Notre espèce est génétiquement très proche des chimpanzés mais son écologie est aberrante pour un primate. Raymond Dart, découvreur en 1924 des australopithèques, considérait la prédation comme le moteur de l’évolution humaine. Sa thèse paraissait iconoclaste à l’époque, elle n’était que trop vraie. Les paléoanthropologues viennent de se rendre compte qu’à la différence des autres membres de leur famille généralement arboricoles et frugivores, l’écologie de nos ancêtres les rapprochaient des chasseurs coopératifs de gros gibier comme les canidés sociaux ! Au début de cette aventure qui dure depuis 7,5 millions d’années, les australopithèques ont vécu de végétaux, insectes, petits vertébrés ainsi que des restes de proies des grands carnivores. Les divers types d’humains qui leur ont succédé sont parvenus à abattre des proies bien plus grandes qu’eux et à s’adapter à presque tous les milieux, sortant d’Afrique pour coloniser toute la planète. Ils vivaient en bandes coordonnées comme leurs rivaux (lions, hyènes, lycaons) dont ils n’étaient plus les proies, mais ils s’en distinguaient par leur absence de griffes et de crocs qu’ils ont remplacés par des armes qu’ils tenaient entre leurs mains libérées des branches. Cette capacité d’innovation est devenue la clef de la survie de ce groupe. Par une sélection darwinienne classique, cette inventivité s’est développée parallèlement avec la taille du cerveau dont le volume a triplé au cours des derniers 2,5 millions d’années d’évolution de notre famille. De tous nos ancêtres, il ne reste qu’Homo sapiens, apparu il y a 300 000 ans, alors qu’il existait sur Terre 4 ou 5 hommes différents il y a encore 40 000 ans.
Les fouilles et les derniers chasseurs-cueilleurs encore vivants ont montré que les groupes familiaux étaient constitués de quelques dizaines d’individus qui habitaient dans des abris temporaires qu’ils devaient quitter au bout de quelques semaines quand les ressources naturelles se faisaient rares. Ces clans étaient nomades et parcouraient un immense domaine vital revenant au bout de plusieurs mois dans les mêmes lieux qu’ils connaissaient bien et où flore et faune s’étaient entre-temps renouvelées. Ce mode d’exploitation des ressources naturelles était donc – à l’identique avec les autres espèces animales – nécessairement en équilibre avec l’environnement. Mais vers -10 000 ans, la révolution néolithique bouleverse cet équilibre. Des animaux sont élevés autour des habitats devenus permanents et l’agriculture, avec trois fois plus de travail, permet d’obtenir du sol beaucoup de nourriture. Plus d’enfants peuvent être élevés avec une fréquence rapprochée puisqu’ils sont moins dépendants de leur mère pouvant être facilement nourris par le lait des ovins et les bouillies de céréales. Au mieux, la stratégie démographique bascule d’un enfant tous les quatre ans (comme chez les grands singes) à un enfant par an… Les populations se multiplient et passent de milliers d’hommes à des millions puis des milliards, entraînant des migrations et la colonisation de l’ensemble de la planète. Nous parvenons au terme de ce processus qui s’apparente à une fuite en avant puisque l’espace se rétrécit pour les hommes (et encore plus pour les animaux sauvages) : 1 habitant pour 3 300 ha au paléolithique, 1 pour 1 000 ha au mésolithique, 1 pour 100 ha au Néolithique, 1 pour 10 ha à l’âge du fer et 1 pour 2 ha à l’époque actuelle.
Peut-on interpréter les guerres civiles, les attentats et les obscurantismes comme des comportements pathologiques, ainsi qu’on les observe dans les élevages de souris en surdensité ? Jusqu’à quelle limite notre capacité d’adaptation supportera-t-elle l’entassement urbain, le réchauffement et les catastrophes climatiques, les famines, le remplacement des faunes sauvages par les animaux domestiques, la sixième extinction de la biodiversité, les pollutions croissantes ?
Jean-Baptiste Lamarck, le précurseur de Darwin, est un des rares biologistes à avoir ainsi posé le problème de l’homme : « L’homme, par son égoïsme trop peu clairvoyant pour ses propres intérêts, par son penchant à jouir de tout ce qui est à sa disposition, en un mot, par son insouciance pour l’avenir et pour ses semblables, semble travailler à l’anéantissement de ses moyens de conservation et à la destruction même de sa propre espèce… En négligeant toujours les conseils de l’expérience, pour s’abandonner à ses passions, il est perpétuellement en guerre avec ses semblables, les détruit de toutes parts et sous tous prétextes ; en sorte qu’on voit des populations, autrefois fort grandes, s’appauvrir de plus en plus. On dirait qu’il est destiné à s’exterminer lui-même après avoir rendu le globe inhabitable ».
Pierre Jouventin
« Homo sapiens prolifique »
Oh que oui : il semblerait que le ratio de survie fixé par dame nature pour la période ayant précédé les progrès fulgurants de la médecine soit de 2 sur 10 naissances au total.
Le problème maintenant réside dans le fait que homo stultus occidentalis a faussé ce ratio dans les pays à forte natalité endémique(afromuzz ou muzz) et leur a permis de garder les chiffres de la ponte à 10 intacts .
Les dirigeants de ces pays natalistes se sont réveillés (Egypte / Niger / Ghana) mais sont aux prises avec des populations islamisées et donc poussées au lapinisme pour la plus grande gloire de l’ expansionnisme muzz ; Allah est grand et mahomet en profite) .
Bah ça finira en croque-môssieurs ! Crok-Crok ! On croit que je plaisante, mais pas du tout ! Je vais en fournir la preuve, en effet ça s’est déjà produit dans le passé ! Par exemple avec le peuple des Minoens et ben les archéologues ont démontré qu’ils ont procédé au cannibalisme et aux sacrifices humain à la fin de leur civilisation puisqu’il n’y avait plus assez de nourriture pour tous ! ET POURTANT, ce peuple qui a tout de même duré 1500 ans (entre – 2700 à -1200 avant JC), et ben était très raffiné, très en avance sur leur temps et pacifique car c’est un des très rares peuples de la Méditerranée qui n’a pas été belliqueux (d’après nombreuses archives historiques, égyptiennes et d’autres populations du pourtour méditerranéen) en outre il y avait peu d’armement sur leur territoire.
Alors qu’ils étaient initialement très raffiné artistiquement, d’où leurs magnifiques palais, civilisé par l’écriture, le commerce, l’artisanat, vins etc) et ben malgré tout ils sont passés aux croque-môssieurs dès lors qu’ils furent trop nombreux à la table du banquet.
BREF, Yves Cochet a raison sur un point, entre la civilisation et la barbarie, il n’y a que 5 repas d’écart ! ^^
Au mécanisme qu’évoque Pierre Jouventin (le fait que nous soyons passés d’un enfant tous les 4 ans à un enfant tous les ans), ajoutons ce qui s’est passé au cours du 20ème siècle d’abord dans les pays développés et désormais sur l’ensemble de la planète, à savoir l’effondrement de la mortalité infantile.
C’est bien cet effondrement, parce qu’il n’a pas été suivi d’une baisse corrélative de la fécondité, qui explique l’explosion démographique que nous connaissons aujourd’hui et qui fait que la nature est réduite à presque rien.
En tout cas bravo à Pierre Jouventin de nous rappeler l’appauvrissement que nous avons connu en passant de plusieurs espèces humaines à une seule (nous ne l’avons plus en tête mais il y a 40 ou 50 000 ans, oui nous étions multiples aussi incongru que cela nous semble désormais). Bravo aussi à Lamarck pour sa célèbre tirade et sa prescience, il avait tout compris, mille fois mieux que bien des écologistes de 2020.
Hormis que des pays qui ont vu leur mortalité infantile baisser, ont tout de même continuer de procréer au même rythme, contrairement à l’occident qui a consacré immédiatement des efforts pour réduire la natalité en contrepartie.
Puis quand il y a des zozos comme Aurélien Barrau, qui déclare qui ne faut rien dire aux africains et les laisser procréer comme bon leur semble, on n’est pas prêt de s’en sortir avec des crétins qui les encouragent à continuer de procréer au même rythme. Désolé à Aurélien Barrau, mais si j’ai mon mot à dire ! A partir du moment où les africains ne parviennent pas à prendre en charge leurs propres populations et les envoient chez nous en Europe, je considère que je suis concerné et que j’ai mon mot à dire !
Oui je ne comprends pas la position (sans doute idéologique) d’Aurélien Barrau, brillant en astrophysique et habitué à manier les ordres de grandeurs et qui là ,sur le plan scientifique ne semble pas comprendre que 8 milliards de prédateurs sur la planète sont des effectifs en complète contradiction avec les règles de l’écologie et qui sont non durables par nature. Il ne voit pas que la régulation, qu’il refuse de façon douce se fera donc de façon brutale, douloureuse et inhumaine justement à cause des points de vue qu’il défend.
Laissons Arurélien Barrau à l’astrophysique et Pierre Jouventin à l’écologie, les choses seront mieux ainsi
@ Didier Barthès. Vous avez déjà l’honnêteté de dire que vous ne comprenez pas. Mais là vous voulez seulement parler de la position d’Aurélien Barrau. Déjà, que vient-il faire là ? En tous cas vous la mettez sur le compte d’une certaine idéologie (système d’idées). Et pourquoi pas dogmatisme tant que nous y sommes ? Comme s’il n’y en avait qu’un seul, dogmatisme. Ou une seule, idéologie foireuse.
Pour quelle raison un astrophysicien, un matheux, un curé peu importe, bref un penseur, ne pourrait-il pas s’intéresser à sa propre espèce et en parler ?
Einstein disait : «Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.»
Je ne lui reproche pas d’en parler, nous le faisons tous ici, je lui reproche de se tromper et de ne pas prendre en compte les réalités matérielles du monde, il ne connait pas le sujet, il est excellent en astronomie, mais pas en démographie, ni en science de l’écologie. C’est tout simplement scientifiquement aberrant que considérer que 8 milliards ce n »est pas un problème.
Oui Barrau qui est payé 6000 euros net à regarder les trous noirs à travers un télescope, il ne sert à rien. Les trous noirs, on ne peut rien en faire, puisqu’on ne pourra jamais se poser dessus pour les explorer. De l’argent public gaspiller !
Oui mais bon, je ne suis pas jaloux, mais disons qu’il y a même des gens riches qui gagnent plus que lui (et surtout de manière plus utile et mérité) et pourtant ces gens riches ne viennent pas mépriser les sans-dents en leurs disant de se serrer la ceinture pendant qu’ils se goinfrent !
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Nous constatons que votre commentaire ne parle pas du tout de l’article qui devait être commenté.
Nous supprimerons vos commentaires « hors sujet » si cela se renouvelle…
@ BGA à 19:01 :
– «il y a même des gens riches qui gagnent plus que lui (et surtout de manière plus utile et mérité) et pourtant ces gens riches ne viennent pas mépriser les sans-dents [etc.]»
Ah bon ? Qui par exemple ? Qui sont ces riches utiles qui méritent plus que 6000 € par mois ? MLP par exemple ? Parce que tu crois que celle-là ne méprise pas les gueux peut-être ? Mais sur quelle planète tu vis ?
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– « L’homme […] On dirait qu’il est destiné à s’exterminer lui-même après avoir rendu le globe inhabitable ».
Pierre Jouventin reste prudent, il dit «on dirait». C’est d’ailleurs la moindre des choses pour un scientifique. Méfions-nous donc des illusions.
On a bien sûr le droit de se poser la question de savoir si l’homme est un «animal raté», ou pas. Mais en attendant on n’en sait rien.
Mis à part nos capacités cognitives, qu’est ce qui nous distingue des autres espèces ?
Cette propension à la prolifération ne serait elle pas finalement un mécanisme naturel visant à la survie et l’évolution de l’espèce ? Qui peut le dire ?
Dans son livre <>, Pierre Jouventin a parfois des propos contradictoires , en effet à la page 108, il déclare que Cro-Magnon avait un cerveau de 15% plus gros que le notre aujourd’hui…. autrement dit notre cerveau aurait rapetissé… Puis dans d’autres chapitres, il affirme que notre cerveau grossit au fur et à mesure que notre alimentation évolue….
Alors je perds parfois un peu le filon parfois dans son livre, alors il a grossi ou diminué ?
Cro-Magnon et Neandertal avaient un cerveau plus gros que nous (surtout toi) et alors ? Le cerveau d’un éléphant pèse dans les 5 kg, celui d’un cachalot dans les 7 kg, et alors ? Je ne crois pas que le poids fasse tout (regarde toi, avec ta grosse tête), as-tu entendu parler du coefficient d’encéphalisation ? En attendant tout ça ne répond pas à mes questions.
Le sujet du jour est intéressant. Nul besoin ici de se focaliser sur le côté prolifique de sapiens pour tenter de voir si on peut le qualifier, ou pas, d’«anomalie biologique».
D’abord c’est quoi une anomalie biologique ?
Certes nous en voyons tous les jours, des «anomalies biologiques» ou des «erreurs de la nature», des «loupés» etc. En fait nous les jugeons ainsi.
Mais, et sans pour autant lui prêter des intentions, un but (?) peut-on vraiment dire que la nature (la Nature ?) fait ou peut faire des erreurs, ou produire des anomalies ?
Sur l’échelle de l’évolution homo sapiens (qui n’en a que le nom) est une espèce jeune (300.000 ans). Pour comparer, le loup est bien plus vieux (canis lupus, 15 ou 30… millions d’années ?)
Nous savons que le hasard joue un grand rôle dans l’évolution. Si… ceci ou cela… sapiens aurait pu très bien ne jamais exister, laissant alors place à d’autres hominidés, ou alors il aurait pu rester au stade de chasseur-cueilleur, on peut tout imaginer ou presque. Sauf qu’il y a environ 10.000 ans, autant dire hier, il s’est sédentarisé. Et on connait la suite, homo œconomicus vient tout juste de naître. Avec du recul nos descendants, s’il y en a, diront peut-être qu’il fut l’ancêtre du véritable Sapiens, enfin digne de ce nom. En attendant nous pouvons tout imaginer, construire des tas et des tas de théories. Pour ça nous sommes doués.
« Peut-on interpréter les guerres civiles, les attentats et les obscurantismes comme des comportements pathologiques, ainsi qu’on les observe dans les élevages de souris en surdensité ? »
La plus vieille construction humaine trouvée à ce jour, c’est Göbekli Tepe (sud de la Turquie en Anatolie) , soit 10000 ans avant JC. En somme l’urbanisation par des villes a débutée en Mésopotamie avec les Akkadiens, Sumériens, Babyloniens, Sémites, Phéniciens, Hittites, et tout ça c’est étendu d’est en ouest après Égypte, Étrurie, Grèce Rome, Gaule, Saxe….
MAIS c’est depuis l’apparition des cités que les conflits vont démarrer de manière farouche dans le pourtour de la Méditerranée et tout ça sans fin, prenant le contrôle du territoire et du commerce chacun leur tour… Et l’Europe n’échappera pas à la règle une fois que l’urbanisation débute.
J’ai lu un livre de Pierre Jouventin « L’homme, cet animal raté » et selon lui, bien qu’il affirme se référer à des archéologues sur la préhistoire, et ben les chasseurs cueilleurs ne se faisaient pas la guerre entre eux. les hommes préhistoriques ont développé les premières armes, non pas pour se faire la guerre, mais pour chasser plus efficacement, puisque les humains étaient trop faibles comparativement aux grandes proies, il fallait compenser cette faiblesse par de l’armement. Mais en dehors de ça; il n’y avait pas de guerre entre tribus et clans, l’environnement était déjà trop hostile pour qu’ils puissent se permettre des guerres en parallèle, et surtout le territoire était vaste, et ces tribus vivaient de manière nomade afin que les ressources puissent se renouveler.
En outre, dans la tribu, chacun avait un rôle social et tous étaient soudés, les hommes partaient à la chasse, quant aux femmes enfants handicapés et vieux le cas échéant se chargeait de la cueillette ou de la garde des enfants.
Mais depuis l’urbanisation soit l’apparition des cités, les guerres démographiques sont lancées, et ainsi prend source les rivalités et la compétition et la multiplication de guerres destructrices; pour obtenir le contrôle des ressources naturelles et du commerce….
Et depuis, rien n’a changé, on est arrivé au XXI ème, et tous les problèmes sont les mêmes qu’en -10000 avant JC mais en beaucoup plus gros….. POURTANT, beaucoup veulent continuer de croître alors qu’ils ne parviennent même pas à se prendre en charge eux-mêmes et que le constat de la pollution et de la déplétion des ressources à venir est communiqué à tous esprits….
Sur le site Interligne, un article intitulé « Ministre de l’énergie : « Le gaz de schiste n’est pas une rente mais un appoint »
En gros le Minsitre algérien de l’énergie a été invité à l’émission LSA direct du quotidien Le soir d’Algérie.
ET c’est là que l’article devient intéressant ! Voici ce que le Minsitre algérien de l’énergie annonce =
« Le gaz de chiste n’est pas un rente mais d’un appoint pour la sécurité énergétique, a t il expliqué à LSA Direct ajoutant que « tout ce que fait Sonatrach actuellement en matière de schiste est l’évaluation du potentiel c’est tout » Et poursuite « SI NOUS SERONS APPELÉS A Y RECOURIR DANS 10 ANS, ON VA LE FAIRE » a t il précisé !!
Donc voilà, même le schiste jusqu’à la dernière goutte ira dans l’atmosphère !
L’ Algérie avec un taux de natalité de 3 enfants par femme (silence radio de Michel à ce propos, par ailleurs il ne critique pas non plus le modèle automobile de ce pays)… Et tous ces millions de chômeurs que ce pays ne parvient pas à résorber en 2020, j’ose imaginer de ce qui va se passer dans 10 et 20 ans lorsque leurs pontes actuelles auront grandi et voudront un logement et une voiture…. Évidemment, ce pays ne fonctionne qu’au clientélisme par des rentes sociales pour acheter ben la paix sociale…. Bon maintenant on sait quand ce pays va extraire le pétrole de schiste, dans 10 ans d’après l’aveu du Ministre de l’énergie….
MAIS le plus intéressant comme question à se poser ? Que se passera-t-il quand l’Algérie aura extrait du sol tout son pétrole, schiste compris ? Mon modèle de croque-messieurs que raillent beaucoup de monde encore actuellement, est il si irréaliste que ça ?
– « L’ Algérie avec un taux de natalité de 3 enfants par femme (silence radio de Michel à ce propos, par ailleurs il ne critique pas non plus le modèle automobile de ce pays)… [et patati et patata] MAIS le plus intéressant comme question à se poser ? »
C’est sûr, il y a de quoi s’en poser, des questions :
– Déjà, quel et le rapport entre le gaz de schiste et le sujet du jour ?
– En quoi les Algériens diffèrent-ils des autres en matière de politique énergétique ?
– BGA comprend-il ce qu’il lit ?
– BGA est-il une anomalie biologique ?
– etc. etc.
Quel est le rapport avec le sujet du jour ?
Tiens tu veux esquiver le sujet, oui c’est vrai que pour toi il n’y a que les français dans le monde qui soient déraisonnables, tous les autres le sont !
Pourtant, mon commentaire parle d’un pays en voie de surpopulation et qui en plus compte exploiter les ressources naturelles les plus mortifères comme le Schiste en terme de pollution, c’est donc bien en rapport avec le sujet ci-dessus qui rappelle que
« Nous parvenons au terme de ce processus qui s’apparente à une fuite en avant puisque l’espace se rétrécit pour les hommes (et encore plus pour les animaux sauvages) : 1 habitant pour 3 300 ha au paléolithique, …., 1 pour 10 ha à l’âge du fer et 1 pour 2 ha à l’époque actuelle.
ET
« Jusqu’à quelle limite notre capacité d’adaptation supportera-t-elle l’entassement urbain, …. les famines, le remplacement des faunes sauvages par les animaux domestiques, la sixième extinction de la biodiversité, les pollutions croissantes ?
– «… oui c’est vrai que pour toi il n’y a que les français dans le monde qui soient déraisonnables, tous les autres le sont ! »
Bougre de BGA ! Encore une fois je te mets au défi de prouver ce que tu affirmes là. Où ai-je dit ça ?
Cherche bien et surtout prends ton temps. Pendant ce temps tu nous fera des vacances. Misère misère ! 🙂