Voici un récapitulatif des différentes thématiques traitées au mois de novembre 2021 sur ce blog biosphere.
la question climatique
Neutralité carbone, compensation, foutaises !
COP26, technologie ou sobriété partagée ?
COP26, le bal des hypocrites à Glasgow
COP26, avec quelle pratique journalistique ?
COP26, le piège du développement (durable)
COP26, on s’intéresse enfin au méthane
COP26, le choc charbonnier va faire mal
COP26, histoire d’un fiasco programmé
COP26, le pouvoir n’est pas dans la rue !?
COP26, un sommet pour VIP, bilan nullissime
la question écologique
La sobriété, une valeur émergente
En marche… vers la sobriété partagée
Nicolas Hulot et la BIODIVERSITE
Démographie africaine et faune sauvage
Un chasseur mort OU des oursons sans mère ?
En finir avec le sexe, en finir avec la mort
L’écoanxiété a-t-elle besoin d’être soignée ?
Nicolas Hulot, un écolo sincère et engagé
Paroles de sagesse à la mode écolo
la question énergétique
En Ouganda, le pétrole de TOTAL fait la loi
L’avenir du pétrole est derrière lui
Sortir des énergies fossiles, impossible ?
Question nucléaire, la démocratie bafouille
Sobriété ou Nucléaire, E. Macron a tranché
Jancovici nous pousse hors zone de confort
la question démographique
La Démographie Responsable en actes
Démographie africaine et faune sauvage
La faim dans le monde, qui est responsable ?
Surpopulation au Yemen, 377 000 morts
Lettre à l’enfant que je n’aurai jamais
Aimer les enfants, c’est ne pas en avoir
Fin de vie, comparaison internationale
L’Autriche va autoriser le suicide assisté
L’arrêt forcé des migrations se mondialise
Grand remplacement, nativisme, écologisme
la question politique
Nicolas Hulot et le CAPITALISME
L’écologie au pays de Xi Jinping
Confinement obligatoire pour les non-vaccinés
Vaccin, la libre acceptabilité des contraintes
Michel Sourrouille, au service de la cause écologique depuis bien longtemps…
Pour en savoir plus, Sur ce blog, le point de vue des écologistes ?
Esprit critique écrit : « Le «comment mourir» est avant tout une question de morale, pas d’écologie. Il n’est que dérisoire. Pour le démontrer il suffit de mesurer ce que «pèse» l’impact écologique de ces X personnes qui attendent de mourir (dans les hôpitaux ou ailleurs) et de comparer avec n’importe quoi d’autre. »
Réponse : Un peu plus de la moitié des soins hospitaliers et des médicaments sont consommés par des personnes de plus de 60 ans. La part de la consommation pour les transports de malades attribuable aux plus de 60 ans atteint 60 % et 67 % pour les soins d’auxiliaires médicaux.
Le montant de l’allocation journalière d’accompagnement d’un proche en fin de vie est porté à 56,10 euros brut par jour en cas de congé sans activité à temps partiel, 28,05 euros brut par jour en cas d’activité à temps partiel. A domicile, la tranche d’âge comprise entre 65 et 75 ans dépense en moyenne 584€ par mois pour ses besoins de santé hors logement et autres dépenses ; 740 € pour les seniors de 75 à 85 ans. 1836 € mensuels pour les personnes de 85 ans et plus. Le coût d’hébergement en EHPAD est chaque mois de 2000 euros au moins.
Que viennent faire tous ces euros dans l’écologie ? Quel est le rapport entre le coût d’hébergement en EHPAD (2000 € par moins au moins) et l’écologie ? Comme si STATISTICON ignorait qu’investir dans un EHPAD s’avère être une excellente affaire. Le problème c’est le business des EPADH, le Problème c’est le Business en général. Suffit de voir tous les euros et dollars qu’engrangent les marchands de vaccins (Pfizer et Compagnie), les marchands d’énergie etc. etc. Alors un peu de pudeur SVP !
STATISTICON (Biosphère ?) nous donne donc des chiffres. Au-delà de cette idée (misérable) selon laquelle tout et n’importe quoi se chiffre désormais en euros, même une vie humaine, chercherait-on à nous vendre là cette idée, que je juge dégueulasse, exprimée ici par Jancovici :
– « Dans les pays occidentaux, il y a un premier moyen de réguler la population de façon raisonnablement indolore : ne pas mettre tout en oeuvre pour faire survivre les personnes âgées malades, à l’image du système anglais qui ne pratique, par exemple, plus de greffe d’organes pour des personnes de plus de 65 ou 70 ans. [etc.] »
(Cité par Biosphère le 17 mai 2014 : La peine de mort, les termes du débat dans LE MONDE)
Le même Janco qui a écrit aussi :
– « Entretenir une population en prison, c’est utiliser de la nourriture, des ressources et de l’énergie pour le bénéfice d’improductifs mis au ban de la société. Jusqu’à une époque somme toutes assez récente, on ne s’encombrait pas de ces bouches à nourrir [etc.] »
(Changer le monde, tout un programme ! de Jean-Marc Jancovici. 2011)
Les vieux, les taulards… Et les mal foutus, les inutiles etc. ? Misère misère !!!
– 10 articles sur la question climatique, dont 9 sur la CO26.
– 9 sur la question écologique.
– 6 sur la question énergétique.
– 10 sur la question démographique .
– 4 sur la question politique.
Tout est lié, certes. Je trouve toutefois certains amalgames assez curieux. Qu’est-ce que la fin de vie (Fin de vie, comparaison internationale) et le suicide assisté (L’Autriche va autoriser le suicide assisté) viennent faire dans la question démographique ?
@ Michel C
La question démographique comporte différents aspects, l’accroissement naturel qui met en jeu notre conception de « donner le vie » et de « comment mourir ». Il ne suffit pas de faire un simple constat comme le font les démographes, (nombre de naissances – nombre de morts). Il faut ajouter les mouvement migratoires, y compris bien sûr la question brûlante du statut des immigrés. Le tout est relié à différentes conséquences connexes comme la chute de la biodiversité, la réalité de la famine, l’existence des guerres, etc.
Tout est lié, nous le savons. Le «donner la vie» est sans conteste lié à la question démographique. La question migratoire également, même si pour moi c’est d’abord une question politique, pour ne pas dire plus, là aussi.
Le «comment mourir» est une question politique, mais avant tout une question philosophique, disons aussi de morale. Ce sujet (tel qu’il est traité par ceux qui réclament le «droit à mourir dans la dignité» etc.) n’a pour moi aucun lien avec l’écologie. Disons autrement, s’il a un lien avec la question (ou le problème) démographique, il n’est que dérisoire. Pour le démontrer il suffit de mesurer ce que «pèse» l’impact écologique de ces X personnes qui attendent de mourir (dans les hôpitaux ou ailleurs) et de comparer avec n’importe quoi d’autre.
Ou alors, pour arrêter l’hypocrisie, on ne parle plus de «droit à mourir dans la dignité», de «comment mourir» etc. on parle clairement d’«obligation de mourir».