Ce blog biosphere a débuté en 2005, il y aura treize ans. Consacré entièrement à l’écologie dans tous ses domaines, il représente déjà 3865 articles. Les commentaires sont libres, actuellement il y en a 7985. Tout écologiste en France (ou dans le monde entier) peut donc donner directement son point de vue personnel pour améliorer notre intelligence collective à propos de la vie sur Terre. On peut aussi nous envoyer une analyse (im)pertinente par email, c’est la fonction de « écrivez-nous ». Nous l’étudions, nous pouvons la reprendre sur ce blog, de préférence signée par l’auteur.
Ce blog est rattaché de façon explicite à un site de documentation des écologistes http://biosphere.ouvaton.org/. Pour y accéder, il suffit d’aller dans un des 7 items (classés dans Blogroll, une liste de liens) en marge de ce blog. Le lien « Action » renvoie à une action écologique à venir en France (en bas à droite de la page), informée par des associations comme Résistance à l’agression publicitaire, L214, et bien d’autres. Le lien « Bibliothèque » renvoie au résumé de livres sur l’écologie, plus de 300 à l’heure actuelle, soit plus de 5 millions de caractères (à peu près un livre de 2500 pages). Nous laissons aux écologistes à la recherche d’information le soin de parcourir nos autres rubriques, « Lexique », « Spiritualités », etc.
Oui, sur ce blog biosphere, nous avons l’outrecuidance et la volonté d’exprimer le point de vue des écologistes, un point de vue multiforme, complexe, parfois contradictoire. Il suffit de rappeler l’opposition qui existe entre écologie superficielle et écologie profonde, entre végétaliens et flexivores, entre idéalistes et pragmatiques, entre écoterroristes et non-violents… Ce blog est au service du peuple écolo en formation, il peut être amélioré par la participation de chacun, par tous les militants à la recherche de la symbiose pour affronter tous ensemble de façon informée l’urgence écologique.
Bonjour @gaston.
Je doute qu’effacer vos commentaires n’aille annuler les effets négatif que sur la biosphère ces mêmes commentaires auront eu.
Biosphère a bien sûr un bilan environnemental négatif. Le contraire se saurait. Et mon commentaire ici aussi a un impact négatif (des sites offrent la possibilité d’effacer ses commentaires. Je trouve cela très bien. J’aime faire le ménage chez moi).
Je me demande de combien le bilan de ce site est négatif.
j ai découvert ce blog il y a peu de temps , j aime bien tout les matins lire un sujet écolo à ruminer pour la journée !!!
Est ce utile ? en tout cas c est pas inutile , la conscience écolo progresse et transcende tout les bords politiques, l écologie est une émancipation des vieux systèmes de pensée
Maintenant c est sur ne nous faisons pas d illusion , je pense que nous sommes cantonnés au rôle ingrat de Cassandre notre civilisation ira à la dernière goutte de pétrole à son dernier Macdo comme le Junkie va à sa dernière dose .
@ gaston
Bien sûr c’est une bonne question, d’ailleurs moi-même je me la pose souvent.
Mais je sais bien que calculer ça n’est pas une mince affaire… et peut-être que ça relève même de l’impossible.
Sous-entendriez-vous qu’en fin de comptes, Biosphère pourrait avoir un bilan globalement négatif ? Personnellement j’espère bien que non.
Je me suis toujours demandé quel pouvait etre le bilan carbone d’un blog tel que celui-là. Le savez-vous?
« …. Tout écologiste en France (ou dans le monde entier) peut donc donner directement son point de vue personnel pour améliorer notre intelligence collective à propos de la vie sur Terre…
Ce blog est au service du peuple écolo en formation, il peut être amélioré par la participation de chacun… »
Tout ça va dans le bon sens, il est vrai qu’en matière d’écologie « biosphère » ratisse large, je veux dire qu’il ratisse large en matière de sujets de réflexions, même s’il me semble légèrement « spécialisé » sur un problème particulier. Par contre quand il s’agit de donner son point de vue il n’y a pas grand monde, et nous ne pouvons que le regretter. 7985 commentaires sur 13 ans ça ne fait même pas 2 par jour, et puis de la même manière qu’il y a écolo ET écolo, il y a commentaire ET commentaire. En résumé, les quelques points de vue exprimés sur « biosphère » ne peuvent pas servir à grand chose, ne serait-ce que pour pouvoir dire si ce peuple écolo est en formation, ou bien en décomposition.
Depuis quelque temps j’essaie donc d’apporter ma petite goutte, comme le célèbre colibri. Mais je sais qu’il y a des limites à tout, et j’ai toujours cette question dans la tête : à quoi cela sert-il ? Parce que s’il s’agit de se défouler, de se faire plaisir, de s’occuper, de se faire croire je ne sais quoi… autant aller à la pêche à la ligne. Je suis convaincu que la meilleure façon d’avancer c’est le débat, la discussion. Mais le vrai débat ! Autrement dit l’échange, du genre dialogue socratique et non pas ce genre de duels de sophistes où chacun ne cherche qu’à vaincre, à imposer son point de vue, « sa vérité ». Personne ne détient la Vérité, seul l’échange peut permettre à chacun à revoir ou modérer son point de vue, et ainsi d’avancer.
Ce blog donne donc la parole à tout le monde, et quels que soient les points de vues. Parfait ! Maintenant tout écolo sait qu’il y a des limites à tout, ici où sont les lignes de touche ? (la fameuse charte) Donc, faute de règles tout est permis ! Et nous ne nous en plaindrons pas, un peu de liberté dans ce monde d’interdits ça ne peut pas faire grand mal. Chacun peut donc écrire ce qu’il pense, ou ne pense pas et l’écrire comme bon lui semble, utiliser le premier, le second, le troisième degré, l’ironie, les sarcasmes, les gros mots… d’autant plus quand ils sont dans le dictionnaire.
Sauf que ce blog est surveillé, « modéré », censuré … par on ne sait qui. Et là ça ne va plus, il y a là une contradiction et non des moindres, un truc qui cloche. Rien qu’ hier sur l’article au sujet des Nigériens venant en Europe, je serais curieux de savoir combien la « modération » de ce site aura balancé de commentaires à la poubelle. Résultat, le lecteur ne peut rien comprendre à certains commentaires qui ont perdu tout leur sens du simple fait de la suppression d’une partie de l’échange.