lancent dans cette aventure font ce qu’ils veulent.
Pour moi, c’est une démarche artistique.
Par contre, vouloir faire une norme sociale d’une expérience personnelle est très dommageable pour le fonctionnement de la société et des individus.
En tant que professeur, je vois des enfants de 11 ans revendiquant un genre inverse à leur condition physiologique.
Pour un enfant qui n’a même pas de conception sexuelle du genre, imaginez les problèmes psychologiques dans lesquels il plonge
Et la société les encourage dans cette démarche délétère.
La théorie du genre et le wokisme sont des drogues du peuple. Un moyen politique d’inféoder le peuple en le divisant et en le déstructurant.
– « Les énergies fossiles ont contribué à forger un sentiment de pouvoir illimité »
Bravo Le MONDE, bravo le Woke, ça oui c’est du nouveau ! Nous voilà bien avancés.
GERONIMO a raison d’interpeller Le MONDE. Pour comprendre le monde, et le Woke, pour tout savoir, sur tout et n’importe quoi, nous avons déjà Wikipedia :
– « La pétro-masculinité désigne le fait que les énergies fossiles constituent un élément important de l’économie et de l’identité masculine. La pétro-masculinité est présentée comme un frein à la transition énergétique. » (Pétro-masculinité)
Pour info : « cet article est une ébauche concernant le genre. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant ».
Alors n’hésitez surtout pas à en rajouter. Toujours plus, au Grand N’importe Quoi. C’est pour la bonne Cause. L’intelligence collective quoi. 🙂
En tous cas merci Wiki d’avoir éclairé ma lanterne. Que dis-je, ma vieille chandelle. Moi qui suis à fond POUR la sacro-sainte Transition, me voilà donc obligé d’être CONTRE cette satanée Pétro-masculinité. Dorénavant ma femme n’aura qu’à se démerder avec le barbecue. Et s’il lui arrivait de s’enflammer, elle pourra toujours me faire un pompier. Barbecue-masculinité, Vraiment N’importe Quoi !
Le wokisme est à l’intelligence ce que….. est à …..
Je laisse à chacun le choix de remplir les cases vides comme il l’entend
Le wokisme est à l’intelligence ce que le brouillard est à la lumière.
Le wokisme est à l’intelligence ce que le mensonge est à la vérité.
Le wokisme est à l’intelligence ce que l’hypocrisie est à l’honnêteté.
Le wokisme est à l’intelligence ce que le malthusianisme est à l’écologie.
etc. etc. etc.
– « Deux ans à peine après son apparition en France, le mot woke vient d’être accueilli dans les dictionnaires. Ouvrons le Petit Larousse illustré 2022 ; ‘woke, adjectif d’origine afro-américaine signifiant ‘en éveil’, se dit d’un courant de pensée dénonçant toute forme d’injustice et de discrimination [etc.] » (Alain Finkielkraut)
– « Le mot woke distrait des questions essentielles – enfer peuplé de bonnes intentions qui part de problèmes réels ; le féminisme, l’égalité entre les races, les différences sexuelles… – avec une telle outrance finalement, qu’on perd l’essentiel dans l’accessoire. » (Anne Toulouse)
– « Ce n’est pas parce qu’il est passé dans le dictionnaire qu’il existe. Il n’y a pas d’unité à ce concept.[…] » (François Cusset)
Source : Qu’est-ce que le wokisme ? (diffusé le 11 juin 2022 – radiofrance.fr)