Surpopulation, le pour et le contre

on ne fait rien contre la surpopulation

extraits : Lors du sommet de la Terre à Rio en 1992, toutes les composantes de la vie sur Terre étaient mises sur la table, sauf une, la démographie. Maurice Strong, le secrétaire général de cette rencontre, eut beau déclarer que « soit nous réduisons volontairement la population mondiale, soit la nature s’en chargera pour nous et brutalement », dès le début ce sujet était purement et simplement tabou.

un débat récurrent

La surpopulation n’est pas le problème

extraits : Gabrielle Andriamanjatoson, le 25 novembre 2022 : La surpopulation n’est en aucun cas le problème de notre planète, voici pourquoi……. mais sur le même site, un article antérieur dit l’inverse ! Ida Junker-Ceretti, le 18 janvier 2017 : Il est clair pour nous tous que notre planète n’est pas extensible. Il n’y a pas beaucoup d’espace sur la Terre, sans parler des ressources – nourriture, eau et énergie – indispensables pour ses habitants. Ainsi, il semble logique qu’une population humaine croissante constitue une sorte de menace pour le bien-être de la planète Terre… »

10 milliards en 2050 = surpopulation ?

extraits : Selon le démographe Gilles Pison, « Le modèle humain n’est pas celui des mouches qui vivent dans un bocal. Ce n’est donc pas la question du nombre d’humains sur Terre que l’on doit se poser, mais plutôt celle de la façon dont ils vivent. Sommes-nous trop nombreux, ou consommons nous trop ? »N’en déplaise à Gilles Pison, nous sommes absolument incapables de modifier rapidement nos modes de consommation car la quasi totalité des humains actuels ne pense qu’à une chose : revenir à la consommation d’avant la pandémie ! Il est vrai aussi que maîtriser la fécondité humaine est un objectif insurmontable tant que Gilles Pison et les autres natalistes voudront ignorer la problématique malthusienne…

la surpopulation mondiale (selon Jacques Véron)

extraits : Envisageons non plus l’hypothèse d’une surpopulation, mais celle d’une explosion démographique, ce qui est tout à fait différent puisque, au lieu de nous intéresser à l’effectif absolu, nous considérons sa vitesse de croissance (son taux d’accroissement) La question n’est plus de savoir s’il y a trop de gens sur terre mais si la population mondiale augmente trop rapidement. Or dans un monde résolument fini comme le nôtre, une succession de doublements de la population finit nécessairement par devenir problématique (page 40) »… Jacques Véron a fait un livre fourre-tout, parfois hors-sujet, se contentant d’écrire qu’on « doit » se développer pour réduire l’accroissement démographique, ce qui en reste au niveau du « fautqu’on »…

Douze idées fausses sur la surpopulation

extraits : Douze des principales idées niant l’idée de surpopulation sont réfutées aux Pays Bas, overpopulationwareness : Idée fausse nº 1 Il y a suffisamment d’aliments pour tous les habitants de la Terre, c’est vrai aujourd’hui et dans le futur. Le problème, c’est la répartition inégale. Dans les pays riches, il y a abondance, dans les pays pauvres, pénurie…

Parlons clairement de surpopulation

extraits : Le passage aux 8 milliards d’êtres humains le 15 novembre dernier pouvait entraîner une prise de conscience. Mais l’idée de surpopulation démographique semble absente de nos médias, quand elle n’est pas rejetée d’emblée. Sur le site du Fonds mondial de l’ONU pour la population, on trouve cette réaction : « Le franchissement de ce seuil s’accompagnera sans doute de discours invoquant avec alarmisme le terme de « surpopulation ». Se laisser aller à de telles paroles serait une erreur. »…

les malthusiens, trop peu nombreux

La Croix considère qu’il y a surpopulation

extraits : Pour Stéphane Madaule dans le journal La Croix, la progression forte de la population mondiale depuis cinquante ans n’est pas sans peser sur l’environnement, sur le problème du changement climatique et de la perte de la biodiversité. Il existe bien un lien entre taille de la population mondiale et perturbations environnementales…

Ehrlich, Borlaug, démographie et semences

extraits : Borlaug, initiateur de la révolution verte, lançait cet avertissement lors de son discours de réception du prix Nobel : « Nous sommes face à deux forces contraires, le pouvoir scientifique de la production alimentaire et le pouvoir biologique de la reproduction humaine. L’homme a fait des progrès fantastiques, depuis quelques temps, pour ce qui est de maîtriser potentiellement ces deux puissance opposées. La science, l’esprit d’innovation, la technologie lui ont livré des matériaux et des méthodes qui permettent d’augmenter de façon substantielle et parfois spectaculaires, les réserves alimentaires. L’homme a acquis les moyens de réduire avec efficacité et humanisme le rythme de la reproduction humaine. Il utilise ses pouvoirs pour augmenter le rythme et l’ampleur de la production alimentaire. Mais il n’exploite pas encore de façon adéquate son potentiel pour limiter la reproduction humaine… Il n’y aura pas de progrès durable, dans la guerre contre la faim, tant que les gens qui luttent pour augmenter la production alimentaire et ceux qui luttent pour contrôler la fécondité humaine n’auront pas uni leurs forces. »…

Jane Goodall, virus et surpopulation

extraits : Jane Goodall n’ignore pas la menace démographique, elle l’avait clairement exprimé lors d’une tribune  : « Il est impératif de réduire le taux de croissance démographique. Il est tout à fait absurde de penser qu’il peut y avoir une croissance économique illimitée dans un monde aux ressources naturelles limitées. Même le pape François nous dit que ce n’est pas parce que nous avons la capacité de nous reproduire comme des lapins que nous sommes obligés de le faire ! » (LE MONDE idées du 5 janvier 2019)…

Brigitte Bardot alerte sur la surpopulation

extraits : Brigitte Bardot clame que la surpopulation est « l’un des grands problèmes actuels. » ; Elle (la surpopulation, ndlr) est à l’origine de la plupart des problèmes de climat, de pollution d’air, des mers, des rivières et des sols, et des épidémies aussi. » Ses 67000 abonnés (twitter)ont pu également lire en guise de conclusion : « Il faudrait s’interroger sur les conséquences de cette démographie inquiétante et étudier la façon de la stopper » . C’est une question urgente et primordiale, car pour Brigitte Bardot, « il en va de la survie de l’humanité ! » 

les anti-malthusiens, innombrables

Surpopulation, sa perception en 1973 et 2021

extraits : L’idée de surpopulation en 1973 : La population du monde ne cesse de s’accroître. Bientôt les villes auront envahi la terre entière. La nourriture (du plancton) sera rationnée. Dans ce monde de béton sans arbres, ni fleurs, les hommes seront enserrés, prisonniers… L’idée de surpopulation en 2021 : Alors que la population mondiale augmentera de 1,5 milliard d’habitants d’ici à 2030, la décroissance aggraverait davantage la situation des habitants réduits à la famine. Au contraire, l’agriculture devra produire davantage pour nourrir la planète.

Surpopulation, la télé en parle… très mal

extraits : Trop de monde sur Terre ? (Magazine « Terra Terre » sur Public Senat le 26 mai 2020 à 23h). Nous avons regardé l’émission malgré son heure très tardive, c’était super-nul. Dans une ambiance bistro où les gens n’écoutaient pas ce qui se disait de la démographie, on passait à toute vitesse d’un thème à l’autre sans s’arrêter sur aucun, capacité de charge, migration, transition démographique, statut des réfugiés climatiques, le vieillissement de la population….

La surpopulation snobée par les décroissants

extraits : Les anti-malthusiens sont parfois virulents. Le mensuel « La Décroissance » a choisi une voie plus pernicieuse, ne jamais parler de la question démographique, même dans un monde aujourd’hui peuplé de 8 milliards d’une espèce grouillante, nous-mêmes. Voici un témoignage dans le courrier des lecteurs du journal de Vincent Cheynet de février 2023…

FNUP, en faveur de la surpopulation

extraits : Fonds des Nations Unies pour la population, surpopulation ne veut pas connaître ! Son rapport 2023 pose le problème entre deux lignes : Selon une enquête YouGov à laquelle ont participé près de 8 000 personnes dans huit pays (le Brésil, l’Égypte, les États-Unis, la France, la Hongrie, l’Inde, le Japon et le Nigeria), l’opinion prédominante considère que la population mondiale est aujourd’hui trop importante. Mais ce n’est pas son avis, voici toutes les conneries qu’il débite…

L’Ined ignore encore le mot « surpopulation »

extraits : L’institut national d’études démographiques devrait faire référence commune, ce n’est pas le cas. Dès son origine, il avait un objectif nataliste. L’ordonnance de 1945 définit ainsi la mission de l’institut : « L’Ined est chargé d’étudier les problèmes démographiques sous tous leurs aspects… Il étudie les moyens matériels et moraux susceptibles de contribuer à l’accroissement quantitatif et à l’amélioration qualitative de la population.» Sur son moteur de recherche interne, on trouve aujourd’hui à propos du terme « Surpopulation » seulement 12 occurrences depuis 1972, douze articles en 50 ans…

Agence fr. de développement / surpopulation

extraits : Pour savoir ce que pense l’AFD de la surpopulation, on trouve sur leur site deux occurrences seulement : l’une sur la surpopulation carcérale, l’autre sur la surpopulation dans les écoles. Rien sur la surpopulation humaine…

le mot tabou de « surpopulation »

extraits : Nous sommes passés à 8 milliards d’êtres humains le 15 novembre 2022 selon l’ONU. Une multitude qui a même augmenté de un milliard depuis 2011, c’est un état de surpopulation. Qui pourrait en douter ? Pourtant médias, intellectuels, partis politiques et associations occultent complètement la question du poids du nombre.Associations écolos. Sauf pour « Démographie Responsable »,le refus d’aborder la problématique de la surpopulation…Partis écolos : sauf par le MEI, le refus d’aborder la problématique de la surpopulation est généralisé…La surpopulation absente de tous les médias… sauf avec Charlie Hebdo…

Charlie-Hebdo ne croît pas à la surpopulation

extraits : aux rédacteurs de Charlie-Hebdo. Pour vous, le passage aux 8 milliards d’êtres humains prévu pour novembre 2022 n’a pas l’air inquiétant, cf. le titre d’un de vos récents articles dans Charlie-Hebdo, « Surpopulation : c’est vite dit ! ». Vous donnez la parole uniquement au démographe Gilles Pison…

Alerte surpopulation ! Bof, on s’en fout…

extraits : Il faut se rappeler que dans les années 1970, le mot surpopulation était sur toutes les lèvres. En 1968 « La Bombe P » de Paul Ehlich, l’explosion démographique et le risque de famine, avait fait un tabac en librairie (surtout aux USA). En 1972 le rapport au Club de Rome sur les limites de la croissance montrait parfaitement les interrelations entre croissance démographique exponentielle et les 4 autres variables. En 1974 le malthusien René Dumont était le premier présidentiable écolo à parler de surpopulation. La première conférence mondiale sur la population a eu lieu à Bucarest en 1974. Aucun de ces apports conceptuels n’a vieilli, ils ne demandaient qu’à rester au premier plan , ils ont été remisés dans un coin, ils ont été oubliés…

La surpopulation, c’est pas un vrai problème !

extraits : Recherche google le 15 juillet 2023 sur le mot « surpopulation ». Sur 2 400 000 items, voici ce que donne la page une du moteur de recherche : sur 11 occurrences, c’est la surpopulation carcérale qui arrive en tête avec 5 liens. Ensuite il y a 3 articles qui minimisent complètement l’idée de surpopulation humaine. Pire, l’ONU réfute les risques liés à la surpopulation mondiale (2 articles). Seule la page wikipedia sur la surpopulation, très argumentée en faveur d’une démographie responsable, est digne de passer sur Internet..

Sur-consommateurs et non surpopulation ?

extraits : Évidemment, si le modèle vers lequel le monde entier est censé désirer tendre reste un modèle basé sur l’hyperconsommation, il risque d’y avoir un problème de place…Toutefois, comme l’explique Emmanuel Pont, si demain, l’humanité entière devient végétarienne, nous pourrions libérer 75% des terres agricoles occupées par l’être humain pour se nourrir…

Question de mode de vie ou de surpopulation ?

extraits : L’économiste britannique Thomas Malthus, notamment, avait mis en garde, dès 1798, avec son Essai sur le principe de population, contre l’inadéquation entre une croissance exponentielle de la population et une croissance linéaire des ressources…Mais il ne suffit pas de décréter la fin de la croissance démographique pour y parvenir en quelques décennies. Cela implique de poser la question des modes de vie. Les 10 % les plus riches du monde, dont font d’ailleurs partie la majorité des Français, sont responsables de deux fois plus d’émissions que les 50 % les plus pauvres.

Surpeuplement carcéral, surpopulation humaine

extraits : LE MONDE devrait consacrer au moins autant d’articles sur la surpopulation humaine qu’à la surpopulation carcérale. Certes il y a 74 513 personnes incarcérées en France pour 60 666 places opérationnelles. Mais il y a 8 milliards d’humains depuis novembre 2022 et personne n’envisage la capacité d’accueil de la Terre, ce qu’on appelle aussi capacité de charge. Il me semble qu’elle est déjà dépassée, la planète est aussi une prison dans laquelle beaucoup de monde ne mange même pas à sa faim

Surpopulation et pente glissante

extraits : Gérard D : Pourquoi ne pas réintroduire un peu d’eugénisme pendant que nous y sommes, ou de planning familial dont l’un des pères était (entre autres) Rockefeller (via sa fondation) qui œuvra aux campagnes de stérilisation forcées en Inde notamment….. Michel @ Gérard : Ton discours s’appelle le sophisme de la pente glissante, une forme de pétition de principe consistant à affirmer sans preuves que ce que dit l’autre déclenchera une chaîne d’événements tous plus dommageables les uns que les autres, ici eugénisme et stérilisations forcées. On croit ainsi se dédouaner d’un dialogue, comme si le passage aux 8 milliards ne prêtait pas à réflexion collective…

Pour en finir avec les faux débats, une note d’humour

Quelques aphorismes à propos de la surpopulation

extraits : Paul Sears, une possible réponse à Pierre Rabhi : « La terre est biologiquement capable de nourrir une humanité plus nombreuse ? Admettons, il serait néanmoins plus agréable de ne pas être obligé de manger debout »

Alain de Benoist cite Bossuet : « Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets tout en continuant à chérir les causes ». Faudrait-il s’interdire d’y inclure la cause démographique ?

9 réflexions sur “Surpopulation, le pour et le contre”

  1. Michel C. dixit : « il y a une différence, et non des moindres, entre les mesures qui pourraient modifier rapidement nos modes de consommation (interdiction de la Publicité, etc.) et celles qui pourraient faire baisser rapidement la population (stérilisations et exécutions de masses, etc.) »
    Cette phrase est à la fois exacte et incomplète. L’interdiction de la publicité pourrait avoir rapidement des effets positifs, certes, mais les « casseurs de pub » que nous soutenons ne font pas le poids par rapport aux intérêts financiers en jeu : plus de publicité du tout, c’est pas pour demain, car il faudra au préalable l’effondrement de la société thermo-industrielle. Tout le monde ou presque est actuellement accro au consumérisme(à suivre)

    1. (suite) Par contre, si on avait accepté depuis longtemps le libre choix des femmes, généralisation de la contraception, IVG, dévalorisation des mères pondeuses, fin du machisme, formation à la capacité de charge des territoires, etc, on aurait obtenu depuis Malthus (1798) une baisse de la population qui aurait permis comme il le voulait de trouver un équilibre avec les ressources de la planète. (à suivre)

      1. (suite et fin) Malheureusement Michel C. fait sur ce blog, et à l’image de beaucoup de personnes médiatiques ou politiques, un dénigrement systématique des malthusiens. Il empêche donc de mettre en place une maîtrise responsable de la fécondité. Il veut faire peur, « attention stérilisations et exécutions de masses » et ne considère pas le libre choix des personnes, il joue dans les faits le rôle des natalistes, il nous amène à ce qu’un malthusien ne voulait pas mais que la croissance démographique incontrôlée nous prépare, guerres, famines et épidémies : pas besoin dans ce cas de campagnes de stérilisations forcées !

        Merci Michel C. pour cet avenir funeste que vous nous préparez…

        1. Merci Biosphère de confirmer ce que je vous ai dit mille fois, au sujet de votre esprit binaire (choisis ton camp camarade), de votre mauvaise foi, de votre dogmatisme, et de vos sophismes. Encore une fois votre réaction, tout autant que la mienne, confirme ce que je disais hier À 16:33 au sujet de ce “débat“ (faux-débat, terrain miné etc.) : ON blablate pour rien… ON tourne en rond, ON se défoule, ON se bouffe le nez. Rien de bon en tous cas. D’autre part, malheureusement ou heureusement peu importe, votre réaction ne fait finalement qu’en rajouter à votre fameux (fumeux) Tabou. Vos natalistes, comme vous les appelez, vos ultra-cons et j’en passe… ont mille fois raison de refuser de perdre du temps avec ça. Et donc avec des gens comme vous.
          Quant à moi, j’ai tout mon temps. 😉

  2. « N’en déplaise à Gilles Pison, nous sommes absolument incapables de modifier rapidement nos modes de consommation car la quasi totalité des humains actuels ne pense qu’à une chose : revenir à la consommation d’avant la pandémie ! »

    Affirmation exacte à laquelle j’ajouterai = N’en déplaise à Michel, non seulement la quasi totalité des humains actuels ne pense qu’à revenir au niveau de consommation d’avant la pandémie mais souhaite même consommer bien davantage une fois revenu à ce niveau ! En outre, les africains, les indiens, les chinois, les latinos aspirent eux aussi à devenir des petits bourgeois installés confortablement sur leur canapé après avoir bien rempli leur caddie au supermarché ! Les 8 milliards d’humains préfèrent devenir petit bourgeois que clochard avec un porte-feuille de l’épaisseur d’un raisin sec !

    1. Hormis que dans le cahier des charges que nous fournit GAIA il n’y a pas assez de ressources naturelles pour qu’autant de monde puisse devenir petits bourgeois. Et oui les africains ne pourront pas avoir le train de vie de petits bourgeois et avoir 8 gosses par femme, c’est incompatible !

  3. – Surpopulation, le pour et le contre ?
    Mais pour quelle raison, là encore, faudrait-il choisir son camp, camarade ?
    Entre le déni et la fixette, n’y a t-il pas de la place pour autre chose ?

    – on ne fait rien contre la surpopulation ?
    Ben si, ON en parle. ON écrit des articles, des livres, ON en remplit des pages, toujours plus, ON organise des «débats», dans lesquels ON répète toujours les mêmes chansons.
    ON blablate pour rien, ON coupe des arbres, pour rien, ON en rajoute au désastre, ON tourne en rond, ON se défoule, ON se bouffe le nez et ON s’enfonce, toujours plus.

    Pour en finir avec les faux débats, une note d’humour : À bas les tristes sires et Vive le Parti d’en Rire !

    1. – « N’en déplaise à Gilles Pison, nous sommes absolument incapables de modifier rapidement nos modes de consommation car [etc.] Il est vrai aussi que maîtriser la fécondité humaine est un objectif insurmontable tant que Gilles Pison et les autres natalistes voudront ignorer la problématique malthusienne… » (Biosphère)

      Autrement dit, c’est à cause de types comme Pison que la démographie est ce qu’elle est. Et qu’il va falloir attendre un certain temps… pour qu’enfin la population mondiale décroisse. Raisonnement ridicule ! ( à suivre)

      1. Que la quasi totalité des humains actuels ne pense qu’à revenir à la consommation d’avant la pandémie est parfaitement logique. Non pas parce que le besoin de toujours plus serait dans la «nature humaine», inscrit quelque part dans nos gènes ou notre striatum, mais tout connement parce que cette pandémie n’a rien changé à la façon dont tourne le notre monde.
        Dun côté comme de l’autre c’est donc la même chose. Sauf qu’il y a une différence, et non des moindres, entre les mesures qui pourraient modifier rapidement nos modes de consommation (interdiction de la Publicité pour commencer, de la Compétition ensuite, etc.) et celles qui pourraient faire baisser rapidement la population (stérilisations et exécutions de masses, pulvérisations de «douceurs» diverses et variées, etc.).
        Moralité : D’un côté comme de l’autre, il faut du temps au temps.

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