La faim dans le monde se maintient à un niveau élevé,
C’est le titre de l’article de Mathilde Gérard du 24/07/2024
extraits : « La faim a stagné en 2023 à un niveau très élevé, touchant 9,1 % de la population mondiale. Un signal d’alarme, alors que l’éradication de la faim est le deuxième des Objectifs de développement durable que s’est fixés la communauté internationale pour l’horizon 2030. Le réchauffement climatique s’impose enfin comme un des facteurs majeurs de l’insécurité alimentaire, dégradant les sols, l’accès à l’eau et faisant baisser la productivité agricole. L’insécurité alimentaire ne peut être réduite à un seul choc, comme la pandémie de Covid-19 ou le déclenchement de l’invasion russe en Ukraine…)... »
Pas un mot sur la causalité démographique, c’est ce que font remarquer beaucoup de commentaires sur lemonde.fr
Marcel Proust : L’article réussit l’exercice de style de ne jamais citer le problème numéro un : la natalité galopante en Afrique.
Friday : L’éléphant dans la pièce, qui n’est même pas esquissé dans l’article, c est évidemment la démographie délirante dans certaines régions du monde. Du grand journalisme, assurément.
jan aimar : Chapeau, pas un mot sur la démographie galopante en Afrique ….plus de monde égal moins de ressources pour chacun. C’est quand même simple…mais c est sûrement tabou de dire cela …
Marie-C.D : Ne pourrait -on, ne devrait-on corréler cette hausse de la population mondiale sous-alimentée, avec la hausse, pour l’instant, de la population totale? Moins de terres cultivables, moins d’eau, et toujours plus de gens sur terre? Ne pourrait-on évoquer parallèlement l’échec également terrible du contrôle des naissances, cette volonté des gouvernements, et des populations elles-mêmes de ne pas s’y astreindre?
Michel SOURROUILLE : Depuis trois ans que je suis les articles de Mathilde Gérard sur la faim dans le monde, nombre de commentateurs lui font remarquer que la variable démographique est complètement absente de son discours. J’avoue que je ne sais pas si cela correspond à à une consigne éditoriale de la part du MONDE ou d’un parti-pris de Mathilde. Il est vrai que dans ce journal de référence, on n’emploie jamais le terme « surpopulation », sauf pour parler de « surpopulation carcérale » !
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Unicef, enfant de trop, enfant mal nourri (2024)
Mathilde Gérard : L’Unicef, le Fonds des Nations unies pour l’enfance, évalue dans un nouveau rapport l’ampleur de la « pauvreté alimentaire » des enfants… Il faut garantir les droits des enfants à travers toutes les enceintes de négociations internationales et dans les politiques publiques…
Sécurité ou souveraineté alimentaire ? (2024)
Mathilde Gérard : Le projet de loi (en France) ne définit pas la souveraineté alimentaire, il en fixe l’esprit à travers une liste de politiques y contribuant : assurer l’approvisionnement alimentaire, anticiper et s’adapter aux conséquences du changement climatique, contribuer à la décarbonation de l’économie….
COP28 et FAO sont dans un bateau… qui brûle (2023)
Mathilde Gérard : les indicateurs de malnutrition progressent ; plus de 9 % de la population mondiale souffre de faim chronique et un tiers se trouve en insécurité alimentaire modérée ou sévère. L’agriculture est par ailleurs fortement affectée par le réchauffement climatique, qui menace la pérennité des cultures, tout en étant un des contributeurs majeurs au dérèglement du climat…
Les coûts cachés de la croissance agricole (2023)
Mathilde Gérard : A Madagascar par exemple, le poids des coûts cachés de la production agroalimentaire atteint 59 % du PIB, un fardeau immense. Coût, prix et valeur sont trois notions bien distinctes. Le but n’est pas d’internaliser tous les coûts cachés dans les prix – le coût social serait énorme –, mais de changer les réglementations, les subventions et investissements… de façon que l’accès à un régime sain devienne plus abordable pour les ménages pauvres….
Nous boirons du pétrole jusqu’à la lie (2023)
Mathilde Gérard : « L’alimentation représente au moins 15 % de la demande globale d’énergies fossiles. La sortie des énergies fossiles ne sera pas possible sans une transition des systèmes alimentaires, qui représentent plus d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre. La dépendance aux énergies fossiles est manifeste tout au long de la chaîne alimentaire….
L’Afrique affamée par sa démographie délirante (2023)
Mathilde Gérard : L’Afrique est le continent où l’insécurité alimentaire a le plus progressé ces dernières années. Les chiffres sont alarmants. Une personne sur cinq y souffre de la faim. Ce n’est pas tant l’insuffisance de la production qui est en cause que des problèmes structurels : pauvreté, effets du dérèglement climatique, fragilisation des tissus agricoles familiaux, conflits et instabilité politique. En se spécialisant dans des cultures pour l’export, des Etats ont abandonné des cultures traditionnelles plus nutritives et ont appauvri leurs sols….
Une normalité structurelle, la famine (2023)
Mathilde Gérard : « Les causes de la faim sont désormais bien connues : pauvreté et inégalités économiques, conflits, impacts du réchauffement climatique, la dette qui étrangle les pays en développement, les exportations de cultures de rente [coton, cacao…] qui ont été privilégiées sur les cultures vivrières, la guerre en Ukraine, la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation, la spéculation et le manque de régulation des marchés des matières premières. »
La famine, qui la cherche la trouve (2023)
Mathilde Gérard : Les causes de la faim sont multiples : les chocs économiques (y compris l’impact socio-économique persistant de la pandémie de Covid-19) sont la première cause de la faim dans vingt-sept pays analysés ; dans dix-neuf pays et territoires, ce sont les conflits et violences armées qui plongent les populations dans l’insécurité alimentaire aiguë ; et dans douze pays, les extrêmes climatiques sont le principal facteur de vulnérabilité….
Tout savoir sur la famine et même plus (2023)
Mathilde Gérard : Près de 10 % de la population mondiale souffre de la faim, l’insécurité alimentaire grimpe en flèche, et a explosé ces trois dernières années sous les effets de la pandémie de Covid-19, des extrêmes climatiques et des répercussions de la guerre en Ukraine. 350 millions de personnes étaient en insécurité alimentaire sévère en 2022, contre 80 millions en 2017. 158 millions de personnes ont reçu une aide du PAM en 2022….
Guerre en Ukraine, crise alimentaire mondiale (2023)
Mathilde Gérard : La guerre a directement fait grimper le nombre de personnes en situation de faim chronique de 10,7 millions (pour un total de plus de 820 millions), et le nombre de celles souffrant d’insécurité alimentaire aiguë, c’est-à-dire à risque de famine, d’environ 20 millions (pour un total de 252 millions). Les réponses à court terme – permettre les exportations ukrainiennes et faciliter l’accès aux engrais – ont primé sur les enjeux structurels. les réponses systémiques à la faim, qui est provoquée par les conflits armés, le dérèglement du climat et les inégalités sociales ont manqué.
Famine mondiale… parlons le malthusien (2022)
Mathilde Gérard : Selon le dernier rapport sur la sécurité alimentaire mondiale (rapport SOFI) publié le 6 juillet 2022, près de 10 % de la population mondiale est touchée par la sous-alimentation. Les perspectives se sont fortement assombries avec la pandémie de Covid-19 qui a mis à l’arrêt notamment le secteur informel dont dépendent les populations les plus précaires. L’état des lieux est d’autant plus inquiétant qu’il n’intègre pas encore les conséquences de l’invasion militaire de l’Ukraine qui met en jeu deux acteurs majeurs des exportations de céréales, d’oléoprotéagineux et de fertilisants.
La faim dans le monde, qui est responsable ? (2021)
Mathilde Gérard : La flambée actuelle des prix est le reflet de la progression continue du prix de l’énergie depuis 2020, de la multiplication de mauvaises récoltes dues au réchauffement (sécheresses, inondations…), du développement des agrocarburants qui entraîne une compétition entre produits agroalimentaires et énergétiques dans l’utilisation des terres arables, d’une crise des filières agroalimentaires en période de pandémie, de la violence des conflits, de la solvabilité. Trois milliards de personnes dans le monde n’ont pas le pouvoir d’achat suffisant pour se nourrir sainement.
Surexploitation, la terre nourricière en péril (2021)
Mathilde Gérard : « Surexploitation, dégradation, pollution et raréfaction croissante », un tiers de nos sols est modérément à fortement dégradé. L’Asie du Sud est la région la plus touchée par la dégradation des terres liées aux activités humaines, avec un peu plus de 41 % de sa superficie concernée… Les ressources en eau ne se portent pas mieux….
La faim dans le monde, qui est responsable ? (2021)
Mathilde Gérard : La flambée actuelle des prix est le reflet de la progression continue du prix de l’énergie depuis 2020, de la multiplication de mauvaises récoltes dues au réchauffement (sécheresses, inondations…), du développement des agrocarburants qui entraîne une compétition entre produits agroalimentaires et énergétiques dans l’utilisation des terres arables, d’une crise des filières agroalimentaires en période de pandémie, de la violence des conflits, de la solvabilité. Trois milliards de personnes dans le monde n’ont pas le pouvoir d’achat suffisant pour se nourrir sainement.
Quand 80 milliards de personnes mourront de faim sur la Terre, les natalistes nous expliqueront que ce n’est pas le problème et que tout est de la faute de quelques milliardaires.
Ce n’est pas nouveau, le communisme déjà avec Lyssenko faisait fi des lois de la physique et de la biologie, la gauche est comme ça, la vérité est politique, le monde réel n’a qu’à se conformer.
80 milliards de gauchistes, nom de dieu !!! Tant qu’à nous en sortir des bonnes, autant qu’elles soient les plus grosses possible.
– Entre conflits, économie fragile et intempéries extrêmes, la faim dans le monde affecte 733 millions de personnes, alerte l’ONU ( Le Nouvel Obs 24 juillet 2024 )
Là également, vous pouvez toujours chercher le terme «surpopulation». Nada !
Normal dira t-ON, Le Nouvel Obs est acoquiné avec Le MONDE. Un journal de gôche !
– La faim dans le monde ne recule pas, affectant 9% de la population l’an dernier
( Le Temps 24 juillet 2024 ) Là c’est pareil, la Surpop connaît pas.
Normal dira t-ON, Le Temps est un journal « libéral et humaniste » (voir Wikipedia).
Et comme ON sait, qui dit «humaniste», dit «sainte farce» (sic)
– La faim dans le monde affecte encore 733 millions de personnes en 2023 ( La Croix 24/07/2024 )
Encore pareil. Normal, dira t-ON, La Croix est le torchon des curetons.
Dont ON connaît la politique, «Croissez et multipliez et patati et patata ! »
( à suivre )
– La lutte contre la faim dans le monde recule de 15 ans, selon un rapport de l’ONU
( news.un.org 24 juillet 2024 ) Décidément toujours pareil, la Surpop connaît pas.
Normal dira t-ON, l’ONU n’est qu’un ramassis de «gauchiasses» et patati et patata !
La Preuve que les journalistes sortent tous de la même école, onusienne.
Et qu’ON ne leur a jamais enseigné Malthus. Misère misère !
Le PNO (Problem Number One), le Galop, le Tabou et Patati et Patata !
Cherchez pas plus loin, c’est élémentaire mon cher Watson !
Depuis le temps qu’ON le rabâche Mathilde n’entend pas ce que les commentateurs lui font remarquer. Pauvre Mathilde, elle est sourde.
Et encore si ce n’était que ça. En plus Mathilde ne voit pas, ne comprend pas, que si certains ont faim c’est tout connement parce qu’ils sont trop nombreux. Autrement dit parce qu’ils sont en trop. Pauvre Mathilde, sourde, aveugle et con.
Et pareil de nos pleureuses malthusiennes, qui ne changeront évidemment jamais.
Comme moi d’ailleurs. Une preuve de plus que ce sujet ne génère que des dialogues de sourds et du radotage. Notamment sur ce blog où certains misérables sauteront sûrement sur l’occasion pour re-re-redire, avec leur «délicatesse» habituelle, que Le MONDE n’est qu’un ramassis de «gauchiasses afromuzz». Natalistes et wokes évidemment. Misère misère !