Sur ce blog biosphere, le commentateur Michel C. fait feu de tout bois contre le malthusianisme et se heurte à fleuret non moucheté à Tsp qui ne voit que surpopulation. Par contre, entre le climatosceptique Tsp et le partisan du GIEC Michel C., ça chauffe à feu continu. Comme quoi, entre deux personnes qui semblent intelligentes et bien informées, le rapprochement des points de vue semble impossible de toute éternité.
Ce blog, qui se voudrait promouvoir l’intelligence collective, est bien emmerdé, que faire pour réconcilier l’inconciliable, Poutine et l’Ukraine, Hamas et Israël, climatosceptiques et malthusiens !
Comme l’exprimait Nicolas Hulot, « il n’y aura pas de sortie de la myopie démocratique si les citoyens ne sont pas eux-mêmes les défenseurs d’une conscience élargie du monde dans le temps et dans l’espace. »
Sur ce blog, l’impossible intelligence collective
Écologie, le ministère de l’impossible
extraits : Robert Poujade (1928-2020), le premier titulaire du portefeuille de l’environnement en 1971, avait qualifié son poste de « ministère de l’impossible » ; la formule reste d’actualité en 2023…
L’impossible blocage du prix des carburants
extraits : Les extrêmes se rejoignent dans le populisme. Jean-Luc Mélenchon et Eric Zemmour proposent de geler les prix à la pompe pour freiner l’inflation observée depuis plusieurs mois…
l’impossible réveil écologique des ingénieurs
extraits : Les ingénieurs du futur devront créer des techniques qui prennent en compte les changements climatiques, la raréfaction des ressources, l’effondrement de la biodiversité. Autant dire que ça ne va pas se faire…
Sortir des énergies fossiles, impossible ?
extraits : Si je comprends bien, le Royaume-Uni qui a du pétrole à domicile accepte de renoncer à financer ou soutenir des projets à l’étranger mais pas chez lui. La France qui n’a pas de pétrole à domicile accepte de renoncer à financer ou soutenir des projets chez lui mais pas à l’étranger. A part ça, on avance…
Un impossible tourisme « durable »
extraits : L’approche des grandes vacances d’été montre un retour en force d’un tourisme très énergivorace. Alors on se grise officiellement de mots doux : tourisme durable , soutenable , équitable , écoresponsable, et même vert de vert. Notre société de loisirs n’a pas peur des oxymores, ces contradictions insolubles…
post-Covid, l’impossible an 01 de l’écologie
extraits : En 1971, Gébé propose dans une bande dessinée une révolution non-violente : « On arrête tout, on réfléchit et c’est pas triste ! » La population décide de suspendre production, travail, école, et de déterminer ce qui doit être redémarré ou pas. Les fabricants de voiture ? Les grands magasins ? Les grandes fermes industrielles ? Dès les premières pages de la bande dessinée, le ton est donné : il faut arrêter ce mode de vie qui n’a plus de sens et qui mène la planète à la catastrophe…
L’ impossible union des mouvements écolos
extraits : Notre démocratie de masse, avec des millions de concitoyens, fait en sorte qu’on veut donner le pouvoir au peuple, que chaque gilet jaune croyait personnellement incarner le peuple, mais que c’est toujours un populiste personnifié comme Mélenchon, Marine Le Pen ou Macron qui sort du chapeau. La deuxième source d’échec d’un rassemblement des forces écologiques et solidaires est l’étiquette qu’on veut se donner…
Pas de bol, l’impossible retour à la nature sauvage
extraits : La « première nature » est celle qui existe « à l’état sauvage », « vierge de toute intervention humaine ». La deuxième est retravaillée par l’homme… Pas de bol, « Il est trop tard ». Trop tard pour revenir à l’époque de la chasse et de la cueillette. Trop tard pour que l’agriculture nourrisse l’humanité tout en préservant les sols, les zones humides et les forêts. Trop tard pour espérer vivre avec des loups et des ours à nos portes. Trop tard pour avoir un sentiment océanique au milieu des vacanciers des bords de mer. Trop tard pour que nos enfants des villes sachent goûter l’aventure dans la nature. Trop tard pour limiter le nombre de nos animaux d’élevage pour laisser plus de place aux espèces férales. Trop tard, trop tard !…
Désastre en 2050, neutralité carbone impossible
extraits : Le Conseil européen n’a pas adopté l’objectif de zéro émissions nettes en 2050 comme l’y invitaient la Commission et le Parlement. La Pologne et la Tchèquie serait contre l’objectif de neutralité carbone, l’Allemagne aurait jugé que de délai de 2050 était trop contraignant. Les politiques font écho aux revendications du toujours plus des « Gilets jaunes » qui sont incompatibles avec un scénario de « zéro émission nette » de gaz à effet de serre ! Cela impliquerait un changement important des modes de consommation : insupportable !!…
L’énergie contrainte rend la démocratie impossible
extraits : La démocratie commence à buter sur le monde fini (à cause du plafonnement énergétique), alors qu’elle a essentiellement vu le jour et prospéré dans le monde en croissance. La généralisation à toute l’Europe de ce régime politique, qui laisse à la population une large voix au chapitre pour dire par qui elle veut être gouvernée, provoque mécaniquement l’apparition de candidats surenchérissant de promesses de monde meilleur… Il est des libertés « démocratiques » qui ne peuvent plus s’exercer dans le monde fini.
Un impossible démantèlement des centrales nucléaires
extraits : Même si le « provisionnement », l’argent mis de côté pour le démantèlement des centrales nucléaires françaises, est correct – ce qui fait largement débat -, cela n’a pas de réalité matérielle. Il s’agit de chiffres comptables et d’octets sur un disque dur. Ce n’est qu’un droit de tirage sur les ressources matérielles et humaines futures. S’il n’est pas utilisé immédiatement, et il ne le sera pas puisque tel n’est pas son but, il reste donc virtuel… Il faudrait que l’ensemble du macro-système se soit maintenu, à l’horizon de plusieurs décennies, voire de siècles. Rien n’est moins sûr. Je fais donc le pari (facile, vous ne viendrez pas me chercher) que nous ne démantèlerons rien du tout…
Produire plus, polluer moins : l’impossible découplage
extraits : Produire plus en dégradant moins l’environnement : telle est la perspective incarnée par le concept de découplage. En des temps où la crise écologique s’aggrave et où la croissance économique fait défaut, il accompagne l’espoir d’une « croissance verte » qui associerait retour au plein emploi, progression du pouvoir d’achat et réponse aux défis environnementaux.Tout le problème est que ce miracle, nous expliquent les auteurs de ce livre, ne s’est encore produit nulle part à ce jour…
Impossible mais vrai, l’homme dévore 1,5 Terre par an
extraits : Cet état de « dépassement global » signifie, par exemple, que le rythme auquel nous exploitons les forêts, pompons l’eau douce et rejetons du CO2 dépasse celui auquel les arbres repoussent, les aquifères se reconstituent et la nature séquestre nos émissions. La Terre a perdu la moitié de ses populations d’espèces sauvages en 40 ans, les stocks de ressources se sont appauvris et les déchets s’accumulent…
contrôler la fécondité des pauvres, impossible obligation
extraits : « Pour certains défenseurs des droits de l’homme, il est injuste que les pauvres de ce monde aient à subir des programmes de contrôle des naissances, car, pris tous ensemble, ces pauvres laissent une empreinte écologique bien plus réduite sur la planète que la minorité des privilégiés. C’était sans doute vrai il y a un demi-siècle, quand les deux-tiers des humains étaient des paysans. Mais aujourd’hui, la plupart sont citadins – et la majorité de ces citadins sont pauvres. Aussi misérable le bidonville de Dharavi puisse-t-il paraître, cependant ses gueux sont de plus en plus équipés de téléphones portables… » (Alan Weisman)
Nicolas Hulot vivait au ministère de l’impossible
extraits : Le problème global de Nicolas Hulot, c’est qu’il devrait aller à contre-sens de la marche actuelle de la société thermo-industrielle et obtenir pourtant l’arbitrage favorable du 1er ministre, ce qui paraît impossible dans le contexte actuel, libéral-croissanciste. Le problème personnel d’un ministre de l’écologie, c’est qu’il doit éviter d’être contaminé par les habitudes de pensée des autres membres du gouvernement qui pensent majoritairement business as usual et croissance à n’importe quel prix. Or l’appartenance à un groupe, ici le gouvernement, implique d’être amené subrepticement à penser comme le groupe…
Sombrer dans le chaos n’est pas impossible… (7 mars 2012)
extraits : La situation mondiale est déjà chaotique, demain le chaos ?Le chaos désigne la trajectoire d’un système en évolution très sensible aux conditions initiales. Plus précisément, même un événement à l’origine insignifiant peut conduire à des écarts infinis à l’arrivée. Il s’agit de l’effet papillon : un seul battement d’ailes d’un papillon peut avoir pour effet le déclenchement d’une tornade. A plus forte raison si on tient compte de tous les battements d’ailes de millions d’autres papillons. A plus forte raison si on ajoute les activités d’innombrables autres créatures, en particulier celles de notre propre espèce. Par exemple le premier choc pétrolier de 1973 est causé par un événement à l’origine mineur, la guerre du Kippour. Il a entraîné une récession mondiale. Nous savons aussi les conséquences planétaires de la faillite de Lehmann Brothers en 2008. L’amplification extrême d’une situation initiale est de plus en plus perceptible, si ce n’est analysable…
Eduquer au XXIe siècle ? Impossible ! (7 mars 2011)
extraits : Nous habitons un monde trop plein, bientôt sept milliards d’humains. Le nouvel écolier n’a jamais vu veau, vache, cochon ni couvée, il a perdu le sens de ses racines. La France ne compte plus que 1 % de paysans en 2011, les Français ont perdu le sens de ce qui les fait vivre. Ils habitent la ville, ils n’admirent qu’une nature pour loisirs et tourisme, ils ont perdu le sens de l’effort physique. Né sous péridurale, l’espérance de vie va vers quatre-vingts ans sans jamais avoir expérimenté l’urgence vitale d’une morale ! Ils sont formatés par les médias, qui détruisent les facultés d’attention en réduisant le temps des réponses aux questions à quinze secondes, chiffres officiels. L’individu ne sait plus vivre en couple, il divorce ; ne sait plus se tenir en classe, il bouge et bavarde ; l’été dernier, nos footballeurs n’ont pas su faire équipe ; nos politiques ne savent plus construire un parti plausible ou un gouvernement stable. Nous n’avons inventé aucun lien social nouveau, juste un recrutement Facebook. Que transmettre ? Le savoir ? Le voilà, partout sur la Toile, accessible à tous, inaccessible en cohérence. Distribué, mais non concentré, dilué à l’infini…
Je reprends le dernier exemple de l’impossibilité d’éduquer au XXIeme siècle à rapprocher de l’impossibilité de communiquer et de comprendre des points de vues divergents.
L’éducation nationale a remplacé symboliquement l’instruction publique en 1932 et aujourd’hui cela n’est plus anodin. Aujourd’hui, on ne forme plus que des exécutants jusqu’au bac et seuls les plus stimulés par leurs entourages, familles peuvent développer leurs capacités dans les écoles d’ingénieurs.
Cela veut dire que l’esprit critique, d’analyse et de synthèse n’est plus enseigné réellement. Les professeurs s’en plaignent tous les jours.
Cela veut dire que peu de gens peuvent analyser et synthétiser des points de vues divers et en plus ce n’est pas inné. Francis Bacon a défini l’analyse scientifique et la réflexion inductive et très peu de gens le maîtrise.
Encore d’accord. Comme quoi…
Est-il vraiment possible, ou impossible… d’éduquer au XXIeme siècle ?
(Tribune au Monde de Michel Serres 5 mars 2011)
Selon Biosphère c’est IMPOSSIBLE ! (article 7 mars 2011)
Vraiment ? En tous cas ARMAND (commentateur) n’est pas content.
Admettons, que ce soit impossible… mais alors pourquoi écrire des bouquins, vouloir faire progresser cette fameuse intelligence collective, appeler à décoloniser les imaginaires etc. ? Un peu de logique, de bon sens… bon sang !
L’esprit critique s’apprend, s’enseigne (ex. Petit cours d’autodéfense intellectuelle, de Normand Baillargeon). Sauf que ce n’est pas ce qui se fait. Qu’en plus c’est du travail, et donc c’est fatiguant. Bref nous voyons le résultat. N’empêche que l’esprit critique est indispensable à la décolonisation des imaginaires. Pour moi il devrait être enseigné dès la maternelle. En plus de la pose du préservatif, bien sûr. 🙂
Afin de développer ce que vous dites:
Pour avoir enseigné la biologie en lycée et collège, je me suis toujours attaché à faire travailler le sens de l’observation, de l’analyse et de la synthèse et à ne pas interpréter hâtivement ce que l’on voit ou lit. C’est le sens critique
Mais ce que j’ai vu des jeunes collègues de svt , ce n’est plus vraiment leur préoccupation, ils axent plus leur enseignement sur la répétition de ce que sait faire l’élève pour le mobiliser et sur l’interaction sociale pour faire passer des notions.
C’est très bien mais cela se fait au détriment de la confrontation de l’esprit de l’élève à des problématiques qu’il n’a pas intégré comme l’observation par la description précise , la connexion entre les différents paramètres et la conclusion sur les interprétations possibles en les reliant à ce qui est connu et finalement en tirer une vérité générale, la synthèse.
Toujours d’accord !
– « Une tête bien faite vaut mieux qu’une tête bien pleine. » (Montaigne)
Je regrette également que la philosophie ne soit pas mieux enseignée.
Là encore elle pourrait l’être dès la maternelle.
– La philo en maternelle, une arme de la construction de la pensée
( cafepedagogique.net/2019/09/18 )
« La France ne compte plus que 1 % de paysans en 2011, les Français ont perdu le sens de ce qui les fait vivre. Ils habitent la ville, ils n’admirent qu’une nature pour loisirs et tourisme, ils ont perdu le sens de l’effort physique »
Comme je l’ai toujours dit Mylène F aurait plutôt dû chanter « Je suis génération des canapés ». Mais oui la France est bien un état socialo-communiste qui prend en charge du berceau jusqu’au cercueil. Notre pays représente 9% des aides sociales mondiales pour 1% de la population mondiale. La France consacre 33,3 % de son produit intérieur brut (PIB) à la protection sociale, soit 834 milliards d’euros par an.
Lorsqu’on habitue 67 millions de français à recevoir la becquée, entre les assistés de gauche en allocations et les assistés de droite en subventions, car ces derniers font semblant de travailler mais ne font que tourner des entreprises zombies qui ne vivent même pas de leur chiffre d’affaire et feraient faillite sans les subventions… Autour dire que la banqueroute du pays est pour bientôt !
Comme je dis le confort et le plaisirs sont toujours vainqueurs. ET attendre la becquée étatique nombreux sont ceux à trouver cela confortable et agréable ! Même réfléchir à sa place, nombreux trouvent ça agréable et confortable aussi ! Au point que nombreux adorent consommer les opinions médiatiques !! Puis le TRAVAIL c’est horrible et surtout fasciste et nazi selon les socialo-communistes… Mais tout ça pourrait bien changer lorsque la banqueroute sera du pays sera prononcée !
« L’intelligence collective, impossibilité majeure »
Effectivement ça n’existe pas ! Et si on devait mettre d’accord 67 millions de personnes, alors on aboutirait seulement que sur un consensus dont finalement personne ne serait satisfait, personne n’aimerait ce consensus, mais on aboutirait plutôt sur un consensus où la majorité des personnes serait la moins insatisfaite, bref un accord que la majorité estimerait le moins dégueulasse ! Il n’en demeure pas moins que même si la majorité trouve un accord le moins détestable, l’accord reste détestable quand même ! Et surtout la minorité estimera toujours ce consensus abjecte ! Bon un consensus sur 67 millions de personnes ça donne 37 millions de pas trop insatisfait (mais insatisfait quand même) et 30 millions d’entièrement insatisfait ! En résumé personne n’est satisfait ! C’est d’ailleurs ce que l’on constate avec l’Union Européenne ! (d’où le fait qu’il vaille mieux en sortir)
L’intelligence collective pose la question de l’échange des points de vue qui permettrait de progresser dans la compréhension d’un sujet et de dégager des perspectives cohérentes.
Le problème de l’intervenant finalement anonyme est qu’il n’a pas d’obligation intellectuelle ou affective à avoir un discours cohérent et ouvert.
Généralement, le commentateur se contante d’écrire ce que lui inspire le sujet sans attendre plus des autres commentateurs.
Or les sujets abordés dans ce blog sont assez complexes et documentés pour que la démarche des commentateurs soit plus ouverte.
Bien sûr , les convictions peuvent être divergentes mais cela devrait permettre à chacun de relativiser ou de faire évoluer son point de vue
Cette fois je suis d’accord avec vous. Ce qui devrait un peu rassurer Biosphère. 🙂
L’anonymat des points de vue (des internautes) est en effet un problème, voire un obstacle de plus aux deux que j’ai sommairement développés hier.
Un problème qu’il faut toutefois relativiser. Je l’ai déjà dit, je ne crois pas qu’Internet (les réseaux dits sociaux) participent à développer cette intelligence collective, au contraire je pense qu’ils participent grandement à la connerie collective. L’anonymat (le vôtre, le mien etc.) permet sans aucun doute de se défouler, de raconter n’importe quoi, sans trop de risques de passer publiquement pour un con, voire d’avoir des ennuis avec la Justice.
( à suivre )
Seulement force est de constater que le Grand N’importe Quoi s’étale aujourd’hui de tous les côtés, à visage caché aussi bien qu’à visage découvert. Et de plus, il se montre désormais sans aucune pudeur. Sur les réseaux, les plateaux télé, les journaux, ON déballe fièrement ses idées, n’importe lesquelles, sans se soucier des conséquences.
La connerie, sous toutes ses formes, dont les pires, est désormais… DÉCOMPLEXÉE .
Le mot est à la mode, «bêtise décomplexée», «racisme décomplexé», «homophobie décomplexée», «extrême droite décomplexée» etc. etc.
– « Le con est désormais le sujet le mieux adapté à la société telle qu’elle est devenue »
( Par Paul Soriano le 29/07/2021 – marianne.net )
J’ai d’abord écrit un commentaire, que vous lirez peut-être… mais alors en over-quota, pour rester fidèle à mes principes. 🙂
Mais j’ai finalement jugé qu’un peu plus de sérieux serait, peut-être… mieux approprié.
Le sujet du jour porte donc sur cette fameuse intelligence collective, que j’ai déjà commentée et dont tous mes commentaires mis bout à bout constitueraient déjà un long article.
Je vois principalement deux obstacles, et non des moindres, à son développement.
Le premier c’est cette difficulté à accepter qu’il existe des choses impossibles. Ce n’est pas parce qu’ON nous dit qu’impossible n’est pas français qu’il faut le croire. Diviser un nombre par zéro, par exemple, ou mettre 13 œufs dans une boite de 12, sans faire d’omelette, c’est impossible !
Comme il existe également des mariages ou des conciliations impossibles. Genre Poutine et l’Ukraine ou le Hamas et Israël. ( à suivre )
De ce côté là je pense qu’il faudra du temps, beaucoup de temps, pour que les esprits s’apaisent. Dans l’immédiat je dirais donc qu’il ne faut s’attendre à des miracles.
Bref, j’ai toujours dit que d’un âne ON ne fera jamais un cheval de course, que c’est impossible, peut-être con ou dommage mais qu’en attendant c’est comme ça !
Par contre, et si ça peut rassurer Biosphère, pour ce qui est de marier (concilier ou réconcilier) climatosceptiques et malthusiens de ce côté là no problem. Ben oui vu qu’ON peut très bien être les deux et en même temps ! La Preuve sur ce blog, sur les quatre pelés et un tondu nous en avons trois de ceux-là. Je vous laisse imaginer le trouple et les rejetons que ces phénomènes pourraient nous pondre.
Maintenant si ON veut appeler ça «intelligence collective» ce sera là encore sans moi.
( à suivre )
Le second obstacle, c’est que si à chaque fois ON doit rappeler l’évidence, re(re-re)démontrer ce qui n’a plus à être démontré (ex. la terre est ronde, un chat est un chat), redéfinir le sens des mots etc. etc. etc. là c’est sûr qu’ON ne risque pas d’avancer.
Et pourtant force est de constater que c’est à ce genre de conneries que nous con sacrons la plus grande partie de notre temps et de notre énergie. Et finalement c’est ce qui pèse le plus lourd en nombres de caractères, pages, articles etc.
Dont bien sûr tout ce que je viens d’écrire là. Nous voilà donc encore une fois bien avancés. Ou bien emmerdés, c’est comme vous voulez.