Quelques livres pour se mettre dans l’ambiance pullulation :
à paraître en septembre 2022
Alerte surpopulation
Le combat de « Démographie Responsable »
de Michel Sourrouille
résumé : Nous sommes beaucoup trop nombreux sur cette Terre. Non seulement il y a des famines, des guerres et des épidémies, mais aussi chômage de masse, surexploitation des ressources, réchauffement climatique, extinction des espèces… Comme l’avait indiqué Malthus au début du XIXe siècle, notre nombre augmente tendanciellement plus vite que nos ressources. Ce livre donne les moyens de bien comprendre ce message, inquiétant et toujours d’actualité. C’est aussi un soutien à l’association « Démographie Responsable » qui milite pour une maîtrise raisonnée et raisonnable de la fécondité humaine. Si les mots « surpopulation », « malthusien » et « engagement individuel et collectif » faisaient irruption dans le débat public, ce livre aurait atteint son objectif.
déjà paru
d’Antoine Waechter et Didier Barthès
résumé : Sommes-nous trop nombreux ? L’accroissement de la population mondiale de 80 millions de personnes par an associé à une transition consumériste pose des défis environnementaux, sociaux et politiques auxquels les démocraties paraissent incapables de répondre. Il est possible de stabiliser spontanément la population mondiale et de préserver la paix dans un monde qui ne va pas cesser de s’agiter autour de l’accès aux énergies, aux métaux et aux terres rares, en repensant l’aide au développement.
136 pages, 14 euros
Avoir des enfants dans un monde en péril ?
de Luka Cisot
résumé : Du fait de l’urgence environnementale, il est essentiel de se poser la question de la pertinence morale de mettre au monde des enfants, ainsi que l’impact d’un tel choix. Luka Cisot livre dans cet essai le fruit de ses recherches et de ses réflexions sur le sujet : une approche en profondeur et toute en subtilité, laissant les champs ouverts, sans réponse simpliste. Qu’il s’agisse de la situation écologique, de tensions géopolitiques, de la pandémie en cours ou de la polarisation des discours, la reconfiguration sociale contemporaine repose le sens de la procréation, alors que les nouvelles techniques de la reproduction font tomber de plus en plus d’obstacles biologiques. Les équilibres écologiques imposent des limites aux activités humaines. Pour réduire l’empreinte écologique de l’humanité, la démographie est l’une des trois variables principales. Cet ouvrage investigue les différentes facettes qui éclairent cette variable, à la lumière de l’urgence environnementale contemporaine.
128 pages, 9,90 euros
Démographie, l’impasse évolutive.
Des clefs pour de nouvelles relations Homme – Nature
de Jean-Michel Favrot
résumé : Et si tous les maux actuels de la Terre, pauvreté, catastrophes naturelles, réchauffement climatique, raréfaction des matières premières, effondrement de la biodiversité… , avaient une cause originelle commune ? Et si ce dénominateur commun était aussi l’un des seuls leviers sur lequel il est encore possible d’agir pour atténuer les conséquences graves des crises environnementales et humaines qui ne manqueront pas d’émailler le 21e siècle ? Après avoir décrit « l’impasse évolutive » dans laquelle l’Humanité s’est engagée depuis des siècles, l’auteur propose une nouvelle vision de l’Humanité, de son rôle, de sa place. Ce chemin, sur lequel l’auteur propose de s’engager, est fondé sur une nouvelle philosophie, moins anthropocentrée, qui redonne toute sa place au vivant, qui ambitionne de faire de la Terre une planète : – où nous vivrons dans un monde plus serein, respectueux des ressources minérales et de la biodiversité, offrant ainsi à une Humanité moins nombreuse des conditions de vie plus saines, sources d’épanouissement personnel, – où nous pourrons à nouveau rêver au bord de la rivière, écouter le vent dans les feuilles du tremble, regarder les truites moucher, le caloptéryx miroiter d’éclats métalliques, admirer le chant du loriot et son plumage d’or, observer du chevreuil autre chose qu’une croupe affolée.
Une démographie maîtrisée, un nouvel espoir pour l’Humanité et pour la biodiversité.
19 euros
lire aussi, Surpopulation, « Le Défi du Nombre »
@ Michel C & Parti d’en rire
Il faudra bien qu’ils nous expliquent en quoi ça améliore la qualité de vie et ce qu’il y a d’écologique que de vouloir empiler des millions d’habitants dans des buildings comme à New York, Paris, Londres, bref toutes les capitales et leurs banlieues ? Car être anti-malthusianisme et protéger l’environnement ainsi que les espèces sauvages est incompatible ! Plus de population se traduit par plus de buildings ! Plus de population exige plus d’hectares de surfaces agricoles pour nourriture la population, avec évidemment une agriculture intensive ! Bref plus de population est incompatible avec la permaculture pour nourriture la totalité de la population. On peut même dire qu’aujourd’hui, vouloir laisser augmenter la population revient à vouloir détruire l’environnement de manière intensive, d’éradiquer les dernière espèces sauvages de manières intensives… Ils ne peuvent pas dire et encore moins démontrer le contraire !
Ben oui, si t’es “anti-malthusianisme“… alors t’es POUR le saccage de l’environnement, et POUR toujours plus de buildings et patati et patata ! Ben oui c’est logique.
Ben oui, en attendant, c’est ce que j’appelle la vision binaire.
Et si… je dis bien si… on peut (je cite) même dire qu’aujourd’hui, vouloir laisser augmenter la population revient à vouloir détruire l’environnement de manière intensive, d’éradiquer les dernière espèces sauvages de manières intensives…
alors de même je peux dire qu’aujourd’hui, au stade où on en est, vouloir réduire la population (comment ça déjà ?) revient à vouloir détruire de manière intensive ce qu’il nous reste d’humanité. Et ça, ils (les apôtres du Pasteur) ne peuvent pas dire et encore moins démontrer le contraire !
« Ben oui, en attendant, c’est ce que j’appelle la vision binaire. »*
Même si ça paraît binaire, il n’en demeure pas moins que c’est factuel ! C’est la vrai vérité objective avec 0 % de mensonge ! Tu peux avoir autant de langue de bois que tu veux, mais plus de population se traduit bien par plus de building et construction en béton !!! Bah oui, plus de population c’est plus de building, même l’Afrique prend cette voie !!! T’as beau geindre des gnan gnan gnan t’as une vision binaire, et ben même binaire c’est factuel concret vérifiable et mécanique, plus de population plus de béton et réduction du nombre d’hectare par personne, extension de l’agriculture intensive, augmentation de la dégradation de l’environnement et baisse des espèces sauvages (même en Afrique, Lions, girafes, éléphants, etc déclinent)
N’ hésitez pas : prenez-en à volonté , ou bien suicidez-vous , on s’ en cogne de votre vie .
Ne pensez surtout pas que l’ on veuille vous clouer le bec , c’est pire , on se contrefout dans les grandes largeurs de votre opinion et de votre moraline baveuse
A ne plus vous lire
C’est qui ce on qui s’en cogne de ma vie, et qui se contrefout dans les grandes largeurs de mon opinion et patati et patata ? Depuis quand êtes-vous le porte parole de ce blog ? Décidément, je ne comprends pas …
Ben oui, pas très clair tout ça ! 🙂 🙂 🙂
Pour fêter ça, je vous offre gracieusement et tout simplement une énième petite bafouille. Une énième petite analyse, dont vous ferez bien sûr ce que bon vous semble, c’est à dire rien, comme d’habitude. Comme vous savez… j’adoooore la Pub.
J’adoooore son ambiance, la sophistication et le niveau de ces messages etc. etc.
Biosphère nous fait donc de la Pub pour «Quelques livres pour se mettre dans l’ambiance pullulation : à paraître en septembre 2022».
Déjà, qui dit quelques bouquins de plus dit toujours plus. Et qui dit quelques bouquins de plus dit quelques arbres de moins. Oui mais… on dira que c’est pour la Bonne Cause !
Oui mais, c’est TOUJOURS pour la Bonne Cause ! Qu’on coupe des arbres, qu’on tue, qu’on bousille tout, qu’on en rajoute au Désastre, au réchauffement du Climat etc. etc.
Peu importe que les cons et les salopards pullulent. Les nourrir… en rajouter, toujours plus… c’est pour la Bonne Cause. Misère misère !
Je ne connais que trop la musique malthusienne, je préfère encore l’ambiance de la Pop.
Je n’achèterais évidemment pas ces livres, les résumés me suffisent.
«Sommes-nous trop nombreux ?» con demande. Comme dit Chépluki poser la question c’est déjà y répondre. «Et si tous les maux actuels de la Terre, pauvreté, catastrophes […] avaient une cause originelle commune ?» Ben voyons, et si ma tante en avait ?
19 euros celui de Favrot ! Le plus cher du lot. À ce prix si vous n’êtes pas satisfait vous êtes remboursé. Vous ne comprenez pas où nous mène l’Évolution … on vous rembourse.
En attendant, je préfère de loin rêver au bord de la rivière, regarder les truites moucher, admirer la croupe du caloptéryx… entendre le loup le renard et la belette !
Ben oui, n’allez pas croire que tout ça c’est de l’histoire ancienne, que tout ça n’existe plus que dans les livres. Faut pas trop croire les Tristus, ils ont un peu tendance à exagérer.
Après un effort intellectuel intense et prolongé, une molécule – le glutamate –, accumulée dans certaines zones de notre cerveau, perturbe le raisonnement et la prise de décision. Une manière de nous alerter qu’il est temps de cesser de commenter…
Très intéressant, le glutamate. Ses effets sur le cerveau font encore débat, les recherches sur cette molécule se poursuivent, espérons que bientôt nous en saurons plus. En attendant, qu’est-ce qui me dit qu’il est temps de cesser de commenter ? Et n’est-il pas temps, aussi, ou d’abord, de cesser de radoter et de pleurnicher ? Ben oui, comme les commentaires, ces articles ne font rien d’autre que de générer d’autres commentaires, entre autres. Bref, toujours plus, le cercle vicieux quoi.
Maintenant, si le but de ce glutamate est de me clouer le bec, alors mieux vaut me le dire clairement. Seulement, si vous préférez rester entre potes (malthusiens), vous devrez alors cesser de pleurnicher avec cette histoire de Tabou. Et cesser de dire que ce blog est ouvert à tous les points de vue et blablabla. Ben oui, la cohérence bordel !
En attendant, tout ça m’a donné soif. Au stade où j’en suis, une bonne grosse lampée de glutamate ne devrait pas me faire de mal.